Sujet :
[Parodie] Leon le flemmard...
allez Kid !!! la suiiiiiite stp !! 
Juste des kévin qui s'ennuient puis qui ont trouver une idée de se faire remarquer : Le flood 
, un Admin va s'en occuper dans pas longtemps mais si il y en a qui répondent aussi ...
J'te rappelle qu'il y a un Modérateur compétent
Oopas 
Superbe magnifique paro
http://www.youtube.com/watch?v=HxVAQYpNmUQ 
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http://www.youtube.com/watch?v=zBSVzoB4H5w 
Dsl du double post mais j'ai tout lu 
J'aimerai une suite ^^
josef taggle jay fé une fot dortografe, sa te posse 1 problem???
Imite le nain 
Sinon à quand la sweet ?
les gens, la suite que vous attendez tous (du moins, ceux qui sont encore là XD ) est arrivée !
Désolé pour la longue attente entre les chapitres, etc... Vous devez commencer à être habitués, je pense. (Pitié ! tapez pas ! ^^; )
Sinon, c'est vrai que ça fait un bon moment que j'ai commencé cette paro ( 21 novembre 2008, quand même... ça fait un peu plus d'un an 
) et je la continue de temps en temps... Pas souvent, certes, mais quand même un peu à chaque fois. Pi bon, comme je passais dans le coin, je me suis dit que j'allais la continuer encore un petit peu ! 
Chapitre de maintenant :
Le rocher ayant finalement été dégagé de la voie et les gaynados correctement dégommés, Léon continuait donc sa route en priant le ciel de revoir la greluche en un seul morceau... et le plus tard possible surtout !
Il parvint rapidement devant un grand bâtiment dont l’entrée était gardée par quelques gay... (grrr !...) ennemis ! Le regard de notre héros fut cependant attiré dans un coin par une lueur bleue plutôt familière accompagnant généralement un vieil ami.
- Welcome, ma puce !
- Et m... Heu... Salut ! Quoi d'neuf ?
- Fais gaffe, strangeur, le bâtiment que tu vois là-bas abrite le labo dans lequel j'ai subit des tests sur la régénération... Je suis prêt à parier que tu risques d'y faire de mauvaises rencontres.
- ... Ouais, surtout si c'est là que se trouve l'autre chouineuse !
- Bon passons, tu veux quelque chose ?
- Ouais, tiens, sers moi un whisky !
- Désolé, je ne vends pas d'alcool aux moins de 18 ans d'âge mental ! Sinon, pendant que j’y pense, comment se porte Junior ?
- Junior ?
- Ben, c’est le surnom que je lui ai donné parce que je ne sais pas comment il s’appelle, le parasite que tu t’es fait implanter depuis le début du scénario.
- Gné ?… Y a un scénario ?… Et j’ai un parasite en moi ? Où ça ?
- Dans ton cul, évidement !... Yahahaha !!!...
- Pan ! Fit Steve.
- Argh ! J'ai mourru... Encore !... Bon ben… come back anytime, stranger !
Laissant donc le marchand là où il était et s’approchant discrètement de l'entrée, Léon abattit les gardes de quelques balles de Raoul avant de pénétrer dans le bâtiment. Les couloirs des lieux étaient plutôt glauques et Léon avait du mal à se retenir de passer le balai dans toute cette crasse (note de Léon : Genre, comme si j’avais que ça à foutre de passer le balai ici !). Il arriva dans ce qui ressemblait à une cuisine franchement dégueulasse, des quartiers entiers de bœuf pendaient du plafond et Léon se serait volontiers enfilé un steak si seulement les milliers d’asticots qui grouillaient dedans n’avaient pas porté plainte pour destruction de demeure à coup de couteau… Alors qu’il se retournait vers la sortie, la porte du grand four devant lequel il passait explosa sous le coup du ganados enflammé qui en surgissait brusquement !
- P’tain de… !!! Fit Léon (en sursautant et esquivant du même coup la charge du fou furieux en train de cramer, tout en se ramassant la tronche au sol par la même occasion) … J’ai vraiment eu chaud, sans vouloir faire de jeu mot… Quoique si on regarde bien, ça se prête plutôt bien à la situation, vu que t’es en feu ! T’en penses quoi, l’allumé ?
- Ben… Maintenant que l’effet de surprise est passé, j’suis grillé ! Répondit la torche ambulante.
- Mouais, ça sentait déjà un peu le roussi de toute façon !
- C’est ma faute, je brûlais tellement d’impatience que je me suis enflammé !
- Le truc, c’est qu’il ne faut pas griller les étapes !
- Ces jeux de mots pourris commencent à me chauffer les oreilles !
C’est sur ces mots que Léon laissa les cendres du ganados finir de se consumer pour continuer sa route… Traversant un énième couloir, il commença à entendre la voix horriblement agaçante d’Ashley appelant à l’aide, ni une ni deux, il couru droit vers l’origine de la nuisance sonore en vue de la faire taire le plus vite possible mais tomba subitement nez à nez avec un genre de gros balaise en armure et armé d’une massue imposante et visiblement douloureuse... Le temps pour ce dernier de réaliser qu’un intrus se trouvait juste devant lui et de pousser un hurlement pour avertir ses potes non loin qu’un bon coup de Bob de la part de Léon l’envoya au tapis. Cependant, les autres avaient entendu le raffut et commençaient à monter les escaliers avant de se faire gentiment éclater la citrouille de quelques coups de Roger. Examinant la salle du bas pour vérifier que rien ne traînait dans le coin, notre héros reprit son chemin en continuant de suivre la voix de la blondasse… C’est alors qu’il pensait enfin la retrouver que sa joie fut à demi partagée, la voix qu’il entendait depuis un moment venait en fait de moniteurs de surveillance connectés à la cellule dans laquelle elle était retenue prisonnière… Cependant, la scène qu’il voyait à l’écran semblait des plus étranges…
Un ganados frappait de toutes ses forces contre la porte de la cellule, l’air affolé, puis la blondasse apparut subitement dans son dos, l’empoignant par l’épaule pour le jeter au sol, le ganados paralysé par la terreur la regardait se pencher au dessus de lui lentement avec un air très inquiétant…
- J’en ai marre, vociférait-elle ! Y a plein de mecs bien foutus sur cette île à la con mais ils sont tous gays !!! J’ai vingt ans et j’suis encore vierge à cause de mon abruti de père, alors tu vas devoir me servir de défouloir, esclave… Et maintenant, à genoux devant moi et lèches mes bottes !!!
- Pitié, gémit le ganados, j’ai trois parasites à la maison, j’veux pas mourir ! Noooon !!!...
Et tandis qu’Ashley se rapprochait de plus en plus du pauvre homme, elle leva subitement les yeux en direction de la caméra, l’air surprise, puis elle ordonna immédiatement à l’autre ganados qui tremblait de peur dans son coin de couper la caméra sinon elle commencerait par lui… Ce qu’il fit immédiatement et sans discuter !
- Pfff… ! Les amateurs, soupira Léon. Ils auraient du la ligoter et la baillonner pour être peinards, je les plains maintenant !
C’est après avoir jeté un œil sur sa carte et avoir (on ne sait comment) repéré où se trouvait la cellule de la greluche que Léon reprit donc son chemin. Traversant quelques couloirs et flingant tout ce qui pouvait être flingué, il fut stoppé par la porte menant au vide-ordure qui ne demandait qu’une malheureese carte d’accès pour être ouverte. Il rebroussa donc chemin et passa dans ce qui ressemblait à une salle d’opération des plus glauques… En particulier à cause de l’étrange cadavre humanoide avec une bouche pleine de dents pointues qui reposait sagement au beau milieu de la table, derrière une vitre d’isolation, le tout avec un angle de caméra insistant particulièrement sur la scène.
- Ah ! Fit Léon, on m’a déjà fait le coup du monstre qu’on croit mort et qui va se réveiller plus tard au moment où je m’y attendrais évidement le plus, comme après avoir ramassé un truc trop important…
- Qu’est ce qui te fais croire ça ? Demanda le cadavre…
- Une sorte de préssentiment, on va dire…
Avisant que la porte de la chambre d’opération qui le séparait du monstre était évidement fermée (pour l’instant) notre héros entra dans la chambre d’opération voisine dans laquelle un cadavre (un vrai, cette fois) reposait, avec un objet curieusement brillant dans les mains et qui ressemblait d’ailleurs fort à une carte d’accès… Flairant là, le piège trop gros, Léon examina d’abord le reste de la pièce, il trouva à côté d’un énième cadavre des notes écrites, c’était des rapports écrit pas Luis qu’il avait écrits lorsqu’il travaillait encore pour Saddler, ces derniers relataient les expériences menée sur les plagas pour la régénération rapides des cellules, l’expérience avait résultée de la création d’un monstre quasiment invincible baptisé… Le régaynéradore !!!
- Super, merci Luis, je sais maintenant le nom du monstre et à quoi m’attendre !
- De rien, répondit ce dernier.
- Bon, ben, ramassons cette foutue carte, que j’éclate enfin de ce nouveau monstre !
Sitôt dit, sitôt fait, le vacarme soudain dans la pièce où se tenait la bestiole confirma l’éveil de ce dernier. Sur le qui-vive, Léon et Steve attendirent de pied ferme l’ouverture de la porte qui les séparait du monstre… Celui-ci ne se fit pas attendre, faut dire aussi qu’avec son souffle d’asthmatique il se faisait entendre à dix kilomètres à la ronde… Bref la porte s’ouvrit et les yeux rouges du monstre se posèrent instantanément sur celui de Léon, affichant une nouvelle vision d’horreur au tableau déjà bien garni.
- P’tain de… !!! C’est monstrueux !... C’est un nudiiiiiiste !!!
- Et alors ?... Comme la censure fait bien les choses, j’ai rien à cacher !
- Et tu fais comment pour te reproduire alors ?
- J’peux pas le dire à cause de la censure, justement !
- Sale monstre exhibitionniste !!! Je faire te faire payer ton impudeur !!!
- Pan ! Pan ! Pan ! Intervint Steve...
- Raté, rétorqua le monstre, tu vois ? Les trous se rebouchent instantanément…
- P’tain de… !!! C’est pas grave, j’ai plus d’un tour dans ma malette…
- Tatatatatatatatata… Fit Roger.
- Pareil ! Tu épuises tes munitions pour rien !...
- J’ai pas fini, tu permets ?!
- Poum ! Poum ! Poum ! Fit Bob.
- Cela te dérange si j’te bouffe un peu d’épaule ? Je commence à avoir la dalle…
- Je trouverais bien un truc que t’aime pas !!!
- Blam !... clic… Blam !... clic... Blam ! Fit Raoul.
- T’as vu ?... J’fais même repousser ma tête si j’veux !
- Baoum !... Fit Jess (ouais, juste une fois, parce que Léon tient beaucoup aux munitions de Jess)
- Bon… Je vais quand même te le dire pour pas que ça devienne trop long pour le lecteur, le feu est un de mes points faibles !
- Ah ben t’aurais pu me le dire plus tôt, merci !
- Boum ! Fit la grenade incendiaire anonyme.
- Argh ! Je suis (enfin) mort !... Tiens, au fait, quand tu parlais de reproduction, faut que je te dise que j’ai plusieurs frères qui sont mystérieusement apparus dans les couloirs, je ferais gaffe à ta place…
- Super, t’as pas d’autre mauvaise nouvelle à m’annoncer avant de finir de mourir ?
- Si, une… La carte d’accès que t’as trouvé, c’est pas celle du vide-ordure mais de la chambre froide !
- P’tain de… !
- Mais bon, t’en fais pas, comme le scénario est vachement sympa avec toi, tu y trouveras là-bas une machine pour la modifier et ainsi continuer !... Allez, bye !
- Hé ben, si je m’étais douté que Luis avait participé à la création de pareilles horreurs, j’ai jamais vu un monstre aussi agaçant !
- J’étais forcé, répondit ce dernier, je travaillais pour un parasité du bulbe qui arnaquait un gamin vivant dans un château… ça payait bien, forcément !
- Hé ben !... T’es un beau salaud quand même !... Limite je me demande pourquoi j’ai failli chialer lors de ta mort…
- Ah ouais, j’ai bien rigolé sur ce coup, fallait te voir, ça faisait comme si on se connaissait depuis plusieurs années…
- Ouais, trop marrant… Tiens, au fait comment ça se fait que je sois en train de te parler, vu que t’es censé être mort !
- Quoi ? T’es pas au courant ? C’est un petit caprice de l’auteur qui a fait en sorte de me ressusciter sous la forme du bouchon de bouteille à mon effigie, c’est classe, non ?
- Gné ?!... Comment il a pu faire ça ?
- D’une, parce que c’est l’auteur et qu’il fait ce qu’il veut pour tenter de mettre un rebondissement inattendu dans cette paro… De deux parce que des cellules de régaynéradores m’ont permis de faire ça ! Et maintenant que je suis de retour dans l’histoire, je vais en profiter pour te faire chier un petit peu.
- Tu sais quoi ? Tu vas rester sagement au fond de ma mallette pour l’instant sinon j’explose ta face miniature !
- Fais gaffe, l’auteur m’aime bien et si tu me fais du mal, il pourrait choisir de ranimer les autres bouchons…
- N’importe quoi !
- Si c’est vrai, fis-je (oui, moi, l’auteur ! 
) D’ailleurs, comme je suis là et que ce chapitre est devenu horriblement long, je vais le clôturer ici tandis que tu vas devoir traverser les couloirs infestés de regaynéradores jusqu’à la chambre froide alors que t’as pratiquement plus beaucoup de munitions…
- P’tain de… !!!
P.S : Tiens, un petit jeu au passage, amusez vous à retrouver à qui appartiennent certains nom.
Je n'ai pas encore lu mais je réponds à l'autre
"J'aimerai une suite ^^ "
==> Ah ok ...
Je l'avais dit parceque nous aussi on voulaitune suite hein Baka 
AND NOW JE GO LIRE LA SUITTTTTTTTTTTTTEEEEEEEE
:megabave:
OMG le passage avec "l'allumé"
Je t'aime Kid 
:nopd:
si ya raoul le fusil à lunette 
Sujet :
[Parodie] Leon le flemmard...