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Assassin's Creed IV : Black Flag

Sujet : [Jeu] Le Meilleur écrivain 3.0
Jet_lag
Niveau 10
26 avril 2013 à 14:17:07

« -Les gars… ? avais-je tenté. C’est plus drôle maintenant, venez me chercher ! J’ai pas de lampe moi, vous êtes pas chic… Les gars… »
Le silence. Même pas d’écho. Je m’étais mis à pleurer, incapable de me gérer.

J’avais alors sentis quelque chose ramper contre ma cheville. J’avais bondis, animé par une peur incontrôlable. Mais incapable de voir les obstacles, je m’étais pris une parois, et j’avais rebondi sur le dos. Il y avait des grillons, par terre, sur mon corps. Cela me répugnait, ces êtres écœurants qui sautaient autour de moi, qui se glissaient dans mes vêtements… savoir que ces insectes me voyaient, alors que j’étais aveugle… J’en avais des sueurs froides.

« -LES GAAAARS !!! REVENEZ !!! »
Je n’en pouvais plus, mon souffle était court, je ne tenais plus droit, j’avais le tournis, envie de vomir, c’était insupportable. Il fallait que je sorte, sortir, il fallait que je sorte d’ici. Mais par où, où était la sortie ? J’avançais, les bras devants la tête, pour trouver la sortie. À droite ? non ! Plus à gauche alors… Non ! Je me cognais, m’éraflant les coudes, les poings… Je n’avais pourtant pas pu aller bien loin ! Je suffoquais, et ce noir, ce noir, je n’y voyais rien, c’était horrible. Tellement noir que je gardais les yeux fermés. Je me suis laissais tomber au sol, en sanglots et épuisé.

Je ne savais pas combien de temps j’étais resté dans cet état, par la suite j’appris que cela avait dû durer moins de cinq minutes, mais pourtant cela me parut avoir duré des heures. Je m’étais quelque peu calmé, étant arrivé à une conclusion simple : ils ne viendraient pas me chercher. Si je voulais sortir, c’était par mes propres moyen que je devrais y arriver.
Avec plus de lucidité, j’aurais compris qu’ils reviendraient, avec le sourire des gens ravis de leur blague, une fois que leur cruelle plaisanterie les aurait assez fait rire. Au lieu de ça, je me suis levé, enlevant le guano de mes mains et de mon visage, et j’avais avancé. Les bras tendus, déviant ma marche selon les obstacles.

J’avançais lentement, sans savoir où j’allais, ni encore si je retrouverais la sortie. Elle me faisait désespérer, cette sortie. Puis soudain, j’avais entendu un bruit. Un bruit différent de ceux que j’entendais dans ce silence bruyant : Le bruit léger d’un écoulement d’eau. Je m’étais dirigé par là, une sorte de renfoncement, dans lequel je descendis. Un mince filet d’eau coulait, invisible, mais là. Agenouillé sur la pierre, j’avais bu. Et alors seulement, je me suis dis que cette eau devait sortir quelque part.

J’ai donc suivis le bruit, l’eau, espérant ne pas être bloqué. Et cette chance, je l’ai eu. Après avoir longuement suivis, je déboucha finalement à la lumière. Et le meilleur, c’est que je savais où j’étais. Non loin de la maison, il y avait une chute d’eau, et c’était ici que j’avais atterri. Après avoir passé ce qui semblait une éternité dans le noir, la lumière était une sainte agression pour mes pupilles. Je ne me souviens plus si je pleurais de soulagement ou à cause de l’accoutument.

J’étais en bien piteux états, avec mes vêtements trempés et plein de crottes de chauves-souris, et mes éraflures sur le front. J’ai eu froid. J’allais rentrer, avec la ferme intention de tout dire à papa. Ah, il allaient voir, mon frère et lui !Sur le chemin, j’entendais crier, et c’était mon nom qu’on appelait.

« -Daniel !!! Daniel ! Mais bordel il est où ?!
C’était Marc, j’avais reconnu sa voix. J’avançais, tête basse, en espérant qu’ils ne me voient pas. Quand on me saisit par l’épaule.
-Marc ! Il est là, je l’ai trouvé !

Sans aucune réactions, je m’étais dégagé de l’emprise de Jean-Mi, et j’allais chercher mon vélo.

-Daniel t’étais où ?! Réponds moi merde ! Pourquoi t’es partis ? Pourquoi t’as pas attendu qu’on revienne, hein ?! Qu’est-ce que tu fais ? me questionna Marc.
-Je vais tout raconter à papa, avais-je marmonné en dégageant mon vélo. Il m’avait alors attrapé les poignets. J’avais réussi à lui faire lâcher prise, lorsqu’il me plaqua au sol, en m’immobilisant.

-Tu diras rien à personne !Tu as promis ! Hein, t’as promis de rien dire du tout !

C’était vrai, j’avais promis. Et à cette âge là, comme c’est important une promesse !

J’acquiesça, toujours en évitant le regard.

Ils m’avaient ramenés à la maison, sans un mot. Pour expliquer ma tenue déplorable, ils ont dit que j’avais joué à la rivière. Ce qui me valu d’être privé de dessert. Mais ça ne m’avait rien fait. J’étais vide. Quand je me suis couché, j’ai gardé la lampe allumée. Les yeux grands ouverts, captant le maximum de lumière. Maman trouvait ça bizarre, papa me dit que j’étais une chochotte. Marc, lui, ne disait rien. Moi non plus.

Voilà. Voilà pourquoi, depuis que j’ai huit ans, j’ai horreur de l’obscurité. Je ne pouvais plus dormir sans lumière. Incapable de chercher un objet à la cave, tétanisé quand la lumière disparaissait… Ça me valu des moqueries, de surnoms… Dur d’être obligé de dormir avec une veilleuse en colonie de vacance, hein ? Mais j’en avais besoin, j’étais terrorisé sans.

Puis, à quinze ans, j’en eu assez. Il fallait que ça cesse, je ne pouvais plus vivre ainsi.
Pourquoi, subitement, je me suis décidé ? Moi même je ne sais pas. Peut-être attendais-je simplement le moment pour être fort.

J’étais allé devant le trou monstrueux, équipé d’une lampe torche. Je n’avais rien dis à personne, c’était un combat que je devrais mener seul, contre moi même. Allumant la lampe, j’étais descendu, la boule au ventre, dans la grotte. De ce que j’avais eu le temps de voir, ça n’avait pas changé. Je reconnu le chemin que j’avais emprunté. Voilà, j’étais dans cette salle, où était né mon plus terrible cauchemar. Mais avec de la lumière, ce n’était qu’une voûte banale, comme on en trouve dans toute les grotte. M’asseyant à même le sol, je contemplais tout autour de moi. J’étais calme, j’aurais cru que ça aurait été plus difficile pour moi de revenir ici. Et je su. Je su que c’était comme ça que je vaincrais. Brave, j’éteignis la lampe.

Quand je ressorti, il faisait nuit noire, une nuit sans lune. Combien de temps avais-je passé là-dedans ? Papa et Maman devaient s’inquiéter, j’allais sûrement me faire punir… Et je fus frappé, frappé de constater que je devrais rentrer dans le noir, et que cette idée ne m’effrayait pas. Je revins donc chez moi, contemplant les étoiles, brillants points blancs dans la noirceur.

Depuis ce soir là, ma peur à été vaincue. Ce n’est pas le fait d’être revenu, je ne pense pas ainsi, mais plutôt comme le sentiment d’acceptation que ce lieu à refait surgir en moi.
Si, à huit ans, je suis sortis brisé de cette grotte, à quinze, j’en suis sorti, arborant mes cicatrice, tels une preuve de ma victoire.

« -PAPAAA !!! La lumière !

Aujourd’hui, j’ai trente cinq ans, et une fille de quatre ans. Et à cet âge là, il est tout à fait normal d’avoir peur du noir.

-J’arrive.
Je la pris dans mes bras, essuyant ses yeux bleu d’où roulait de grosses larmes.
-Tu sais, tu n’as pas à avoir peur du noir, il n’y a rien d’effrayant…
-Si ! ça me fait peur…
-À moi aussi.
Elle me regarda, étonnée. Quoi ? Son père pouvait avoir peur ?
-Mais j’ai appris à voir le bon coté dans le noir.
La portant dans mes bras, je sortis dehors.

-Car, on ne peut admirer la beauté des étoiles que dans le noir…

Hadriake
Niveau 6
27 avril 2013 à 12:34:15

J'avoue que j'apprécie particulièrement ton texte. J'ai personnellement une certaine phobie des insectes et lire ta description de l'événement m'a fait courir des frissons :) Et ton récit ressemble beaucoup à un conte, avec un héros qui pars dans une quête d'adolescence en quelque sorte.
Bref, j'ai beaucoup aimé :D

Sinon, on commence à voter quand ?

FrancisLa-Laine
Niveau 10
27 avril 2013 à 13:40:02

Bon, moi je pense poster mon texte ce soir ...
Ma seule frustration est de ne pas avoir eu le temps de revenir dessus depuis vendredi dernier pour l'améliorer. :honte: Vous aurez donc la version que j'ai écrit en une heure trente quoi. Enfin, j'espère que ça saura vous plaire quand même. :)

FrancisLa-Laine
Niveau 10
28 avril 2013 à 01:23:28

Thème : L'Obscurité.

Il y a de la noirceur en tout. Dans ce soleil qui le matin t'éblouit.
A force de le voir, il te brûlera la rétine et tu seras aveugle.
Dans ces gens que tu croises dans la rue, ils te sourient ou t'ignorent, tu vois à quel point tu es inutile à leurs yeux. Peu importe, c'est pareil pour toi. Dans ces gens que tu croises mais que tu connaissais. Ils font mine de ne pas te voir, pour éviter de te saluer.

Quand seulement tu aperçois un rayon de lumière, tu sais qu'il est éphémère.
Tu approches la clarté mais finalement autour de toi s'agglutine l'ennui et la répétition.
Les chasser est sans espoir, ils finiront toujours par revenir. Ces amis soit-disant toujours là pour toi et incapables de voir que tu te morfonds dans une lassitude morbide. Leurs rires finissent par t'agacer, tu les dévisage, tu les oublie, et ils te laissent. Désireux de jouir de la moindre parcelle de bonheur, ils useront de n'importe quoi pour subvenir à leur besoin même s'il faut écarter tout le reste.
Maintenant que l'ennui, la colère t'entourent, tu t'aperçois que ce qui te faisait plaisir ne produit plus le même effet. Tu es à la recherche de sensations mais rien ne vient, tout s'en va. Il y a ces amis qui auparavant partageaient ton plaisir mais qui maintenant le trouvent tout seuls, ou avec d'autres. Tellement pitoyables et peu créatifs qu'ils n'hésiteront pas à se foutre quelque chose dans le bouche, histoire d'avaler un peu la fumée blanche. Une métaphore sexuelle ? Peut-être, après tout faire exactement comme ses potes c'est sucer non ?
Plus tard il viendront te voir en crachant leurs poumons disant que t'étais pas là pour eux.
Mais tu seras déjà parti, convaincu que t'avais rien à perdre en quittant des gens qui voulaient te perdre dans leurs souvenirs.

Le soir, rentre chez toi et pense à cette merveilleuse journée. Regarde dehors, il fait nuit, tu ne vois personnes dans la rue, et personne ne cherche à te voir. Bravo tu as découvert la noirceur humaine. Maintenant tu peux mépriser le monde, te torturer mentalement, et apprécier la souffrance, et tout cela, seul. Et c'est sûrement mieux ainsi, non ?

:d) Voilà, désolé si c'est moyen moyen ...
Comme je vous l'ai dit, c'est la version que j'ai écrit vendredi dernier en un peu plus d'une heure. J'ai pas eu le temps de revenir dessus pour l'étoffer depuis, mais je préfère le poster comme ça plutôt que ne pas participer du tout.
En espérant que ça vous plaise, j'ai choisit d'aborder l'obscurité d'un point de vue plutôt psychologique, au lieu de le prendre au sens propre du terme. :p)

Sunshine_Desire
Niveau 10
28 avril 2013 à 12:12:55

C'est cool, les textes ne se ressemblent pas. Ça va être difficile de voter au final :o))

Jet_lag
Niveau 10
28 avril 2013 à 14:35:23

Lu Francis :fier:

J'ai bien aimé ton approche de la chose, surtout la première phrase. T'as fais une jolie monté en puissance, ça passe d'un simple mépris à une vraie exécration ( :hap: ) limite tu lui fais prendre du plaisir après

j'aime bien ton texte, pour son aspect socialo-dépressif :p)

Pour les votes, il nous manque 5 textes. Donc je pense attendre mercredi pour arrêter de laisser poster des textes, et faire les votes dans la soirée. Vous en dîtes quoi?

Jet_lag
Niveau 10
28 avril 2013 à 14:38:28
FrancisLa-Laine
Niveau 10
28 avril 2013 à 16:52:45

Merci beaucoup Jet, j'avais peur que ça plaise pas trop car écrit trop rapidement.
Mais merci. :) Concernant l'arrêt des textes repoussé à mercredi, je suis ok. :oui:

[DarkApple]
Niveau 10
30 avril 2013 à 17:08:59

Voilà mon petit texte, j'en suis pas absolument satisfait, mais je vous le propose quand même, histoire d'avoir vos avis :-)

-------------------

Je regarde l’homme suppliant à mes pieds. Une femme, des enfants, une vie. Il existe. Il est. J’avoue qu’à cet instant, je le jalouse. Qu’est-ce que j’aurais aimé avoir sa chance…

Je suis né dans la plus noble des maisons qu’il puisse exister dans nos contrées, celle des Sygma. Charité et opulence, notre devise depuis des siècles. Ma famille est à la tête de la Comté depuis 29 ans, depuis la Grande Paix. Apprécié par tous, amis du pauvre et de la veuve. Et pourtant, depuis mon plus jeune âge, ma vie me dégoute. J’aurais tant aimé naître dans les plus profonds abîmes, là ou noblesse fait sourire le passant, là ou la loi n’est plus qu’une légende. Alors je me contente de ma vie, puisse-t-elle me permettre d’atteindre la seule convoitise qui me hante… L’obscurité…

Souvent, quand je m’endors, je pense à la vie des campagnards, la vie des soldats, de la plèbe. Je m’imagine être l’un d’entre eux, arpentant l’une des 9 cités, coutelas au poing, prêt à bondir sur quiconque m’attirera. Je serais redouté, on baissera les yeux en ma présence. Recherché par la Garde Rouge, ma tête mise à prix. Ma lame tranchante, jamais elle n’a connu de défaite. Mon nom fera frémir les uns, ma lame hurler les autres.
Un matin, je me lève décidé. Pourquoi renoncer à cette vie qui m’appelle ? Baluchon à la main, je pars sur la route. Je deviendrais une légende. L’obscurité sera mienne.

Et me voilà devant cet homme frémissant, goutant au plaisir de sa peur. Une sombre fumée m’enveloppe, je suis un chevalier des ténèbres. Je dégaine Sombreval, ma lame noire. Doucement, je caresse la joue de ma victime, laissant s’évader un maigre filet de sang. Il pleure, je souris. La Comté connaît depuis deux mois le nom de Taram Sygma, le pourfendeur de pauvres et le traqueur de veuves. L’honneur de ma famille est souillé, quel cadeau je leur fais. Hélas ma très chère mère n’apprécie pas ce dernier… La Garde Rouge est derrière moi, ma fuite est constante.

Sombreval s’abat sur ce pauvre homme, sa peau s’écarte lentement, mon corps est en transe. Je vois le sang couler à flot et ce spectacle me rend heureux. Une part d’ombre entre dans mon corps… C’est fini, je dois partir, les bottes d’aciers de la Garde Rouge martèlent le sol autour du bâtiment. Je m’élance dans les escaliers, sans un bruit, digne de l’ombre que je suis devenu. L’éclat des bottes se rapproche et semble venir de tous côtés. La tension monte, mes sens s’égarent. J’en aperçois un, puis un autre, des bruits qui me sont inconnus s’égarent, je suis encerclé. Des gouttes perlent sur mon obscure cuirasse. Les ténèbres m’enveloppent, j’avoue que cette sensation n’est pas désagréable. Je me sens m’écrouler…

Dans une petite salle à manger, une vieille femme pleure. Entre ses mains, le New York Times du matin. L’article d’ou lui vient cette émotion parle d’un jeune homme… Celui qui a tué son mari avec une machette la veille au soir. Amgys Nolan, un drôle de type, selon ses camarades de l’école. Abattu hier par la police, un psychologue affirmait qu’il s’était imaginé un monde à part, un monde complet où il régnait en maître sous la cuirasse d’un noble chevalier en quête d’obscurité…

Jet_lag
Niveau 10
01 mai 2013 à 00:11:29

Wow dark, bon texte :hap:

malgré les fautes de tournure et de répétition, la narration est top :oui:
j'aime beaucoup le monde que tu as créé, surtout l'ambiance. La description du meurtre est particulièrement troublante.
surtout "sa peau s’écarte lentement" , très dérangeant

et belle chute, avec la réalité, la folie toussa toussa...
bravo :ok:

Sunshine_Desire
Niveau 10
01 mai 2013 à 09:44:05

Joli effectivement. On peut pas séparer le vote en 0.2, 0.3 :hap: ?

Jet_lag
Niveau 10
01 mai 2013 à 13:22:42
Jet_lag
Niveau 10
01 mai 2013 à 13:28:57

Et non Sun, toute la difficulté est là :hap:

J'ai envoyé un MP à Reptilis, pp, choco (pas à darkstarkiller, JVC me dit que je peux pas :( )
Reptilis se retire, pp pense poster avant vendredi, et pas de réponse de choco.

Donc, désolé de remettre encore le jour des votes, mais sûr que vendredi, ce sera bon :oui:

Hadriake
Niveau 6
02 mai 2013 à 12:40:17

Ouah, j'adore ton texte, DarkApple ! Ça m'a fait penser à Jack l’Éventreur sur certains point, c'est cool :)
Mais c'est vrai que les votes vont être difficiles... Je crois que ça va finir en pile ou face cette histoire ><

ThePoloboss
Niveau 10
02 mai 2013 à 12:44:47

Je m'inscrirais au prochain thème :ok:

Jet_lag
Niveau 10
03 mai 2013 à 16:50:18

Vu polo :noel:

Je pense que les votes se feront ce soir :hap:
On attends le texte de pp, ou pp lui même, si il a bien avancé son texte, on attends gentiments, sinon on vote.

Voilou :fier:

[DarkApple]
Niveau 10
03 mai 2013 à 17:13:43

Merci pour vos remarques, j'en tiens compte :content:

Je sais pas pour qui votre, c'est dur :fou:

Sunshine_Desire
Niveau 10
03 mai 2013 à 17:33:17

Bon, je me suis repassé rapidement les textes que j'ai lu en entier lorsqu'ils ont été postés bien sûr, et je vote pour :d) Apple :g) sur cette session, pour ne pas oublier plus tard, et si pp n'apparait pas.

Je ne citerai pas qui ni comment, mais il y a un f*ckload d'autres textes qui auraient pu avoir ce vote, fallait juste que je décide maintenant et aujourd'hui qui l'aurait au final, pour des raisons un peu arbitraires :noel:

Jet_lag
Niveau 10
03 mai 2013 à 19:44:39

Les votes sont ouverts :fete:
(pp m'as dis que ce n'était pas la peine de l'attendre)

Soda, sora, je suis désolé, mais vos textes sont pour moi beaucoup trop courts :-(

Ezio, ton texte est bon, mais tu ne l'as pas utilisé, tu aurais pu bien enchainer, là tu n'as fais que poser le décors. Dommage, j'aimais bien

Captain, j'aime bien, mais je n'aime pas ne pas comprendre les choses alors qu'elles sont écrites :noel:
la fin est un peu brouillon, même si c'est sensé représenter le désarroi de la femme, ça me gène un peu

Francis, j'ai bien aimé, surtout ton approche, mais il faut bien choisir :p)

Pom', j'ai trouvé ton idée de folie sympa, le gout du sang de ton pp... intéressante :noel: enfin favoris, mais pas mon vote...

Cowboy et sun, dur de vous départager, vous avez tout les deux fais de très beaux textes, sun plus axé sur le subconscient, et cowboy sur ... le subconscient, mais celui de l'imagination :noel: bien que très différent, vos textes se ressemblent, et ils sont bons :ok: un petit plus pour sun

Hadriake... :sournois: ton texte est juste énorme, les répétitions, les question... j'ai adoré, et la conclusion mi triste/ mi belle.... t'as mon vote :ok:

Jet_lag
Niveau 10
03 mai 2013 à 19:46:45

:pacg: Les votes :pacd:

Apple: 1 vote (Sun)
Hadriake: 1 vote (Jet)

Sujet : [Jeu] Le Meilleur écrivain 3.0
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