lenski:
2000 duacts. Et corrige moi ça STP
Mission 8
Février 1871
Mort glacial
« Deux marchand norvégiens viennent d’arriver en ville. Propose leur une alliance avant les Templier. »
J’étais en ce moment dans ma chambre du QG des assassins. Tant de chose c’était passé depuis ma dernière mission. Pour une raison inconnue le nom que j’avais donné à Philippe Aubin était parvenu aux oreilles des Templier. J’étais désormais connu sous le nom du Sénéchal. Apparemment Philippe était plutôt gradé chez les Templier. Avec un peu de chance les Templier réfléchiraient un peu plus avant de m’attaquer. A part ça j’avais beaucoup revu Dimitri qui m’avait apprit à me battre avec la canne. Bien que cet accessoire était parfait pour rester discret je préférais le laisser pour les infiltrations ou les filatures.
J’avais relut le journal de Luis Lazaro et je m’étais aperçu que quelque chose clochait. Après son passage au rang de maître sa vie avait été ennuyante à mourir. Or d’après le maître de Fett c’est en tant que maître que mon ancêtre c’était illustré. J’aurai pus rester là des heures à chercher sans comprendre mais mon ami Cédric entra dans ma chambre.
-Holà Ludovico, lança-t-il en avec un grand sourire.
-Bonjour Cédric. Que me vaut ce plaisir ? demandais-je en me relevant.
-Le maître veut te voir. Et vite.
-Bien évidement, dis-je en sortant de la pièce puis en prenant le chemin du bureau du maître.
Ce dernier m’attendait dans son bureau. Entrain de lire comme 99% du temps. Il leva les yeux et me fit un grand sourire.
-Ludovico ! Entre je t’en pris. Comment vas-tu ?
-Très bien maestro. Si ça ne vous gène pas, sautons les banalités et passons directement à la raison de ma présence ici.
-Oui bien sûre. Aime tu la Norvège mon chère ? demanda le maître.
-Un pays trop froid pour moi, dis-je en craignant ce qui allait suivre.
-Rassure toi je ne vais pas t’y envoyer, dit-il en voyant mon aire crispée. Deux marchands norvégiens viennent d’installer un comptoir commercial en ville. Propose-leur une alliance.
-Rien de bien compliqué je serai rentré pour midi, dis-je assez sûre de moi.
-Ce serait le cas si les Templier n’étaient pas eux aussi sur le coup. Enfin je suppose que ce n’est pas un problème pour le Sénéchal, lança le maître avec un certain air moqueur.
-Je m’en occupe, dis-je simplement en sortant de la pièce.
Je sortis du manoir puis pris la direction du quartier marchand. La maison des norvégiens fut assez facile à trouver. Un bel immeuble de style gothique en marbre blanc. La façade de trois étages était peu décorée donc je rentrai donc sans m’y attarder. L’intérieur était tout aussi sobre. Le hall était recouvert d’un parquet en bois massif. Quelques tableaux venus probablement de l’étranger recouvraient les murs beiges. Un bureau aussi en bois se trouvait au milieu de la pièce. Une porte au fond de la pièce devait menait à l’arrière boutique. Plusieurs vitrines montraient des fusils à baïonnettes, des pistolets et des sabres. La pièce ne resta vide que quelques secondes avant qu’un homme n’entre par la porte arrière.
-Alex vient ils sont arrivés, dit l’homme sans me quitter du regard.
-Lesquelles ? demanda un autre homme de son fort accent Russe.
-Les assassins, répondis-je en détaillant les deux hommes des pieds à la tête.
Ils avaient tous les deux des vêtements assez chères, violets et une sorte de cape noire qu’ils relevaient dans leurs dos. Ils avaient des cheveux bruns et une barbe. Chacun tenaient une canne dans la main me dévisageaient avec leurs yeux marrons.
-Je me présente Ludovico Lazaro. J’ai était envoyé par le maître de Fett pour marchander votre collaboration avec notre ordre, dis-je en saluant mes hôtes.
-Je suis Alexey Von Roffen, dit l’un des deux hommes, et voici mon frère jumeau. Silevan Von Roffen.
-Veuillez m’excuser mes vu vos habits je vais avoir du mal à vous distinguer.
-La ressemblance de nos habits permet d’embrouiller légèrement nos ennemis. Mais pour l’instant il faudrait déjà savoir qui ils sont, lança Alexey sans la moindre émotion.
-Très bien. Assoyons-nous pour discuter, proposais-je désignant la table.
On prit place autour du bureau en bois. Moi d’un côté et les Von Roffen de l’autre.
-Quelles genre de garanties souhaitaient vous pour nous rejoindre ? demandais-je.
-Et bien déjà nous voulons votre protection contre les Templier, répondit Alexey en sortant un cigare.
-Cela va de soit, je suppose que vous voulez également un soutient financier.
-Bien sûre. Nous voulons au moins 1000 franc par mois, dit Silevan.
-Un prit des plus raisonnables. Autre chose ?
-Oui. Comme vous vous en êtes surement rendu compte nous vendons principalement des armes. Nous voudrions donc que les assassins nous apportent un atout qui nous placerait bien devant la concurrence, dit Alexey en fixant ma lame secrète.
-Jamais, au grand jamais vous n’aurez ça, dis-je en le mettant au défi de me le redemander.
-Très bien. Il n’empêche que si vous voulez notre collaboration, il va vous falloir trouver une arme assez rare.
-Rassurez vous mon maître a tout prévu, dis-je en sortant une lame de ma veste.
-Qu’es donc ? demanda Silevan fasciné.
-Un kopesh. Une arme utilisé en Egypte il y a bien longtemps par la garde personnel du pharaon. Si vous nous rejoignez on vous en fournira autant que vous en voulez.
-Marchez conclu, dit Alexey en se levant et me tendant sa main.
-Ce fut un plaisir de collaborer avec vous, dis-je en la serrant avant de me retourner vers la porte.
Et la ce fut le choc. Derrière la grande baie vitrée qui permettait de voir l’extérieur, on voyait très nettement quatre personnes armées de pistolets. Les quatre étaient habillés en civils. L’un en docteur, un deuxième en noble, un troisième en mendiant et la quatrième en courtisane. Le seul point commun entre les quatre était leur regard déterminé et leurs pistolets pointés vers nous.
-A terre ! criais-je.
Les deux frères Von Roffen obéirent sans broncher. Ils renversèrent le bureau pour faire barrage et se terrèrent derrière. Je sautai moi aussi pour les rejoindre une seconde avant qu’une dizaine de coup de feu ne détruisent la vitre. L’épaisseur du bureau nous sauva de justesse mais les quatre Templier entrèrent dans la pièce. Sans réfléchir je saisis le pistolet à ma ceinture puis tiré à plusieurs reprises sur eux avant de replonger derrière le bureau. J’avais surement touché l’un d’entre eux car j’entendis un cri.
-Espèce d’enfoiré, jura-t-il.
-Ramenez le bureau vers la porte. Je vous couvre, dis-je à mes alliés.
Une nouvelle salve ennemie se fit entendre mais aucune balle ne nous toucha. Les deux frères ramenez doucement le bureau vers la porte. J’attendis trois secondes puis tirais une nouvelle fois. Aucun cris mais ça nous permettait de gagner du temps. Au bout de trois salves de ma part on finit enfin par atteindre la porte. On entra vite avant de refermer la porte derrière nous.
-Es ce qu’il y a une sorti de secours ? demandais-je en m’écartant de la porte.
-Oui suivez nous, lança Silevan en prenant ses jambes à son cou.
Je pris quand même le temps de placer une bombe de proximité sur la porte avant de les suivre. Ils m’emmenèrent dans un dédale de couloirs dans lesquelles étaient entreposées des caisses. On finit enfin par sortir. 5 secondes après une grande explosion se fit entendre.
-Qu’es ce que c’était ? demanda Alexey en reprenant son souffle.
-Un petit cadeau de ma part, dis-je. Bien je pense qu’on peut ajouter vous trouver une nouvelle boutique. Sur ceux messieurs j’ai été ravi de cette négociation, mais je dois rentrer chez moi séance tenant, dis-je en m’éclipsant pendant que les Von Roffen restaient abasourdi en voyant la fumée qui s’échappait par la porte.
MISSION ACCOMPLIE
soit neuf ans avant la rencontre Lazaro/Lenski 
