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Bonne lecture à tous, Dsl s'il y a dess fautes, je suis epuisé ces jours...
Chapitre 1 (Hors-série) : Les Anges…
Partie 1 :…
[Allemagne, QG Nazi, 1934, 17 : 00]
« -Fritz ! » Criai-je
Il se tourna vers moi, l’air fourbe, froid, mais ne répondit pas. Il gardait le silence jusqu'à ce que je vienne à lui.
« -Qu’est ce que tu demande Le bleu ?
- je dois t’accompagner dans cette mission. N’est ce pas ?
-Ah…C’est toi qu’on envoi ? Allez viens !
-Nous devons attendre un autre, le-re-retour, Il sera là dans quelques minutes
- Retrouvez-moi dehors, Je vous attendrai. »
Il disparut aussi rapidement que son ombre. Quelques instants après, mon acolyte fit son apparition, l’air taciturne, marchant à pas lourd, Puis prononça.
« -Il est où notre…Boss ?
-Il nous attend dehors…»
Il s’avança sans même rien dire, ni même prononcer un mot. Je le suivais. Arrivé à la sortie, j’aperçu Fritz au parking, assis sur le capot de sa voiture, tout en donnant l’air d’un Rodeur Solitaire. La pluie faisait des lacs dans les rues. Je me dirigeai rapidement vers le véhicule.
« -Enfin ! On est en retard ! Il est où ton pote ?
- là-bas, il vient…Il se croit le maître lui ! » Dis-je d’un air moqueur.
Le-re-retour, s’assit dans les sièges de derrière, moi dans le siège à coté du conducteur, puis Fritz Kurt prononça
« -Je ne vous connais pas, Je ne connais ni vos prénoms, ni votre rang, ni de quoi
vous êtes capable…
-Je suis Ben, un espion, j’ai fais quelques petites assassinats, Je frappe dans le dos, c’est presque tout.»
Je me retournai vers le Boss, je le vis me fixer dans yeux.
« -Qu’est ce que j’ai dis ? » Demandai-je
« -Toi tu me seras utile…Et ton pote qu’est ce qu’il fait ?
-On me surnom le Retour, Je suis un Sniper Elite, Espion, j’ai assassiné deux généraux français.
-Bon, quand on sera dans les lieux de la missions, je vous expliquerai le plan.»
Arrivé à destination, Nous entreprîmes de caché le véhicule. Fritz nous fit signe de le suivre.
« -Ben, Prend ces couteaux, et toi Le-Retour, t’as des balles ?
-Oui, Mais ce n’est pas suffisant
-Prends ces balles, elles sont empoisonnées, prends ces gants aussi. Bon voila le plan, Le-Retour, Tu dois monter aux toits de cette immeuble et te posé dans l’endroit
où il a une croix rouge. Toi, Ben, Suis-moi. » Nous expliqua Kurt.
A peine eut-il terminé que Le-Retour entreprit d’escalader les murs de l’immeuble. Je suivis le Boss. Il se dirigea vers une porte, une gigantesque porte noire. L’immeuble était immense, avec d’étrange drapeau rouge, et un mystérieux symbole en forme de triangle, un peu mou des deux cotés. Le Boss se tourna vers l’immeuble où était Le-Retour, puis se retourna vers moi et me fit signe de m’accroupir. Je sortis un pistolet, et dans l’autre main un couteau, je me mis à couvert du coté gauche de la porte. Kurt crocheta la serrure puis nous pénétrâmes l’immeuble .Les lieux étaient vides, et spacieux, les murs étaient ornés de tableaux, d’étranges et mystérieux symboles. Tout au long du couloir, le même symbole que j’aperçus en dehors, décorait le sol. On pouvait entendre quelques brides de voix, qui s’éteignait progressivement. Le boss me demanda.
« -Ben, J’ai aperçu deux silhouettes à Onze heures, tu peux t’en occuper ? »
Je lui fis signe de la tête, et partis. Les deux hommes, se tenait prés d’un mur la tête plongé dans un livre, je m’aperçu a cette instant que c’était une bibliothèque. Un de mes cibles était assis sur une chaise, la capuche à la tête. Je sortis deux couteaux, et me mis à couvert. Je comptais jusqu’à trois et sortis de ma cachette. Les deux hommes, se tournèrent vers moi, surpris, désorienté, figé. Je lançai les deux couteaux, quand mes deux cibles s’écroulèrent. Un homme, de taille moyenne, une petite barbe, les yeux bleu clair, vêtue d’un manteau en cuire zébré, un chapeau sur la tête, apparut. Il ne m’avait pas aperçut, et il cherchait surement quelqu’un. Je sortis, le pistolet à la main, et le regardant d’un air menaçant.
« -Qu’est ce que vous faites ici ?! Qui êtes vous ?!
-Tu la ferme Oui ! Sinon je te descends ! »
Je le poussai vers une fenêtre de verre. Je lui tirai une balle dans la tête, et il tomba par la fenêtre. Soudain, en levant la tête je pu distinguer le sniper de mon acolyte pointai en ma direction. Je restai glacée sur place, mon sang se glaça dans mes veines, le souffle coupai...
La dédi 
