Arrivés devant la porte de la prison, le dodo leur dit: "Ne vous attendez pas à quelquechose d'extraordinaire...", et il ouvrit la porte.Dans le fond de la cellule gisait un homme torse nu, aux cheveux longs et à la barbe mal coupée."Je vous présente celui qui est roi depuis peu, voici le prince de perse."Le prince rangea sa peluche mario et s'approcha: "Allez vous enfin me libérer?Je veux ma dose de sable du temps!Je veux une dose!!!"Hurla-t-il, les yeux exorbités.A sa vue, le poulet qui avait découvert gérard fit un drôle de bruit et s'effondra sur le sol, agité de soubresauts et auréolé de lumiére."Dieux du ciel, il est touché par la marque des héros!", souffla le dodo roi...
Voilà, encore un héros et c'est bon
"Euh,il est pas dangereux votre prince,là?" demanda Gérard.Le dodo ne répondit pas,se contentant de lancer à Gérard un regard qui semblait dire: "je viens de te retrouver deux héros,alors si tu pinaille,je te fais bouffer tes deux pieds".Gérard n'insista pas et sortit du palais accompagné du poulet et du prince du perse.Gérard était heureux.Il y avait une légère brise qui soufflait sur son visage soulevant quelques grains de sable qui..."Du sable" , s'écria le prince, "à moi le sable,à moi!! Veut le sable,il est à moi,rien qu'à moi!!!!" Le prince se mit alors à manger du sable devant les yeux eberlués du poulet et de Gérard.
Quand il fut bien repu, et qu'il eut la peau du ventre bien tendue, le prince s'assit en poussant un soupir de satisfaction. Le poulet sortit une boussole de ses plumes et dit: "Bon, il y a une chaîne de montagne au sud, nous devrons la passer et traverser les contrées sauvages qu'il y a aprés.Je crois qu'il y a un mcdo dans 200 kilométres, allons-y!".Notre trio se dirigea donc vers le sud, devisant gaiement, chemin faisant...
"Dis donc",dis Gérard en s'adressant au prince "vu qu'on va se taper 200 kilomètres et que selon l'un des narrateurs,on devise gaiement,peux-tu nous raconter ton histoire?" Le prince répondit: "laquelle? Celle du fou qui repeint son plafond,une blague sur les blondes ou..." Voyant le regard dépité de Gérard,il commença son récit: "je suis le prince de perse.Je suis né il y a 243,6789568 années.J'ai découvert il y a de cela 220 ans une brosse à dents magique avec laquelle je suis capable de ne pas subir les effets du temps.Je peux,de plus,arrêter le temps durant un combat si l'ennemi est d'accord.En tout cas,je crois,les ennemis ne veulent jamais.L'inconvénient de cette brosse à dents,c'est qu'il me faut ma dose quotidienne de sable...sable!!! sable!!! xog,;nfdjnghkhdjhfghjgfdjfdhfdgh sable!!! kjglklfcxhgvfd;fdjhdhjdffk... Euh pardon,je disais donc il me faut une dose pour éviter ma décomposition accélérée,poil au nez.Et toi,le poulet,c'est quoi ton histoire?"
C'était long cette fois-ci.
Le poulet s'éclaircit la gorge."Moi?Eh bien je suis un simple poulet, je servais dans les cuisines et j'étais sans cesse maltraité.Le chef était le pire, il se moquait tout le temps de mon plumage, disant que c'étaient plus des poils que des plumes, il ne loupait pas une occasion de me rudoyer, diantre le vil manant, qu'est qu'il me faisoyer chier!Si je n'avais pas eu la présence d'esprit de simuler une crise et d'allumer une lampe dans mes plumes, tout à l'heure, je serais encore là bas!"
Le poulet soupira, "je vous préviens tout de suite, j'ai le vertige et je vomis si je suis content..."
Dépité, Gérard dit alors cette phrase qui restera dans les annales, la phrase que tout le monde retiendra en entendant son nom: "Rognignou, que les narrateurs m'épilent les sourcils avec une tronçonneuse si je mens!Toi vivant...Tu seras toujours vivant."Le prince, quant à lui, dit: "Jouez aux jeux video, et vous connaittrez ma fantastique histoire, bon le mcdo est dans 189 km, on ferait mieux de se presser."
Mais c'était sans compter sur...
...cette phrase complétement naze que l'autre narrateur veut que je termine.En fait,le voyage se déroula sans accroc.Ils marchèrent durant une semaine tout entière.Le voyage épuisa quelque peu le prince qui dévora la moitié du sable du désert,mais rien de grave,à part que Gérard eut un cancer du poumon à force de fumer les plumes du poulet.Une fois arrivé à Mcdo,Gérard se demanda ce qu'ils étaient venu y faire.Le prince dit alors à Gérard qu'il rêvait de se faire 100 Big Mac en 2 minutes et ainsi battre le record du monde détenu par Louis XVI soupapes.Gérard se frotta les yeux,pleura quelques heures durant en rêvant de tuer un certain prince et décida finalement lui aussi de tenter de battre ce record.
De l'action,du suspens
100 bigmac plus tard, nos 3 compéres digéraient tranquillement, assis sur les marches du mcdo, quand ils virent au loin une silhouette.Cette silhouette grandit, grandit, et finalement ils se retrouvérent face à un homme au visage anguleux, à la barbe striée de blanc et au chapeau de cowboy noir.Il portait à sa ceinture 2 pistolets différents, l'un à la crosse de nacre, l'autre...différent.Sa large veste claqua dans le vent quand il dit: "je suis l'homme de Jérusalem, du moins c'est mon surnom, vous pouvez m'appeler John Shannow."
suspens
"Ok,l'homme de Jérusalem" répondit Gérard, "qu'est ce que tu veux? T'as des trucs à vendre, des aspirateurs, des balais-brosse...?" "Euh non" répondit John,"je suis un cowboy solitaire loin de chez lui et j'ai entendu dire que vous alliez mener à bien une prophétie.Je viens avec vous" "T'es un gros oiseau?", questionna le prince. "Ben, non...Je suis humain.Je croyais que ça se voyait quand même" "Ben alors tu dégages" siffla Gérard,"on a pas besoin d'un cowboy homosexuel style Le secret de Brockeback Mountain,on cherche un gros oiseau,pôv con!" Le trio commençait à partir quand John fulmina et lança: "eh tu sais quoi...
C'est qui ce type? On avait dit stop aux personnages secondaires
...T'es qu'un pauvre navet sans odeur!!!Puisque que c'est comme ça je m'en vais "Et il s'en alla, disparaissant dans un nuage de sable, tel un fantôme...Nos 3 compéres haussérent les épaules, et se dirigérent à nouveau vers la montagne.Peu à peu, les grains de sable cédérent la place à des plaques rocheuses, puis le sol devint intégralement rocheux, laissant dépasser des touffes d'herbe par ci par là...L'ascension commença.
Qui c'est? C'est lui:
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Une série (de 2 livres ) que j'ai bien aimé^^
J'avais envie de faire une apparition de ce perso à un moment^^
Ils rencontreront bientôt waylander, Jarek Mace...
Ils affrontèrent alors une montagne donc le pic grimpait à 12800 mètres.Gérard dit au poulet: "que trouvreons-nous là-haut?" Le poulet répondit étonné: "j'en sais rien! Je croyais que tu le savais." Gérard prit quelques secondes pour réfléchir et décida finalement de rien dire. Après quelques semaines de grimpette (eh,oui,je fais les ellipses que je veux!), ils arrivèrent finalement en haut. Ils trouvèrent alors...rien! Que dalle! Nenni! Podzob! Il y avait juste un panneau où il était inscrit: sympa d'être monté,mais si vous êtes venu pour faire fondre un anneau ou je ne sais quoi,c'est la montagne d'un côté". Deux hobbits arrivèrent alors et à la vu du panneau,l'un des deux s'écria: "oh merde,c'était à côté! Bon,demi-tour!" Une fois les deux petits aventuriers partis, Gérard regarda devant lui,les yeux dans le vide et se mit à pleurer de rage et de dépit.
Stop à tes coups de coeur ou je fais en sorte que tu sois dégoûté à vie d'intégrer des personnages secondaires
Ses larmes coulérent sur le sol, tandis qu'il s'agenouillait en regardant le ciel et criant: "Pourquoi?POURQUOI?". Au début rien ne se passa, puis la terre commenca à trembler légérement, et à l'endroit ou ses larmes étaient tombées une tige de rose sortit du sol. Elle fut bientôt suivie par d'autres, qui s'élevérent, s'entrecroisérent et finirent par former une magnifique porte. Les 3 amis étaient ébahis.Aprés une demi-heure de contemplation béate, ils se décidérent à rentrer.Le soleil écrasant de la montagne laissa place à une pénombre fraiche...
Je met les persos secondaires que je veux, non mais ho!
"Bon,c'est pas tout ça",grogna Gérard,"mais elle avance pas cette quête malgré toutes les envolées lyriques de l'un des narrateurs.Alors,c'est peut-être trop demander un indice pour trouver ce foutu livre? On va pas y passer 5000 messages!" A la fin de son monologue, un panneau tomba subitement du ciel à 2 centimètres de Gérard qui passa en 3 secondes du rose au blanc pour revenir au rose.Bien que Gérard eut préféré un coup de pouce moins dangereux,il était heureux. Sur le panneau,on pouvait lire : si tu veux résoudre la quête du livre des patates je sais plus trop quoi,il faudra aux aventuriers du courage,de l'audace,de l'amitié,de la volonté...enfin bref, les conneries habituelles.Mais si vous n'avez pas que ça à faire,vous pouvez verser devant ce panneau 10 millions d'euros en pièce de 1 centime et vous obtiendrez un truc vachement bien et sympa qui vous permettra de terminer rapidement cette foutue quête et d'abréger les messages trop longs qui font chier celui qui l'écrit et celui qui le lit,d'autant plus qu'il est bientôt 11h du soir et qu'il n'y a rien de bien passionnant à la télé.
Et c'était signé: "qui vous savez.Si vous ne savez pas,tant pis pour vous,vous auriez dû le savoir."
Pfiou
"Bon!On va chercher 10 millions en piéces de 1 centime!!", s'écria Gérard, "C'est le moyen le plus rapide d'abréger cette quéte!", et il se détourna d'un coffre auréolé de lumiére qui était juste en face de lui.Ils ressortirent donc par la (ma
pu****!!!!
Ils ressortirent donc par la (magnifique) porte, et se dirigérent à nouveau vers une ville qu'ils avaient contourné pour perdre moins de temps.Arrivés en ville ils cherchérent une banque...Ils cherchérent...Ils recherchérent pour être bien sûr, et, dépités de n'avoir rien trouvé, ils se dirigérent vers un bâtiment ("surement un restaurant", avait dit le Prince) qui portait le nom de "McDonald Bank"...
Ils entrèrent dans la Mc Donald Bank où ils furent accueillis par un drôle de clown qui s'appelait Ronald qui leur dit: "coucou les petis n'enfants!! Qué que vous voulez?? Un prêt à la tomate? Un déficit steak-frites? Na qué vous voulez,les petiots? N'avez perdu votre cacarte de crédit? Ma c'est pas bien du tout,Ronald il est pô content et il est très triste.Ouin! Ouin! Je suis tout triste!! C'est pô joyeux! Si vous êtes trader et que vous avez perdu 5 mimiliards de n'dollars,vous vous êtes trompé de banque! Ma ne soyez pas triste,les pitis petiots,ici ya tout ce qui faut youpi youpi youpi!!" A la fin de cette tirade, le clown prit un flingue,le posa contre sa tempe et tira. Les yeux ébahis de nos héros purent constater que le sang se mariait bien avec le nez rouge. C'était sympa,mais ça avançait pas nos héros et ils n'allaient pas faire toutes les banques pour voir des paumés se tuer.
Ils sortirent de la banque et Gérard prit alors une grande décision : ils allaient cambrioler Fort Knox!
Sortis de fort knox (ouais je sais, gros raccourci ), ils se décidérent de compter les billets.Ils avaient au total 11 millions, ce qui étais largement suffisant.Maintenant, il ne restait plus qu'à convertir tout ces billets en piéces de 1 centime.Nos héros se regardérent, découragés, quand soudain passa une grosse cariolle (ou carriole?cariole?carriolle?OSEF), un petit vieux qui était dedans les salua, "Bonjour, je convertissor, je convertis tout en n'importe quoi!"
carriole,ce me semble
"Je convertis en dollars,francs suisses,ancien franc,yen,yuan,rouble,euros,dinar,tomate,pignon (non pas François),Wii,Van Gogh..." Gérard le stoppa dans son énumération et lui demanda de convertir 10 millions en pièce de 1 centime.2 jours plus tard,une fois que conversor avait fait son boulot (oui,moi aussi je fais des ellipses),ils retournèrent vers le panneau où ils déversèverent tout l'argent.Aussitôt le pèze disparu,il laissa place à un escalier descendant vers les profondeurs profondes du sol. Nos héros décidèrent de s'y engouffrer,même si Gérard avait un peu peur du noir.
On va y arriver à la terminer cette histoire,j'y crois!
Il faisait noir, des bruits inquiétants venaient de toutes part, nos 3 héros jetaient des coup d'oeil de tout les côtés, sans pour autant voir quelquechose."Vous ne trouvez pas que ça sent le gaz?", lança le prince."Attends je vais craquer une allumette pour voir", "NON!"
BAM!
L'explosion les envoya valdinguer comme des brins d'herbe dans le vent, portés par la brise douce et délicate, aaaah quel calme...Enfin bref, ils s'écrasérent contre ce qui semblait être des parois visqueuses, notant au passage que des torches avaient été allumées (normal), ce qui laissait voir une salle assez basse de plafond.
"Ooooooh mes plumes!", gémit le poulet.
"Ooooooh mes bras!" gémit le prince
"Ooooooh mon nez!" gémit Gérard
"Ooooooh c'est quoi ce bordel!?!?" gueula non loin du poulet une voix. Un vieil homme apparut,son visage faiblement éclairé par les quelques torches accrochés aux murs. Ce vieil homme était vêtu d'une veste bleue avec un pin's sur lequel on pouvait lire:
"Octave,documentaliste-balayeur-serveur-prophéte-a
pôtre-coureur à pied et caribou". Le pin's était effectivement de taille démesurée. Il s'exprima ainsi: "Vindiou d'vindiou,m'avait ben foutu l'bazar avec vos cochonneries! Qu'es qui vous as pris d'craquer une allumette? Z'êtes dingue ou bien?" Le prince aurait bien voulu lui coller une tarte, mais Gérard le doubla et demanda au vieil homme où ils étaient. Le vieil homme leur répondit qu'ils étaient dans le hall d'entrée de la bibliothèque sacrée des nains'ce qui expliquait la taille (très) basse du plafond.
"Enfin!", s'exclama Gérard,"nous avons réussi!"
"Et...où est le livre des patates?", demanda le poulet déplumé.
"DTC" répondit le vieux schnock.
BAM!!Le prince avait sorti un berretta et collé deux prunes dans le cigare du documentaliste. "Etre impoli, c'est mauvais pour ta santé on dirait, bordel de m**de"
Une lueur atira soudain leur attention.Cette lueur venait de sous une porte au bout d'un couloir sur la droite, nos 3 compéres s'y dirigérent donc, quand soudain...
"Attendez!", un colibri était sorti de la chemise du vieux crouton, "Merci de m'avoir libéré, je suis un héros de la lumiére, et il m'avait capturé pour pouvoir aller aux toilettes la nuit sans trébucher (vu que j'éclaire, au cas où vous ne l'auriez pas compris), derriére cette porte se trouve la fin de votre voyage, allons y!"
Ils ouvrirent donc la porte et entrérent, éberlués...
La piéce était ronde, avec une bougie dans chaque coins ( ), et au milieu se dressait un autel baigné de lumiére, des lucioles gambadaient, jouaient, se brûlaient sur les bougies,etc... aux alentours.Sur ledit autel était posé un livre, qui avait un titre en caractéres runiques, et une couche de poussiére s'envola gracieusement quand le prince l'effleura.
"C'est...Le livre..."
Ils se penchérent tout les 4 dessus et l'ouvrirent.
La lumiére, ainsi que la température, chuta soudain.
"Hahaha, mon but est enfin atteint!"
Taimpu et zeus apparurent devant eux et zeus reprit la parole:
"Savez vous que si ce livre est ouvert par 4 crétins illuminés, la barriére entre le monde des ténébres et le monde de la lumiére est brisée?Vous nous avez servis, et heureusement qu'on vous a donnés quelques coups de pouces...Maintenant, préparez vous pour le reigne des ténébres! Pour l'annihilation de toute vie présente dans cet univers!Hahahaha!!!!"
La terre trembla, et des formes imprécises apparurent ça et là, des lamentations s'élevérent des 4 coins ( ) de notre planéte ronde, c'était la fin...
"Nous ne vous laisseront pas faire!" s'écria Gérard et il se jeta sur Taimpu, pour être aussitôt renvoyé par un formidable éclair de ténébre, et aller s'écraser prés de la porte (qui commencait à se dissolver), mort.
"C'est trop tard!" dit Taimpu, "vous avez été stupides, que l'univers paye pour vos fautes et votre vanité (sauver le monde?Peuh, rien que ça...)"
Il y eu un formidable bruit, et l'enfer se déchaîna.Tout n'était plus que fumée, poussiére, cris, larmes, sang.Le prince, qui par miracle avait réussi à se hisser sur le toit de la bibliothéque, contempla un paysage de désolation, où les passants affolés tentaient vainement d'échapper à des ombres qui sortaient du sol, des murs, ou de l'air lui même, par le biais de fissure qui semblaient saigner.
"Pardonnez nous..." dit il, une larme roulant sur joue.
Il ne vit pas arriver l'ombre derriére lui, et la derniére chose qu'il vit avant de plonger dans le néant absolu de l'oubli fut le regard, flamboyant et cruel, de zeus.
Fin