(Kébab Est-ce que NIva est mort ? Si oui , quelle est son rôle ? )
Trés bon Rp en tout cas
Il suffit de le lire en entier pour comprendre.
Ah ce que j'ai compris oui il est vivant
(J'avait raison ! Il est en vie !)
J'ai beaucoup aimé la comparaison que tu fais, en nous designant comme un jeu d'échecs
La fin ne colle pas du tout avec mon perso, mais c'est un très bon RP.
En fait pour ceux que ça intéresse je me suis amusé à faire un petit test, c'est sans doute con de ma part je le conçois, en faisant en sorte de savoir qui lit seulement le dernier paragraphe lors des RP.
Bref, j'arrête maintenant.
En effet, c'est très con. Surtout que tu te fiches de savoir qui lit ou pas, l'essentiel c'est de savoir que certains lisent.
Il me semble clair après cette tentative de meurtre envers ma personne par les Zoro que je suis innocent.
Déjà, je tiens à remercier le Branette d'avoir utilisé son pouvoir pour me sauver moi, je vais tâcher de ne pas décevoir l'espoir qu'il met en ma personne.
Et donc, il va falloir voter. Je ne donne pas encore mon vote néanmoins, je préfère investiguer un peu.
(On connaît deux innos)
Il nous reste une lumière au fond du tunnel.
La mort de…
Ventus (Rock) marchait seul dans la rue, une bouteille de rhum dans la main. Après la mort de Charmy il avait sombré dans l’alcool rapidement et bêtement. Il ne savait même plus dans quel monde il vivait.
« Monsieur Ventus, monsieur Ventus ! lui cria une voix dans son dos. »
Personne pourtant.
« Vous ne pouvez pas me voir mais sachez que je suis-là si vous avez besoin de mon aide. Je m’appelle Emie, les Zoros ont tué mon papa l’autre jour, ça me rend triste. »
Ventus regarda la ruelle vide, sa bouteille, la ruelle… Décidément l’alcool n’était pas très bon pour lui et il décida d’aller plus loin pour vomir un grand coup, laissant Emie seul derrière lui.
« Crooooooaaa ! Petite !
- Encore toi l’oiseau de malheur. Ne compte pas voter contre Kaubalt ce soir, il a déserté.
- Il a été remplacé, tu te souviens ?
- Je note donc un vote contre le type à l’ukulele…
- Non, tu ne notes rien du tout. J’en ai marre d’être prit pour un guignol et donc je vote blanc cette nuit. Ce n’est provisoire. »
Alors l’oiseau décolla et Emie vit son visage dans la lumière de la Lune. Ce citoyen ne savait plus où donner de la tête lui aussi ou avait-il réellement un but ?
Elle s’en moquait pour l’instant, ce n’était pas ce qui la préoccupait véritablement. Au loin, le géant Togekiss se posa sur une maison et commença à dormir.
« J’espère que tu t’es pas trompé toi… J’espère… »
Il s’était trompé.
***
S’il y avait bien une personne qui n’était pas tranquille cette nuit, c’était bien le maire de la ville. Niva Rea jouait comme à son habitude aux échecs et calculait tous les coups que pouvaient faire ses ennemis.
« Le fou se déplace et prend le cavalier… Si je suis le roi et que la reine se déplace ici, elle pourra me prendre… Mais si je me mets dans leurs têtes… »
Si Niva Rea calculait tout depuis le début c’est qu’il était innocent. Il avait réussi à arriver à la tête de cette ville devant les Zoroark et avait pris le pouvoir. Sur ce coup il était heureux, il les avait bien arnaqués.
« Mais avec Charmy en moins on perd le cavalier, celui qui peut facilement arriver en ligne ennemi et prendre le roi. Le Togepi c’est une tour… Ce qui fait que celui qui pourrait être attaqué maintenant par la reine en face c’est… »
LE ROI.
Le mot résonna dans sa tête comme un marteau de forge. Si c’était vrai alors les monstres n’allaient pas tarder à venir. Peut-être cette nuit ou la nuit d’après… Il n’en savait rien et n’avait pas envie de le savoir.
Sauf qu’on tapait déjà à sa porte.
« Monsieur Niva, nous sommes tes assassins. »
Non, pas cette nuit.
Niva Rea poussa une chaise contre la poignée de la porte, prit le fou sur l’échiquier et monta les marches de sa maison aussi vite que possible. Il y avait une trappa plus haut qui pouvait lui permettre de s’enfuir, un passage secret qu’il pourrait emprunter.
En bas, les coups contre la porte s’intensifier toujours et il l’entendit craquer un instant. Elle n’allait pas tarder à céder et les monstres monteraient à l’étage pour le tuer. Il fallait qu’il s’enfuie rapidement.
« Le roi c’est moi, le fou c’est lui. EUREKA ! C’est lui le fou, pourquoi n’y ai-je pas pensé avant ? »
Il se frappa le front du plat de la main alors que la porte venait d’éclater plus bas dans la maison.
« Monsieur Niva, devine mon nom. » Le Zoroark, le Papa, riait à n’en plus pouvoir.
« Je monte te faire un bisous ? Te lire une histoire ? »
Mais Niva Rea n’avait pas envie de mourir de cette façon et, pendant que le Zoroark montait les marches derrière lui, il saisit sa grand-mère qui dormait à l’étage pas les avant-bras et la jeta dans les escaliers pour le ralentir. Malheureusement le masque de l’assassin ne tomba pas et le Zoroark lui adressa quelques mots : « Paye tes références de films d’horreur Niva ! »
Niva s’en fichait de toute manière car il ne voulait pas mourir (qui le voudrait ?). Il avait décidé que sa mort ne serait pas pour aujourd’hui et claqua la porte de sa chambre dans son dos. Poussant le lit alors que les Zoroarks frappaient contre le mur, il découvrit une trappe dans laquelle il s’engouffra.
Il la referma derrière lui, se plongeant dans le noir.
« Mince, ma lampe-torche. »
Puis il se rendit compte que ce n’était pas grave et que la seule chose à faire était de courir le long de ce tunnel. Et il courut.
« Le fou et la reine sont dans mon dos, hors de ma portée. Je suis le roi et je cours, toujours plus vite pour me mettre à l’abri derrière les miens. Il suffira d’aller chez Ludi, je le sais aussi innocent que moi et… »
LES TROIS PIONS.
Il avait oublié de calculer le reste du jeu et des yeux s’allumaient déjà autour de lui. Il avait oublié les bébés Zoruas.
***
La maman Zoroark serra fort son œuf contre elle en sortant de la maison du maire. Elle ne l’avait pas abandonné cette fois encore et pourtant Nivarea était bel et bien mort.
« Pas ce soir mon bébé, pas ce soir. Tu nous rejoindras un peu plus tard, ne t’en fais pas. »
Et toute la troupe disparut au bout de la ruelle, les babines des Zoruas encore tâchées par le sang de Niva.
***
Le cadavre de Niva Rea restait au fond du tunnel, déchiré de toute part mais cependant bien moins abîmé qu’avant. Ses plaies semblaient comme se refermer lentement sur sa peau et il ne présentait plus la moindre marque de coups.
Le sourire édenté de la poupée le regardait de haut et il voulut la remercier d’un signe de tête sans y parvenir. Elle continua de lui faire boire la potion qu’elle avait préparée en un seul exemplaire et l’aida à renaître.
Sa gorge reprit de sa couleur, la griffure qui la parcourait auparavant s’étant refermé et son cœur se remit à battre avec de plus en plus de force. Il inspira profondément.
« La reine… Elle, elle… »
Il s’évanouit.
***
Quand les citoyens se précipitèrent dans les rues le matin, ils virent qu’il manquait quelqu’un à l’appel et pas des moindres : le maire de la ville n’était plus là.
Ludi commença à verser quelques larmes avant de monter sur l’estrade et de parler à la place de Niva Rea ce matin.
« Mes amis, mes frères. Je suis allé dans la maison du maire ce matin et j’ai retrouvé du sang dans sa maison, aucun signe de son cadavre à part un doigt qui traînait sur le sol. Je suis aussi attristé que vous par cette nouvelle. J’ai le regret de vous annoncer que nous venons de perdre le maire de la ville. »
***
Niva ressortit du tunnel quelques heures plus tard, éreinté. Il se souvenait clairement que tout s’était soudain allumé, qu’il était mort puis revenu à la vie.
Sur la place, tout le village était rassemblé autour de Ludi qui leur adressait quelques mots : »Non Niva n’est pas dans mon corps.
- Monsieur Ludi, on vous demanda si il est mort ! lui cria quelqu’un.
- Niva ? Mordre ? Voyons jeune homme tu me fais un calembour !
- Espèce de zouave… »
Ludi commença à rougir et il brandit le poing. « Moi ? Un zouave ? Tu vas voir qui fait le zouave. Et Nvia, il faisait le zouave peut-être. Tu crois que… »
Il s’interrompit et regarda avancer vers lui le maire de la ville, les vêtements tâchés de son propre sang. Tout le monde se mura dans le silence et ce dernier monta sur l’estrade.
« Mes concitoyens, les Zoroarks ont fait de moi leur cible cette nuit. Néanmoins je ne suis pas mort, une poupée m’a rendu la vie. Je jure devant vous que nous parviendrons à tous les tuer et que ce soir, sur cette potence se tiendra l’une de ces bêtes. »
Tu n'étais pas obligé de refaire un Rp, meme si celui-là est plus clair l'autre était trés bien
Merci pour ce dernier paragraphe !
Mais j'avais compris sans !
Il est ressucité
Pas de mort ? Excellent.
En tout cas, c'est excellent et tu as corrigé la petite incohérence du personnage de Ludi'.
Ouais j'avais oublié le personnage de Ludi pour le coup...
Super RP