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Assassin's Creed IV : Black Flag

Sujet : [RP] L'héritage des Ombres
Lenski
Niveau 10
06 mars 2013 à 16:58:19

Nah : Le fait que jet posterait pas son texte le jour promis :content:

Jet : nan , c'est flemme qui veut pas bosser :hap: /

Al : what ? :hap:

ahpiti
Niveau 10
06 mars 2013 à 17:16:58

Re les gens !
Bon bah merci flamme quand même :-)

Je pense prend un mission pour me mettre dans le bain ! :peur:

Jet_lag
Niveau 10
06 mars 2013 à 17:46:16

Non lens, ça c'est alca :hap:
Moi moins je posté, plus le topic s'en porte mieu :o))

LordKreiss-18
Niveau 3
06 mars 2013 à 18:17:53
Bilbo1997__
Niveau 10
06 mars 2013 à 18:40:50

Maladie (partie 3) :

1250, France…

François de Ravin courait. Il transpirait abondamment à cause de sa forte corpulence. Malgré cela, il allait assez vite, et n’hésitait pas à sauter par-dessus les murets et les clôtures qui lui barraient le chemin.
Il courait car sa vie en dépendait.
Fenn Jalmar était à ses trousses.
Lucas Hermand, Benoit Michelet et Eudes Ryon n’étaient pas très haut placés dans l’Ordre. Ils n’étaient que de simples anciens brigands, convertis à l’idéologie des Templiers, rapidement formés à tuer et envoyés sur le terrain.
Ravin leur avait fait miroiter la possibilité de s’élever dans la hiérarchie en éliminant l’Assassin. Bien sûr, il avait l’intention de les faire tuer dès la mission terminée, en les empoisonnant ou en les faisant accuser de quelques crimes, face à la justice.
Ainsi, tout le mérite de la mort de Fenn lui serait revenu. Problème, François de Ravin ne doutait pas une seule seconde que Fenn aurait perdu son combat contre eux. A trois, ils auraient du ne lui laisser aucune chance.
Et pourtant, les cadavres des trois tueurs avaient été retrouvés dans une ruelle. Et celui qui poursuivait Ravin n’était pas un mort, lui. Il était bien vivant.
Le gros Templier enleva sa cape qui le gênait et la balança dans un fourré.
Cela faisait quelques minutes qu’il avait quitté la ville et qu’il courait maintenant dans la campagne. Il savait que s’il se retournait, il verrait une silhouette sombre portant une capuche en train de bondir de branche en branche, au sommet des arbres bordant le chemin.
Ravin avait souvent donné la mort. Mais jamais il ne s’était demandé ce qu’on ressentait quand on allait mourir. Maintenant, il savait.
Fenn estima qu’il était temps d’en finir.
Il aurait pu tuer le Templier une vingtaine de fois, déjà, depuis que la course-poursuite avait débutée. Mais il avait préféré attendre, voir sa proie s’inquiéter, comprendre qu’elle n’avait aucune chance, tenter quand même de s’échapper, ne pas parvenir à le distancer, paniquer, désespérer…
Fenn ne pouvait être qualifié de vengeur, car il n’y avait que très peu de cause dans le monde qui le touchaient.
La guerre, la famine, la misère, le meurtre, la folie religieuse. Il côtoyait tout cela depuis son enfance et y était devenu insensible.
Pourtant, la vision du petit vieillard décharné et couvert de pustule, s’appuyant difficilement sur une canne en bois et ne cachant même plus l’imminence de sa mort, dans la zone de quarantaine, avait réveillée quelque chose en Fenn.
Une sorte de colère.
Massacrer les trois sbires du Templiers, quelques heures plus tôt, ne l’avait pas défoulé. Au contraire.
L’Assassin bondit.
Il chuta et se rétablit au sol d’une roulade souple. François de Ravin, essoufflé, se retourna et tira un poignard recourbé de sa ceinture. Il commença à le faire passer de sa main droite à sa main gauche, de plus en plus vite, dans le but de déstabiliser son adversaire.
Une technique qu’on lui avait enseignée dès son entrée dans l’Ordre, à lui, François de Ravin, l’Artiste au Couteau, le surnom qu’il avait rapidement gagné au fil de ses missions.
Il était préparé. Il avait rarement eu affaire aux Assassins, mais chaque fois, il s’en était tiré. De justesse.
Fenn se redressa lentement et fit jaillir sa lame secrète de sa manche. La lumière de la lune se refléta sur le métal polie.
-Allez, viens. Ce ne sera pas long.
François de Ravin inspira et expira, comme le lui avait appris jadis son maître. L’As de Pique. Puis, il fit trois pas en avant. Un légèrement sur le côté, l’autre dans la direction opposé, et le dernier en avant, plus un saut qu’un pas.
Dans le même mouvement, il fit changer son poignard de main au dernier moment et l’abattit.
« Viser la carotide. Tuer en un coup. »
Mais Fenn avait compris le manège. Il pivota et bloqua la dague effilée du Templier grâce à sa lame secrète. Les deux hommes se repoussèrent et repartirent à l’attaque. Le tintement métallique des deux lames retentit.
Elles se croisèrent, rebondirent l’une contre l’autre, sifflèrent et répliquèrent de nouveau.
François de Ravin ne toucha que le vide. Fenn s’était collé à lui au dernier moment, laissant le poignard lui effleurer le dos, et avait enfoncé sa propre lame dans la graisse du Templier. Celui-ci hoqueta, car c’était la première fois qu’il avait vraiment mal.
Il se remémora les paroles de l’As de Pique.
« Si ton adversaire a réussit à te planter sa lame dans le corps, ne crois pas le combat fini. Tu vas mourir, mais emporte ton ennemi avec toi. Coince sa lame dans ton corps et contre-attaque, avant qu’il n’ait pu la retirer et s’éloigner de toi. »
François de Ravin leva son bras et l’abattit.
Fenn sentit l’acier déchirer sa tunique et le transpercer, juste au-dessus des côtes. Fort heureusement, la lame n’avait pas touchée les poumons. Néanmoins, elle était bien enfoncée. Jusqu’à la garde.
François de Ravin sourit malgré le filet de sang qui coulait déjà de sa lèvre.
Il fit tourner le couteau dans la plaie, et pivoter à 90°, l’enfonçant encore plus dans la chaire de l’Assassin. Fenn grogna et retira sa lame secrète avant de repousser le Templier.
Le gros homme tituba et s’écroula dans la boue. Fenn posa un genou à terre et retira le poignard avant de le jeter au loin. Puis, il porta sa main sous son aisselle et la porta à ses yeux. Elle dégoulinait de sang.
L’Assassin toussa et se leva, la main plaquée sur sa blessure pour empêcher le sang de couler à flot. En vain. Il voyait distinctement la traînée de sang qu’il laissait derrière lui en marchant. Mais il essaya de l’ignorer et se pencha au-dessus du Templier.
-Sale enfoiré.
-Chien d’Assassin.
-Ce n’est pas toi qui as mis le poison au point, n’est-ce pas ?
-Non… Ce n’est pas moi.
-Tu t’es contenté de suivre les ordres et de contaminer l’eau, avec le produit qu’on ta fourni.
Le Templier ricana.
-Qui ?! hurla Fenn. Qui a fait ça, et dans quel but ? Répond !
Le Templier se tourna sur le dos, de façon à voir l’Assassin.
-Tu es pitoyable, Fenn Jalmar. Vraiment pitoyable.
-Je vais te faire cracher ce que tu sais ! Tu m’entends ?! Je vais te faire souffrir, comme jamais tu n’as souffert !
-Tu es dans le faux. Tu ne vas faire souffrir personne. Tu vas simplement te vider de ton sang et mourir, derrière un buisson. Comme moi.
-Je ne te laisserais pas partir de cette manière… Oh, non.
-Je le savais. Mais cette affaire te dépasse. Tu n’as même pas idée de son ampleur.
Le Templier tira un couteau caché de sa botte. Fenn voulut faire un pas en arrière mais le coup ne lui était pas destiné. François de Ravin s’enfonça la lame dans la gorge, sans aucune hésitation. Fenn détourna les yeux et lança une insulte, dans l’air.
Puis, il regarda le Templier mourir.
Quand il fut sûr qu’il ne bougerait plus, Fenn se pencha en avant, saisit le Templier par les pieds et le tira dans les bois. Il s’agenouilla à ses côtés et entreprit de le fouiller. Tout ce qu’il trouva sur lui fut une médaille terminée par une croix, ainsi que plusieurs petits couteaux de lancer, dans sa veste.
Et c’était tout.
François de Ravin n’avait été qu’un pion dans l’affaire. Fenn commençait seulement à entrevoir la gravité de la situation.
Il devait prévenir le mentor. Se rendre de toute urgence au Q.G et sonner l’alarme.
Mais il était si fatigué.
L’Assassin se traîna jusqu’à un arbre et s’assit par terre, adossé contre le tronc. Il contempla sa tunique imbibée de liquide chaud et poisseux. Il ignorait quelle quantité de sang il avait perdu, mais à en juger sa vision floue et les forces qui s’échappaient de lui, il était mal. Très mal.
L’Assassin bascula lentement sur le côté. Puis, il ferma les yeux et s’endormit.

Quelques jours plus tard…

L’As de Pique dévisagea le messager qui lui faisait face.
-Oui ?
-Votre disciple, le seigneur François de Ravin, est mort. Il a été assassiné par Fenn Jalmar, il y a quelques jours.
-Et donc ? C’est pour ça que tu viens me déranger durant ma sieste ?
-Mais je…
-Disparais. François de Ravin n’avait aucune importance. Il n’était qu’une marionnette.
Le messager disparut sans demander son reste. Dans un coin de la pièce, la Belette était assise à une table, occupé à se curer les dents avec la pointe de son sabre, un exercice relativement dangereux. L’As de Pique sourit.
« J’ai trouvé un bien meilleur élève. »
L’ancien chasseur de prime se racla la gorge et cracha par terre.
-Qui a fait ça ?
-Fenn Jalmar. On entend de plus en plus parler de lui, ces derniers temps.
-Et… Est-il mort ?
L’As de Pique resta silencieux.
-As-t-on retrouvé son cadavre à côté de celui de François De Ravin ? répéta la Belette.
-Non, répondit l’As de Pique.
La Belette sourit.
-Tant mieux.

Nahtar
Niveau 7
06 mars 2013 à 18:41:47

Lenski :d) Bah de toute façon, Jet a dit lui même qu'il postait un texte tous les huit mois non ? :hap: Entre lui, Alca qui appuie sur effacer sans faire exprès ( :hap: ), et moi qui met aussi trop longtemps, heureusement que Pell et toi vous carburez :hap:

[Laflamme]
Niveau 10
06 mars 2013 à 18:42:30

C'est qu'une bande d'assassin qui veulent me tuer à la tâche :nah:

Alcahe
Niveau 10
06 mars 2013 à 18:42:46

Nahtar :d) Bah maintenant je fais plus gaffe, hein. :hap: /

Nahtar
Niveau 7
06 mars 2013 à 18:51:47

C'est pas non plus comme si leurs textes étaient désagréables à lire hein :hap:

Lenski
Niveau 10
06 mars 2013 à 18:53:24

Flamme : corriges nous :hap: /

Lenski
Niveau 10
06 mars 2013 à 19:58:06

Vive Dimitri et vive Loras \ :noel: /

chocoassassin57
Niveau 10
06 mars 2013 à 20:01:24

Jet alors mon texte .

LordKreiss-18
Niveau 3
06 mars 2013 à 20:44:36

je peux faire un autre texte même si il m'a pas encore donné mes points ?

chocoassassin57
Niveau 10
06 mars 2013 à 21:03:15

Oui tu peut je t'y autorise :hap:

[CTM]
Niveau 10
06 mars 2013 à 21:03:15

Ramirez :hap:
Je suis là hein, j'attends ton texte :ok:

Parce que tu devais faire une anecdote il me semble :(

Jet_lag
Niveau 10
06 mars 2013 à 23:17:26

Les fautes :sournois:

a rentrer > à rentrer

Dit Varnomle mec qui dois me surveiller et m'obliger à rentrer dans ce foutu animus ... > Mal formuler... tu peux pas avoir deux style de langage pour le même narrateur. Si tu aurais fais un truc du genre :Dit Varnom. Qui est Varnom? Le mec qui dois me surveiller et m'obliger à rentrer dans ce foutu machin ... " ou alors "Dit Varnom, l'homme qui doit me surveiller et m'obliger à rentrer dans ce maudit engin ..."

Cinq jours après la mort de Viviane , je restais cloitré chez moi , je ne sortais plus et ne parlais à personne .Un jour > mal dit: "Cinq jours s'étaient écoulé depuis la mort de Viviane , et je restais encore cloitré chez moi , ne parlant à personne. Or, un matin/ soir...

même habille > même habits

pour le passage entre slash, tu aurais pu en faire les pensée de ton pp

une armée de templiers > Non!!! :snif2: soldat=/= templier
soldats à la solde des templiers =/= templier, ne pas confondre

je la retenu > je la retins

la scène de combat est brouillon :pf:

tes sentiments n'aurai pas intervenu > tes sentiments n'étaient pas intervenus

il t'empêche > ils t'empêchent

Je rentras > Je rentrais

Bref, toujours ce problème de ponctuation. Met des vigules, des points! J'ai remarqué que tu mettais des virgules là où j'aurais mis des point. Pense aussi à sauter des lignes. Un saut de ligne vaut un nouveau paragraphe, et ça symbolise le temps qui passe.
Pour le truc de l’assassin noir, je pense que tu amène l'intrigue beaucoup trop tôt dans ton histoire. Ton assassins est encore faible, et là tu veux qu'il ai tapé dans l’œil de l'élite...
Les dialogues sont "robotique" trop saccadé, pas naturels.
Pour les scène de combat, on comprend pas trot, pense à bien te relire, en te mettant extérieur à la scène.

Voilou, 1 point, 250pièces et 75d'Xp

chocoassassin57
Niveau 10
06 mars 2013 à 23:20:18

Je suis vraiment une bouse =/

Jet_lag
Niveau 10
06 mars 2013 à 23:44:39

Non, juste que tu manque de méthode et de pratique :oui:

Si tu préfère, avant de le poster sur l'héritage, tu posté ton texte dans un mp, je te corrige les fautes, te donne les point positif et négatif, tu le retravaille, et tu le post. Après c'est une dose de travail en plus

chocoassassin57
Niveau 10
06 mars 2013 à 23:46:05

Ok là je travaille sur la suite je me concentre sur le sujet et son histoire son caractère et tout !

chocoassassin57
Niveau 10
06 mars 2013 à 23:49:24

Par contre t'as pas vu une grosse faute Jet , "1993" c'est "1793"

Sujet : [RP] L'héritage des Ombres
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