Gaspoire 
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Pays Virtuel 2010
je viens de me rendre compte que la Chine est pas prise alors je la prend 
Skedar est parti, tu n'as plus la Chine avec toi, et El Che a matté la rébellion deux fois au moins avec toutes les bombes qu'il a envoyé 
Elios a la Chine 
Arf. On t'a bien supporté avec l'Allemagne
Arf. On t'a bien supporté avec le Brésil
L’Empire du Milieu
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Il est 8 heures du matin à Pékin quand les bruits des canons commencent à tonner sous les regards ahuris de la population. Un combat intense qui va durer plusieurs heures dans les rues de la ville jusqu’à la bataille finale devant la cité interdite où les derniers soldats loyalistes de Jintao se rendent. Une fois la zone sécurisée, un cortège de voitures luxueuses entre dans la cité des empereurs sous l’œil attentif des journalistes invités pour l’occasion. Et c’est avec une grande surprise que tout le monde voit Jiang Zemin, l’ex-président, sortir accompagné de membres influents du parti ainsi que d’un homme étrangement vêtue totalement inconnue du public. Une fois confortablement installé, les hommes sont fin prêt pour une conférence de presse devant toute la nation.
-A toute la nation, aujourd’hui est un grand jour. C’est le jour du renouveau car j’ai ici avec moi Huang Taiji, l’illustre fils caché du dernière empereur de Chine et je proclame aujourd’hui l’Empire!
Cette annonce vient donc bouleverser toute la nation, l’empire du milieu existe à nouveau et le nouvel empereur gouvernera sur la nation. Enfin, ça, c’est officiellement car son rôle n’est que représentatif, le vrai dirigeant n’étant autre que Jiang Zemin le nouveau représentant de l’empereur. La chine ne perd d’ailleurs rien de son statut communiste et l’influence de Zemin au sein du partis évitera toute révolution. Aucun changement donc dans la structure actuelle de l’état, mis à part que beaucoup de gens de l’administration de Jintao subiront des répressions.
Dans tout le pays l’armée est déployée pour éviter d’éventuels opposants, mais à la grande surprise beaucoup de sympathisants sont sortis dans les rues pour exprimer leur joie. Le lendemain, l’armée rebaptisée « armée impériale chinoise » défilait dans les rues de pékins sous les applaudissements. Les prochaines semaines seront rythmée par des opérations destinées à augmenter la popularité du nouvel empereur.
Oh non pas Jiang Zemin 
Arf. T'es obligé de reprendre le personnage clef de Skedar, Elios? T'as vraiment pas plus d'originalité que ça?
Parce que tu crois que t'es original avec tes guerres des favelas, toi ? 
J'en peux rien si Jian Zemin est l'un des personnage les plus cool de Chine
J'allais pas prendre Jintao avec sa tête de premier de la classe.
République Hindouiste de l‘Inde
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Rashtrapati Bhavan, le matin du 10 Janvier 2010
D’imposants nuages grisâtres filtraient désormais les derniers rayons du soleil. Une pluie battante se déversaient sur la terre boueuse rouge de la cour du palais présidentiel indien, dans New Delhi. Le ton tonitruant des éclairs souvent entrecoupait le bruit régulier des impacts des longues et fines gouttes d’eau sur le sol. Malgré le déluge qui déferlait sur les jardins Mughal la garde montée continuait à effectuer ses rondes alors que devant le magistral édifice s’arrêtait une Lincoln Continental juste derrière la véhicule présidentiel. Le portier se dirigea vers l’arrière du véhicule et, lorsqu’il ouvrit la portière, Atal Bihari Vajpayee, l’ex-président du parti nationaliste hindou Bharatiya Janata, descendit et se dirigea vers les marches qui menaient au palais, suivit de très près par son laquais qui lui tenait son parapluie au dessus de sa tête.
En haut, dans le bureau de la présidente Patil avaient été conviés le premier ministre indien, Manmohan Singh, ainsi que le vice président Mohammad Hamid Ansari.
- « Merci, George, remercia la présidente lorsque son majordome lui apporta son thé. Messieurs, il faut absolument que l’on fasse taire ses rumeurs qui ternissent l’image de l’Inde partout dans le monde.
-Madame la présidente, continua Singh, j’ai reçu au plus vite les états de chacune de nos bases maritimes et chaque bâtiment était bien à son poste le soir où le Cavour et le Giuseppe Garibaldi ont été coulés. Et après interrogatoires, chaque amiral nous ont confirmé ce fait.
-L’un de nos satellite passait, par hasard, au dessus des deux porte-avions italiens ce soir là, reprit le vice président Ansari. Il semblerait que les russes aient participé à leur naufrage: quatre de leurs destroyers et frégates ont quitté leur formation autour de l’Amiral Kouznetsov pour, vraisemblablement, attaquer les italiens. Au vu de la garde de ceux-ci, il n’est que peu probable qu’ils eurent été seuls. Nous supposons qu’ils ont eut l’appuie de leurs sous-marins.
-Ce que vous oubliez de dire c’est que les navires italiens étaient déjà en flamme avant l’arrivée des russes, interrompit le premier ministre. Leur unique destroyer étaient déjà sous les flots, et le Cavour évacuait ses marins.
-D’où l’hypothèse d’une attaque sous-marine.
-Madame, répondit Singh en changeant d‘interlocuteur, le président Medvedev avait annoncé l’envoi d’un sous-marins nucléaire sur les lieux, un seul. Par conséquent, et au vu de l’importante escorte anti-sous-marines du Cavour à cet instant, cette hypothèse est étonnée. Il aurait été suicidaire d’envoyer un seul submersible à l’attaque de cet important groupe de combat.
-Sachez que ce qui se dit par les médias, insista Ansari, est loin d’être fiable. Chaque État ne jure pas que par la vérité, et surtout pas les russes.
-Pourquoi diable auraient-ils menti sur le nombre de sous-marins envoyés alors qu’ils avaient annoncé l’envoi d’un contingent, articulé autour d’un porte-avion qui plus est ?
-Avait vous déjà entendu parlé de « guerre de l’information », monsieur Singh ?
-Cessez ceci », intervint la présidente alors qu’elle sirotait encore son thé.
Dans les couloirs du Rashtrapati Bhavan circulait encore Atal Bihari Vajpayee, qui s’était dévêtu de son imper et qui désormais se dirigeait vers le bureau présidentiel. Ses pas résonnaient parmi ces couloirs peu meublés si longs et larges. Mais plus il avançait, d’un pas lent et assuré, jusqu’à la double porte en bois d’acajou d’où sortaient les voix des trois hommes politiques, avec un air impassible des plus sérieux, et plus le bruit régulier de l’impact de ses chaussures sur le carrelage s’estompait dans le silence de ses réflexions.
- « …C’est évident, s’énerva Ansari.
-Messieurs », s’il-vous plaît, continuait à résonner la président Patil.
Mais soudain, les portes à l’entrée du bureau s’ouvrir dans un vacarme qui fit taire le premier ministre et le vie président. Et lorsque Vajpayee entra dans la salle, accompagné par un de ses gardes en costume noir aussi grand que l’humidificateur à cigare adossé au mur, tout deux se retournèrent avec étonnement.
- « Que faites vous ici, Vajpayee ?, demanda agacée la présidente en se levant de son fauteuil.
-Je suis venu vous relever de vos fonctions, madame, répondit avec dédain son interlocuteur.
-Quelle arrogance ! Gardes ! Congédiez donc notre convive ! »
Deux soldats en uniformes se présentèrent au bureau. Mais il restèrent immobiles aux ordres de la présidente.
- « Chère Patil, reprit Vajpayee, je n’ai bien peur que le peuple ai décidé autrement du sort de notre beau pays.
-Le peuple ne vous a pas élu, que je sache, rétorqua Patil visiblement hors d’elle.
-Et c’est parce que le peuple est parasité, étouffé par ces hordes d’étrangers qui nous gangrènent jusqu’à l’os, par ces infâmes bestiaux qui nous mènent à la ruine et au désespoir ! Je me levais, et me lèvent encore contre eux ! Aujourd’hui est le jour de notre indépendance !
-Il faudra me passer sur le corps avant de vous assoire à ce bureau. »
À ces mots, la présidente fut soudain prit de convulsions et un liquide visqueux blanc sortit de sa bouche. Elle observa le thé avant de s’écrouler au sol, sans vie.
- « Virez moi cet vermine islamique de mon bureau », ordonna Vajpayee en désignant le vice-président du doigt.
Aussitôt, les deux gardes le mirent en joug et lui demandèrent de les suivre.
- « Désolé, Pratibha, mais c‘est un sacrifice nécessaire… », murmura Singh, avant de repartir pour ses appartement.
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