Bonjour à toutes et à tous
J'aimerais un petit conseil pour ma Fic "The Last Way" une alternative du scénario des zombies de WaW et B.O. C'est écrit au présent et à la première personne, le point de vue change entre les différents héros. Mais il y a quelque chose qui cloche, je trouve vraiment que d'avoir la narration et le monologue intérieur du personnage entre-mêlée ça fait bizarre, même si c'est une originalité. Mais jugez plutôt avec ce cours extrait:
/monologue intérieur/ [Il] est vraiment en train de changer... Il devient plus réfléchis et... Je sais pas. C'est bizarre. /narration/ Bon, pendant qu'ils échangent des joutes verbales crûes, je marche vers le lit de Kali. Je me penche lentement au dessus d'elle en regardant fixement son visage... Il n'est pas vilain.
Vous voyez? (je sais que c'est un peu étrange comme question Et que sortie de son contexte l'extrait a pas vraiment de sens )
Merci d'avance pour vos réponses
La cassure est gênante car il n'y a, d'une part, aucun lien entre les deux propos. Et d'autres part, le langage reste le même. "Bon, pendant que..." n'est pas du tout une bonne façon d'écrire la narration. Bien sûr, tu as la possibilité de tout écrire dans un langage parlé, comme si le narrateur racontait son récit à un auditoire. Mais c'est relativement limité, ça peut devenir assez lourd à la longue et ça crée plus difficilement une distance entre le personnage et le narrateur. ALors oui, par essence, un personnage-narrateur est les deux. Mais on peut arriver à distinguer le personnage du narrateur.
Je sais pas si tu me suis. Voilà un petit exemple d'un texte que j'ai écrit à la première personne du présent.
"La pierre sur laquelle je suis assis est douce. Ma main la caresse lentement et une fine pellicule de poussière vient la recouvrir. Parfois mon pouce ou mon index suit ses fissures ou fait le tour de certains creux. Je me lève péniblement. Mes jambes ankylosées me lancent. Combien de temps suis-je resté assis là ? "
Comme tu le vois, la pensée du personnage découle directement de l'action narrée.
Autre exemple :
" Je regarde Cyril s'éloigner vers ses appartements, l'esprit confus. A mes côtés, Alain me mate avec des yeux de chien. Des yeux pleins d'espoir et d'admiration, comme s'il voyait en moi un sauveur potentiel. Ça m’énerve. Que croît-il ? Que je suis le bon Dieu ?!"
On glisse très naturellement de la description à la pensée, je pense. Voilà en gros ce qu'il te reste à faire. Ca devrait couler de source dans ta tête comme dans celle de ton personnage. Tu lui fais faire telle chose, et tu t'adonnes, si on veut, à la digression.
Et comme tu peux le voir dans le deuxième exemple, la différence de langage apparaît plutôt claire !
Voilà, bonne chance !
Oui, je vois ce que tu veux dire. Merci de prendre un peu de ton temps pour m'aider Parfois la limite est assez floue et je ne sais pas vraiment comment m'y prendre
Et sinon pour le texte, comme je l'ai dis, sortie de son contexte, ça n'a pas de signification or le personnage dont il est question au début participe à cette discussion et le héros remarque un changement de personnalité de sa part
Je solliciterai à nouveau de l'aide de ce topic bientôt, je vais refaire les premiers chapitres (très médiocres) en les modifiant au niveau des dialogues, de la narration (inexistante presque) et des descriptions (trop peu fournies) et j'essayerais d'arranger ça. Je vous donnerai la version ancienne et nouvelle afin que vous me disiez ce que j'ai bien/mal modifier et ce que j'aurais dû faire/ne pas faire.
A bientôt
Ah ok je vois. Et bien pour être encore plus précis, je dirais qu'il y a trois niveaux de langage :
Ton personnage parle aux autres personnages
Ton personnage parle à lui-même (donc dans ses pensées)
Et ton personnage décris l'action.
L'idée est donc de tenir trois discours différents.
Ce qui est gênant, dans ton exemple c'est d'abord le langage employé dans le monologue intérieur : "Il est vraiment en train de changer... Il devient plus réfléchis et... Je sais pas. C'est bizarre."
Cette façon d'hésiter, c'est quelque chose de propre à la parole. Jamais, quand tu réfléchis, tu ne vas avoir des pensées si découpées. Aussi, je suggère que les pensées de ton personnage soient toujours fluides (Bien sûr, si tu veux montrer que ton personnage est dans un état second, que tu veux qu'il se perde dans le fil de ses pensées, cela ne s'applique pas). En vérité, nos pensées sont très découpées, bien sûr, et très versatiles, mais on ne s'en rend compte qu'après les avoir évoquées. Elles nous apparaîtront toujours très fluide. Ainsi doit être ton personnage quand il pense pour nous.
Si je reprends ton texte, voilà comment je le tournerais :
Il y a quelque chose d'étrange chez lui, un je ne sais pas de plus réfléchi. C'est étrange.
(Un langage plus soutenu, et plus fluide, puis
Je laisse les autres à leur débat et je marche vers le lit de Kali.
De cette façon, tout s'enchaîne plutôt correctement je pense. Une autre astuce : n'hésite pas à informer le lecteur quand le personnage "sort" de quelque chose pour faire autre chose. Des "poignées" du genre "je sors de mes pensées pour..." ou "Mais je réfléchis trop...Je recentre mon attention sur..." ou encore "je laisse bidule affairé à son truc"...etc...t'aideront à passer parfois d'une chose à l'autre.
Comme c'est à la première personne et de surcroît au présent, il faut toujours, toujours garder le point de vue du perso et ne pas oublier qu'on voit tout à travers lui.
Encore bonne chance :D
Et je ne l'ai pas précisé, mais tout cela ne reste que mon avis bien sûr !
Désolé pour le triple post, je voulais écrire : "un je ne sais quoi de plus réfléchi". Et j'en profite pour rajouter que l'absence de négation dans "je sais pas" nous met plus dans l'idée qu'il s'agit d'une parole plutôt qu'une pensée.
Même s'il est vrai qu'on pense comme l'on parle, garde ces raccourcis pour la parole. Je pense en tout cas.
Je ne sais pas si ici on aide sur le fond mais mon problème se situe là.
Si sur la forme, j'ai MA forme, pour ma série appelée 1997, j'ai un sérieux problème de fond.
Dans le dernier acte, Cape Blanche mon justicier a mangé sa cousine Juliette dont il est amoureux et rendu sa cape à Anaïs, renvoyant au néant les univers alternatifs mais se privant aussi de ressusciter Juliette.
Mon perso est également possédé par le cadavre qu'il a incarné, est recherché par la police pour le meurtre de Juliette.
Mon problème est le suivant. Stéphane n'est plus un justicier, il est pourchassé, en quête d'argent pour quitter le pays. Aidé par une mystérieuse femme du nom de Victoria, il tente de fuir la police...
Mais la sauce ne prend pas.
J'ai vraiment conclus, annoncé et expliqué que je passais à un nouveau chapitre de ma série, plus de justicier, mais le nouveau caractère du héros possédé est inbuvable. J'ai instauré une voix off pour connaître les pensée du héros et je la trouve mauvaise. Que dois-je faire ?
Salto arrière, ressusciter Juliette, retour de la cape etc.
M'engager sur une autre voix mais laquelle, je n'ai pas de fil rouge.
Partir sur toute autre chose... C'est un peu l'idée de mon concept de saison 14.
Bref, je suis dans la merde, incapable d'écrire la moindre ligne, ce qui ne m'arrive jamais avec un héros que je n'aime plus.
Dois-je en changer ?
J'aimerai t'aider à résoudre cette question de fond, mais je ne trouve pas "1997". Tu l'as posté sur le forum ?
J'aimerai le lire parce que je ne comprends pas tellement en ayant que ce résumé... :/
C'est une série. Chaque épisode suit l'autre. Je n'ai posté qu'un épisode sur 344 : Infini. Et il n'a pas eu de succès donc j'ai commencé à poster Conscience mais c'est aussi un vieil épisode. Mais au besoin je peux détailler.
Ok je regarde rapidement Infini mais c'est super déroutant, tu nous lances le 16e épisode de la saison 9...!
Conscience se déroule pendant la saison 11 et si je comprends bien La Prisonnière du Castel est un roman "spin-off" ?
T'as l'air d'avoir une oeuvre maousse dont tu ne nous présente que quelques éclats ! Dommage que tu ne nous fasse pas entrer dedans par le bon bout...
Je vais tenter de lire tout ça. Déjà, je comprends que Stéphane deviendra Cape Blanche, un super héros. Mais après, "manger sa cousine", "détruire des univers alternatifs", "possédé par le cadavre qu'il a incarné", ça me laisse complètement incompréhensif.
Je comprends ce qui ne te va pas dans ton nouveau héros (possédé). Mais je ne sais pas du tout ce qui a amené à ça et pourquoi, ce qui est nécessaire dans le déroulement, etc...etc...et je ne peux pas t'aider à trouver un nouveau cap si je ne comprends pas les origines ^^'
Si plutôt que de t'aider à trouver un nouveau cap, nous t'aidions plutôt à trouver une nouvelle cape ?
Victoria peut en fait s'avérer être la matérialisation humaine de son ancienne âme de justicier.
Ainsi le mènerait-elle, en l'aidant à fuir la police, jusqu'au pôle nord. Où, au sommet d'un glacier, Stéphane trouverait la cape ultime, la cape bleue. Cela annulerait la possession qui est la sienne et lui permettrait de créer un ultime univers alternatif, où tous les personnages de la série seraient encore vivants.
Stéphane, devenu Cape Bleue, y combattrez son dernier ennemi, une sorte d'ombre de lui-même ; dans le château de son enfance.
24 bits : Ok je regarde rapidement Infini mais c'est super déroutant, tu nous lances le 16e épisode de la saison 9...!
Exact, je n'aurais pas dû. Il existe trois manières de rattraper la série. En fait 4.
Le premier épisode mais il est écrit comme un gamin de 13 ANS
La saison 6, les épisodes de 2004
La saison 10 et l'épisode 6 : Création avec la seconde mission de Cape Blanche.
Et la prisonnière du Castel. Un spinoff intégré par la suite dans 1997 en season finale de la S8 et dans laquelle les persos se baladent en S9
J'ai pensé qu'une bonne introduction se ferait avec l'épisode infini mais il condlut en ouvrant plus qu'il n'ouvre donc c'était une erreur.
Je n'ai en fichier mes textes que depuis la s8, avant, je n'ai pas sauvegardé mais imprimé et laS6 est en partie écrite à la main.
"Conscience se déroule pendant la saison 11 et si je comprends bien La Prisonnière du Castel est un roman "spin-off" ?"
Pour le spinoff, c'est ça et conscience est une baznale mission de cape blanche et l'héroïne est resituée au début de l'histoire en faisant un looner, une histoire de zombie pas du tout mythologique.
"T'as l'air d'avoir une oeuvre maousse dont tu ne nous présente que quelques éclats ! Dommage que tu ne nous fasse pas entrer dedans par le bon bout... "
Je suis d'accord mais qui voudrait lire les cahiers d'un gamin de 13 ans ?
"Je vais tenter de lire tout ça. Déjà, je comprends que Stéphane deviendra Cape Blanche, un super héros. Mais après, "manger sa cousine", "détruire des univers alternatifs", "possédé par le cadavre qu'il a incarné", ça me laisse complètement incompréhensif.
Je comprends ce qui ne te va pas dans ton nouveau héros (possédé). Mais je ne sais pas du tout ce qui a amené à ça et pourquoi, ce qui est nécessaire dans le déroulement, etc...etc...et je ne peux pas t'aider à trouver un nouveau cap si je ne comprends pas les origines ^^' "
Ouais bon là, j'ai pas été clair, je vais vous expliquer.
Ed :
Pour Victoria, carrément que oui ! Je prends l'idée.
Le glacier rappelle par contre trop la forteresse de solitude de Super.
Et Cape bleue, ça sonn bien. L'ennemi ultime, c'est Cape Rouge. Le combat dans le chateau est une bonne idée. Par contre, je n'ai pas envie de conclure. C'est une histoire qui durera une vie, c'est pour ça que je ne réécris pas les scènes passées et c'est pour ça que c'est la même histoire.
Désolé, je ne suis pas plus avancé. A part mon crossover avec dexter, je ne vois pas trop dans quelle direction avancer.
Dois-je tourner la page du justicier, partir sur autre chose ? Revenir à la prisonnière ?
Sérieux, est-ce que vous pourriez m'aider, svp ?
je n'ai pas lu toute la série,mais tu pourrais transformer ton héros en un être consumé par la mort de Juliette et lui faire développer une haine insatiable contre ceux qui l'ont provoquée(genre Anaïs, qui lui a donné la cape si j'ai bien compris)
Il chercherait alors a se venger et construirait des machine slui permettant de voyager dans diverses dimensions,afin de donner la chasse a ces êtres supérieurs.
Ton travail est super personnel. Comme tu l'as dit, c'est l'oeuvre d'une vie. Et partant de là, je ne vois pas au juste en quoi on pourrait t'aider. C'est ton monde, ton univers, et on ne peut pas vraiment intervenir.
Pour ma part, en tout cas, je ne crois pas pouvoir t'aider. Ne serait-ce que parce que je ne connais à peu près rien de ton univers ; et ensuite, parce que comme je te l'ai dit, c'est une oeuvre trop personnelle, complètement empreinte de toi. Ton scénario global est quand même très particulier, ce n'est pas le genre de choses que je lis et encore moins que j'écris.
Donc voilà. Je ne comprends même pas pourquoi tu cherches de l'aide. Tu voudrais laisser des éléments extérieurs imposer leur marque sur ton travail ? Je pense que tu trouveras des réponses en toi-même. Je ne peux malheureusement pas t'aider plus que ça.
C'est très difficile, après coup et par expérience, d'intégrer des éléments externes. La seule vraiment efficace, c'est celle concernant des éléments plus technique, comme les articulations de l'intrigue, plutôt que de donner des idées pour l'intrigue elle-même.
Bon, je ne réponds pas à la question dans le 345 et dans le 346, je m'attacherai à Victoria donc ça me va.
Le conseil du jour... je devrais plus souvent aller sur ce topic, c'est :
Ma série s'appelle 1997.
Avez-vous une idée de sous-titre maintenant que d'autres auteurs interviennent et que je m'ouvre à d'autres univers ?
Bonjour,
J'ai un écrit d'invention à rédiger pour la semaine prochaine et les seuls restrictions sont d'utiliser le discours indirect et indirect libre (pas le direct en gros). C'est ce que j'ai fait mais pour le dénouement j'aimerais qu'un personnage écrive une lettre à un autre personnage et que celle-ci soit restituée dans le texte. Ça pourrait ressembler à ça : Cher...
Je dois te dire que...
Cependant vois-tu il est des jours...
Signé ton ami...
Ma question est donc simple : ai-je le droit de procéder ainsi ?
Merci.
Je ne connais pas tes consignes exactes mais dans une lettre justement, c'est du discours direct me semble-t'il.
j'écris pour moi... et comme on me dit que je ressemble à un loup-garou, j'écris un roman ( enfin j'essaye ) parlant de nos chers lycanthropes mais mon problème est le suivant :
- C'est un roman journal intime mais est-ce que je pourrai changer de style ( reprendre une écriture normal ) dans le même écrit ?
Merci de vos réponses !