Tales of Symphonia

continue comme sa

continue !

Coucou ! Bon, voilà le chapitre suivant. Profitez en bien paske avec l´école qui recommence, je n´aurais plus bcp de temps . . .

Chapitre 28 : « passage dans l’autre monde »

- Alors vous pouvez passer dans ce troisième monde ? questionna Lloyd.
Yuan approuva :
- Oui, mais nous devons effectuer des préparatifs. Nous ne nous sommes pas encore rendus dans ce monde. C’est risqué. Il n’y a pas de Rénégats dans ce monde qui pourraient s’assurer de notre retour.
- En gros, dit Génis, si on va là-bas, on n’est pas sûrs de revenir.
- Tout à fait, dit Yuan.
- Ce n’est pas un problème, s’écria Lloyd en se grattant les cheveux.
Yuan mit quelques secondes à réagir :
- Quoi ?! ! Vous voulez dire que . . . Vous comptez y aller ?
Yuan avait sursauté en disant cela. Il avait heurté le mur. Ce bruit attira Botta.
- Que se passe-t-il ? demanda celui-ci en accourant.
Yuan avait les yeux écarquillés. Puis, il se calma et sourit :
- Enfin, . . . soupira-t-il, ça ne devrait pas m’étonner de votre part.
- Que se passe-t-il ? répéta Botta.
- Botta, prépare-toi à partir avec un de tes hommes, dit Yuan.
Botta parut surpris mais ne protesta pas :
- Bien, Maître Yuan.
Il s’en alla, probablement pour se préparer.

- Pourquoi envoyez-vous Botta ? demanda Colette.
- Il n’est pas question que les Rénégats soient devancés par qui que ce soit, expliqua Yuan en se retirant.

Génis était bouche bée :
- On . . . Y va, vraiment ?
Colette sourit en signe de réponse.
- Bien sûr qu’on y va, lança Lloyd.
- Je suis d’accord avec vous, dit Kratos, néanmoins . . .
- Ouaiiiis ! s’écria Lloyd, de l’aventure et des combats ! De l’aventure et des combats !
Le jeune homme se mit à entamer sa petite danse enthousiaste.
- Néanmoins, reprit Kratos, il nous sera impossible d’emmener Noïshe.
À cette annonce, l’animal couina. Lloyd s’arrêta de danser :
- Et pourquoi est-ce que c’est un problème ?
- Parce que Noïshe a une façon de grogner qui fait peur aux ennemis, proposa Génis.
- Parce que Noïshe a une façon de mordre qui fait mal aux ennemis, renchérit Colette.
- Pff ! N’importe quoi, soupira Kratos, c’est un problème, tout simplement parce qu’il a soigné la blessure de Colette. Et puisque la blessure de Colette a été faite par une arme de ce troisième monde, Noïshe est peut-être effica-ce contre les technologie de ce monde.
- Haaaa ! Je vois ! s’exclama Génis.
- Et pourquoi on ne peut pas l’emmener ? questionna Lloyd.
- Parce que ton chien ne veut pas monter sur un ptéroplan, répondit Colette.
- Et si on essayait de . . . commença Lloyd.
- Alors, vous êtes prêts ?
Botta interrompit Lloyd. Il avait un petit sac sur le dos. Derrière lui, un Rénégat.
- Salut, dit Colette, heu . . . Fex ? C’est ça ?
Le Rénégat approuva d’un hochement de tête et d’un léger sourire.
- On est prêts depuis trèèèèès longtemps ! répondit Génis.
- Dans ce cas, allons-y, dit Botta en se dirigeant vers la sortie de la base.

Les deux Rénégats se déplaçaient dans le dédale de couloirs sans jamais hésiter. À gauche, puis à droite, et encore une fois à droite.
- Sans eux, songea Colette, on ne serait sortis qu’après deux heures.
À cette pensée, elle sourit. Croyant qu’elle lui souriait, Lloyd sourit aussi. Bientôt, ils furent tous à l’extérieur, dans le désert.
- Comment allez-VOUS passer ? demanda Kratos.
- Nous avons aussi des ptéroplans, répondit Botta.
À quelques mètres, Fex tira sur une grande couverture couleur sable. Deux ptéroplans jaunes étaient cachés en-dessous.
- Waouh ! s’écria Génis, on n’avait rien remarqué en arrivant.
- C’était un bon camouflage . . . pour une fois, ajouta Lloyd en riant.
- Bon, nous y allons ! ordonna Botta, légèrement vexé.
Les deux Rénégats enfourchèrent leurs ptéroplans. Colette, Kratos et Génis firent de même. Lloyd regarda Noïshe avec un regard triste. L’animal grimpa de lui-même sur un appareil volant.
- Apparemment, il veut absolument venir avec nous, remarqua Génis.
Lloyd grimpa à son tour sur un ptéroplan, juste devant Noïshe.
Les ptéroplans s’élevèrent dans le ciel.
Botta et Fex échangèrent un regard, puis leurs ptéroplans disparurent dans la boule bleue.
- Bon, je crois que c’est le moment, annonça Lloyd.
- J’espère qu’on retrouva Raine, soupira Génis.
- Vous êtes sûrs qu’on atterrira dans l’autre monde ? s’enquit Colette.
- On n’a plus le temps d’hésiter, coupa Kratos.
Il fonça, bien vite suivi par ses amis.

Un homme qui se trouvait à proximité de la base des Rénégats se leva. Il était resté caché pendant plusieurs heures derrière un rocher. Il massa ses fesses engourdies. Il ébouriffa ses cheveux bleus et attrapa le talkie-walkie attaché à sa ceinture :
- Kalthamos à quartier général. Répondez.
Une voix grésillante répondit :
- Ici quartier général.
- Les poussins ont quitté le nid. Ils se dirigent vers la basse-cour. Je répète. Les poussins se dirigent vers la basse-cour !
- Ok, bien reçu. Bon travail, Kalthamos. Suivez-les.
- Bien reçu.
Il éteignit son talkie-walkie et prit un poignard. Il le saisit par son manche vert et argent. D’un geste vif, il fendit le ciel. Il entra dans la déchirure qui se referma sur son passage.

voyons ce que nous avons là...

presque pas de fautes d´orthogaphe...
j´ai adoré : les poussins ont quitté le nid, ils se dirigent vers la basse cours! ^^ XD trop bien! ^^

encore un peu court comme chapitre... mais il st vraiment très bien... ^^
bon courage! ^^

Amarillys,ton histoire est trop génial
le suspense que tu laisses à la fin est trop cool
même ma mère a adoré
continue comme ça
salut

^^ merci merci ! lol
Bon, vs êtes tellement gentils que je vs passe un chap de plus !! !

Chapitre 29 : « Carnaval »

BOM !
- Aïheuuuuuuuuuuuuuu !
Lloyd était tombé sur les fesses. Il regarda autour de lui. Cinq ptéroplans étaient posés au sol. Il avait glissé du sien et était tombé sur le sol. Noïshe, tranquillement assis sur le ptéroplan, le regarda en couinant. Colette descendit de son ptéroplan pour s’assurer que son ami allait bien :
- Lloyd ! Tout va bien ?
- Oui, oui, gémit Lloyd en se relevant.
Les ptéroplans se trouvaient à la lisière d’une forêt. Juste à côté de la forêt, il y avait une ville, apparemment très animée. Par chance, les ptéroplans avaient atterri à l’abri des regards. Il y avait des bruits assourdissants.
- Qu’est-ce qui se passe ? se plaignit Génis en se bouchant les oreilles.

Fex avança vers la ville. Par prudence, il resta tout de même caché. Dans la ville, il y avait de gigantesques dragons roses qui volaient. Il étaient accom-pagnés d’espèces d’araignées bleues. D’énormes baffles hurlaient ce qu’on aurait pu appeler « musique ». Il y avait aussi des gens. Tous des demi-elfes. Ils étaient drôlement habillés. Certains avaient des têtes effrayantes. C’é-tait un spectacle complètement fou. Persuadé d’avoir rêvé, Fex fit quelques pas en arrière. Il s’affala sur le sol, les yeux grands ouverts. Botta accourut :
- Qu’est-ce qu’il y a ?

N’obtenant pas de réponse, Botta alla voir lui-même, accompagné de Lloyd et Génis.
- Des ? Des monstres ? demanda Botta en voyant les dragons et les araignées géantes.
- Je dirais des monstres gonflés à l’hélium, rectifia Génis.
- Des ballons ? s’étonna Botta.
Génis approuva.
- Et ces gens ? Ils ont de drôles de tête, murmura Botta.
- Ben, ils ont des masques, remarqua Lloyd, on voit bien les ficelles sur les côtés qui servent à faire tenir le masque.
- C’est vraiment un drôle d’endroit, conclut Botta.
- Regardez !
Génis pointa le doigt vers un grande banderole qui flottait. On pouvait y lire « Grand carnaval de Rizera ! Venez nombreux !  » .
- Oh, je comprends, maintenant, souffla Fex qui les avait rejoint.
- Ça explique tout ! rit Lloyd.

Une voix les interpella :
- Hé ! Ne venez surtout pas nous aider !
Kratos et Colette étaient en train de camoufler les ptéroplans à l’aide de plantes et de branches de toutes sortes.
- On arrive, grimaça Lloyd.

Après une courte demi-heure, les trois ptéroplans étaient parfaitement fon-dus dans la nature. Lloyd, Génis et Colette transpiraient, visiblement fati-gués par l’opération « camouflage ». Botta et Fex les avaient observés, riant et chuchotant. Génis se posta devant eux, les mains sur les hanches :
- Et on peut savoir pourquoi vous riez ? Vous feriez mieux de vous occuper de vos ptéroplans, on ne le fera pas pour vous !
À ces mots, les deux Rénégats éclatèrent de rire. Les autres les regardè-rent avec un air hébété. Fex, toujours un léger sourire aux lèvres, se leva et se dirigea vers les deux ptéroplans jaunes. Il attrapa un morceau de tissu attaché à sa ceinture et le déplia. C’était la couverture qui avait permis aux ptéroplans de passer inaperçus dans le désert de Triet. Fex en recouvrit les ptéroplans. Cette fois-ci, la couleur n’avait plus une couleur sable, mais adop-ta toutes les teintes de vert de la forêt. En deux minutes, Fex avait effectué le même travail que Colette, Lloyd, Génis et Kratos qui, eux, avaient pris une demi-heure.
- Waouh, souffla Colette.
- C’est génial, ajouta Génis.
- Eh oui ! Confirma Botta, ça prouve bien que nous, demi-elfes, sommes plus puissants que des êtres inférieurs tels que vous ! Haha ! Je rigolais, ajouta-t-il en voyant la mine étonnée des « êtres inférieurs ».
- Quel humour, ironisa Génis.

- Pas de temps à perdre, coupa Kratos, allons nous mêler la foule.
- Il faudrait peut-être qu’on se déguise, proposa Lloyd, ou alors on va faire tache.
- Il suffit d’utiliser quelques branches, dit Génis, et on se déguise en arbre !
Botta éclata de rire :
- Hahaha ! Déguisé en arbre ? Hahaha ! Quelle idée ridicule !
Kratos ramassa une branche et la lança à Botta.
- C’est une excellente idée, approuva Kratos, allez, tous en arbre.
Génis adressa un sourire triomphant à Botta.
- Génial, s’écria Lloyd, et si on se promène tous ensemble, on sera déguisé en forêt !! !
- Pathétique, murmura Fex.

Tout le monde s’affaira. Les Rénégats y compris car ils n’avaient trouvé aucu-ne autre idée de costume.
Lorsque Lloyd lui apporta un gros tas de branches, Colette refusa poliment :
- Non merci, Lloyd, moi, je me déguise en Ange !
À ces mots, elle fit apparaître ses ailes.

Après dix bonnes minutes, tout le monde était prêt. En ville, la musique ne faiblissait pas et les rues étaient toujours pleines à craquer. Lloyd et ses compagnons se mirent en file indienne.
- Allons-y, dit Botta, en tête.
Ils pénétrèrent d’un pas assuré dans la ville. Ils se noyèrent dans la foule. Botta et Fex disparurent instantanément.
- Quelque chose me dit que ces Rénégats viennent de nous fausser compa-gnie, marmonna Génis.
- Ne pense plus à eux, dit Kratos d’une voix posée, occupons-nous plutôt d’Artémis.

Un peu plus loin, Lloyd, fièrement vêtu de sa parure d’arbre, profitait pleine-ment du carnaval en compagnie de Colette. Ils dansaient au rythme de la mu-sique. Noïshe, déguisé en chien, sautillait autour d’eux.
- Venez vous amuser ! cria Lloyd à Génis et Kratos.
Génis afficha un grand sourire et fit quelques pas vers ses amis. Il fut rete-nu par Kratos.
- Il n’est pas question de nous amuser, dit-il d’une voix ferme.

Colette et Lloyd avaient compris le message. Ils rejoignirent leurs amis, la mine penaude.
- Nous devons obtenir des informations à propos du dirigeant de ce monde, reprit Kratos.
- Ouais, approuva Lloyd, on doit trouver le Big Boss !
- Ce serait mieux d’aller dans un endroit un peu plus tranquille, non ? suggéra Génis qui se faisait bousculer par les passants.
- Bonne idée, dit Colette.
- Mais, commença Lloyd.
- Mais quoi ?
- Mais comment on va trouver un endroit tranquille ? compléta Lloyd, d’ici, on ne voit rien ! Il y a trop de monde autour de nous.
En effet, autour d’eux, il n’y avait que la foule, les chars et les ballons géants. Génis se gratta le menton, signe d’intense réflexion. Ce fut pourtant Colette qui trouva une idée :
- Il me suffit de voler, déclara-t-elle en agitant ses ailes.

^^ très bien, mais toujours un peu court...
a part ça, ta rapidité est rare sur ce forum... mais ce serai mieux si tu prenais 2 de tes chapitres et que tu les mettais l´un a las uite de l´autre, comme ça, ils seront plus longs... (te chapitres)

merci Sophade ^^
Bon, pour les chapitres suivants, vous devrez patientez un peu : ils ne sont pas encore écrits !

elle est conne colette car si j´ai bien compris les ange sont ennemi au 3eme monde elle va se faire repéré !

super continue

continue c´est genial

Alinea Tss ! t trop perspicace ^^ Bon, chapitre 30 ! J´adore le titre . . . lol

Chapitre 30 : « l’Ange et la fourchette »

Les ailes de Colette scintillèrent.
Voler au-dessus de la foule pour apercevoir les alentours.
Lloyd et Génis trouvaient cette idée fantastique. Mais Kratos n’était pas de cet avis :
- Il est préférable que nous ne nous fassions pas remarquer. Or, un Ange n’est pas ce qu’il y a de plus discret . . .
- Un point pour Kratos admit Génis.
- Trouvons une autre solution, soupira tristement Lloyd à l’idée de réfléchir à nouveau.

Quelques minutes plus tard, le regard de Lloyd s’illumina :
- J’ai trouvé ! J’ai trouvé !
- Allez, crache le morceau, lui dit Colette.
- Génis, viens ici, fit Lloyd.
Le jeune demi-elfe s’avança, légèrement méfiant. Lloyd retira toutes les branches qui lui servaient de déguisement puis s’accroupit.
- Et je suis censé faire quoi ? demanda Génis, qui se méfait de plus en plus.
- Grimpe ! répondit Lloyd et tapotant ses épaules.
Génis se mit derrière Lloyd, leva une jambe, puis l’autre. Lloyd se releva, Génis sur ses épaules.
- Alors, demanda Lloyd, tu vois quelque chose ?
Sur les épaules de son ami, Génis n’était pas beaucoup plus grand que Kratos.
- Je ne vois absolument rien, répndit-il.
- Mets-toi debout, proposa Colette.
Cramponnant les cheveux de Lloyd, Génis se dressa sur ses jambes. Du haut de son perchoir, il ne voyait pas grand chose. Il n’y avait que les chars et les ballons. Et aussi les demi-elfes qui riaient quand ils passaient à côtés de Lloyd et Génis. Vexé, ce dernier redescendit :
- Désolé, je suis trop petit.
Noïshe couina en signe de déception.

Colette secoua ses ailes :
- Bon, j’y vais ?
- D’accord, céda Kratos, mais essaye de ne pas te faire repérer.
Colette le rassura et s’éleva lentement.

Elle lança des regards furtifs autour d’elle, tout en continuant à monter dans les airs. Les chars étaient grands, il fallait s’envoler bien plus haut pour espérer voir plus loin. Colette n’hésita pas et s’envola encore plus haut. Elle se posa discrètement sur la tête d’un char en forme dragon. Colette pouvait enfin voir la rue dans toute sa largeur. Il y avait un hôtel, un cinéma, trois cafés, . . . Colette fut satisfaite par tous ces choix. Elle entreprit de rede-scendre. Elle quitta la tête du dragon. Un cri l’arrêta dans sa descente.
- UN ANGE ! ! !
Dans les rues, la musique s’arrêta. Les chars ne bougèrent plus et les ballons se dégonflèrent. Les demi-elfes levaient peu à peu la tête. Les uns après les autres, ils apercevaient Colette, suspendue dans les airs. Ils étaient tous paralysés. Ce fut un cri qui les fit réagir :
- Oiiiiiiiiiin !
Un enfant se mit à pleurer. Il fut bien vite imité par les autres petits demi-elfes. Les plus grands se mirent à crier et à lever le poing. Ils se mirent à lancer toutes sortes de projectiles sur la pauvre Colette. Celle-ci allait recevoir une fourchette à trois dents sur le visage. Un bras vint s’interposer entre l’Ange et la fourchette. Colette ne réagit pas. Pourquoi ces gens l’attaquaient-ils ? Pourquoi ?

Alors qu’une pomme se ruait à son tour sur Colette, celle-ci reprit ses esprits.
- Me . . . Merci, murmura-t-elle à Kratos qui l’avait sauvée de l’assaut de la fourchette.
- Ce n’est pas le moment de me remercier, lui reprocha Kratos, je t’avais pourtant dit d’être discrète !
- Je suis désolée, murmura Colette d’une voix chevrotante.
- Ce n’est pas grave, soupira Kratos, rejoignons les autres ! Et vite !
À ces mots, il descendit en piqué sous le regard effrayé des demi-elfes. Colette le suivit, slalomant et évitant les projectiles divers. Sur le toit d’une maison, elle aperçut une tache rouge et un autre bleue. Ainsi qu’un point blanc-gris-vert qui courait dans tous les sens.
- Lloyd, Génis . . . Et Noïshe, devina Colette en accélérant.

Kratos et Colette se posèrent enfin sur le toit.
- Ouf, tu vas bien, soupira Lloyd.
- Je suis vraiment déso . . . commença Colette.
Elle n’eut pas le temps d’achever sa phrase car une chaise venait d’atterir à leurs côtés. Les demi-elfes ne les avaient pas oubliés . . .
- On est mal, en déduit Génis.

- Ils grimpent sur le toit !! ! prévint Lloyd,
Il courut vers le bord du toit. Son chien le suivit d’un pas enjoué. La foule était amassée juste là. Les demi-elfes se faisaient la courte échelle. D’ailleurs, l’un d’eux était sur le point de monter sur le toit. Il se cramponnait à la rigole du bout des doigts. Noïshe vint le renifler, puis grogna. Lloyd s’avança vers lui, lui attrapa les mains, . . . et le lâcha. Le demi-elfe cria puis tomba, écrasant quelques uns de ses congénères au passage.

- Besoin d’un coup de main ?
Génis venait de rejoindre Lloyd.
- Ce n’est pas de refus, répondit Lloyd.
- Je vais faire diversion, expliqua Génis.
- Comment ?
- Regarde.
Génis brandit son bilboquet -réparé depuis que Colette s’était assise dessus.
- FUMEE AVEUGLANTE ! tonna-t-il.
Un brouillard se leva. Un brouillard épais et poisseux. On ne voyait pas plus loin que le bout de son nez. Le seul a y voir clair était le jeteur de sort, c’est-à-dire Génis. Ce dernier prit le bras de Lloyd, qui attrapa l’oreille gauche de Noïshe.
- Où on va ? s’inquiéta Lloyd.
- On s’en va, murmura Génis.
Ils marchèrent vers Colette et Kratos.
- Monte sur le dos de Kratos, ordonna Génis à Lloyd, moi je monte sur celui de Colette.
À tâtons, Lloyd chercha Kratos, le trouva et se hissa enfin sur son dos. Kratos souleva Noïshe, pour le porter durant le vol.
- Je vais vous guider, dit Génis, déjà sur le dos de son amie.
Confiants, les deux Anges s’envolèrent, selon les consignes de Génis.

Dans le brouillard, les demi-elfes ne cessaient de lancer toutes sortes de choses. Ils ne voyaient absolument rien, mais ne se décourageaient pas pour autant. Puis, le brouillard faiblit. Bientôt, la foule vit le toit de la maison où étaient perchés Lloyd et ses amis quelques minutes auparavant. Il n’y avait plus rien. Les demi-elfes se mirent à hurler et certains montèrent sur le toit pour s’assurer que les Anges n’y étaient plus. Parmi la foule en délire, il y avait un jeune demi-elfe qui semblait plus inquiet que les autres. Des gouttes de sueur perlaient son visage constellés de taches de rousseur. Sa main tremblait. Il ébouriffa ses cheveux roux, puis se décida à attraper un talkie-walkie rouge attaché à sa ceinture :
- Heu . . ., bégaya-t-il, hem, Assemyl à quartier général . . .
- Ici quartier général. Votre rapport, Assemyl ?
- Heu, ben, . . . En fait . . .
- Allons, dépêchez-vous !
- Ils sont partis, je ne sais pas où ils sont passés.
- QUOI ?! !
Le jeune garçon, Assemyl, écarta vivement son talkie-walkie. Lorsque le petit appareil ne hurlait plus, Assemyl s’expliqua :
- Il y en a un qui a jeté un sort et . . . Et ils ont disparus !
- . . . C’est bon, ce n’est pas grave. Cherchez-les et prévenez-nous dès que vous les avez retrouvés.
- D’accord.
Assemyl soupira de soulagement, puis quitta la ville de Rizera.

Cool encore encore !

lu tlm!!!!

va sur la betrave magique toi !

Hey hey ! Salut fidèles lecteurs ^^ lol je prends la grosse tête XD

Bon, voilà le chapitre 31, fraîchement écrit ! N´oubliez pas de me dire chaque chose à laquelle vous pensez quand vous lisez ma fic . . . Merciiii ! Biz

Chapitre 31 : « Sur la piste de Noïshe »

Les quatre compagnons sortirent enfin du brouillard.
- Ouf, soupira Colette, on y voit enfin quelque chose !
Noïshe soupira à son tour.
- C’est très frustrant d’avancer sans voir où on va, ajouta Kratos.
- Vous croyez qu’il y en a qui nous ont suivi ? questionna Lloyd en regardant en arrière.
- Impossible, répondit calmement Génis, mon sort était imparable.
- Quelle modestie, plaisanta Colette.

- Nous devrions nous poser quelque part, intervint Kratos, avant que quelqu’un d’autre ne nous remarque.
- Là-bas, dit Génis en indiquant une petite route déserte du doigt, ce sera parfait.
Les deux Anges descendirent en vitesse. Dès qu’ils se posèrent, leurs ailes disparurent. Lloyd interrogea Kratos du regard.
- Question de sécurité, répondit simplement celui-ci.

Kratos et Génis se débarrassèrent des quelques feuilles de leur déguisement qui leur restaient. Ils regardèrent ensuite autour d’eux. Ils avaient atterri sur une longue route de sable, parsemées de petits cailloux. Des plaines vertes s’étendaient à perte de vue. Il n’y avait aucun arbre, aucune montagne.
- On dirait une route-fantôme, frissonna Lloyd.
- Ce n’est pas si mal, apprécia Kratos, on aura le temps de préparer un plan.
- Un plan ? s’étonna Colette, pourquoi un plan ?
- Les autorités doivent nous rechercher, après tout le boucan qu’on a fait dans cette ville, exposa Kratos.
- Je ne comprends pas pourquoi ils nous ont attaqué, dit pensivement Génis, ils se sont énervés lorsqu’ils ont vu Colette. Je comprends qu’ils soient étonnés de voir un Ange, mais de là à bombarder Colette . . .
Colette se racla doucement la gorge :
- Hum, je me rappelle, quand j’ai vu les trois demi-elfes à Altamira, ils ont eu la même réaction.
- Explique, ordonna Kratos.
- Eh bien, ils m’ont vu. Puis le plus vieux, je dirais la trentaine, a essayé de me poignarder. Les deux autres ont aussi eu l’air surpris. Peut-être que dans ce monde, les Anges sont méchants ?
- Possible, conclut Génis.
- On n’a pas trop le temps de s’occuper de ça, non ? intervint Lloyd, il faut qu’on trouve vite Artémis, et on lui botte les fesses !
Noïshe approuva d’un aboiement joyeux.

- Lloyd a raison . . . Pour une fois, dit Génis, on doit vite la retrouver.
- Et comment est-ce qu’on va faire pour la retrouver ? demanda Colette.
- Comme d’habitude, répondit Lloyd en s’asseyant aux côtés de Noïshe.
Colette et Génis échangèrent un regard interrogatif.
- Qu’est-ce que tu entends par là ? demanda finalement Génis.
- Ben, expliqua Lloyd, d’habitude, on trouve ce qu’on cherche totalement par hasard !
- Et tu crois qu’en se tournant les pouces, Artémis va nous tomber dessus ? lui reprocha Kratos.
Lloyd baissa la tête, penaud.

- Pour commencer, reprit Kratos, nous devrions trouver une ville ou un village où nous pourrions dormir, tout en restant discrets, évidemment . . .
Génis jeta un regard aux alentours :
- Hum, . . . Par où on va ?
- C’est maintenant que Noïshe devient utile, sourit Kratos, avec son flair, il va vite nous trouver un endroit où dormir.
Noïshe, sentant qu’on parlait de lui, bomba le torse. Lloyd se mit à genoux devant lui :
- Trouve-nous une ville, Noïshe !
Celui-ci dodelina de la tête en couinant.
- Je crois qu’il ne comprends pas, dit Génis.
- Mais si ! répliqua Lloyd.
Il prit la tête de son chien entre ses mains et planta son regard dans le sien :
- Noïshe ! Trouve-nous une ville ! Une ville ! V-I-L-L-E !
- Ce n’est pas en épelant le mot qu’il comprendra mieux, souffla Génis.
Contrairement à la remarque de Génis, Noïshe dressa les oreilles et aboya. Il se mit à renifler le sol, puis courut. Génis resta bouche bée et Lloyd lui lança un petit regard triomphant.
- Suivons-le vite, ordonna Kratos en se mettant à courir.

La course ne dura pas plus de dix minutes. Une maison de bois apparut au loin. Kratos s’arrêta de courir.
- Eh ! Pourquoi on s’arrête ? demanda Lloyd.
Kratos soupira :
- N’as-tu vraiment rien dans la cervelle ? Il y a sûrement des gens à la recherche de Colette. Nous devons pouvoir nous balader incognito.
- Bonne idée, approuva Colette.
Celle-ci enfouit sa main dans sa poche et en ressortit un léger foulard noir.
- S’ils me recherchent, ils recherchent quelqu’un de blond, expliqua Colette, Mais, si je mets ce foulard sur mes cheveux, . . . Voilà !
L’Ange noua le foulard sur sa tête.
- On dirait que t’as les cheveux noirs, remarqua Lloyd.
- Lloyd, lui souffla Génis, je crois que c’est fait exprès.

Lorsque le petit groupe d’amis pénétra dans la ville, personne ne les remarqua. Même Noïshe parut banal à tous ces villageois. Par contre, chaque jeune fille blonde suscitait d’étranges regards. Lloyd s’approcha d’un mur :
- Pour une fois que ce n’est pas ma tête qui est accrochée sur les murs, rit-il.
Génis s’approcha. Il parut un peu surpris. Punaisée au mur, une affiche représentait une personne. Le dessin consistait en une grosse tête, avec quelques longs cheveux blonds par-ci par-là et un tout petit corps. On aurait dit le dessin d’un enfant. Il s’agissait pourtant bien d’un avis de recherche tout ce qu’il y a de plus sérieux. Il y avait les inscriptions suivantes sous le dessin : Morte ou Vive
1.000.000.000.000 de flouz en récompense
- Waouh ! s’écria Lloyd, ça fait beaucoup d’argent !
- Et si on allait livrer Colette aux autorités, plaisanta Génis.
- Bonne idée, continua Lloyd, comme ça, on serait riches !
- Ce n’est pas drôle, répliqua Colette.
- Allons manger un morceau, coupa Kratos.

Les quatre amis -cinq en comptant Noïshe- s’engagèrent dans les petites rues du village. Il n’y avait pas foule, mais les étals de marchandises étaient nombreux.
- Si on allait manger là ? proposa Lloyd en montrant une maisonnette de pierre.
- « Le sanglier fumant », lut Kratos.
Sans attendre aucune réponse, Lloyd entra dans le petit restaurant. Génis et Colette s’s’engouffrer à leur tour dans la maison. Seul à l’extérieur, Kratos soupira :
- Ah là là. J’espère que ça ne coûte pas trop cher . . .
Il entra à son tour.

Cool !

meme si j´ai du mal a lire a cause du pikachu ki se balade sur mon ecran

Alinea Un pikachu sur ton écran ? T sûre ke t´as un ordi normal ? lol