je me répète j´ai adoré. Pas à dire, c´est de mieux en mieux!
o fait on aura le droit a un cadeau de nouvel an aussi?
Super ! J´ai adorer le passage quand Harry regarde le chemain de traverse par les yeux de Voldemort! On sent bien qu´il n´y a presque plus d´espoirs pour les sorcier.
Merci pour vos précieux coms, qui me redonnent confiance quand j´en pers ne serait-ce qu´une once, et sans lesquels j´aurais sans doute arrêté depuis longtemps^^.
Tati Merci à toi de passer partout où je poste ma fic .
Darkdark Merci beaucoup pour ton com qui montre que j´ai eu l´effet escompté^^.
Mais je souhaite tout de même vous demander, chers lecteurs, de ne pas oublier les rares moment de joie contenus dans ma fic^^. Ils ont leur importance...
slt!! je n´ai pas encore lu ta fic dans son intégralité, mais tout ce que je tenais à te dire, c´est qu´elle est vraiment géniale!! Certes, tu n´atteindras peut-être jamais le niveau de JK.R, mais personellement, je trouve que la manière dont tu t´es approprié son univers est tout simplement...fantastique!! Quand je lis tes textes, j´ai vraiment l´impression d´y être, tout comme les HP de JK.R!!
bref tout ça pour te dire de ne pas te décourager même si il y a pas trop de coms(enfin j´suis qu´au chapitre 14 mais c´est ce que j´ai constaté et c´est dommage) j´espère que tu vas continuer jusqu´au bout!!
Fantastik ! jai tout lu en 3jours , et je trouve ke tu a un enorme talent ...
le seul probleme est que avant , j´avais tout les chapitres a la suit mais maintenant ... je vais devoir attendre !! !
Bref , toutes mes felicitations ....
Et... a quand la suite ?
bienvenue a tout les deux
Cloe_angel----> t pa la seule que sa enerve
à vous .
Bienvenue à Lexaeus et à Cloe_Angel . Sachez que je n´ose plus tenter des prévisions pour les prochaines suites ; tout ce que je sais, c´est que cette fic devrait s´achever lors des prochaines vacances d´été .
Lexa J´ai plus de coms sur d´autres sites ou forums . De toutes manières, si je n´allais pas au bout de ce "projet" (faute d´un terme capable de désigner ce que représente l´écriture de cette première et sans doute dernière fic pour moi), je m´en voudrais sûrement toute ma vie^^. Ma tête contient maintenant (ça n´a pas toujours été le cas vu que, en effet, je ne serai jamais JKR) suffisamment d´éléments pour m´assurer de quoi tout écrire jusqu´au bout^^.
Je vais donc continuer .
Mais il faudra attendre pour la suite .
La suite, la suite, la suite...
rhaa, c galère maintenant que j´ai tout lu j´suis obligé d´attendre comme tout le monde, plus possible de s´enfiler trois chapitres d´un coup, arf!! mais bon, je compte sur toi jimpotter pour ne pas nous laisser nous, pauvres lecteurs, mourir d´impatience!!
Vite , la suite !
Désolé de vous avoir fait attendre^^. Voici une assez grosse suite, même si elle n´est peut-être pas exceptionnellement intéressante... mais ce n´est que le début du chapitre 25 : Inertio, qui devrait normalement vous intéresser quand vous l´aurez... dans son intégralité^^.
Bonne lecture :
25
Inertio
Harry ne fut guère surpris d’apprendre que tout ce qu’il avait vu dans son « rêve », tout sans exception – les Aurors et les volontaires luttant de façon égale contre les Mangemorts, l’Allée des Embrumes, extraordinairement calme, la dernière ligne de Mangemorts qui empêchaient les Aurors, en face de Gringotts, de stopper la torture à mort de cette malheureuse Mme Guipure, finalement froidement assassinée par Voldemort… Tonks, elle aussi, était bel et bien morte, et d’après l’examen de sa baguette, elle avait réellement commis le meurtre de Lucius Malefoy pour s’approcher de Voldemort… –, tout était vrai, tout jusqu’aux quelques Détraqueurs qui survolaient le Chemin de Traverse, éclairés aux derniers instants par le terrible message de Voldemort : « Joyeux Noël », aux couleurs vertes de la Marque des Ténèbres…
Tout, jusqu’à l’inexplicable présence, prise en otage, puis libération du professeur Trelawney, qui avait disparu depuis près de six mois… Elle avait été transportée à Ste Mangouste, à un niveau réservé aux personnes plutôt destinées à rester pour longtemps, pour des dommages causés par des sortilèges – il s’agissait de cette même salle où vivaient les parents de Neville. Apparemment, l’ancien professeur de divination avait complètement perdu l’esprit, proférant parfois des paroles dénuées du moindre sens, pour rester muette, les yeux grands ouverts, le reste du temps. En outre, elle avait tellement maigri qu’elle n’avait plus que la peau sur les os.
Harry s’était rendu avec le reste de l’Ordre du Phénix et de la famille Weasley à l’enterrement de Tonks, le dimanche suivant, ainsi que des quatre autres Aurors tués. La cérémonie en leur honneur et la mise en terre s’étaient déroulées à Londumor. A part ces cinq Aurors, trois « civils » volontaires avaient été tués dans le combat, et deux autres, dont la pauvre Mme Guipure, « qui n’avaient rien demandé à personne », avait déclaré Scrimgeour sur un ton extrêmement grave.
Dix pertes humaines, cela représentait un nombre non négligeable pour la communauté des sorciers, qui ne représentait même pas un millième de la population moldue ; mais comme l’avait souligné la Gazette du Sorcier, cela aurait pu, et même dû être bien pire. Voldemort n’avait pas remporté une victoire totale, il n’avait même pas gagné grand-chose… l’Allée des Embrumes se trouvait désormais dans la même situation que Pré-au-Lard et Azkaban, mais après tout, ce n’était que la concrétisation d’un fait déjà « avéré » depuis très longtemps. Le Chemin de Traverse, bien qu’ayant subi un coup mortel d’un point de vue moral, se trouvait toujours sous le contrôle du ministère… mais pour combien de temps ?
C’était la question que se posaient la plupart des sorciers et sorcières du pays – et même des autres pays, qui commençaient à s’inquiéter pour leur propre sécurité. Les Aurors s’étaient certes admirablement défendus, mais un seul Mangemort était mort : Lucius Malefoy. Et l’Allée des Embrumes, sous la coupe des Mangemorts, était collée au Chemin de Traverse qui semblait ne demander qu’à être absorbé à son tour par la folie conquérante de Lord Voldemort.
Ils passèrent le reste des vacances dans une ambiance morose, dépourvue de toute notion de joie, de bonheur, de gaieté… Ron et Hermione ne s’embrassaient plus, Harry n’osait plus ne serait-ce que penser à Ginny et lui, et la vigueur de Mrs Weasley paraissait s’être éteinte. Tous ne pensaient qu’à la disparition de Tonks.
Harry se demanda brièvement comment Drago avait bien pu réagir en apprenant la mort de son père, mais au fond, il s’en moquait… ou plutôt, il ne voulait pas y songer suffisamment longtemps pour éprouver la moindre compassion pour Malefoy.
Il préférait – plus exactement, il devait – se concentrer sur le tableau de Dumbledore. Il se préparait mentalement à être de nouveau confronté seul à seul avec le professeur McGonagall, et à lui faire ses excuses, tête baissée. Il serait également sans doute obligé d’avoir une nouvelle conversation avec le portrait, et la discussion ne pourrait alors que tourner autour de Rogue, et de cette éternelle phrase qui frappait et malmenait le cerveau de Harry depuis trois semaines…
Charlie était reparti en Roumanie, Fred et George dans leur boutique, sur un Chemin de Traverse soumis à une surveillance et une tension permanentes. Finalement, le dernier dimanche des vacances arriva et à quatre heures de l’après-midi, ils prirent la poudre de Cheminette qui devait les ramener en quelques secondes à Poudlard. Mrs Weasley parut très éprouvée de devoir à nouveau quitter ses enfants, mais elle fit de son mieux pour rester digne quand elle les serra affectueusement dans ses bras, ainsi que Harry, Hermione, et Neville, qui eut droit à sa première étreinte maternelle de Mrs Weasley.
– Appliquez-vous bien en cours. Je veux vous voir tous revenir avec vos ASPIC. Ne faites pas comme Fred et George, ne partez pas sur vos balais en cours d’année ! les avertit-elle avec un faible et triste sourire avant qu’ils ne s’infiltrent chacun leur tour dans la cheminée du Terrier pour scander : « Poudlard ! ».
Tandis qu’il voyait des dizaines de décors à travers diverses cheminées du monde des sorciers, Harry eut à peine le temps de songer que le conseil de Mrs Weasley n’était pas tout à fait hors de propos, compte tenu de son désir de plus en plus fréquent de quitter sa vie d’étudiant pour combattre Voldemort à plein temps. Mais Abel, avec qui il se retrouva nez à nez la seconde d’après, ne le laisserait pas partir si facilement…
Il se releva dans le bureau du directeur de Gryffondor en époussetant sa robe noire couverte de cendres, et s’écarta pour laisser Neville, Hermione, Ron puis Ginny s’écraser à leur tour sur le plancher de bois. Abelforth, déjà debout en face de l’âtre, les accueillit avec un des premiers sourires francs qu’ils voyaient depuis des jours. Apparemment, revoir ses quatre élèves particuliers l’enchantait.
– Bonjour, mes jeunes amis ; je suis heureux de vous revoir dans cette école, déclara-t-il d’un ton paternel. J’ai comme l’impression que vous retrouver dans le rythme des cours et des devoirs sera une excellente chose pour vous. Ces temps-ci, prendre des vacances, ce n’était pas une bonne idée…, ajouta-t-il en hochant sombrement la tête.
Aucun ne répondit. Cette remarque assez directe d’Abel les prenait au dépourvu. Harry savait que son professeur avait raison, mais pour le moment, il lui semblait que tout entrain l’avait quitté à tout jamais. Aussi mit-il un certain temps avant de réagir lorsque Abel s’adressa à lui :
– Harry, dit-il, j’aimerais vous voir dans mon bureau vers six heures. Ayez dîné à ce moment-là, s’il vous plaît.
Surpris, Harry finit par acquiescer silencieusement.
A défaut de dire bonjour, ils dirent au revoir à leur professeur et regagnèrent la tour de Gryffondor pour s’écrouler dans les fauteuils défoncés. Au bout d’un long moment de détente flegmatique, Ginny rompit le silence :
– Pourquoi est-ce qu’Abel veut te voir en privé ? demanda-t-elle, les sourcils froncés.
Considérant qu’elle était déjà au courant au sujet de la prophétie et des Horcruxes, Harry jugea qu’il pouvait sans risque supplémentaire répondre à Ginny :
– J’imagine qu’il veut continuer à m’enseigner des sorts ou des techniques de duel…
Il lui expliqua brièvement les « leçons » qu’Abel leur avait données avant Noël. Ginny ne parut pas du tout étonnée.
– Et il ne veut plus donner de cours particuliers qu’à toi ? Ça veut dire que ça va se rapprocher de la notion de duels… avec Voldemort, non ? demanda-t-elle, impassible.
– Sans doute, répondit Harry, qui sortait légèrement de sa torpeur en discutant de combattre Voldemort avec Ginny.
– J’espère que ça se passera bien pour toi, dit-elle simplement. Je vais voir si mes amis sont là, annonça-t-elle en se redressant brusquement. A plus tard.
Et elle fila vers le dortoir des filles. Hermione soupira ; Harry, Ron et Neville se retournèrent vers elle.
– Moi, dans l’immédiat, c’est pour vous deux que j’aimerais que ça se passe… mieux, déclara-t-elle en fixant Harry d’un regard hermionesque.
Elle soupira à nouveau et suivit Ginny dans le dortoir.
– Je vais défaire mes valises, dit soudain Neville qui se hâta de prendre la direction du dortoir des garçons.
– Apparemment, personne n’a envie de parler, remarqua Harry sur un ton morne et ironique.
– Attends qu’on retrouve un peu Poudlard, dit Ron sur le ton de la sagesse. Comme l’a dit Abel, il faut qu’on se replonge dans les devoirs et qu’on puisse penser à autre chose qu’à Voldemort et à… tout ça.
Il se tortilla d’une étrange façon dans son fauteuil, comme s’il avait voulu se lever à son tour avant de se rétracter. Irrité sans savoir pourquoi, Harry bondit de son siège.
– Ne te donne pas cette peine, c’est moi qui vais partir, dit-il d’un ton emporté. De toutes façons, je dois voir Gobe-Planche.
Et il se retourna, marcha d’un pas pressé puis franchit l’ouverture dissimulée par le portrait de la Grosse Dame. C’était comme s’il avait pris une bouffée d’air frais. De se retrouver à marcher seul, librement dans ce château, avec un but banal, mais précis, lui redonnait l’impression de vivre.
C’était vrai, Abel avait entièrement raison, il devait reprendre sa vie quotidienne… Soudainement animé, il dévala en courant les marches du château et se sentit revigoré par l’air pur du parc de Poudlard. Il prit la direction de la cabane de Hagrid. Mais lorsqu’il fut à quelques mètres de la maison de bois, il se rappela que la cabane n’était pas le bureau du professeur de soins aux créatures magiques, ni du garde-chasse : c’était une habitation construite par Hagrid, et donc certainement réservée pour le demi-géant.
A priori, Gobe-Planche ne devait donc pas y habiter ; mais Harry avait toujours ignoré où se trouvait son bureau. La seule fois où il avait eu besoin de la voir – pour soigner Hedwige –, il l’avait trouvée dans la salle des professeurs. Avec un peu de chance, peut-être s’y trouvait-elle en ce moment ?
Il se décida à retourner dans le château pour tenter sa chance mais une voix dure et forte – qui avait toujours été synonyme de l’absence de Hagrid – le retint.
– Vous voilà, Potter !
Il se retourna vers la forêt interdite. Le professeur Gobe-Planche s’avançait vers lui, sortant apparemment de la cabane de Hagrid, suivie par Crockdur qui se précipitait en aboyant joyeusement à la vue de Harry.
– Bonjour, professeur, dit celui-ci d’une voix un peu éteinte.
Il se sentait soudain beaucoup moins vigoureux, par rapport à la minute précédente.
– Bonjour, Potter, répondit poliment Gobe-Planche. Vous avez passé de bonnes vac… ? Non, bien sûr, s’interrompit-elle, embarrassée. Vous avez bien reçu ma lettre ?
Harry, en train de caresser légèrement la tête de Crockdur, se releva. Le molosse eut un aboiement de protestation, mais il n’en tint pas compte.
– Oui. Pourquoi vouliez-vous me voir ? questionna-t-il. Professeur ? rajouta-t-il en se souvenant qu’il ne parlait pas non plus à n’importe qui.
Le professeur Gobe-Planche parut encore plus gênée.
– Je voulais vous parler au sujet de l’héritage du professeur Hagrid, déclara-t-elle.
Harry fut un peu surpris. Il n’avait jamais envisagé un testament de Hagrid au même titre que pour Sirius ou Dumbledore. Harry avait toujours pensé que Hagrid n’avait pas grand-chose à léguer, hormis ses animaux. D’ailleurs, en principe, même s’il n’y avait quasiment aucun espoir, Hagrid n’était officiellement pas considéré comme mort mais comme disparu.
– Comment ça ? demanda-t-il.
– Eh bien, je m’occupe du chien et de l’hippogriffe du professeur Hagrid depuis trois mois…, dit Gobe-Planche.
– … c’est ce que j’avais entendu dire…, dit Harry.
– … et j’en ai profité pour « réaménagé » un peu l’intérieur de sa cabane, et ne pas la laisser à l’abandon. Désormais, j’ai été nommée garde-chasse et professeur de soins aux créatures magiques à plein temps. J’ai un bureau et un logement à Poudlard, comme les autres professeurs, mais pour mes fonctions, j’envisage une solution depuis quelques temps… Madame la directrice me l’a elle-même proposé pendant les vacances.
Elle marqua une pause en examinant Harry de son regard hésitant, puis reprit :
– Je pense à m’installer et habiter dans la cabane où vivait le professeur Hagrid – et du même coup devenir propriétaire de Crockdur et Ventdebout.
Elle se tut à nouveau et attendit la réaction de Harry, qui se demandait un peu pourquoi elle prenait tant de précautions.
– C’est une bonne idée, commenta-t-il d’une voix passive.
Il pensait en effet qu’il s’agissait de la meilleure solution, pour que le professeur Gobe-Planche puisse à la fois assumer ses fonctions d’enseignante et de garde-chasse, et s’occuper de Crockdur et de Buck. Il aurait toutefois préféré ne pas avoir cette impression si désagréable : le sentiment que Poudlard remplaçait totalement et définitivement Hagrid, en allant jusqu’à conférer au professeur Gobe-Planche les animaux et créatures propres au feu garde-chasse, et même sa célèbre cabane de bois…
– Vous trouvez ? demanda Gobe-Planche. C’est vrai que je me suis attaché à Crockdur, et même à Ventdebout, maintenant que je le connais mieux. Et j’adore enseigner dans cette école. La cabane peut aussi être aménagée sans problème et devenir un excellent bureau pour la matière que j’enseigne… Mais pourtant…
– Sans vouloir vous manquer de respect, professeur, est-ce que vous comptez enfin me dire en quoi tout ça me concerne ? s’impatienta Harry, qui en avait assez que l’on lui remue ainsi le couteau de la plaie de la mort de Hagrid.
– Normalement, à vous, ça aurait dû paraître beaucoup plus évident qu’à moi, répliqua Gobe-Planche, perdant ses airs hésitants et embarrassés pour froncer les sourcils. C’est le professeur McGonagall qui m’a demandé de vous en parler avant de décider quoi que ce soit. Comme le professeur Hagrid n’est pas officiellement mort, il n’y a pas de testament et de toutes manières, la plupart de ses biens appartiennent à Poudlard, mais Madame la directrice a jugé bon de vous demander votre avis sur la question car, selon elle, le professeur Hagrid vous aurait sans doute légué sa maison et ses animaux – pour être franche, c’est plutôt des animaux dont il est question. C’est une obligation purement morale à laquelle la directrice tenait absolument à se conformer, et comme je n’ai pas non plus un cœur de pierre, j’ai accepté de commencer par vous en parler. Et maintenant, je vous le demande : est-ce que vous souhaitez vous occuper de Crockdur ou de Ventdebout à ma place ?
Interloqué, Harry mit un bon moment avant de concevoir, fabriquer et finalement donner sa réponse très simple, évidente et courte :
– Non merci. J’aime beaucoup Crockdur et B… Ventdebout, mais je ne serais pas très doué pour m’occuper d’eux… Quant à la cabane de Hagrid, je suis certain que vous en ferez un bien meilleur usage que moi… Je suis… touché que le professeur McGonagall ait pensé à moi mais c’est vous qui succédez à Hagrid à Poudlard, pas moi. Au revoir, professeur.
Il retourna au château, complètement perdu dans ses pensées, laissées dans un drôle d’état. Après une conversation aussi étrange… ou plutôt, déprimante, sans intérêt autre que celui de se morfondre dans cette ambiance de mort perpétuelle à donner la nausée, à ressasser encore et encore les malheurs causés par Voldemort et leurs conséquences – c’était en tout cas l’effet que lui avait fait cette simple discussion avec Gobe-Planche –, Harry comprit qu’il était temps pour lui de retrouver une vie active et non passive et dépressive comme celle des onze jours passés après le Chemin de Traverse : il commençait à se faire peur à lui-même, et il venait d’avoir le « déclic » qu’il lui fallait.
Il se mit à errer en quête d’une activité constructive.
C´était à peine tros gros pour tenir en un post .
c cour mais c bon sinon pourquoi tu mets chapitre 25 c pas le chapitre 30 ou qqc comme ca?
je me répète mais que dire de plus, hein? Jim j´attends la suite.
encore parfai , jattends la suite aussi
vous trois ; merci de passer sur ce topic, Tati^^ .
Vegetabill J´ai fait une modification dans la division de l´histoire en chapitres :
1. Une dernière nuit à Privet Drive (= Un anniversaire très important)
2. Le nouveau quartier général de l´Ordre du Phénix
3. Alliances et Agressions (= Un dernier examen + Un mariage brutal)
4. Le début d´une quête périlleuse.
5. Les Ruines maudites (= Les Ruines maudites + Belles prises)
6. Echec au Prince (= Le pari + Echec au Prince)
7. L´amour et la mort (= Les Granger + Seigneur et Saigneur)
8. La terrible réalité
9. Moral, Oral, Brutal (= Moral, oral, Brutal = première partie de L´Elu en cavale)
10. L´Elu en cavale (= seconde partie de l´Elu en cavale + Réflexions)
11. Ouverture et réouverture
...
25. Inertio
Voilà .
ah ok
j´attends de voir la suite du chapître avant de me prononcer
vite la suite!
PS: jk rowling a annoncé la sortie du septieme tome pour le 21 juillet 2007 en angleterre