Woh je m'endors, un bon moment pour balancer :
La SWEET
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Chapitre #12.2 – Battle for New York : Ryan
" 9h02
11 Septembre 2025 - Wall Street"
J'arrivai enfin dans Wall Street, il n'y avait plus personne à l'extérieur. Il ne restait plus que les voitures et les tonnes de débris jonchant le sol. L'immense drapeau Américain sur la façade du New York Stock Exchange était réduit en cendres et continuait à se consumer. Le récepteur avait été repéré à l'intérieur de la bourse et ne semblait plus en mouvement. Toutefois le lieu ne devait sûrement pas être vide et plusieurs gardes attendaient certainement ma venue.
Je sortis mon M9 tout en ouvrant lentement la porte quand une main surgit et m'attrapa le bras. Elle me fit entrer de force et me plaqua contre le mur.
- Qui tu es ?
- Wohohoh stop ! Sto...
- Qui tu es ?!
- Le sauveur de ta putain de ville !
- Vraiment ? Le sauveur ? Dit-elle en rigolant. Washington est tellement désespéré au point d'envoyer à jeunot pour nous sauver ? Ne me fais pas croire à ses bêtises. Pour la dernière fois qui tu es ?
Je lui fis un croche-patte pour la faire tomber en arrière et lui calibrai mon arme sur sa tête.
- Si j'étais toi j'éviterai de faire ça...
- Et pourquoi ?
- Ça pourrait les affoler.
- « les » ?
- Laisse-moi te montrer, dit-elle en se relevant.
Elle ouvrit la grande porte menant vers la salle principale et que fût ma surprise de découvrir plusieurs centaines de citoyens réfugiés à l'intérieur.
- Viens, je vais t'expliquer.
- Euh... D'accord.
- Par contre, dit-elle en me retenant, pas d'arme à l'intérieur. Poses les sur le bureau.
- … Bien...
A l'intérieur de la salle il y avait de tout, des familles, des personnes âgées et même des animaux. Ça ressemblait beaucoup aux refuges dans les films, calme à l'intérieur alors que la ville n'était plus qu'un champ de guerre qui allait être réduit en poussières.
- Quand on a apprit que la ville allait être la cible d'une attaque, le gouvernement a donné l'ordre de s'abriter par n'importe quel moyen. Dans la panique les gens n'ont pas eu d'autre moyen que de venir se réfugier là où ils le pouvaient.
- Ça d'accord, mais pourquoi vous vous êtes là ? Les soldats sont sensés combattre la menace et pas se cacher.
Elle chercha à éviter la question et continua à parler. Je remarquai qu'elle ne savait pas quoi répondre à ma question mais je la laissai continuer.
- … Tu comptes rester ou tu veux repartir à l'extérieur ?
- Je vais rester si ça te dérange pas.
- Aucunement, mais ne te fais pas remarquer. J'ai encore viré personne du refuge, alors ne soit pas le premier.
Elle repartit de la salle en faisant attention à bien fermer la porte par où nous étions rentré. N'oubliant pas pourquoi j'étais là, je me mis à chercher le récepteur. Je montai les escaliers pour avoir une vue d'ensemble de la salle et une personne retint mon attention. Je décidai de le suivre dans une autre pièce, les toilettes. J'entrai à l'intérieur au moment où il se lavait les mains au lavabo, je me mis à côté et me lavai les mains également. En repartant il essaya de me mettre un coup de poing que j'évitai pour ensuite l'envoyer dans les glaces au dessus des lavabos.
- Le récepteur !
- Je ne vo...
- Le récepteur ou tu vas venir tête première dans les chiottes !
- Tu peux toujours causer, dit-il en me crachant au visage.
Je lui brisai le bras et lui tapai la tête plusieurs fois contre le lavabo. Couvert de sang il abdiqua.
- Les casiers... Il est dans les casiers !
- Et je les trouve où ces casiers ?
- La pièce principale, arrêtes s'il te plaît, dit-il en sanglot.
- Bah tu vois, c'était pas bien compliqué.
Je quittai les toilettes mais en ouvrant la porte quelqu'un m'attendit derrière et me mit K.O sur le coup.
Je me réveillai dans une salle ressemblant à celle des interrogatoires. La vitre teintée devant moi le confirmait. J'étais mains liées contre une chaise fixée au sol.
- Enfin réveillé le jeunot.
- C'est quoi ce traquenard ? Détachez moi bande d'enflures !
- Le détacher, dit-elle en rigolant. Il est marrant lui.
- Pourquoi vous ne cessez de mentir, hein soldats de Hound ? Vous n'aidez pas ces gens, vous cherchez juste à les emprisonner !
- Il est malin le petit.
- Arrêtez av...
Au même moment 2 personnes entrèrent dans la salle. Une se plaça devant moi et sortit une lame. Sans réfléchir je dis « Chouette arme » avant de mettre mes pieds sur le torse de la personne et me pousser en arrière. Les pieds de la chaise se brisèrent et je me débarrassai rapidement des deux personnes. Je m'empressai de couper les cordes avec la lame et essayai de casser la vitre.
- Tes petites mains n'y arriveront pas tu sais.
- Exactement ! dis-je en ricanant.
J'agrippai le corps d'un des gardes et le balançai de toutes mes forces contre la vitre qui éclata sous le choc. Choqué par ce qui venait de se passer, les personnes de l'autre côté de la vitre se mirent à fuir avec le récepteur.
Je récupérai un pistolet dans la salle et me mît à les poursuivre. En entrant de force dans la salle où tous le monde était réfugié, je remarquai que la foule était parti dès que les échauffourées avaient commencé, toute sauf une famille. La personne prit l'enfant en otage et pointa son arme sur sa tempe. Elle me demanda de jeter mon arme à terre mais le père, qui avait récupéré un pistolet, tira à plusieurs reprises dans le dos pour sauver son enfant. J'enchaînai avec un dernier tir dans la tête pour l'achever. J'ordonnai à la famille de partir loin d'ici et pris avec moi le récepteur.
- J'ai le récepteur.
- Bien, le code est 20090. Bien joué Ryan.
- Et voilà, terminé pour celui là.