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Final Fantasy X-2

Sujet : ~} Midgar Universal School {~
Keyzer_Sose
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:23:15

pas encore fini! mais d´ici une heure max je pense ke ca sera bon!

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:24:50

:snif: pas la force d´attendre au fait ce soir c la fete pour tes 61 jour boissons gratuite :lol:

Keyzer_Sose
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:26:09

ya personne :nah: va falloir reporter! :rire:

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:27:20

poste sa va ameuter du monde :lol:

en plus dark_jin y c casser :snif2:

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:34:52

je suis seul :snif2: ( et comme par hasard sephi va arriver et dire meuh non :-d et comme g dis sa y va pas venir :rire: )

Keyzer_Sose
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:35:51

jécri a fic pour la poster le plus tot possible donc je peu pas repondre tout de suite! :rire:

Sephan
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:37:18

vas y poste keyser :rire:

Keyzer_Sose
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:41:35

g preske fini!

Sephan
Niveau 10
03 mai 2004 à 21:42:19

oki bah poste des que t´as fini :rire2:

Keyzer_Sose
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:12:08

g bientot fini ( plus ke kelkes lignes!)

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:23:46

y a pas grand monde :ouch:

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:26:53

oui en effet je confirme

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:27:54

bon ben c l´heure pour monsieur fic toute pourris d´entrer en jeu je croit :rire:

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:32:06

Chris se baladait dan la MUS . Celle ci etait deserte.

Chris:...........

Chris:put1 de merde vous faite chier!!!!!

Chris claqua la porte de son bureau . Et s´allongea sur son lit.

Chris s´endormis.

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:34:23

:honte: je me fait honte a moi meme :lol:

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:35:51

Bon si vous me chercher je suis sur le pic ff10

ou bien MSN

christopec@hotmail.com :ok:

Keyzer_Sose
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:38:19

Chapitre VIII
« Un autre passé »
La nouvelle que Sergeil de Mork avait apprise à Keyzer, l’avait beaucoup perturbé. Il s’était mis à courir sans regarder où il allait, sans s’arrêter. Il ne savait plus quoi penser, il courait sans réfléchir, s’enfonçant toujours et encore dans la forêt. Au bout de quelques temps, il s’écroula de fatigue. A ce moment, Bepher commença a lui parler.
Bepher : Léthésias calme toi !
Keyzer : Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi ! Je ne suis pas ce Léthésias, je suis Keyzer, fils de Sose le maréchal-ferrant !
Bepher : ne dis pas de bêtises, écoute moi !
Keyzer : non je ne veut pas vous écouter : ni toi ni lui ! !!
Bepher : allons, je t’ai toujours protégé, et j’ai toujours fais au mieux pour toi, non ?
Keyzer : oui je sais mais….
Bepher : écoute moi, il est temps que tu sache tout ce qui s’est passé depuis le début : ma véritable histoire !
Sur ce, Keyzer s’assit au pied d’un grand peuplier, Bepher entre les mains afin d’écouter au mieux l’histoire de son sabre.
Bepher : Comme tu le sait, il y a bien longtemps j’étais un homme, un roi. Mais la plupart des histoires qui retracent ma vie sont faites d’une grande part de légende ! Je vais te conter ce qu’a réellement été ma vie. Mon père était un paisible roi d’un vaste royaume, il régna longtemps au coté de ma mère, la douce Sofia. Apres trois ans de mariage, ma mère tomba enceinte. Mon père espérerait que cet héritier soit un garçon mais ce qui arriva, il ne l’avait pas prévu : il reçut de ma mère des jumeaux ! Il se dit que son royaume allait être divisé à sa mort mais il espéra que ses deux fils sauraient s’entendre et que le royaume ne serait pas complètement démembré. Il appela les deux enfant Nepher et Bepher. Nepher et moi furent des enfants aimés de leur parents et nous étions toujours très complices. Nous grandîmes sans jamais nous séparer. A l’age de 18ans, nous nous mariâmes avec les deux plus belles filles du royaume dans une même cérémonie et notre père, pour ce jour important de notre vie, nous offrit un sabre chacun, les plus beaux que nous n’ayons jamais vu. Ces sabres étaient identiques en tout points si ce n’est le fait que le rouge était remplacé par le bleu sur l’autre. Ce fut une magnifique cérémonie qui se suivit d’une grande fête qui dura plusieurs jours. Au bout de ces quelques jours, nous retournâmes au palais Nepher moi et nos deux femmes. Ariela, ma femme, et moi nous nous affermâmes dans une des chambres du palais et nous passâmes et nous y restâmes plusieurs jours sans en sortir, à faire l’amour. De cette longue étrainte naquit, neuf mois plus tard un fils. A peine notre fils né que Ifalna, la femme de Nepher tomba enceinte. Tout allait au mieux, mais un jour, tout changea ! Alors que nous venions de fêter le baptême de mon fils, Nepher, et moi tenant mon fils dans les bras, sortîmes quelques instants de la chapelle afin de discuter un peu. Mais à peine étions nous dehors, qu’une grande explosion nous projeta au sol. Nous nous relevâmes à toute vitesse et nous vîmes la petite chapelle entièrement brûlée. Je posai mon fils au sol et je me précipitai derrière Nepher. Quand nous entrâmes enfin dans la petite chapelle, une vision d’horreur s’offrit à nous : il ne restait que des corps calcinés, plus rien ne bougeait, si ce n’est quelques poutres qui se balançaient, en attendant de s’écraser au sol. Nous criâmes tout ce que nous pûmes le nom de nos femmes mais nous ne retrouvâmes que quelques morceaux de chair brulés que nous ne pûmes identifier que par les bijoux, noircis par le feu, qu’elles portaient. Nepher pleura tout ce qu’il pu : il venait de perdre femme et enfant, tandis que je m’effondrais sur la dépouille mortelle d’Ariela. Mais nos femmes n’avaient pas été les seules à être tuées, notre père et tous les invités eux aussi étaient morts. Apres quelques minutes de pleurs nous dûmes nous reprendre et faire le nécessaire. Nous sortîmes les cadavres un à un quand les secours arrivèrent pour nous aider. Ils leur fallu plusieurs heures pour sortir le reste des cadavres et les morceaux qui avaient été séparés des corps. Quelques jours plus tard eut lieu l’enterrement d’Ariela, d’Ilfana et de notre père. Apres la cérémonie qui fut longue en pleurs, je confia mon fils à une des sœurs de ma femme. Nepher et moi furent couronnés, le royaume de notre père due être divisé en deux. Mais gouverner ne nous intéressait plus, la seule est unique chose qui occupait notre esprit était de retrouver celui qui était responsable de la mort de nos proches. Nous nous entraînâmes jours et nuits, en ne dormant que très peu. Le temps qui n’était pas consacré à notre entraînement, nous le passions dans les tavernes et autres repères à mercenaires, à la recherche d’indices. Nepher commença à devenir très violent, quand les réponses qu’on lui donner ne le satisfaisait pas il battait la personne pratiquement à mort. Cela dura quelques semaines sans que nous ayons la moindre information, quand un jour un homme vînt nous voir au palais. Il était grand, rasé de près et portant de très beaux habits, il semblait être nobles au tout du moins un ecclésiastique. Il se présenta à nous, c’était un évêque, il était là pour nous faire une proposition. Il nous proposa son aide à condition qu’on se mette à son service. Il nous dit que des conflits avec les anges commençaient à éclater un peu de partout, et il l’Eglise avait besoin du maximum d’hommes disponibles. Etant donné de nos origines nobles, il ne pouvait nous forcer à entrer dans les rangs de l’Eglise mais il nous fi comprendre que sans son aide nous ne retrouverions jamais celui que nous cherchions. Nous avons tout de suite accepté, nous voulions trouver le meurtrier de nos proches, peu importait les conséquences. Quelques jours plus tard nous étions engagés comme simples miliciens. Nous parcourrions toute la chrétienté à la recherche d’indices concernant les points faibles des anges, leurs cachettes, d’armes pouvant les battre…. Nous nous occupions aussi des humains qui collaboraient avec les anges, nous étions sans pitié ! Nous tuions, égorgions, saccagions et torturions tous ceux qui ne voulaient pas coopérer, nous savions que mieux notre tache était accomplie plus vite l’évêque nous récompenserai par des indices concernant celui ou ceux que nous cherchions : seul l’esprit de vengeance nous faisait tenir. En à peine quelques mois, nous étions devenus assez célèbre auprès des autres miliciens, et l’évêque nous confia la direction de la milice. Cette milice ne fut jamais aussi impitoyable et efficace que sous notre commandement. En à peine quelques semaines, la milice était devenue plus puissante qu’elle ne l’avait jamais été et nous devenions de plus en plus célèbre dans le évêché, et on commençait même à parler de nous dans tout le domaine pontifical. Un jour, l’évêque qui nous avait recruté nous dit qu’il n’avait toujours pas eu d’indice pour l’affaire nous concernant mais qu’il était d’accord pour proposer au pontife de nous offrir d’intégrer les Lanciers Saints, avec un tel poste, trouver des indices sur le meurtrier de nos proches serait plus simple. Il nous demanda donc de patienter quelques jours, le temps qu’il parle de nous au pontife. Trois jours plus tard, il revint nous voir. Il nous dit que le pontife acceptait de nous faire passer le test et qu’il serait heureux d’y assister. L’évêque ne voulu pas nous dire en quoi consistait ce « test », il nous suggéra juste de bien nous préparer autant physiquement que mentalement et que nous devions partir le lendemain. Nous descendîmes alors dans les sous-sols du palais pour nous entraîner. Nous fîmes de la musculation, des combats entre nous, des exercices de maniement d’armes et d’autres exercices. Le lendemain, à la première heure, nous partîmes pour le Vatican. Il nous fallut plusieurs heures pour passer les nombreuses vérifications d’identités, les postes de garde, et autres sécurités menant au palais. Nous dûmes encore patienter deux heures au palais à attendre le pontife. Quand il arriva nous fûmes énormément surpris : ce n’est pas un vieillard qui nous est apparu mais un très jeune homme aux chevaux blonds et bouclés et aux yeux bleus, il ne semblait n’avoir que 16ans. En le voyant nous nous agenouillâmes comme le voulait le protocole, mais il nous demanda de nous relever.
Pontife : Relevez fiers guerriers ! Je suis heureux d’enfin pouvoir vous parler !
Bepher : L’honneur est pour nous pontife.
Nepher : Nous vous remercions de nous accorder un peu de votre précieux temps.
Pontife : Allos, allons, si je vous accorde de mon temps c’est que vous le méritez, d’après ce qu’on ma dit, sans vous la milice n’aurait jamais pu accomplir tout ce qu’elle a accompli ! Félicitation !
Bepher : mon seigneur Haazeel ne nous a pas complètement expliqué ce qui allait ce passer et….
Pontife : oui je sais, c’est moi qui lui ais demandé de rester discret. Mais ne vous inquiétez pas, vous serez tout ce qu’il y a à savoir en temps et en heure. Mais pour l’instant venez avec moi, je vais vous présenter à mes invités, j’ai prévue une petite réception pour fêter votre test !
Nous suivîmes donc le jeune pontife qui nous présenta à tous les évêques du Vatican qui faisant partis des hommes les plus puissant du monde connu. La réception durait depuis deux ou trois heures quand le pontife fit une annonce
Pontife : Mes amis, il est temps que nos deux invités passent le test des 4 chambres !
Assemblée : Quoi ? ? Déjà ? ? Enfin, ils ne sont que des miliciens ! !!! Pfff il n’on aucune chance ! !!
Pontife : Mes amis, j’ai confiance en eux ! Mais s’ils refusent, s’ils ont peur, je peux comprendre !
Bepher : Nous n’avons pas fait tout ce chemin pour refuser maintenant !
Nepher : Nous ne connaissons la peur qu’en l’ayant vu dans les yeux de nos ennemies, ce n’est pas un sentiment qui nous affecte !
Pontife : bien, je me doutais de vos réponses ! Alors, suivez moi !
Nous suivîmes donc le pontifes dans les sous sols du Vatican, et toute l’assemblée présente lors de la réception fit de même. Nous dûmes descendre sûrement une dizaine d’étages quand le pontife s’arrêta devant une lourde porte.
Pontife : Voici le porte de la 1ere chambre, entrez y, puis passez la porte suivante et ainsi de suite jusqu´à la 4eme salle ! Là vous trouverez un homme, répondez a sa question et ramenez moi ce qu’il vous donnera ! Mais avant laissez moi vos armes et vos armures !
Bepher et Nepher : pff trop simple ! Ça va être vite réglé !

Keyzer_Sose
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:38:54

Nous laissâmes donc nos armes et nos armures au pontife et nous entrâmes confiant dans la première pièce. A peine entrés, la lumière disparue et des bruits étranges se firent entendre.
Nepher : Il y a quelque chose ici !
Bepher : ouai, restons sur nos gardes ! Mettons nous dos à dos pour être attaqué par derrière !
Le bruit s’intensifia et semblait se rapprochait, quand nous entendîmes un hurlement de quelque chose qui semblait se jeter sur nous.
Nepher : attention ! Ça vient sur toi ! !
Bepher : oui j’ai compris ! !
Je mis mes mains face a moi pour essayer de parer notre mystérieux ennemie mais rien ne vint, enfin rien sur moi. Mais j’entendis mon frère crier.
Nepher : argh ! !
Bepher : qu’est ce qu’il y a ? ?
Nepher : je ne sais pas ce que c’était mais apparemment ça ma touché !
Bepher : mais c’est vers moi que le bruit se dirigeait !
Nepher : apparemment ici on ne peut se fier à nos sens !
Bepher : Ca risque d’être compliqué ! Il va falloir avoir confiance en notre instinct !
Le bruit recommença à s’intensifier.
Bepher : cette chose prépare une autre attaque !
Nepher : ai confiance en toi, ça va marcher !
Le bruit s’intensifiait encore et semblait la créature qui le produisait semblait se jeter sur moi. Mais je n’y prêtai pas attention, je ferma les yeux et me concentra. Le bruit se rapprochait à toute vitesse et je me rendis compte qu’il fallait que j’agisse au plus vite si je ne voulais pas que la prochaine attaque risque de nous être fatale ! Je me concentra donc quelques centièmes de secondes quand soudain un éclair de lumière me traversa l’esprit : je venais de prévoir sa prochaine attaque ! Je poussai violemment vers la gauche pour éviter notre assaillant de justesse.
Bepher : j’ai réussi, mais de justesse !
Nepher : moi aussi ! Maintenant à nous d’attaquer !
Nous nous concentrâmes afin de percevoir la créature, sans faire confiance à nos sens qui nous donnaient de fausses informations. Soudain un éclair de lumière surgi dans ma tête, le même qu’il y avait quelque instant : je venais de la repérer à nouveau !
Bepher : ça y est ! Je sais où elle est !
Nepher : Je l’ai repéré aussi ! On y va maintenant ! !!
A peine mon frère eu fini de parler que nous nous jetâmes dans un des recoins de la pièce les mains ouvertes pour attraper la créature et à peine arrivés au sol nous la sentîmes dans nos mains. Elle se débattait et nous mordit les mains, la douleur était horrible, ses crocs étaient longs et acérés mais ils semblaient surtout être empoisonnées ce qui nous fit subir une très grande douleur ! Mais en coup de poignet, nous tordîmes ce que nous pensions être le cou et la créature cessa de bouger. A peine la créature morte que la lumière s’alluma, nous n’avions plus rien dans les mains, plus de créature ni même de blessure, la pièce était totalement vide.
Bepher : bizarre !
Nepher : On ne va pas s’en plaindre ! Regarde là, la porte vers la prochaine salle !
Nous passâmes donc dans la pièce suivante. La nous vîmes un être, mi-homme mi-démons qui semblait nous attendre.
Bepher : houlà t moche toi !
Créature : pauvre mortel, cette pièce sera votre tombeau ! !!
Nepher : tu es peut être grand, gros plutôt, et costaud mais tu es seul et nous sommes deux !
A peine Nepher avait il finit de parler que la créature se dédoubla.
Bepher : tu aurais pu la fermer pour une fois ! !
Nepher : ça va, on a vu pire !
Bepher : non je crois pas non !
Le combat s’annonçait rude, je me chargea de la 1ere créature, Nepher de la deuxième. Nous n’avions pas d’armes alors que les créatures arboraient une lourde épée chacun. La première de celles-ci, me fonça dessus ! Je réussis à esquiver et la créature, entraînée par le poids de son arme, je me retrouvai donc en quelques secondes face à son dos et j’en profitai pour lui envoyer un coup de pied derrière le genou pour le faire tomber mais cela n’eu aucun effet ! Le monstre se retourna d’un coup poing il m’envoya au sol ! Je compris que mon avantage serait ma vitesse ! Je me relevai et je lui sautai dessus, je réussit à sauter assez haut pour lui envoyer un violent coup de pied au visage, en retombant je lui fit une balayette et je fit un salto arrière pour m’éloigner de sa portée. Il se releva, fou de rage et se mit à me foncer dessus, je compris la qu’il n’était pas très intelligent qu’il n’avait que de la force, certes énormément, mais rien d’autre. Il me fonça donc dessus, dos au mur je ne pouvais reculer et il était trop tard pour esquiver, je décidais donc de lui foncer dessus à mon tour ! Arriver assez près, il leva son épée pour me pourfendre, quand à moi je sautai les deux pieds en avant et je le frappai aux poignets. Surpris, il lâcha son arme, moi, à peine au sol, je lui fis une balayette pour l’envoyer au sol ! Je me relevai à toute vitesse et m’emparai de son épée ! Elle était excessivement lourde mais je réussi à la soulever. Une fois en l’air, je me servis de son poids pour la faire tourbillonner de chacun de mes cotés. Je m’avançai ainsi à toute vitesse vers mon adversaire qui avait eu le temps de se relever et je lui tranchai les deux bras, puis je fis passer l’arme au dessus de ma tête ce qui lui trancha la tête ! Le monstre tomba lourdement au sol, en plusieurs morceaux. J’envoyai l’épée à Nepher qui semblait en difficultés
Bepher : Nepher, attrape !
Neher : maintenant ça va changer la donne !
Nepher attrapa l’épée au vol et sans la moindre difficulté apparente il se retourna et en se baissant il trancha son ennemie en deux au niveau de la ceinture ! Il lâcha ensuite l’arme et quand elle eu touché le sol, les deux monstres et leurs armes disparurent !
Bepher : bizarre ça !
Nepher : on est dans les sous sols du Vatican et on vient d’affronter un espèce de demi démon : on a dépassé le bizarre depuis longtemps ! Allez faut continuer, regarde la porte est là !
Nous passâmes donc dans la salle suivante en nous demandant qu’elle autre bizarrerie allait nous attendre. Mais, surprise : la salle était vide, on pouvait voir la prochaine porte face à nous !
Bepher : Tu crois vraiment qu’on peut y aller ? Ca me semble un peu trop facile !
Nepher : A moi aussi ! Attends, on va faire un essai !
Nepher se leva une de ses chaussures, il enleva les lacet et les attacha de façon a ce qu’un morceau le plus long possible soit libre. Il lança alors sa chaussure vers le milieu de la salle, en prenant soin de ne pas lâcher le lacet ! A peine la chaussure passé à un mètre devant nous, un dispositif se déclencha : la chaussure fut transpercée de nombreux carreaux d’arbalètes et failli se faire découper par d’énormes haches et de différents morceaux de bois recouverts de pics de métal acérés, mais heureusement Nepher tira sur le lacet attend pour sauver sa chaussure.
Bepher : si on serait passé, on y serait restés !
Nepher : Bon, va falloir trouver le moyen de passer ! Tu as repéré d’où sortaient les carreaux et les différents pièges ?
Bepher : Evidemment ! Tu me prend qui ?
Nepher : Bon, les premiers carreaux sont assez simple à éviter ! Le problème va venir de la quatrième hache, elle passe très près et à, à peine, quelques dixièmes de seconde d’une barre cloutée !
Bepher : si on marque une pause d’une demie seconde avant de continuer, on s’expose aux carreaux mais ça nous permet de passer sans se faire embrocher !
Nepher : ouai, ça va être chaud mais c’est faisable !
Je m’élançai donc le premier. Je sautai au bout d’un mètre pour éviter la hache au ras du sol, tout en évitant les différents carreaux qui fusaient un peu de partout, puis en retombant au sol, je me lançai dans une roulade pour passer au dessous des deux premières barre cloutées, puis je roulai sur le côté pour éviter deux haches qui tombaient du plafond, enfin je me relevai à toute vitesse. Là j’attendais la demi seconde nécessaire, tout en déviant les carreaux qui fondaient sur moi, puis je m’élançai en avant, de justesse pour passer sous la fameuse quatrième hache sans me faire empaler par la barre cloutée, enfin je rejoignit l’autre côté de la pièce en plusieurs salto pour éviter les derniers carreaux et les dernières haches qui sévissaient à différentes hauteurs. Une fois de l’autre côté, je me retournai en vitesse pour voir mon frère finir le parcours.
Nepher : ho ! On s’en est bien sorti !
Bepher : Fais pas ton malin, on y est arrivé de justesse !
Nepher : peu importe comment on y est arrivé, l’important c’est le résultat !
Bepher : Bon bah je crois que c’est la dernière porte !
Nepher : Qu’est ce qui va encore nous attendre ? !
Nous passâmes donc la dernière porte, menant à la dernière salle ! Une fois entré, nous vîmes une large pièce sombre. Une seule lumière semblait provenir du plafond pour éclairer un homme, un vieillard plutôt, assis au centre de la pièce !
Vieillard : Vous voici venu dans la dernière salle de l’épreuve ! Votre périple est bientôt terminer, deux solutions s’offrent à vous : la mort où la vie ! Répondez correctement à mon énigme et sortaient vivants, répondez faux et mourrez !
Nepher : Et si on te tordez le cou plutôt ? !
Vieillard : si je meurs avant votre réponse cette salle n’a plus de raison d’être, elle disparaîtra et vous avec !
Bepher : Nepher calme toi ! Poses ta question vieil homme !
Vieillard : Deux portes s’offrent à vous, l’une mène à la vie, l’autre à la mort ! Deux géants gardent ces deux portes, l’un ne peut que dire la vérité, l’autre ne peu que mentir ! Vous ne savez ni quelle porte est la bonne ni quel géant ment ! Vous ne pouvez poser qu’une seule question mais laquelle ? Répondez, une proposition, si celle-ci n’est pas la bonne réponse vous mourrez ! !
Bepher : pff simple ! Il suffit de demander à l’un des deux géants : « quelle porte m’indiquera l’autre géant si je lui demande quelle porte mène à la vie ? » et il suffira de prendre l’autre porte !
Nepher : c’est évident : si la question à été posée à celui qui dit la vérité, il indiqueras la porte que celui qui ment m’aurais indiqué soit celle de la mort ! Si la question a été posé à celui qui ment, l’autre, disant la vérité, m’aurais indiqué la bonne porte, mais comme celui à qui j’aurai posé la question m’aurais menti, il m’aurais indiqué celle que l’autre ne m’aurais pas indiqué : la mauvaise porte ! Dans les deux cas, c’est la mauvaise porte qui est indiqué et il suffit de prendre l’autre !
Vieillard : bonne réponse ! Voici ce que vous êtes venus cherché : l’épée sacrée de l’Eglise !
Le vieillard nous donna l’épée et d’un geste de la main, il dévoila un escalier qui devez nous ramenez jusqu’au pontife. Mais avant notre départ il nous interpella !
Vieillard : Attendez, si vous voulez il y a une autre sortie ! Il vous suffit de me suivre et je vous mènerais à un passage donnant sur l’extérieur du Vatican. L’épée vaut une fortune, nous pourrions la vendre et partager les bénéfices !
En entendant ces mots, je me retournai et décapitai le vieillard !
Bepher : pauvre fou ! Tu croyais vraiment pouvoir trahir le pontife !
Nepher : que ton âme ne connaisse jamais le repos !
La tête du traître roula sur le sol et des applaudissements se firent entendre !
Pontife ( descendant les escaliers en applaudissant) : Bravo ! Bravo ! J’ai particulièrement aimé comment vous avez réussi la cinquième épreuve : celle de la loyauté !
Bepher : merci votre béatitude !
Pontife : suivez moi !
Le pontife nous conduisît dans la salle du trône, après nous avoir fait mettre des vêtements de cérémonie. Nous nous agenouillâmes face à lui et il récita les serments officiels, qui se terminèrent ainsi :
Pontife : Par le pouvoir qui m’est conféré, et au nom de tout le Vatican, je vous honore du grade de capitaines de l’arme pontificale des Lancier Saints !
Puis il se baissa, il posa ses doigts, mouillés par l’eau bénite, pendant que deux évêques nous portèrent les armoiries de notre nouvelle fonction : nous étions devenus deux des capitaines de l’armée régulière de l’Eglise : les Lanciers Saints !

( a suivre)

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:38:55

ah enfin quelqun :content:

best_of_blitz
Niveau 10
03 mai 2004 à 22:40:09

:peur: non c trop long

Sujet : ~} Midgar Universal School {~
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