Bon, finalement, j'ai préféré prendre quatre mois de vacances aux Bahamas, c'était plus sûr. 
Pour ces deux patients momifiés, celui qui a la tête coincée dans le postérieur de son épouse et l'autre qui ne semble rien connaître de l'art divin de l'auto-grattage fessier, je vais tenter de les ré-hydrater.
Lyophilisés comme ils en ont l'air, ce ne sera pas facile. On verra bien.
Afin de célébrer mon retour de vacances dignement, j'ai décidé de vous donner l'explication d'un mystère qui fait la une de toutes les publications depuis deux jours. 
Je me suis procuré l'ouvrage de Mme Valérie T. à l'aéroport de Nassau et je l'ai lu dans la foulée dans l'avion du retour ...
Pour comprendre l'histoire des "sans dents" de TouMou Ier, il faut, comme je l'ai fait, le suivre le soir quand il va au bois.
Vous n'êtes pas sans savoir que depuis une trentaine d'années, on nous a remplacé notre bonne vieille pou-poule made in France par du gros n'importe quoi de Pétaouchnoque. 
Là, il semblerait que nous subissions une attaque invasive en règle de la part des brésiliennes qui au bout du compte s'avèrent être des Brésiliens,quand c'est pas des Roumains ! 
Il y a une petite trentaine d'années, notre Françoué, souhaitant se faire déniaiser avec panache, fit connaissance avec LE Bois, sa végétation, sa faune si particulière.
Répondant favorablement au classique "Tu viens, Chéri ?" émanant d'un buisson discret, ou au vulgaire "100 fr la pipe, 300 l'amour !" asséné depuis un réverbère, Françoué, peu argenté, était devenu client assidu des périmètres entourant les réverbères. 
En conséquence, il devint vite expert en fellations, le plus souvent pratiquées par de vieilles éthaïres déchainées aux dentiers proéminents. 
Et souvent, par les nuits de pleine lune, entendait-on la plainte pré-éjaculatrice du Françoué quasi-exstasié et momentanément TouDur: "Rhâaââ-Lovely ! Jeee sennnns teeees deeennnnnnnts". 
Hélas, le bonheur ne dure qu'un temps. 
Le bon vieux temps des vieilles putes maquillées comme des voitures volées finit par laisser la place à celui des "trans" Brésiliens et maintenant Roumains, la crise aidant.
Chacun sait que ces populations défavorisées souffrent de terribles carences alimentaires dans leurs pays d'origine.
Il est de notoriété publique dans le corps médical, que ces réfugiés, une fois posé le pied sur notre territoire, ne pensent qu'à une chose : s'empiffrer de Bountys, Mars, Pépitos et autres Granolas, histoire de se remplumer. 
Hélas, l'obésité létale les guette rapidement et le sucre fait disparaître les quelques chicots qui faisaient encore de la résistance dans leurs maxillaires. 
Le temps a passé et TouMou Ier a pris l'habitude de se faire accompagner de ses conquêtes au bois, histoire de les éduquer un peu.
Il se trouve que Mme T. n'a jamais pu assister à l'orgasme présidentiel. Elle a connu "Françoué-ar-glav", comme on le nomme en Bretagne, que bien trop tard. Et c'est pour cette raison (et parce qu'elle ignore le passé de son amant le bon vieux temps des putes à chicots) qu'elle a été traumatisée par cette réflexion multi-quotidienne de TouMou : "Et encore une sans dents !"
Ne connaissant les roumains que par leurs actes répétés de mendicité, elle n'a fait le lien qu'avec la pauvreté, non la prostitution.
Décidant de rompre d'avec son bel amant, 
et pour tenter d'éviter de passer pur une conne à qui on peut faire avaler n'importe quoi, (si j'ose dire) elle a donc écrit cet opus qui fait maintenant la joie de toutes les mémères à chat du neuvième arrondissement, de l'église Notre-Dame-de-Lorette au haut de la rue des Martyrs.
Mais je me devais de restaurer la vérité dans cette sombre histoire !
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bien évidement
