Il a fait quatre textes, je note tout d'un coup. 
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Sujet :
[RP] L'héritage des Ombres
Alca : Ah okay, j'ai cru que tu le notais sur un chapitre.
Je me suis dit que t'avais pété un câble
Blibo 
Pas grave, c'est des choses qui arrivent. /
Mon chap' est prêt dans une ou deux heures. 
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ThePoloboss Montres-moi où c'est marqué qu'il faut faire comme ça, s'il te plaît. 
Nulpart, mais c'est logique ... Moi j'avais fait une mission, c'était trop long j'ai du poster en plusieurs fois, j'ai eu une seul récompense...
ThePoloboss Montres-moi ton texte. Et puis, c'est peut-être que ton texte était moyen ou qu'il n'était pas à faire en plusieurs parties. Et excuses-moi, mais c'est Flamme qui a fait les règles, pas toi, donc comment peux-tu dire que c'est une règle logique ?
ThePoloboss Bah ça peut être une note globale, et Flamme m'a dit que je devais noter tout les textes. 
Désolé triple post
Donc il a bien aimé, et pourtant je n'ai que 300 XP...
ThePoloboss Bah c'est CTM qui te l'a donnée, la note de Nahtar, c'est moi qui l'ai donnée. Conclusion : on n'est pas pareil.
Donc mon correcteur est un mer** 
CTM non je le pense pas vraiment... 
Bon, je suis désolée des fautes
Le message en lui-même était court, écrit d'une écriture penchée et illisible auquel je ne parvins qu'à traduire « Emissaire... Indes... détruire... cargaison ».
Au dos, un bref plan qui représentait brièvement les alentours, quelques noms tracé comme les mêmes hiéroglyphes qu'au recto. J'envisageais de brûler le papier, puis m'apercevant que c'était uniquement grâce à lui que je m'orientais, je repoussais l'idée.
J'étais vaguement perdu dans la forêt. Les arbres se ressemblaient tous et l'humidité ambiante n'arrangeait rien. Le cheval que je montais était terrifié par Azir et manquait de peu de me faire tomber à chaque fois que le faucon piquait vers le sol pour chasser un nuisible. Je le soupçonnais presque de s'amuser à le terrifier ma monture.
Foutu canasson lâche et stupide.
Mon humeur maussade était surtout du au fait que j'étais un peu en retard sur le convoi. Ce dernier avait une demie journée d'avance sur moi.
Voyons les points positifs : cela m'avait permis de lancer de brèves mais fructueuse investigations. Une fois n'est pas coutume, la chance était de mon coté. Le convoie comptait plus sur sa discrétion. Il ne s'arrêtait pas dans les lieux habités et les rares gens qui l'avaient approché décrivaient à peine une dizaine d'hommes armés.
Je galopais, Azir planait a quelques mètres au dessus de moi. La journée avançait lentement et je retrouvais des pistes récentes : un feu de camp, des pas dans la boue, deux grandes traces caractéristiques des roues, à en juger de la profondeur, c'était évidemment celle d'un chariot.
Je quittais le chemin terreux, le feu de camp était encore tiède, je n'étais plus loin.
Le crépuscule pointait lorsque j'aperçus au loin la cible.
Soudain une masse noire se jeta au cou de ma monture, le cheval se cabra avec violence et je vie un sabot percuter l'ombre celle ci s'enfuit dans un glapissement pathétique.
« Des loups »
Or les loups ne chassent jamais seul...
Comme pour confirmer ce que se pensait, le cheval hénnit de douleur partie en saut de mouton m'envoyant au sol. Je n'eus pas le temps de jurer.
Mue par un reflex qui me sauva la vie, je roulais sur moi même. La mâchoire d'une bête me rata la gorge d'un cheveu.
D'un geste, je dégainais ma dague et je la plantais dans le poitrail du loup. Un gémissement chétif s'échappa de sa gueule et son regard se vôila.
Je n'eus pas le loisir de jauger la situation, un autre se jeta sur moi.
Plaquer au sol par son poids, je ne pouvais qu'admirer le spectacle de ma propre mort.
BOUM !
Détonation suivie d'une odeur de poudre caractéristiques d'un coup de feu.
Le corps du loup s'affaisse tandis que ses congénères s'enfuient.
Je sens juste une force me pousser vers l'avant, c'est un homme d'une quarantaine, rien qu'à son uniforme, je devine que nous sommes ennemis, c'est un soldat qui protège le convoie. Un instant, je me félicite de ne pas avoir utilisé la lame secrète.
[Mode femme fragile et stupide : On]
Pantelante, je me relève faiblement, m'appuyant sur mon bienfaiteur. Je scrute l'obscurité à la recherche de mon cheval. Sans surprise il a disparu.
Foutu canasson lâche et stupide.
« Ils sont partis ? » lançais je d'une voix tremblante
« Ils vont revenir » dit il, d'une voie monocorde
Je lance un regard dans la direction du cadavre, la balle s'est logé entre les deux yeux, quoi qu'il en soit, l'homme est un tireur d'élite.
« Calmez vous, vous êtes en état de choc »
Je tremble, halète, quelques larmes coulent. Bon, c'est pas très digne, mais cela à le mérite d'être crédible.
« Je vous ramène au camp »
Je boite, il s'en aperçoit et se rapproche pour me soutenir. Je profite de cette proximité pour jauger, il a une dague dans le retroussement de son manteau, une épée et un revolvers pendent à sa ceinture. En m'appuyant sur sa main, je sens qu'il a un couteau a lancé dans sa manche, ou du moins une arme. Difficilement identifiable dans ces conditions.
J'hésite, s'en débarrasser ou continuer le rôle ? Si je tente quelque chose, il sentira mon mouvement. Si je ne tente rien, je risque de ne pas contrôler la suite des événements.
Et puis zut, je n'avais jamais encore donné la mort, et cela ne changerait pas cette nuit. C'était cette certitude qui me poussait à continuer ma route
Mentalement, je préparais une histoire crédible à servir en cas d'interrogatoire, pour le reste, je faisais une confiance aveugle en mon sens de l'improvisation et en ma chance.
« Lorsque l'ombre t'est refusée, choisis la lumière puisqu'être visible est souvent le meilleur moyen de ne pas être vu »
Trop tard pour changer de direction je rejoignais la caravane arrêtée dans une clairière, une poignée d'homme m'encerclait. J'en comptais 14, dont celui qui dirigeait le convoie et un blessé et mon bienfaiteur,.
Après quelques explications de ce dernier dans une langue âpre et inconnue, je fus emmenée et assise près du feu. On me désarma, enfin, ils se contentèrent d’ôter mon poignard. Il me restait toujours la lame secrète, dont le mécanisme était dissimulé dans mon gant de fauconnerie et mes couteaux, caché dans la face intérieure de ma ceinture.
Il faut aussi préciser que pour des raisons pratiques j'imitais à la perfection le caractère de mon cheval, prenant des airs terrifiés voir déments, histoire que personne ne m'adresse la parole.
La plupart des soldats se contentaient de me regarder avec moquerie ou mépris, puis au fil des minutes retournaient vaquer a leurs occupations.
Je continuait mon rôle de pauvre femme malmené par le destin.
« Je sais pas comment vous remercier, je n'ai plus rien, et je ne connais même pas votre nom... »
Ma voix était plus calme, mais je continuais de laisser percer des pointes d'émotions.
« Je m'appelle Alec, lâchât il Alec Vernou et vous ? »
« Siam » répondis je
La discutions continua de façon stérile, je lui sortis mon « histoire » par pan. Quelques soldats écoutaient discrètement avec intérêt.
Moi, pauvre marchande ruinée qui partait en directions d'horizons nouveaux et féconds. Etc... Histoire caricaturale, mais si banale en ses jours sombres.
Intérieurement, je me bénis d'avoir choisi de porter exceptionnellement des vêtements de voyage et pas la tenue que les assassins portait généralement.
Puis, au bout de ce qui me semblait être une éternité je mimais la fatigue et fit semblant de m'assoupir. Je surpris la discution d'Alec -si tel était son vrai nom, avec un soldat : il demanda à ce que l'on me surveille particulièrement.
Puis il s'écoula des heures avant que tout le monde s’endorme.
Luttant contre la fatigue, je me glissais dans la nuit, deux gardes faisaient offices de sentinelles. Mieux, les deux hommes s'étaient séparés pour couvrir le maximum de champ. Problème : je me trouvais incapable de savoir si l'un ou l'autre regardait dans ma direction. En contre jour, je serais facilement repérable.
Doucement, je me saisis d'une pierre et la lançait en direction du chariot, a quelques mètres de là. Celle ci ricocha sur le bois du convoie. Les deux gardes réagirent dans un même mouvement qui trahissait une habitude.
Je me glissais à l'extérieur du cercle lumineux. Les hommes examinaient maintenant l'orée des bois, traquant les mouvements.
Ombre parmis les ombre, je rampais jusqu'à me retrouver sous le convoie. M'efforçant de ne pas frissonner au contact glacé de la boue. J'observais les pieds, consciente de ma relative invisibilité. J'attendis longtemps que d'autres personnes prennent la relève avant d'agir.
Profitant que le feu s'éteigne pour passer à l'attaque. Roulant sur moi même, je me relevais derrière le premier garde. Une simple clef de bras pour le rendre inconscient. Mais elle semblait s'éterniser, l'homme bougeait frénétiquement avant de finalement s'évanouir.
Alerté par le bruit, le second garde s'approcha silencieusement et tomba nez a nez avec moi.
Surpris, je ne lui laissais pas le temps d'agir, mon talon frappa le sternum, lui coupant la respiration et le pliant en deux.
Résistant à l'envie d'utiliser ma lame, je me contentais d'une simple pression sur le nerf de la gorge accompagnant délicatement la chute du second corps.
Je plaçais mon doit sur la jugulaire, à la recherche du pouls. C'est bon, les deux soldats étaient juste inconscients, j'avais tenu ma promesse de ne pas tuer.
Pour cette nuit.
Les chevaux du convois était attaché à l'autre bout de la clairière. Je pris tranquillement un bout de bois encore enflammé du feu de camp avec mille précautions pour ne réveiller personne. Je lançais le tison a l'intérieur de la caravane. Le feu se propageait vite, mais j'étais déjà bien loin lorsque tout le monde se réveilla.
Galopant sur le chemin, les vêtements boueux et par endroits arrachés, je souriais fièrement. Soudain, Azir apparut de nul part, le cheval fit une embarqué, manquant de me faire tomber.
Foutu canasson...
Ah... j'ai oublié de mettre la balise 
[Sud Ouest de la France, 1781]
Lenski 10 points, 1500 pièces, 2000XP. Putain au début ça mettait du temps à venir et c'était un peu le monde des bisounours avec un Loras jeune, insouciant, rêveur mais petit à petit cela devient intéressant. Tu as fait comme dans AC3 où on croyait qu'on contrôlait un Assassin mais enfaîte on contrôle un Templier et là les Assassins semblent être le mauvais côté. En plus maintenant on sait que c'est un Annefellows. Non là tu m'as un peu surpris sur la fin. Bravo. Bon par contre, des fautes d'oublis ou d'étourdissement par-ci par-là, des mots oubliés enfin voilà mais c'est plus un manque de relecture que de problème d'écriture. Je précise que j'ai noté tous ses textes.
Spitfire-XII Alors juste un petit problème au niveau de la date, Philippe IV est mort le 29 novembre 1314 des suites d'une mauvaise chute de cheval alors que dans ton texte se passe le 30 août 1314 et il est mort d'une flèche dans la poitrine. Ensuite c'est bien écrit et plaisant à lire. On n’éprouve pas de difficulté à le lire et ça se lit tout seul. Je pense que je vais te prendre comme élève car ton texte m'a plu et j'ai quelques-uns de tes anciens qui n’étaient pas mal non plus. Bon on passe à la partie des fautes sachant que je ne suis pas un CTM ou un destroyers, je suis moins intransigeant et sévère sur ce point-là mais je vais quand même relever celles que j'ai vu.
"le petit village de campagne ou les rêves" > Faute d'inattention surement mais c'est où.
"L'inconnu était vêtu d'un long manteau gris laminé qui couvrez la totalité de son corps, cachant ainsi sa véritable tenue." > Description, pas de présent mais de l'imparfait donc convrait.
"devant sa port en pleine nuit." > Faute d'inattention encore car le e de la porte a disparu.
"Je ne serait bientôt plus et je veut partir le cœur libéré.", "Je ne peut plus rien pour toi mon fils.", "Tu peut rester ici pour prier si tu le souhaites.", "je part le cœur léger." > La première et la deuxième personne à l'imparfait c'est -ais et non -ait qui correspond à la troisième personne du singulier donc "Je ne serais". Pareil c'est -x ou -s pour les deux première du singuliers et -t pour la troisième. Donc je peux, je veux, je pars. La prochaine fois fais attention à ce genre de faute.
"Il se signèrent" > Encore une faute d'inattention car c'est ils.
"les modeste vitraux" > Le s à modestes car il y a plusieurs vitraux donc cela s'accorde.
"Un chose qui marquerait à jamais le pauvre homme d'église." > Faute d'inattention encore une fois car c'est une chose.
"cette homme", "cette endroit pourra", "Cette homme fait partie d'une confrérie" > Cet homme, cette femme. Fais attention aux accords. Penses à remplacer dans ta tête par un ou une pour savoir si c'est du féminin ou du masculin.
"Je l'ais fait pour la mémoire de mes frères et par la main de Dieu." > Je l'ai fait.
"Les Mac Carthery venait" > Bon Dieu la conjugaison, ils sont plusieurs Mac Carthery donc venaient.
Donc en gros tu travailles sur la conjugaison et sur les déterminants pour savoir si c'est féminin ou masculin. 500 pièces d'or, 400 XP, 1 point.
Polo c'est la note de tout les textes réuni qui n'ont pas été corrigés. Pour toi CTM n'était pas encore sur des notes à donner car ils venaient de débuter donc peut-être tu as été noté en dessous de ce que valait vraiment le texte mais comme tu écris beaucoup on laisse les notes donnés car cela sera vite rattrapé. Ensuite il te corrige pratiquement après que le texte soit postés donc pas de textes en retard comparé à Nahtar qui avait quatre textes non corrigés.
Alca On arrondie à 2000 pièces et à 3000XP car ça risque de faire beaucoup et je pense baisser la limite des 1000XP à 800XP ou augmenter les rangs donc:
Rang 1: Recrue (Début)
Rang 2: Serviteur (1000 xp)
Rang 3: Assistant (1500 xp)
Rang 4: Militant (2000 xp)
Rang 5: Disciple (4000 xp)
Rang 6: Mercenaire (5000 xp)
Rang 7: Guerrier (7000 xp)
Rang 8: Vétéran (10 000 xp)
Rang 9: Assassin (15 000 xp)
Rang 10: Maître Assassin (20 000 xp) + toutes les capacités à 8
Rang 11: Grand Maître Assassin (30 000 xp) + toutes les capacités à 9
Rang 12: Chevaliers de l'Ordre des Assassins (40 000 xp) + toutes les capacités à 10
Au moins il faudra minimum 40 textes à 1000XP pour atteindre le grade le plus haut. Bon c'est pas définitif. Ensuite quand vous corrigerez plusieurs textes à la fois précisez-le pour éviter ce genre de désagrément. De plus j'aimerais bien que vous me mettez la note que vous avez donnez à un texte sur le récap':
http://rp-l-heritage-des-ombres.forumjv.com/1-105416-1169-1-0-1-0-recap.htm
Aikru Bon texte, pas grand chose à redire. Peut-être le "je vie" alors que c'est "je vis" car ce n'est pas pas le verbe vivre mais voir. Et aussi la prochaine fois évites, [Mode femme fragile et stupide : On] car cela n'a pas sa place dans un texte. Aussi étant flemmard je ne relèverais pas les fautes. 500 pièces d'or, 400 XP, 2 points.
Chocoassassin Accepté. Veux-tu une mission ou commencer par une anecdote? 
Injste
Histoire : Un historien fait des recherches sur l’histoire et semblerait avoir découvert des choses que les Templiers n’apprécient guère. Défendez l’historien contre toute tentative de représailles des Templier.
Bon elle est un peu banal mais je pense que ça ira pour commencer.
Polo > En quoi c'est injuste? :fp:
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[RP] L'héritage des Ombres