Fervac 
d´après Laya, le commentaire sera long et elle n´est pas certaine de le finir ce soir (faut dire qu´elle s´est mise à relire le chapitre tellement il lui plait XD)
Sujet :
Fanfic : Evil project, 250 ans après.
Donc, finalement j´ai réussi à finir cette lecture aujourd´hui... Bon, tout le monde s´en fout de ma vie (et heureusement pour vous 
), mais ça n´a pas été simple ^^
Je me demandais un petit truc, si Zack dit vrai, et il dit sûrement vrai, 64 gagne en quantité de mana à chacune de ses "transformations" ... Ca va faire mal à la prochaine j´imagine 
Sinon, émotions, bon le serpent est parti, Phillis est heureuse pour la première fois, happy end, tout ça... Tu vas trouver quoi comme embrouilles maintenant, je ne peux pas croire qu´ils filent le parfait amour... Ou alors tu deviens romantique, c´est grave xD
Et Kratos enfin là, très bonne nouvelle ça, je sens que ça va être du tout bon ^^
Donc, bons chapitres, et caetera, suiteuh, et voilà, tu m´auras comris ^_^
Je me disais aussi, il y avait quelque chose qui n´allait pas dans ces parenthèses
Par contre, il y a aussi la réceptionniste qui n´arrange rien deux fois, c´est une répétition qui m´a un peu gêné, à part ça niveau style tout va bien, je m´y remets
Alors, bon chapitre, on arrive à de très bonnes choses, enfin, je veux dire par là que j´espère que tout va bientôt être mis en place, parce que avoir encore des gens, ça va être dur
Juste une chose, interpelLé ^^
Bon, et bien suite attendue ave impatience mon grand 
MAIS, comme je n´aime pas donner de faux espoirs à mes lecteurs en uppant ce topic sans ayant au préalable un nouveau chapitre à poster, je mets également la deuxième partie
Chapitre 71 (Partie 2) : Dérèglement
La scène s’était figée. Yumee et Aaron étaient debout, bras armés et tendus vers le visage de Kratos. Ce dernier ne s’était toujours pas relevé. Le visage dépourvu de toute émotion, ce dernier se contentait de rester assis en fixant ses descendants du regard.
« Je me doutais bien que vous finiriez par agir stupidement… commença-t-il.
- Silence ! ordonna Aaron en menaçant Kratos de sa lame.
- Lloyd aussi avait tendance à foncer tête baissée, continua l’ancien héros sans prendre en compte les menaces du jeune garçon.
- La ferme ! hurla le frère de Yumee, ne faites pas comme si vous le connaissiez ! Vous n’avez jamais été fichu d’être proche des membres de votre famille ! »
Il y eut un moment de silence durant lequel ils se fixèrent droit dans les yeux.
« Je vois, reprit calmement Kratos, tu me reproches la mort de ton père. Il me semble que tu étais présent lorsqu’il s’est fait toucher, tu as donc certainement dû remarquer que ce n’est pas moi qui lui ai découpé le bras…
- Oui, j’étais présent, contrairement à vous ! s’emporta Aaron, je l’ai vu se faire attaquer ! Je l’ai vu souffrir pendant plusieurs semaines à cause de sa blessure infectée ! J’étais présent à son enterrement ! Et vous, où étiez-vous ?
- Ma présence n’aurait rien changé, assura le héros.
- Genis vous avait contacté ! cria Aaron qui n’écoutait même plus les réponses de Kratos, il vous avait demandé de venir ! Seule la magitechnologie de Derris-Kharlan aurait pu le sauver ! Et vous, vous n’avez même pas été là le jour de sa mort ! Vous avez laissé tomber votre fils dès sa naissance, vous l’avez abandonné de nouveau dix-sept ans plus tard, vous avez abandonné tout le monde ! Pourquoi un lâche tel que vous est encore en vie alors que les autres meurent ?
- Tu comptes me tuer ? demanda l’ex-séraphin du Cruxis le plus calmement du monde.
- C’est une éventualité que j’envisage, en effet… » lança le garçon en rapprochant davantage sa lame de la gorge de Kratos.
Ce dernier jeta un bref regard par-dessus l’épaule d’Aaron. Yumee était restée en retrait et regardait la scène à distance, ses yeux traduisant un mélange de haine et de tristesse. Les deux adolescents se laissaient envahir par leurs sentiments. Leur défense ne serait donc pas efficace, ce qui lui laissait une ouverture…
Kratos poussa un profond soupir. Puis, discrètement, il saisit la dague qu’il avait attachée dans son dos, au niveau de la ceinture.
D’un seul mouvement, il se releva tout en désarmant Aaron. Cette action fut suivie d’une violente bourrasque qui désarçonna les deux jumeaux. Yumee vit son épée voler pour aller se planter au loin. D’où provenait ce vent ? Elle n’avait senti aucune variation de mana, ça ne pouvait donc pas être un sort… Kratos était-il fort au point de générer des bourrasques à la seule force de son bras ?
La gamine se téléporta juste à côté de son épée et s’apprêta à la saisir quand elle disparut subitement. Yumee regarda alors en direction de son frère pour voir si ce dernier avait pu récupérer son arme pour se défendre.
Elle vit la main de son frère qui serrait le manche de Flamberge. Elle s’apprêta à pousser un soupir de soulagement, mais elle leva les yeux au même moment et eut le souffle coupé.
Kratos se tenait debout face à Aaron et le menaçait avec Aqualyss. La lame bleue s’enfonçait légèrement dans le cou du garçon, sans pour autant entailler la chair. Là encore, il n’y avait pas eu la moindre variation de mana au cours de l’action. Yumee était stupéfaite. Kratos s’était déplacé jusqu’à Aqualyss pour la récupérer et se placer face à Aaron au moment où il allait se saisir de Flamberge, le tout en étant plus rapide que les deux jumeaux réunis et sans utiliser la téléportation ! Comment avait-il réalisé un tel tour de force ? La distance totale à parcourir était d’au moins une quinzaine de mètres, personne ne pouvait devancer les jumeaux sur de telles distances sans se téléporter !
Pourtant Kratos l’avait fait sans même sortir ses ailes et ne paraissait même pas essoufflé malgré l’exploit qu’il venait de réaliser.
« La magitechnologie de Derris-Kharlan, commença-t-il, se concentre essentiellement sur le domaine de l’armement. Il en a toujours été ainsi. Et même après la mort de Mithos j’ai fait en sorte à ce que cela ne change pas pour des raisons précises. Ce qui fait que même moi je n’aurais pu sauver votre père. Pour le reste, j’ai des obligations à remplir, des erreurs de mon passé à corriger. C’est ce qui explique mon absence il y a cinq ans, et c’est également ce qui explique ma présence aujourd’hui. »
Il s’empara de Flamberge et rangea les deux épées dans leurs fourreaux respectifs. Aaron ne tenta même pas de résister, trop occupé à rager dans son for intérieur.
« Vous étiez faibles ce jour-là, reprit Kratos, mais ce n’est pas pour autant que vous devez en vouloir à ceux que vous estimez être forts de ne pas avoir été là. Votre père est mort, le seul et unique responsable de ce fait est la personne qui lui a infligé cette blessure. »
Il tourna alors le dos à Aaron sans pour autant baisser sa garde, bien que ce dernier ne représentait plus un danger, et s’éloigna.
« Une dernière chose, lança-t-il en s’arrêtant, ne mourrez pas avant moi… »
Puis il reprit sa marche, laissant les deux jumeaux seuls. Ces derniers ne savaient plus quoi penser, tout était si confus… Et puis, que signifiait cette dernière phrase ? Pourquoi avoir dit une chose pareille ?
« … pas avant qu’il ne m’ait ôté la vie » murmura Kratos qui était déjà bien trop loin pour être entendu.
64 ressentait une étrange sensation depuis plusieurs minutes déjà. La même qui signalait la présence de Drilaz. Mais très vite, cette présence s’éloigna.
« A quoi il joue ? » murmura-t-il pendant que Philis interrogeait une réceptionniste.
Une femme entra alors dans l’auberge, tout essoufflée.
« T’es en retard, lui signala sèchement une femme de ménage qui passait par là.
- Je sais, répondit la nouvelle arrivante en reprenant son souffle, mais il y a un type bizarre qui n’arrêtait pas de suivre l’orpheline qui vit dans le coin. Tu sais, une de celles qui vit chez toi, celle avec des cheveux bleus.
- Millie ? s’étonna une réceptionniste qui écoutait la conversation, à quoi il ressemblait ce type ? Et qu’est-ce qu’il lui voulait ?
- J’en sais rien, répondit la femme, il était vêtu d’une longue cape noire et il est parti dès qu’il m’a vue arriver. J’ai voulu le suivre pour en savoir plus mais il se déplaçait très vite… »
64 soupira, Drilaz s’était fait remarquer. Mais pourquoi s’en était-il pris à cette gamine ?
« C’était peut-être un pervers, supposa la réceptionniste, je pense qu’on devrait en parler aux gardes pour qu’ils fassent une enquête… »
Cette phrase inquiéta sérieusement le demi-elfe. Si les gardes se mettaient soudainement à rechercher quelqu’un, ils vérifieraient scrupuleusement les identités de chaque personne entrant ou sortant du village. Il fallait partir au plus vite…
64 fit signe à Philis qu’il était temps de s’éclipser. Puis il donna une bourse pleine d’argent à la femme qui hébergeait la fille que Drilaz avait suivie.
« En espérant que ça puisse aider l’orpheline à bien vivre » dit-il.
La femme dévisagea 64. Ce dernier n’entendit qu’à peine ses remerciements car il s’empressait déjà de partir.
« Je n’ai pas réussi à savoir où étaient les ptéroplans, signala Philis en le rejoignant, tu ne m’as pas laissé assez de temps. Et au fait, pourquoi tu as donné de l’argent à cette femme de ménage ?
- Je t’expliquerai, répondit le sans nom en pressant le pas, pour ce qui est des informations à recueillir on a plus qu’à espérer que Zack et Xenora ont eu plus de chance que nous… »
« T’as le don pour tout gâcher dans ma vie toi, lança Zack en sortant de l’auberge, même quand tu parles pas. Il suffit que tu sois présente pour que tout aille de travers.
- Ça prouve au moins que je joue mon rôle de sœur à la perfection, rétorqua Xenora d’un ton sec, d’ailleurs à ce propos je suis satisfaite de voir que tu me considères enfin comme telle. Même si c’est seulement quand ça t’arrange pour draguer !
- Je ne draguais pas, démentit l’alchimiste, je gagnais sa confiance pour obtenir des informations plus facilement.
- Oui, des informations comme son adresse et l’heure à laquelle tu pouvais passer la chercher pour aller au restaurant, ironisa l’elfe, c’est sûr que ça va tous nous aider.
- Un problème vous deux ? intervint 64 qui arrivait avec Philis, on vous entend depuis l’autre bout de la place du village.
- Pas un problème mais deux, corrigea Zack qui se remettait en route pour la sortie du village, les ptéroplans sont stockés dans un hangar très bien protégé. Il y a trois gardes armés qui patrouillent dans la même salle et de nombreux détecteurs de mana. Si l’un d’eux détecte plus de trois individus dans le hangar, l’alarme se déclenche, les sorties des pistes de décollage se verrouillent et les renforts arrivent.
- Et le deuxième problème ? demanda Philis.
- Elle ! » déclara sèchement l’ex-militaire en pointant Xenora du doigt.
La magicienne s’apprêta à répondre quand son regard tomba brusquement sur la scène la plus étrange qu’elle ait jamais vue. Deux squelettes s’étaient arrachés un bras pour se battre en duel, prenant leurs membres pour des épées. Tout autour, une dizaine de leurs congénères s’étaient disposés en ronde pour réaliser une danse assez particulière que personne n’aurait pu imiter. Il fallait dire que la plupart d’entre eux avaient au préalable échangé un bras, ou même leur tête, avec une jambe afin de mieux pouvoir réaliser la chorégraphie. Un peu en retrait, un dernier squelette jouait un air de percussion en se servant de sa propre tête, déposée devant lui, comme instrument de musique…
Deux mètres plus loin, Vharley et Zeratos s’étaient assis sur un rocher pour mieux admirer le spectacle.
« Tu crois que tu peux leur faire jouer à la balle avec leur tête ? demanda le guerrier à son frère.
- J’en sais rien, répondit calmement l’épéiste, faudra essayer lorsque le duel sera terminé.
- On peut savoir ce qu’il se passe ici ? » questionna 64 qui s’était glissé dans le dos de Zeratos.
Ce dernier sursauta et tomba du rocher. En se relevant, il tomba nez à nez avec sa sœur adoptive.
« Je sais ce que tu vas dire, commença l’épéiste avec une pointe de nervosité dans la voix, je suis un vrai gamin et je l’assume pleinement. Mais bon je peux me permettre de me détendre un peu maintenant que je n’aurai même plus besoin de combattre moi-même…
- Qu’est-ce que tu veux dire par là ? questionna 64.
- Asseyez-vous, je vais vous expliquer… »
Au moment où il avait prononcé ces mots, le groupe de squelettes se mit en position assise. Tout le monde regarda la scène avec surprise, à l’exception de Vharley qui semblait s’amuser de la vue qui s’offrait à lui. Quant à Zeratos, il parut dépité.
« Ce n’était pas à vous que je parlais ! s’indigna-t-il en parlant aux mort-vivants, vous m’énervez à suivre des ordres que je ne vous ai pas donné. Allez, hors de ma vue, dispersez-vous ! »
Aussitôt, les squelettes s’effondrèrent sur eux-mêmes pour former plusieurs piles d’ossements.
« Eh bah bravo ! lança Vharley, comment ils vont faire des trucs marrants maintenant que tu les as réduits en osselets ?
- Je… je pensais pas qu’ils prendraient mes ordres au pied de la lettre » répondit l’épéiste avec un air navré.
Zack se remit du choc que provoquait la vision de squelettes s’autodétruisant à la demande et analysa la situation… Zeratos avait été tué mais il était revenu à la vie, cela lui avait-il procuré une certaine influence sur les mort-vivants ?
Au même instant, 64 ressentit la présence de Drilaz au loin. Il était encore dans le village. Qu’est-ce qui lui prenait tout à coup ? Le demi-elfe sentit alors quelque chose se frotter à sa jambe gauche et se rendit compte qu’il s’agissait de… Drilaz. Il fronça alors les sourcils, il était pourtant certain que la sensation qu’il avait eue l’instant d’avant était celle que provoquait le lézard par sa simple présence…
Comment avait-il pu être dans le village pour ensuite se retrouver à ses pieds en moins d’une seconde ?
Je me disais, il a beau être parfois un fieffé salaud, il n´allait pas ne rien donner avec un si beau topic en haut de ce si beau forum ^^
Bon, aller hop, lecture
Faudra que je me remette à la lecture complète et fouillée depuis le début de cette fic...
Donc, chapitre dont on aurait pu espérer un combat au début, mais il faut pas rêver, Kratos s´en sort facilement, rapidement, est déconcertant... Donc pas de combat, une espèce de parade géniale, il va pas se laisser ennuyer par ses petits-fils, ça se voit
Ensuite, une fille avec les cheveux bleus... Là, on pourrait faire des tas de suppositions extrêmement hasardeuses, j´en ai quelques unes derrière la tête, mais je me les garde, j´attend de voir ce que penseront les autres, dans quelques temps.
Un "Je t’expliquerai" pouvant être en même temps sympa et énervant, tout dépend de quel point de vue on se place. Du point de vue du lecteur, très énervant. Du point de vue de l´écrivain, assez sympathique j´imagine.
Zeratos, touche d´humour toujours décalé, j´adore. Cette fois-ci, il joue avec les squelettes, j´ai envie de dire, c´est très peu étonnant, tu me déçois xD
Non, je me demandais ce qu´il se passait, et bien c´est toujours notre bon Zeratos qui ferait tout pour rendre une situation bien moins sérieuse.
Et dernière chose, un Drilaz parcourant une bonne centaine de mètre (j´imagine) en une seconde. Donc, deux choses : Soit Drilaz était vraiment en forme, théorie à éliminer car elle ne serait pas survenue en fin de chapitre
Soit la présence que ressent 64 n´est pas Drilaz. Et donc, frère de 64 à nouveau. Et donc, parenté oblige. Et donc, et donc... Et puis rien, je vais pas m´embrouilller encore, déjà que je vois de plus en plus mal o_O
Bon, très bon chapitre, suiteuh, vivement, again, dépêches-toi, c´est sympa, tout va bien, don´t worry, be happy.
O_o
pour le "je t´expliquerai", je l´ai mis afin de ne pas faire dire à 64 ce qu´il venait de se passer avec Drilaz et la gamine. Il y a donc un lien entre l´argent donné et cette histoire. Après il peut très bien l´avoir donné pour plusieurs raisons, il se sent peut-être responsable du dérangement provoqué par Drilaz, ou il compatit tout simplement avec la situation de l´orpheline, lui-même ayant été séparé de sa famille, allez savoir. Je ne l´ai pas mis avec l´intention de vous faire faire une théorie là dessus, ce "je t´expliquerais" n´a pas une grande importance 
Moui, je vois... Jusu´à que tu dises le contraire
En tout cas, "Je ne l´ai pas mis avec l´intention de vous faire faire une théorie là dessus" veut bien dire qu´il y a certains trucs que tu mets dans ta fic rien que pour faire faire des théories... Espèce d´écrivain salaud xD
Tu as déjà avouer dire quelque chose pour faire douter. Ensuite, tu me dis que cette phrase n´a pas d´importance. Et il faudrait encore que je te crois?
Non. Plus envie. Tu m´as dégoûté. Salaud. Fumier.
Non mais arrêtez de vous chamailler tous les deux, ça risque de finir en bastonnade à la fin .
Sinon, j´ai trouvé ton chapitre pas mal Kirb, mais j´ai pas le temps de te faire un commentaire détaillé pour l´instant .
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