Starfox Adventures

• l'ami

De rien l'amu!

le labrador peuvent avoir le pelage crème dit sable

mais aussi marron chocolat ou même noir mais pas blanc désolée

""c'était fox-rex votre expert en cynophile "" (mais pas en orthographe )

aparté ça j’adore !! ou plutot

J ACHÈTE!!!!!!

Merci à toi

La suite est presque finie, il me manque juste une fin digne de ce nom

Je suis impatient de voir ça !

c'est pas mal vivement l'autre chapitre avec plus d'action

Merci à toi, oui le prochain chapitre devrait être plus vivant

bien sur^^

par contre il faudrait vraiment que tu te dépêche après si je continue a uper on va m'engueuler

T'inquiètes pas Fox-Rex, c'est un bon topic ici, tu as le droit de le upper tant que tu veux.

Zut, je me suis trompé de smiley, je voulais mettre :

J'attends juste plus de commentaires, mais merci à toi pour ton soutien fox-rex

Merci a toi surtout

Une éventuelle suite ?

Eventuellement, si j'ai d'autres commentaires.

La suite est bientôt finie mais j'aimerais vraiment avoir plus de commentaires

Voici enfin venir la suite ! J'ai retrouvé dernièrement de la motivation mais j'aimerais vraiment avoir un peu plus de commentaires, sinon celle-ci risque de très vite s'évanuir
Un chapitre fait en deux jours de temps, que je trouve à la fois simple et bien réalisé. Mais c'est à vous de juger

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StarWolf Adventures

Chapitre 6 : La Tour de Plomb

Le sommeil du loup fut perturbé par une émanation virulente. Cette odeur indescriptible envahissait la pièce et venait le narguer en titillant ses sens olfactifs. Les traits de l'animal se crispèrent petit à petit jusqu'à ce que, à la limite de l'étouffement, le canidé se réveilla en sueur. Il jaugea l'endroit d'un air intrigué et constata les lueurs matinales passer au travers des barreaux de sa fenêtre. Un soupir de soulagement retentit de sa gueule, bientôt suivi d'un grognement mauvais.

« Hé ! Le jambon ! Réveille-toi ! cria le chef de la StarWolf en frappant sur la tête de son compagnon de cellule.
- Aie ! Qu... qu'est-ce qui se passe ? s'interrogea le cochon, à moitié dans les vapes.
- Tu peux m'expliquer – par tous les Dieux ! - ce qu'est cette odeur pestilentielle ?
- Eh bien ça hé hé hé, on peut dire que ce sont mes... gazs... indiqua-t-il sans prendre la peine de renifler.
- Tu veux dire que tu n'as pas arrêté de péter durant toute la nuit ?! s'exclama le loup en filant vers la fenêtre.
- Ca m'arrive quand je suis stressé la journée, concéda le porc avec une certaine gêne. Et puis ça dégoute Léon de trop s'approcher de moi la nuit.
- Content de l'apprendre ! fit le leader en prenant de grosses bouffées d'air. Tu vas pouvoir retourner dormir avec lui.
- Oh non pitié tout mais pas ça ! geignit l'omnivore en se mettant à genoux sur son lit. C'est toi qui nous a réparti dans les cellules à la base.
- Certes, mais je ne passerai pas une seule nuit de plus avec toi, mentionna-t-il alors qu'il trouvait avoir une drôle haleine. Ce soir, tu changes de dortoir.
- Gruiiiink ! »

Les pensionnaires de la prison se réveillèrent quelques minutes plus tard, bougés par les gardes qui leur imposait une sortie dans la cour obligatoire. La StarWolf n'échappa pas à la règle et descendit les escaliers calmes de son bloc pour rejoindre le hall principal grouillant de silhouettes sales. La vague animalière déferla par les portes et bientôt, l'espace extérieur fut envahi par la couleur orangée des combinaisons carcérales, qui contrastait à merveille avec le gris terne des bâtiments. L'aube, camouflée en partie par des nuages inquiétants, était désormais déchirée par les interjections divergentes et antisociales de ces hommes du mal. L'enclos était complètement occupé, ne présentant que peu d'espace pour circuler et ne laissant pas de place à un minimum de verdure. Les vigiles succédèrent bien vite aux prisonniers et, en quelques instants, établir un réseau de surveillance aux quatre coins du complexe.

Le même tableau se répéta les jours suivants dans une lassitude sans pareille. La StarWolf appris très vite à connaître le planning d'une journée dans la Tour de Plomb. Les détenus avaient droit à quatre sorties par jour. Deux le matin, une l'après-midi, et une le soir, chacune de durée variable. Il y avait deux repas, respectivement à treize et dix-neuf heures. Parfois des criminels sortaient de l'enceinte de l'établissement, emmenés par une patrouille, et s'en allaient participer à des travaux publics. Jusqu'alors, la StarWolf ne reçut aucune directive de la part de leur commanditaire, ni du Lieutenant Knife. Ce dernier multipliait cependant les va-et-viens à la prison, certainement pour s'assurer de la bonne tenue de leur équipe. Les jours passants étaient de plus en plus affligeant pour le leader, qui avait peur de perdre toute volonté en restant dans ce lieu morne et sans éclats. Aussi il décida de commencer à récolter des informations sur leur endroit de détention, et peut-être sauront-ils comment s'échapper... mais il restait encore à régler la question du bracelet.

Ce jour-là, dans la cour, l'ambiance s'avérait être la même que les précédents jours. Les pensionnaires se divisaient en petits groupes, préférant se retrouver avec les détenus partageant les mêmes opinions. Vu des postes de surveillance, cela ressemblait à des regroupements de gangs prêts à se lancer mutuellement des hostilités. C'est qu'il en fallait peu pour déclencher un conflit d'intérêt, mais les gardes n'avaient que faire de quelques bagnards se frappant à mort. Ca leur faisait moins de boulot, bien que le nombre de rapports augmentait proportionnellement. Le soleil apparaissait dans le ciel entre deux cumulus. Andrew l'observa et estima qu'on approchait de l'heure du déjeuner. Le primate sillonnait entre les prisonniers, les bras dans le dos, l'air de rien, tendant l'oreille, faisant mine de s'intéresser aux couleurs maussades du ciel. Ce matin, il avait d'abord été inquiet de la demande de son chef. Arrivant dans la cour, il fut rassuré de constater qu'il pourrait accomplir sa mission de reconnaissance sans trop de problèmes. Son angoisse avait concerné ses habits, jurant avec les loques des condamnés. Cela aurait pu lui poser des soucis pendant sa quête d'informations. Mais le jeune singe fut rassurer de voir que d'autres personnes parmi les pensionnaires avaient gardé leurs vêtements d'origine. Il pouvait donc se mouver sans trop se faire remarquer. Un peu plus loin, Léon ne se posait pas ce genre de question. Le lézard se dissimulait dans la masse individus et espionnait avec une adresse maitrisée. L'art du camouflage était son style de prédilection, aussi il n'eût aucun mal à surprendre les conversations qu'il souhaitait.