Ah ok, je faisais le calcul et je me disais que Han paraissait un peu trop "adulte" alors qu'il devrait avoir genre 8 ans si ils avaient sceller Gobi quand il était très jeune
Certes, mais en général, les Jinchuuriki deviennent soit des abrutis qui peuvent etre copains avec le monde entier (ex. de Naruto et Bee) , soit des misanthropes qu'une vie de haine et de mépris a changé en adultes avant l'heure (voir Gaara ou Utakata).
Han tomberait plutôt dans la deuxième catégorie, un garçon trop mature pour son âge du fait de toutes les désillusions liées à sa nature.
Pendant l'incident Kyubi, Itachi devait avoir 15ans.
Si tu dis que la partie II se déroule 3 ans avant l'incident, ça veut dire qu'à ce moment Itachi avait 12ans (ce qui est cohérent car à cet age itachi a pu etre traumatisé facilement).
Deidara est un peu plus jeun que Itachi donc ouep Deidara a bien 10ans ou quelque chose comme ça ^^
Pas mal cette suite, j'aime assez l'idée de mettre deidera dans l'histoire
Et c'est moi qui y ai pensé en +
Monstre, homme, quelle différence? Partie II : Le vide, la masquée et le démon
[Chapitre 3 : larmes des dunes]
Han, Kosho et Akiza étaient enfin de retour au repaire, dans ce village abandonné du Pays de la Pluie. D'après les hommes laissés derrière pour garder la place, personne ne s'en était approché. Tous les membres du groupe d'assaut étaient satisfaits. C'était une victoire de plus; ils avaient annihilé toute une formation d'éclaireurs sans perdre un seul homme.
Chacun partit donc de son côté afin de prendre un repos bien mérité.
Kosho choisit de se porter volontaire pour monter la garde à l'extérieur du village. C'est le petit Deidara qui se porta volontaire pour l'accompagner. Ils montèrent donc au sommet de la plus haute maison du village, et s'assirent tranquillement, afin de surveiller les alentours.
Au bout d'un moment, Kosho mit une petite claque dans le dos de Deidara, et lui dit :
- Tu sais, je suis d'accord avec ce que disait le Jonin, cette explosion était vraiment du bon boulot ! A toi tout seul, t'as tué ce ninja de Konoha, bravo !
Le visage de Deidara se fendit d'un grand sourire presque enfantin, et il lui dit :
- Oui, il m'a même dit qu'il avait trouvé cette explosion artistique !
- Oh, vraiment ?
- Oui ! Je trouve ça génial, non ? Voir quelque chose d'instantané, d'aussi marquant et brutal qu'une explosion, comme de l'art ! Je n'y avais jamais pensé avant !
Kosho s'assit plus confortablement, et lui dit avec un sourire :
- Je commence à me dire que ce serait une bonne idée. Vois donc ton Bakûton comme de l'art, renforce-le grâce à cette motivation, et les esprits resteront marqués par cet art-là.
Soudain, l'oeil de Kosho fut attiré par un petit éclat de lumière, à l'est. Ca ressemblait au reflet d'un bout de métal. Il se renfrogna, et dit à Deidara :
- On dirait que tu vas pouvoir faire de l'art plus tôt que prévu. On a un visiteur.
Deidara hocha la tête, et suivit Kosho. Les deux descendirent doucement de la maison, et sortirent du village par l'entrée sud. Ils tâchèrent de contourner la zone où Kosho avait entraperçu la brillance, et commencèrent à se déplacer discrètement.
Devant eux, à quelques cinquante mètres, au milieu de ruines éparses, se trouvait un immense shinobi portant un gilet de guerre. Il portait sur sa tête un bandeau marqué du symbole de Suna. Le reflet que Kosho avait remarqué tout à l'heure provenait d'un grand faucheur, qui reposait dans son dos.
Kosho se coucha à terre, pour éviter d'être aperçu, et chuchota au petit Deidara juste à côté de lui :
- Il va falloir le distraire avec ton Bakûton; vu sa carrure, il est excellent au taïjutsu; je devrai donc y aller aux illusions ou au ninjutsu.
Le garçon hocha la tête, et composa des mudras. Mais à ce moment-là, le faucheur se planta à quelques centimètres de son visage, et lui arracha un glapissement.
- Hun , grogna le ninja de Suna. J'étais sur qu'une petite larve était venue fouiner près d'ici.
Kosho bondit alors en avant et lui décocha un puissant coup de pied en pleine mâchoire. Le ninja cracha, puis se remit le cou en place, l'air de rien. "Quoi?" pensa Kosho. "Je le savais solide, mais à ce point? Ah, mais à quoi je pensais, je suis pas Han!"
Le ninja fonça sur lui, et l'attrapa par un bras, avant de le faire valdinguer. Une explosion obligea alors le ninja à reculer. Deidara s'était relevé, et avait terminé sa série de mudras, quoique toujours un peu tremblant.
- Whooo, mais c'est qu'il sait jouer, le petit, nargua le ninja de Suna. Mais tu devrais travailler tes explosions, c'est un peu ... minable.
Il réempoigna alors son faucheur, et fonça vers Deidara.
Kosho composa des mudras et prépara une technique Fûton, mais à ce moment-là Deidara exécuta également des signes de main, s'apprêtant à utiliser à nouveau son Bakûton.
- Fûton ! Shinkûha !
La vague de Fûton partit au moment où Deidara déclencha son explosion, et l'amplifia au point de la faire ressembler à une grande onde explosive qui atteint le ninja de plein fouet et l'envoya valdinguer en hurlant. Deidara regarda fixement le Bakûton amélioré, et murmura :
- ... C'est ... de l'art !
Kosho sauta immédiatement aux côtés du ninja à terre, et utilisa aussitôt un Genjutsu sur lui.
Quelques instants plus tard à peine, le ninja gisait, la bave coulant de sa bouche, et totalement incapable de réagir. Kosho frotta ses mains l'une contre l'autre, et sourit.
- Bon, c'était très bien tout ça, mais ... qu'est-ce qu'il y a ?
Deidara tirait sa manche avec insistance, tout en pointant du doigt l'est. Kosho regarda, et lâcha un "Par le Rikûdo ...", tandis que le ciel était brusquement obstrué par une chose à laquelle il ne se serait jamais attendu.
- Tu sais, Han, ça fait longtemps qu'on se connait, pas vrai ?
- Oui, au moins trois ans maintenant. Mais pourquoi tu me demandes ça, Akiza ?
Ils étaient tous les deux assis dans un sofa, un des seuls meubles à peu près utilisables dans cette maison. Han s'était débarrassé de son armure, portant des vêtements ordinaires; Akiza, quant à elle, avait simplement retiré son gilet de combat. Elle était presque collée contre lui.
- Je repense à ce que nous nous étions dits la première fois que nous nous sommes rencontrés, dit Akiza. Tu te rappelles ?
- Tu ... m'avais dit que je n'avais pas l'air d'être quelqu'un de mauvais, seulement que ... j'avais l'air malchanceux dans la vie.
Akiza eut un petit rire, et prit à nouveau son bras avec affection.
- C'est exactement ce à quoi je pensais. Mais maintenant que j'y repense, y crois-tu toujours ?
- Je ne sais pas, Akiza, répondit Han en soupirant. J'ai toujours ce sentiment que, ... tout le monde ne me veut que du mal, que le village entier me méprise et me hait. Me néglige. Mais ... j'ai trouvé trois personnes en qui je pourrais bien faire confiance, finalement.
- Trois ? demanda Akiza en souriant.
- Ryû-sensei, d'abord. OK, il est ... un peu spécial, et je dois avouer que sa manie de surgir depuis les murs m'agace moi aussi. (les deux rirent ensemble). Mais il m'a appris ce dont j'avais besoin, et d'élève à sensei, je pense qu'il m'aime bien, malgré ce que je suis.
- Oui, il veille sur toi, tu sais.
- Ouais. Kosho, eh bien ... il est plutôt clair dans son attitude. Il ne fera jamais rien, ni ne dira quoi que ce soit qui pourrait laisser croire à la moindre amitié de sa part envers moi. Mais nous avons tout de même un certain lien. Même si il me méprise lui aussi, il ... il me respecte, on va dire.
- Je pense que c'est parce que depuis qu'il te connait, il a vu que tu n'utilisais le pouvoir de ... de cette chose que dans le but de m'aider. Et je crois qu'il t'est reconnaissant pour ça, mais il ne veut pas réellement l'admettre. D'où cette forme de respect formel qu'il a pour toi.
Han hocha la tête, puis dit :
- Et puis, il y a toi.
Akiza se rapprocha encore un peu de lui, souriant toujours.
- Oui, dit-elle. Tu as passé ton temps, depuis qu'on s'est rencontré, à veiller sur moi et à me protéger. C'est parce que ... tu es vraiment quelqu'un de bien, Han ...
Elle se rapprocha encore. Han sourit à son tour, et pencha la tête vers elle. Ses yeux se fermèrent légèrement, il prit sa main dans la sienne.
Un grand bruit les interrompit soudain. Les deux sursautèrent, et regardèrent autour d'eux. Han vit alors une grande masse sombre obscurcir le ciel à l'est. Les deux montèrent alors sur le toit, au sommet de la maison, et regardèrent avec stupéfaction une sorte d'immense raz-de-marée bizarre qui se déchaînait à environ 30 kilomètres
" Quoi? se dit Han. Du ... du sable? Mais qu'est-ce qui se passe, là-bas ?"
Youpi!!! vivement la suite!
vraiment bonne cette sweet, vivement la prochaine
toujours aussi bon
Et cette fic mérite vraiment plus de lecteurs
Toujours aussi superbe (se répète ) quand la suite ?
La suite, normalement dimanche soir (je peux pas rédiger samedi, j'ai une vie, quand même )
D'accord , bah je suis presser en tout cas. ^^
génial regarde tes mp avant d'écrire la suite
Thanator regarde ta boite mail !
J'ai hate de voir la suite...prend ton temps
Monstre, homme, quelle différence? Partie II : Le vide, la masquée et le démon
[Chapitre 4: Démon des montagnes, démon du désert ... (fragment 1) ]
- Que ... Qu'est-ce que c'est que ça ? demanda Deidara, la voix tremblant légèrement, tandis qu'une énorme masse de sable se soulevait et s'écrasait sur quelqu'un ou quelque chose, à un peu moins de 30 kilomètres. Kosho plissa les yeux, et prit une grande inspiration.
- Quoi qu'il se passe là-bas, c'est très, très dangereux. Deidara, retourne au camp, tu ne dois pas courir un tel risque.
Deidara acquiesça, et s'apprêtait à partir, lorsque Kosho l'appela à nouveau:
- Dis à tout le monde qu'ils doivent se tenir prêts quoi qu'il arrive; y compris Akiza et Han. Non, en fait non, pour eux deux, dis-leur de venir avec moi. Mais tous les autres doivent rester; pas besoin que toute l'unité d'assaut coure un tel risque.
Deidara hocha encore la tête, avala sa salive, et repartit en courant vers le village en ruine.
Dépêchez-vous, les gars, pensa Kosho. Quelle que soit la chose qui s'approche, c'est gros.
-Quoi ?
Le jônin du groupe d'assaut écoutait avec stupéfaction ce que disait Deidara. Tout le monde était réuni dans une large pièce de la plus grande maison du village qui servait de camp aux membres du groupe. Han et Akiza écoutaient également les paroles du jeune prodige du Bakûton.
- Et il veut que seuls Akiza et Han y aillent ?
- C'est compréhensible, dit Akiza. Je suis la ninja sensorielle du groupe, je serai utile pour savoir ce qui se passe, là-bas. Et Han reste le plus puissant ninja de toute l'unité. De plus, il faut rester en nombre réduit, pour éviter d'attirer l'attention.
Le jônin finit par hocher la tête, et dit :
- Ok, dans ce cas, allez-y tout de suite. Mais ne vous mettez pas inutilement en danger. Et je veux un rapport détaillé à votre retour. On restera sur le qui-vive, au cas où.
Han et Akiza s'inclinèrent, puis bondirent vers la sortie du village.
Ils ne tardèrent pas à rejoindre Kosho, à un kilomètre du village; celui-ci se décontracta un peu en les voyant arriver, et leur dit :
- Bon, allons-y.
Les trois compagnons de l'équipe 5 foncèrent alors vers l'Est, et vers le sable qui continuait de se déchaîner. Alors qu'ils couraient, Akiza utilisa ses capacités de détection, et sursauta.
- Tu as senti quelque chose, Akiza ? Demanda Han.
- Oui, j'ai senti ... quatre puissants chakras devant nous, dont deux vraiment énormes!
Ce qu'elle ne leur dit pas, cependant, c'est que l'un des deux chakras particulièrement imposants qu'elle avait senti ressemblait étrangement à celui de Han.
Ils arrivèrent dans une large plaine vide de toute dénivellation, végétation ou habitation. Là, quatre silhouettes se tournèrent vers eux, portant les traditionnels gilets de guerre de Suna.
- Oh, dit l'un d'eux. Voilà maintenant que c'est les toutous d'Iwa qui viennent nous chercher des poux.
C'était un jeune homme de très haute taille, avec deux marques pointues rouges sur le côté droit du visage, et portant un turban qui masquait tout le côté gauche.
Le deuxième était un homme aux cheveux auburn, avec une expression austère, des yeux sombres et portant de simples vêtements noirs.
Le troisième avait de longs cheveux noirs, rabattus sur le côté gauche de sa tête, et le côté gauche presque complètement rasé. Il avait de grands cernes noirs autour de ses yeux, et respirait littéralement le danger.
Le quatrième portait un turban masquant entièrement son visage, avec juste deux trous pour les yeux; ce qui le caractérisait le plus était la marionnette recouverte de tissus gris qui était reliée à ses mains par des fils de chakra.
-Puisque vous ne repartirez pas d'ici, permettez-nous de nous présenter, continua le premier homme, afin que vous sachiez qui vont vous tuer. Mon nom est Baki.
- Je suis Shenkam du Sable, dit l'homme à la moitié du crâne rasé.
Les deux autres ne dit rien, mais Kosho crut voir quelque chose scintiller dans la main de l'homme aux cernes. De l'or ?
- Han, chuchota Akiza. Fais attention. Celui qui s'appelle Shenkam, et l'homme aux cernes; ce sont eux qui ont ce chakra démesuré.
- Ok, lui répondit Han sur le même ton. Alors on s'occupe en priorité du gars aux cernes.
D'un coup, le dénommé Baki se retrouva devant Akiza. Celle-ci ouvrit grand les yeux. "Quelle vitesse!" Elle dégaina son katana juste à temps pour contrer deux kunai. Baki était fort, elle était en train de céder. Elle décocha un coup de pied en plein visage, et le repoussa; celui-ci sort un éventail de son dos, et concentra son chakra. Akiza se prépara en serrant les dents.
- Fûton : Kamaitachi , la lame du vent !
Une puissante attaque de Fûton déferla vers Akiza, qui réussit à esquiver le souffle, mais récolta cependant quelques égratignures. Baki sembla ranger son éventail pour reprendre ses armes, et Akiza saisit l'occasion.
Elle jeta des kunai explosifs vers Baki, qui ressortit son éventail apparemment en catastrophe et utilisa un mur de vent pour éparpiller les kunai.
"Je dois absolument me débarrasser de cet éventail, pensa Akiza. Sinon, il pourra m'abattre sans problèmes à distance."
Elle essuya une de ses éraflures, de laquelle coulait un peu de sang, et plaqua sa main au sol.
- Kuchiyose no jutsu !
Quatre hiboux grand ducs émergèrent d'un nuage de fumée, et foncèrent vers Baki. Avant que celui-ci ne puisse réagir, les hiboux lui arrachèrent littéralement l'éventail des mains et l'emportèrent au loin. Akiza ressortit son katana, et se jeta vers Baki; mais à ce moment-là elle le sentit rassembler une grande partie de son chakra. Elle entendit comme dans un brouillard les mots :
- Fûton. Kaze no Yaiba.
Le katana tomba à terre, la lame en deux morceaux. Akiza ouvra grand les yeux d'étonnement, et tomba à genoux, les mains crispées sur une plaie à son ventre.
Baki eut un sourire, et lui montra sa main, prolongée par une petite lame de chakra.
- Une arme d'acier, comme la tienne, ne peut rien contre une lame de vent.
Akiza sentit la douleur lui percer littéralement le ventre, et serra les dents. Elle s'appuya sur ses bras, et se remit debout, tentant de rejoindre ses amis. Une ombre surgit devant elle. Elle leva les yeux, et vit à nouveau le visage de Baki, qui dit en souriant :
- Un otage, ça peut toujours servir.
Et il mobilisa à nouveau son chakra, avant de crier :
- Meno Shibari, immobilisation par la toile !
Akiza fut entièrement recouverte de tissu, et elle perdit conscience. La dernière chose qu'elle sentit fut l'apposition d'un parchemin de sceau sur les bandelettes, avant de sombrer pour de bon.
- AKIZAAA !
Kosho et Han rompirent alors le combat avec l'homme aux cernes noirs, et se précipitèrent vers Baki, mais Shenkam, l'homme aux cernes et le marionnettiste s'interposèrent tous les trois. Kosho eut une expression enragée, et gronda à Han :
- Pas de pitié.
- Ouais.
L'homme à la marionnette envoya celle-ci vers les deux chûnin d'Iwa, et elle déploya tout un arsenal de lames et de piques autour de son corps.
Kosho composa quelques mudras, puis joignit les mains avant de crier :
- Fûton ! Shinkûha !
La vague de vide balaya littéralement la marionnette et son marionnettiste. Ils entendirent un cri horrible au moment où le marionnettiste tomba au sol et lorsque sa propre marionnette, toujours bardée de lames, tomba sur lui, le transperçant en plusieurs points du corps.
- Hmm, dit Kosho en arborant un sourire purement démoniaque. Et un de moins.
oh yes oh yes oh yes oh yes oh yes
C'est exactement ça ! En plus tu as même gardé le titre !
Le marionnettiste, l'apparence que tu lui a donné est géniale, pareil pour l'hôte de Shukaku qui a l'air menaçant ! Et son nom est bien, je pense que Shenka aurai été mieux mais bon, Shenkam rend très bien aussi (et ça fait plus nom du désert) !
Et c'est cool que le père de Gaara ne dise pas son nom, tu ne veux pas donner de fausse infos, c'est génial !
Bref ce chapitre, est GENIAL !!
J'ai hate de voir le fragment 2, mais si je sais ce q'uil va se passer
En fait, pour l'apparence de l'Hôte, je me suis inspiré de la coupe de Skrillex (pseudo-kikoo spotted )
Ouais c'est aussi à lui que j'ai pensé !
MAis je deteste ce type et ses bruits
superbe cette sweet , jamais je ne pourrais me lasser de cette fic'
sweet geniale efectivement
je sens le dechainement de han arriver