Assassin's Creed Unity

J'espère qu'il a shooté un LG...

Moi aussi...

De toute façon si il se trompe j'ai perdu

Je me demande bien sur qui Rami va tirer.

Le suspense est à son comble ...

Il y a tant de choix, tant de chances de se tromper...

Rah, je sais pas comment vous faites les vivant pour rester calme dans un tel moment

Moi ça va je gère, vu que je sais :fdp:

Tu veux qu'on fasse quoi? Là, dans tous les cas, les innocents ont perdu, parce que même si Rami tire sur un lg, ça fera du 2 vs 2, or c'est la nuit, sans soso ni salva, et l'ancien a déjà survécu à une attaque. On a absolument aucune chance, sauf si un inno gagne le titre de la légende de l'ouest, mais je crois avoir lu que le titre est donné à un gars de l'équipe adverse

Bref, j'ai environ 1,25% de chances de gagner

Non sup, tu en as 0

non Rami, j'en ai -28

Ma dernière partie IRL, on était trois vivants : un loup, en couple avec la voyante, et moi qui était SV.
J'ai réussi à convaincre la vovo de voter contre le loup au dernier jour, le loup y est passé ils sont morts tous deux et j'ai gagné. xD
Bon, elle ne savait pas jouer, mais quand même.

cC'est vrai ça, le couple il est pas mort?

Ca dépend de ce qu'a fait Rami en fait

En fait il n'est plus possible pour les innos de gagner.
Peu importe la façon dont Rami utilise son "fusil" cette nuit.

Exactement, 0 chances de gagner malheureusement, parce que c'est la légende de l'ouest malheureusement

-------------------------------------------------
supaltair | 16 novembre 2014 à 13:29:53

cC'est vrai ça, le couple il est pas mort?
-------------------------------------------------

Mon dieu mais tu suis le jeu au moins ?

sup laisse tomber je t'en pris

Si, mais j'étais pas sûr, parce qu'on m'a dit que normalement c'est écrit

Les liés sont effectivement morts.
Ils s'agissaient de Francis et moi-même.

J'avais un doute parce que je sais plus qui m'a dit que c'est marqué lorsqu'ils sont en couple

http://youtu.be/uUpDG680uew
Jones était agrippé à l'arrière d'un wagon. Ses pieds frôlaient le sol, qui défilait à grande vitesse. Dans un ultime effort, il jeta sa Winchester dans le wagon, et parvint à se hisser. Il ramassa alors sa carabine et continua vers l'avant du train.
Le vieux shériff galopait après la locomotive. Il observait le monstre de métal avancer à une allure considérable, la belle gueule aux commandes. Ce dernier tourna la tête et l'aperçu :
"Navajo ! On a de la compagnie !"
Mais personne ne répondait. Une balle du shériff vint se loger juste au dessus de sa tête :
"Navajo ! Putain viens m'aider !"
Mais le Navajo ne l'entendait pas. La belle gueule dégaina alors et tira sur le shériff, mais ne parvenant toutefois pas à l'atteindre. Les deux filaient à vive allure tout en s'échangent des tirs.
Le Navajo était assis dans une voiture. Il était calme, plus calme que jamais. Il savait que son ennemi allait arriver d'un moment à l'autre. Il savait que d'un moment à l'autre, il pouvait mourir. Mais il l'acceptait, car il était convaincu tout au fond de lui, qu'il était meilleur que son adversaire.

Jones passa la porte. Le Navajo se leva et se tint face à lui. Le moment était arrivé. Jones leva sa Winchester, tandis que le Navajo se jeta derrière une caisse. Une détonation sourde se fit entendre, tandis que la moitié de la caisse vola en éclat. Jones tira le levier de sous-garde de sa Winchester et ajusta sa cible. Le Navajo se leva alors soudainement et tira dans la main de Jones. La balle manqua sa cible et atteint la carabine au moment où Jones tirait de nouveau. La trajectoire de la nouvelle balle de Jones fut déviée et cette dernière atterrit dans une caisse de dynamite. La caisse explosa et déchiqueta un côté du wagon. Jones, qui faisait maintenant dos au vide, avait éjecté la douille et allait tirer de nouveau lorsque le Navajo lui tira dans la main. Jones lâcha sa carabine, qui tomba hors du wagon, tandis que le Navajo le pointait avec son revolver.

La belle gueule tirait sur le vieux shériff, mais ne parvenait toujours pas à atteindre sa cible en mouvement. Il tira de nouveau, mais aucune balle ne partit. Il se mit à couvert et regarda : le chargeur était vide. Il tâtait alors son ceinturon mais ne trouvait pas de munitions. Il fallait se rendre à l'évidence : il était à sec, alors que le shériff lui possédait encore des balles. Le shériff se rendit compte que quelque chose clochait, car la belle gueule restait à couvert.
"Il est à sec l'enfant de salaud."
Le shériff entreprit alors de se rapprocher de la locomotive pour exécuter la belle gueule à bout portant. C'était ce que l'assassin attendait. Il sortit de sa cachette et, dans un effort désespéré, se jeta sur le vieux shériff et le fit tomber de son cheval. Les deux hommes étaient à terre, assommés, sonnés, tandis que la locomotive continuait de filer comme le vent.

http://youtu.be/bsrf5iK9Zjo
Jones était en bien mauvaise posture. Le canon du revolver du Navajo était pointé droit sur sa tête. Il jeta un oeil par dehors : un dangereux virage se dessinait à l'horizon.
"Tu sais, cela fait longtemps que j'attends ce moment, dit le Navajo. J'aimais déjà pas beaucoup le Trappeur, mais alors toi, je te déteste vraiment. Tu oses nous considérer comme des bandits alors que toi-même tu tues pour l'argent !
-Et toi tu tues pourquoi connard ?
-Pour les sensations. C'est si jouissif de tuer un homme, le faire souffrir, entendre ses cris !
-T'es juste un détraqué de plus. On te crevera tôt ou tard.
-On meurt tous un jour. Mais toi, c'est maintenant. T'as pas de bol, j'aimais bien l'Araignée, donc tu vas souffrir deux fois pl..."
Jones envoya un coup de poing phénoménal dans la gueule du Navajo. Celui ci fut projeté contre la paroi du wagon.
"Quand on tire on raconte pas sa vie !"
Jones sauta alors du wagon tandis que le train allait aborder le virage. Le Navajo se releva, courut vers l'ouverture et sauta lui aussi. Le train dérailla, se renversa et s'enflamma, avant d'exploser.

Le Navajo et Jones se levèrent, se faisant face.
"Maintenant tu n'as plus aucune chance Navajo, je suis le tireur le plus rapide que l'Ouest ait jamais connu. Tu seras pas le premier bronzé que je vais descendre.
-Tu as tord, et tu le sais. Tu as peur. C'est pour ça que tu essaie de m'intimider. Je suis meilleur que toi. Tuer n'est pas une question de chance, ce n'est que de la technique. "
Les deux hommes se faisaient face. Tous deux se regardaient droit dans les yeux tandis que les vautours observaient le spectacle. Soudain, le Navajo dégaina son pistolet et tira. La balle se logea entre les yeux du chasseur de primes. Ce dernier n'avait même pas eu le temps de toucher son ceinturon. Il tomba à la renverse. Le Navajo rangea son arme, alla récupérer celle de Jones et parti, laissant le cadavre de l'homme aux vautours.