Mouais. Disons qu'un film d'horreur peut enchaîner deux trois screamers et faire sursauter à chaque fois, à l'écrit je vois mal comment ça passerait, ou alors tu tapes dans la littérature surréaliste si tu veux vraiment tomber sur du nawak à chaque phrase.
Hmm, intéressant, j'avoue qu'en tant que psychorigide je suis assez sensible à ce genre de détails
Merci beaucoupp
Le 08 janvier 2017 à 15:41:09 CaramelMorbide a écrit :
Mouais. Disons qu'un film d'horreur peut enchaîner deux trois screamers et faire sursauter à chaque fois, à l'écrit je vois mal comment ça passerait, ou alors tu tapes dans la littérature surréaliste si tu veux vraiment tomber sur du nawak à chaque phrase.
Perso les screamer ça va bien 2 secondes mais ça te poursuit pas après, exception faite à celui du court film de Light's out qui m'a fait changer de lampe de chevet
Je garde un souvenir peu agréable du horla de maupassant que j'avais lu y a quelques années de cela, idem pour ça de King mais je n'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui angoisse, parce qu'à côté lorsque je lis un ASOIAF, je n'ai JAMAIS peur pour les personnages par exemple; ce qui contraste de ouf avec cette sensation de gêne, d'angoisse que j'ai quand je referme Radckiffe ou un King
Awi, Lights Out aussi a fait revenir la peur du noir de quand j'étais gosse.
Sinon dans ASOIAF y a un seul passage que j'ai trouvé un peu dérangeant, c'est quand Jon a capturé des morts-vivants et les garde dans une cellule sous le mur pour les étudier. Là y avait un peu cet effet "vallée dérangeante" où t'es face à un truc un peu humain mais pas trop quand même... Mais bon c'était pas très fort, ASOIAF c'est pas des livres à faire peur.
Je veux dire, avoir peur pour un personnage, pour la vie d'un personnage
Le mariage pourpre ne m'a rien fait, la fin de ADWD non plus
Jamais je n'ai titillé pour un personnage dans une oeuvre de Martin, contrairement à Riordan qui même s'il n'est pas comparable en terme de style, de contenu (parce que Percy Jackson voilà quoi), j'ai sérieusement flippé pour la vie d'Annabeth à certains moments
Ah, mais on parle plus de la même peur du coup, c'est différent. Perso les Noces Pourpres m'ont bien foutu le seum quand même, et y a deux trois autres moments où je me mordais quand même les doigts. ça je sais pas du tout à quoi c'est dû, quels sont les facteurs qui font que ça marche ou pas...
Mais en tout cas pour faire peur, pour déranger, la technique de la vallée dérangeante marche toujours assez bien, en tout cas chez moi.
Le 08 janvier 2017 à 16:00:24 CaramelMorbide a écrit :
Ah, mais on parle plus de la même peur du coup, c'est différent. Perso les Noces Pourpres m'ont bien foutu le seum quand même, et y a deux trois autres moments où je me mordais quand même les doigts. ça je sais pas du tout à quoi c'est dû, quels sont les facteurs qui font que ça marche ou pas...
Mais en tout cas pour faire peur, pour déranger, la technique de la vallée dérangeante marche toujours assez bien, en tout cas chez moi.
En fait je parlait de la peur en tant qu'angoisse dans le 1er
Puis j'ai divergé vers l'appréhension dans un second temps
J'vais essayé de m'y pencher sérieusement parce que sinon ça risque de rendre ridicule
Bonjour c'est encore moi (on va mettre sur le compte du fait que je débute )
Je me heurte à un problème en terme de division de mon roman puisque j'hésite entre deux formes
La première:
Chaque chapitre est basée sur le point d'un vue d'un personnage, et un changement de point de vue signifie un changement de chapitre. L'ennui est que les événements itinérants à chaque personnage ne méritent pas forcément un nombre de pages similaire (ex: premier chapitre 5000 mots, deuxième 3000 mots, troisième 7000 mots)
La deuxième:
Chaque chapitre est divisé en plusieurs pdv (dont les changements sont signalés) afin d'éviter les gros déséquilibres, mais cela crée parfois un problème de cohérence temporelle (puisque les événements se déroulent pas forcément à la suite, mais en même temps, ou bien plus tard)
Vous savez tout de mon dilemme
Fais un chapitre par pdv, c'est beaucoup moins lourd et ça permet des petites ruptures dans le rythme des chapitres, ce qui est pas mauvais. Enfin je trouve.
Le 08 janvier 2017 à 19:22:50 ghiralink a écrit :
Bonjour c'est encore moi (on va mettre sur le compte du fait que je débute )
Non moi j'aime bien, ça donne à ce forum son purpose
Je me heurte à un problème en terme de division de mon roman puisque j'hésite entre deux formes
La première:
Chaque chapitre est basée sur le point d'un vue d'un personnage, et un changement de point de vue signifie un changement de chapitre. L'ennui est que les événements itinérants à chaque personnage ne méritent pas forcément un nombre de pages similaire (ex: premier chapitre 5000 mots, deuxième 3000 mots, troisième 7000 mots)La deuxième:
Chaque chapitre est divisé en plusieurs pdv (dont les changements sont signalés) afin d'éviter les gros déséquilibres, mais cela crée parfois un problème de cohérence temporelle (puisque les événements se déroulent pas forcément à la suite, mais en même temps, ou bien plus tard)Vous savez tout de mon dilemme
Solution 1, très clairement. C'est ce que je fais. Si les chapitres n'ont pas la même taille ce n'est pas grave
Apparemment l'option 1 fait l'unanimité
Parfait, merci les gens
Que préférez-vous entre "chronaute" et "chrononaute" ?
Le 08 janvier 2017 à 23:27:43 Ostramus a écrit :
Que préférez-vous entre "chronaute" et "chrononaute" ?
J'aime aucun des deux, mais Chronaute ça fait moins dégueux
D'ailleurs Ostra, à quand cet IRL ?
Tu es sur Bordeaux ?
Certes
Le 08 janvier 2017 à 15:38:25 Sadenigma a écrit :
"La plupart des gens se trouvent troublés quand une phrase ne se termine pas comme ils l'avaient patate."
https://www.youtube.com/watch?v=NjInxr00T7w
L'intérieur du poignet aussi
Mordre les couilles très fort
S'il fait arfghhhhheaaaaaaaaggghhaaaaaaa en principe il est vivant
Le décapiter. T'as plus de doutes
Ben faut pas qu'il s'étonne de crever s'il sort dea cuisine, alors.