Création

Alrighty, merci de ton aide

Salut à tous.

Je viens d'écrire un passage sur un bar, et j'ai voulu en faire une description intéressante, dites-moi ce que vous en pensez !

"« Chaleurs d’alcools » était un bar typique des plages Floridiennes. Le comptoir était en bois parsemé d’innombrables brindilles, éclairées par des lanternes de diverses couleurs, allant du rouge jusqu’au vert. Les chaises étaient des tabourets, disposés autour de petites tables rondes. Il suffisait de faire quelques mètres pour avoir les pieds dans le sable et profiter de l’ambiance. Certains dansaient autour d’une entrainante musique exotique, pendant que d’autres n’en faisaient profiter que leurs oreilles. Dans la nuit, on pouvait même apercevoir des baigneurs, inconscients du danger entre la mer et l’alcool. Tiens, l’alcool, parlons-en. Il était l’élément central de ce florilège de rires et de gestes, comme indispensable à la joie. Passant à toutes les teintures, coulant à tous les degrés, il pouvait bénir comme maudire ses buveurs. Souvent, il jaillissait de leurs gosiers et finissait au fond des toilettes, trop fort, trop puissant, trop rude, pour tous ces hydropathes et ces allergiques à l’eau. Malgré ses défauts, il restait digne, vestige d’une ancestrale noblesse, fier d’être l’origine de tant de rires et d’embrassades."

Chaleurs d’alcools » était un bar typique des plages Floridiennes. Le comptoir était en bois parsemé d’innombrables brindilles, éclairées par des lanternes de diverses couleurs, allant du rouge jusqu’au vert. (jusqu'au est un peu lourd, "au suffit selon moi)
Les chaises étaient des tabourets (maladroit comme formulation),
disposés autour de petites tables rondes. Il suffisait de faire quelques mètres pour avoir les pieds dans le sable et profiter de l’ambiance. Certains dansaient autour d’une entrainante musique exotique, (j'adore!)
pendant que d’autres n’en faisaient profiter que leurs oreilles. Dans la nuit, on pouvait même apercevoir des baigneurs, inconscients du danger entre la mer et l’alcool. Tiens, l’alcool, parlons-en. (ça casse le rythme)
Il était l’élément central (ça fait très scolaire :/)
de ce florilège (floridège?
de rires et de gestes, comme indispensable à la joie. Passant à toutes les teintures, coulant à tous les degrés, il pouvait bénir comme maudire ses buveurs. (j'aime! --> je vois défiler les cocktails là!)
Souvent, il jaillissait de leurs gosiers et finissait au fond des toilettes, trop fort, trop puissant, trop rude, pour tous ces hydropathes et ces allergiques (dénote avec le reste du texte)
à l’eau. Malgré ses défauts, il restait digne, vestige d’une ancestrale noblesse, fier d’être l’origine de tant de rires et d’embrassades (superbe fin, mais "malgré ses défauts"... c'est du surconsommé et ça déforce :/)

Sinon, super description, j'ai l'impression d'y être :3!!!!! Bref, j'adore :3 On sent l'ambiance festive, exotique, mais aussi le côté malsain de la chose, limite les rires trop gras, les cris trop fort, le mal de ventre, la nausée, les toilettes avec les graffitis, etc. ^^

Je suis entièrement d'accord avec Abra !

(en revanche, le mot c'est bien "florilège", pas d'erreur là-dessus ^^)

Quelques ajouts :

"allant du rouge jusqu’au vert" --> ohlàlà, quelle gradation incroyable ! Tu pourrais donner plus de couleurs pour encore mieux rendre l'ambiance, ou te contenter de mieux rendre l'impression multicolore que te font les lanternes.

"des plages Floridiennes" --> floridiennes est moche (et ne prend pas de majuscule). Pourquoi pas "de Floride", tout simplement ?

"Les chaises étaient des tabourets" --> Maladroit. Pourquoi ne pas parler de tabourets directement, dans ce cas ? Tu peux directement évoquer les tabourets disposés autour des tables...

"Il suffisait de faire quelques mètres pour avoir les pieds dans le sable et profiter de l’ambiance." --> Ah beh voilà ! :D

"Certains dansaient autour d’une entrainante musique exotique, pendant que d’autres n’en faisaient profiter que leurs oreilles" --> La formulation sur la fin est un peu maladroite. Et pourquoi ne pas nous décrire plus la musique ? Au moins le genre ! Et puis parler du rythme et de ses effets sur les danseurs enfiévrés, etc.

"Tiens, l’alcool, parlons-en." --> J'appuie le commentaire d'Abra : ça casse totalement le rythme. Le "tiens" et le "parlons-en" introduisent à la fois une digression (tu dévies de ton sujet) et une distanciation du narrateur vis-à-vis de la scène ; distanciation qui est subjective, pas neutre.

Et du coup, toute la fin :
" il pouvait bénir comme maudire ses buveurs. Souvent, il jaillissait de leurs gosiers et finissait au fond des toilettes, trop fort, trop puissant, trop rude, pour tous ces hydropathes et ces allergiques à l’eau. Malgré ses défauts, il restait digne, vestige d’une ancestrale noblesse, fier d’être l’origine de tant de rires et d’embrassades."
...n'est perçue que par le prisme de cette digression que tu as introduite. Sans compter le léger côté moralisateur qui transparaît.
Un conseil donc : ne juge pas, décris. Tu peux évoquer avec force ces mêmes faits, et comme dit Abra "l'ambiance festive, exotique, mais aussi le côté malsain de la chose, limite les rires trop gras, les cris trop fort, le mal de ventre, la nausée, les toilettes avec les graffitis, etc.", sans nous gratifier d'un jugement sur ces braves hydropathes.
Une fin montant vers un tourbillon de sensations, où justement se mêleraient ces aspects "positifs" et "négatifs" de l'ambiance, serait intéressante. Enfin, tout dépend aussi de la nature de ce texte : petit one-shot ? Inséré dans un texte plus large ? Et comment ? Etc.

C'est juste une description dans mon roman, rien de plus ! Le héros a rendez-vous avec une femme dans un de ce bar.

Merci pour toutes vos précisions, j'en prend note !

Voici les corrections au niveau de la forme, à vue de nez. C'est mieux ?

« Chaleurs d’alcools » était un bar typique des plages de Floride. Le comptoir était en bois parsemé d’innombrables brindilles, éclairées par des lanternes de diverses couleurs, allant du rouge au vert, sans oublier le jaune ni le blanc. Les tabourets étaient disposés autour de petites tables rondes. Il suffisait de faire quelques mètres pour avoir les pieds dans le sable et profiter de l’ambiance. Certains dansaient autour d’une entrainante musique exotique, pendant que d’autres n’en faisaient profiter que leurs oreilles. Dans la nuit, on pouvait même apercevoir des baigneurs, inconscients du danger entre la mer et l’alcool. Lui, il était le centre de ce florilège de rires et de gestes, comme indispensable à la joie. Passant à toutes les teintures, coulant à tous les degrés, il pouvait bénir comme maudire ses buveurs. Souvent, il jaillissait de leurs gosiers et finissait au fond des toilettes, trop fort, trop puissant, trop rude, pour tous ces hydropathes et ces allergiques à l’eau. Mais, il restait digne, vestige d’une ancestrale noblesse, fier d’être l’origine de tant de rires et d’embrassades.

Je débarque, mais perso je trouve ça effectivement mieux que la première version. Chouette petite description qui met bien dans l'ambiance des lieux

Arf, j'oublie toujours ces poissons ^^

Al!!!! Non, mais! Je sais qu'on dit Florilège :'( mais c'était un jeux de mot parce que c'est un bar de floRIDE (Bouhouhouhou!)

http://goo.gl/dQXF1b

Encore désolé pour ta blague, Abra, j'ai été un gros boulet sur ce coup

La description est mieux !

Abra n'est actuellement pas disponible(en train de préparer le noeud coulissant)

Salut à tous

Je suis en pleine relecture donc je m'intéresse un peu à la forme de ce que j'écris. Après avoir sauvagement dégagé mes adverbes inutiles (c'est raté pour cette phrase), je me suis rendu compte que je ne faisais jamais de comparaisons. Ni de métaphores. Je n'écris pas comme un simplet non plus, mais je ne suis pas franchement lyrique. Est-ce que vous trouvez ça embêtant pour un lecteur ? Je pense que ça ferait... bizarre que j'en rajoute à la volée pour "faire bien".

Mouais, je pense aussi que ça ferait bizarre si tu en rajoutais juste pour en rajouter. Ça risquerait fort de ne pas bien s'imbriquer avec le reste puisque ç'aurait été mis là un peu comme un cheveu sur la soupe, et de dénoter par rapport au reste :/

Après les comparaisons et les métaphores, c'est pas obligatoire non plus. Je pense qu'il y a moyen que ça rende bien sans ça, dans l'absolu, mais sans lire ton texte je peux pas t'en dire beaucoup plus, ça dépend de ton style à côté ^^

J'ai un style assez normal et des fois un peu sarcastique je dirais, mais pas pompeux. J'ai développé une allergie à ça sans comprendre comment

Balance un morceau, qu'on voie !
Sans lire ton style, on ne pourra pas t'être de très bon conseil.

Ok, quand j'aurai un ordi par contre Comme j'ai voulu respecter le post numéro 1, j'ai rien cité.

Eh bah, c'était tendu de trouver un passage assez long sans dialogues, parce que ça ça va je pense Entre slashs, c'est en italique (pensées). C'est un peu hors-contexte, mais balancer 3 pages juste pour la forme ce serait moche Bref, Jean est un mec, Stéphane est son pote brun. Je crois que ça suffit au contexte du passage.

Chaque jour passait si lentement, au sein de la famille de Jean. Ils se levaient à l’aube et lisaient les nouveaux tracts du jour, quelle qu’en fût leur provenance. S’il n’y en avait pas, ils en écrivaient des faux en pouffant silencieusement avant de les déchirer en mille morceaux et de les brûler. Jean adorait inventer des textes et les dicter au révolutionnaire brun en prenant un ton résolu à la Saint-Just. Stéphane maîtrisait la lecture et l’écriture, contrairement à son ami qui déchiffrait les tracts avec difficulté.

Leur routine était immuable depuis la prise de la Bastille, et la seule preuve qu’ils ne vivaient pas en-dehors de tout était le manque de nourriture. Leur sentiment de sécurité était factice et ils le savaient, mais Stéphane trouvait son ami imprudent. Pour obtenir mieux que des pommes de terre, Jean était prêt à être insolent en public. /Il ne faut surtout pas se faire remarquer, mais il n’arrive pas à le comprendre ! Si je ne vivais pas avec lui, il serait mort depuis quatre ans./

Bonsoir

Je suis içi car je voudrait faire un roman sur les vampires, et je voulait avoir votre avis sur la fiche de mon personne principal :

Nom : James

Prénom : Thomas - Tom

Âge : 20~

Sexe : Masculin

Famille :

Il vit seul à Chicago, dans la maison de ses parents qui sont décédé lorsqu'il avait 16 ans.
Ses oncles et tantes sont dispersés un peut partout dans l'Amérique, et certains vive même à l'étranger, telle que Brad qui est en Australie. Son oncle Peter et sa tante Maggie lui on proposés de venir habité chez eux, en Louisiane, mais il refusa.

Métier : Serveur dans une taverne, et n'ayant pas de diplôme, il accepta ce job pour payer les factures.

Lieu de vie :
Chicago, l'une des plus grande ville des Etats-Unis, dans le nord-est de l'Etat de l'Illinois.
Il habite seul dans la maison de ses parents (décédés). Une petite maison de 60m2. Il n'y a pas d'étage, et les pièces sont assez minuscules, mais cela lui suffisait. Il avait laisser la chambre de ses parents telle quelle, et s'y retrouvait tous les jours, contemplant la photos d'eux posé sur la table de chevet.

Particularités physiques :
Visage

cheveux blond vénitien, comme son père, assez long pour lui tomber sur le frond. Aller au coiffeur est assez chère, donc il y va rarement, préfèrant économiser pour sortir avec ses amis ou Carlie.
yeux bleu
Suite à une bagarre, Tom à le nez qui part légèrement de travers.

Corps
Avec son teint pâle qui lui donne l'impression d'avoir passer une mauvaise nuit, ses amis le taquine souvent sur ce sujet en le comparant à un vampire.
Il à quelques kilos en trop, mais il les assumes pleinement. Par moment, Tom se dit qu'il devrait se mettre au sport.

Vêtements
Il s'habille assez simplement. Le plus souvent il porte une chemise (parfois avec des carreau) et un jean, troués par endroit.

Traits de personnalité :
Fan de sport, surtout de Football Américain, qu'il pratiquait à l'école. Il aime faire des passes de ballon avec Micheal à Lincoln Park.
Lorsqu'il à quitter l'école, Tom n'a pas garder contact avec ses anciens amis sauf avec Micheal, en qui il a une profonde amitié. D'après lui, c'était le seul qui le comprennait vraiment et en qui il avait vraiment confiance. Depuis le garçon a du mal à faire confiance au gens.
La musique qu'il apprécie le plus est le Jazz, mais sa lui arrive d'écouter du Rock comme Nickelback.

Accessoires : Il ne porte rien de particulier, sauf la bague en argent de son père et quelques petits bracelets sans valeurs.

Relations les plus importantes pour le roman :
Carlie, sa girlfriend
Ils vivents une relations assez fusionnels depuis 3 ans. Le couples essayent de se voirent le plus souvent, mais le travail de Carlie lui prend énormément de temps, ce qui agace par moment Tom, mais il le garde pour lui. Au printemps, leurs passe temps favorie est de se baladés dans Jackson Park, lieu où ils ont échangés leurs premier baiser.
Michael, son meilleur ami
Ami depuis l'école primaire, Tom entretien une grande amitié envers Michael, qui a toujours su être à ses cotés dans les moments difficiles. Ils partagents plusieurs points communs tel que le Football Americain ou pour la musique, mais se qu'il aime de le plus chez son ami c'est son grand sens de l'humour. Ce dernier arrive toujours à le faire rire (enfin presque!).

Tics/ expressions :
Tom à pour habitude de passer la main dans ses cheveux lorsqu'il réfléchit.

Antécédents :
Ses parents sont morts lorsqu'il avait 16 ans

Objectif principal : Tué Fédrick pour redevenir Humain. Ce ne sera pas facile, c'est pour cela qu'il aura besoin de l'aide de Will, pour en finir avec le vampire sanguinaire et ainsi sauver Carlie.

Merci à vous

Une réponse pour toi, Ezo' !

--> On s'en fiche d'être "lyrique". Une belle forme n'est pas forcément "lyrique" ou quoi que ce soit : une belle forme est réfléchie, maîtrisée et assumée.
Donc inutile de surcharger ton texte de métaphores, surtout placées artificiellement, pour "faire littéraire". Ça ne risquerait que de te desservir. Autrement dit, c'est bien comme ça.

--> Je serais curieux de connaître un peu l'univers que tu développes. Quand tu dis "brun", j'imagine que tu parles d'une appartenance politique, pas d'une couleur de cheveux. Qu'en est-il ?

--> Seul truc qui me gêne vraiment dans ton écriture : les pensées au présent qui rompent le temps de narration. C'est un peu indigeste / malvenu.

--> Après, le passage n'est pas assez long pour me faire une bonne idée de ton style (ou de son absence ).

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Et maintenant, une réponse pour toi, Carlos.

Premièrement :

« je voudrait faire un roman sur les vampires »
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Ensuite : ton personnage est décrit, mais pas vraiment "expliqué" ou "raconté". Bon, il a une petite amie et un meilleur ami, il aime le sport et il vit tout seul. Yeah, so what ? On ne sait rien de ses motivations, son caractère, sa nature profonde. C'est encore une silhouette en carton.

--> Normalement, à 16 ans, un gamin est placé chez ses proches, pas laissé à vivre tout seul, même s'il en fait la demande. Pas crédible, donc.

--> Pourquoi les USA ? C'est impossible de faire des bonnes histoires de vampire en France ? Ou est-ce que tu espères vendre ton roman internationalement ? Hem hem hem.
Et en plus, écrire sur les USA demande un bon niveau de connaissance de la culture et de la mentalité du coin, quand on n'en est pas originaire.

--> "Taverne". C'est rigolo, il me semble qu'à notre époque, et surtout aux USA, il y a des bars, des pubs, des diners et des restaurants... Mais des tavernes ? C'est Chicago au Moyen-Âge ?

--> « Avec son teint pâle qui lui donne l'impression d'avoir passer une mauvaise nuit, ses amis le taquine souvent sur ce sujet en le comparant à un vampire. »
Oh là là, je ne me doute pas du tout qu'en fait, c'est vraiment un vampire. Donc : cliché à éviter !

--> « Il à quelques kilos en trop, mais il les assumes pleinement. Par moment, Tom se dit qu'il devrait se mettre au sport. » : S'il pense ça, c'est qu'il n'assume pas tellement, à mon avis...

--> « mais sa lui arrive d'écouter du Rock comme Nickelback. »
Attends, tu veux dire que tu considères Nickelback comme étant... de la vraie musique ? (pardon.)
Et forcément, tu n'as pas pu citer un seul nom en jazz, pas vrai ?

--> « Tom à pour habitude de passer la main dans ses cheveux lorsqu'il réfléchit. »
Ah, quel beau gosse. Sérieusement, tout le monde fait ça...

--> « cheveux blond vénitien » : oh, comme la coupe peroxydée du chanteur de Nickelback ?

--> « Objectif principal : Tué Fédrick pour redevenir Humain. Ce ne sera pas facile, c'est pour cela qu'il aura besoin de l'aide de Will, pour en finir avec le vampire sanguinaire et ainsi sauver Carlie. »
Ah, voilà bien une intrigue originale et dénuée de clichés déjà vus mille fois !
...Ah, tiens, pas vraiment, en fait. À retravailler, donc.

Conclusion : y a du boulot ! Avant de te lancer dans un roman, fais quatre choses :
1/ améliore ton français, ton orthographe, ta conjugaison, parce que là ça gêne vraiment la lecture
2/ lis beaucoup
3/ renseigne-toi sur les gros clichés à éviter
4/ commence par t'entraîner sur des textes plus petits qu'un roman entier.