Newgate !
T'as bien répondu à la question du "fou" réaliste, bien joué.
Je m'appelle Jonhatan ! JE SUIS LE ZOAN DU GORILLE !
Pour vous dire que voilà, quoi, j'arrive bientôt.
Newgate !
T'as bien répondu à la question du "fou" réaliste, bien joué.
Faut pas le dire, chuuut.
Oui tu peux me dire Merci newnew
Chapitre 28 : Le père de Jill.
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Jill baissa la tête. L’esprit ailleurs, elle se mit à admirer le ciel. Elle marchait, lançant vulgairement ses pieds, puis reprit.
« Mon père a été capturé par Albert Bluefield. C’était un homme fort et puissant. Le genre de personne sur qui on pouvait toujours compter. Il avait le dos inébranlable, indestructible. C’était bel et bien le genre d’homme sur qui on pouvait compter…
- Viens-en aux faits ? Lui lança Smith, qui continuait de marcher, achetant des aqua-bonbecs.
- J’y viens, sois pas désagréable ! Lui rétorqua-t-elle en lui jetant son arme à feu.
- Hya ha ha !
- Et donc, un jour… je vais faire court, hein. Albert arriva sur mon île pour arrêter une ribambelle de pirates et mon père se trouvait dans la bande.
- Il était pirate ? Demanda Sohan.
- Non, absolument pas. Il était juste en train de marcher tranquillement dans la rue. Elle sanglotait.
- Dis donc… S’exprima Say, reluquant des bouteilles de vins.
- Mon père s’était battu contre des centaines d’hommes pour protéger le village. Il a refusé d’aller à sa cérémonie de remise de prime pour honorer une promesse qu’il m’avait faite… A moi, un enfant, à l’époque, âgée de 8 ans. Il ne prononçait pas un seul juron en ma présence et s’appliquait à ce que j’ai la vie qu’il n’a jamais eu.
- Un bon père, j’l’aime bien ! S’écria Yassin en se rinçant le gosier d’une boisson exotique.
- Albert se mit à arrêter les pirates qui étaient pour le moins… coopératifs. Mon père se battu contre lui pendant plusieurs heures.
- Que s’est-il passé ensuite ? Demanda une nouvelle fois Sohan, admirant des épées entreposées dans un stand.
- Il est revenu à la maison, couvert de blessures. Il me prit dans ses bras en me promettant que tout allait bien. Il m’a ramené chez un ami à lui et m’y a caché, me jurant qu’il allait vite revenir. Il quitta la maison sur ces mots et je ne le revis plus jamais.
- Ah ouais… quel beau salaud cet Albert. Tu es sûre qu’il n’avait aucuns antécédents avec Albert ? Ton père a quel âge ? Lui demanda Smith.
- 53 ans, 54 dans peu de temps…
- Et Albert ?
- La cinquantaine, je dirais. Légèrement moins. Lui répondit-elle brièvement.
- Bon, les enfants, on verra ça plus tard ! S’exclama Yassin. On prend des Yagara et on y va !
- Ou ça ? Lui demanda-t-elle, un peu agacée.
- Visiter la ville, pardi ! »
Et c’est sur ces mots que nos protagonistes se mirent à vagabonder dans l’île qu’on appelle la Cité de l’Eau. Emerveillés, c’était le mot. Nul ne pouvait décrire leurs admirations envers l’architecture, la disposition, et la beauté de cette ville.
La bouche béante, les yeux admiratifs, ils regardèrent à droite et à gauche, tentant de se ressaisir après le discours de Jill. Celle-ci tournait la tête à droite et à gauche et remarquant des choses amusantes comme des gens masqués de favoris étranges, des gens à tête d’animaux ou encore, des gens difformes.
C’était comme si un cirque ou un carnaval se préparait. Ils se rejoignirent enfin sur la grande place et étaient sur le point de se répartir les rôles quand une personne, sortit une nouvelle fois de nulle part, les interpella.
« Salut, tout le monde !
- Quel beau nez… lança inconsciemment Yassin, émerveillé.
- Pardon ? Répondit le jeune homme.
- Rien… hum… Rien, rien ! Que pouvons-nous faire pour vous ? Lui lança Yassin.
- C’est quoi cette manie d’apparaître si silencieusement et rapidement ? Murmura Smith à Say.
- Je me présente, je suis Kaku. Vous devez sûrement vous interroger sur la façon dont je suis arrivé. Et j’aimerais vous rassurer sur le fait que c’est ma particularité. Au sein de la Galley-La Company, on m’appelle ‘’La Bourrasque’’. Je suis venu ici pour vous demander de me suivre, Khalifa vous a...trouvés celui que vous cherchiez.
- On vous remercie. Répondit l’équipage en chœur.
- Excuse-moi… lança Yassin en le suivant.
- Oui ?
- Tu as quel âge ?
- 23 ans.
- Tu ne les fais pas. Tu parais plus vieux que moi !
- Ah bon ? Ha ha ! »
Après quelques minutes de marches, assez effréné à cause du rythme de Kaku, ils arrivèrent devant un édifice pour le moins énorme. La charpente de ce bâtiment était très originale et joli à regarder.
L’allège, en aluminium, reflétait les lumières qu’émettait le soleil et donnait un teint bien plus lumineux et chaud à l’édifice. Le châssis et la crémone, tous deux fait d’or et d’argent, étaient clairement l’œuvre d’un artiste et d’un grand-maître d’architecture.
Les proportions de cette maçonnerie étaient géantes et immenses mais le teint bleuâtre, semblable aux mers recouvrant ce monde, n’était pas là pour atténuer cet effet. Au contraire.
Après ce temps de contemplation, l’équipage y entra en son sein et se mit à l’admirer de l’intérieur qui n’avait rien à envier à l’extérieur. Ils traversèrent les dédales qui s’engouffraient pour arriver dans une grande pièce, en l’honneur de tout ce bâtiment.
Dans celle-ci se trouvait simplement des bibliothèques le long des murs et une immense baie vitré à l’arrière donnant sur l’immensité de l’océan. Juste devant, un bureau où était assis un homme de grande carrure et d’une chevelure bleue. Habillé d’un simple chemisier et d’un jean noir, il se leva et d’un ton fort, s’écria.
« Bienvenue, jeunots ! J’espère que vous avez fait bon voyage avant d’arriver à Water Seven !
- C’est gentil de s’inquiéter Monsieur… Hésita Yassin en tournant des yeux.
- Iceburg ! Lança-t-il de vive voix.
- Oui, c’est cela…
- Khalifa !
- C’est du harcèlement sexuel. Lui lança-t-elle en redressant ses lunettes.
- Juste pour avoir prononcé votre prénom ?!! S’écria-t-il de plus en plus fort. Vous avez annulé tous mes rendez-vous ?
- Oui.
- Excellent ! Excellent ! Vous avez trouvé un nouvel animal de compagnie ?! Un truc petit, s’il vous plaît.
- Je m’exécute, Monsieur.
- Kaku, tu peux disposer, j’aimerais conduire nos hôtes personnellement. Adresse mes salutations à Pauly, Lucci, et le reste !
- Oui, Monsieur. Lui répondit-il, il se retourna vers nos héros puis en posant sa main sur l’épaule de Smith, il leurs dit. Bonne chance ! Et à bientôt ! »
Après s’être longuement présenté, Iceburg et l’équipage, il leur révéla la vérité concernant l’Homme aux Milles Mains.
« Il est partit il y a des années. Je suis désolé pour l’attente, mais Khalifa n’était pas au courant et n’était pas charger non plus de vous l’annoncer.
- Comment ça, partit ? Demanda Yassin. On avait convenu de se retrouver ici !
- Je sais bien, il nous en avait parlé. Il disait que quelque chose se tramait ici, et qu’il ne pouvait laisser ça arriver. Par contre, il ne nous a jamais dit quoi.
- C’est bizarre… Oribu Rivassuru n’aurait jamais failli à sa promesse. Sauriez-vous où il est allé ? Demanda Yassin.
- Non. Désolé, par contre, je connais quelqu’un qui pourrait vous y amener. Il est un peu… spécial. Et assez excentrique. J’espère que ça ne vous dérangera pas trop. Et il faut se dépêcher, je crains qu’il ne soit arrivé quelque chose de grave à Oribu, si vous confirmez que c’n’est absolument pas son genre d’manquer les rendez-vous.
- Attendez… Lui dit Yassin. Say, Launa, Smith ! Si je vous dis encore une fois Oribu Rivassuru, ça ne vous dit vraiment rien ?
- Non. Répondirent-ils tous en chœur.
- Alors son pouvoir est toujours actif. S’il était mort, ils se seraient souvenus de lui ! Lança Yassin.
- Tant mieux. Bon attendez moi ici, j’reviens dans cinq PETITES minutes. »
Celles-ci passèrent lentement, tellement lentement. Après ce temps d’attente, Iceburg revint accompagné d’un homme.
« Les Vagabonds des Mers… Je vous présente, Stelarc Wells. »
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J'ai lu jusqu'au chapitre 20 je pense, non?
Chapitre 18.
Le bide.
J'ai lu, et pas grand chose à dire deçu. J'imagine qu'il est au courant pour le CP9 le gars, bien rédigé comme d'hab'. J'attends la sweet
J'ai failli avoir une crise.
Dessus et non pas déçu.
Sinon, je te remercie ,Mao.
En vrai, je vais aller me faire enculer.
...
Ouais c'était le correcteur, j'étais sur téléphone
Ouais.
55 jours et un lundi fuckin' 29 février d'une année bissextile
Va crever
Je dois faire un avoeu à BWS.
Bah fait le
Je m'en cogne de toi, je veux parler à BWS.
Bah fait le
Tu vois, moi je suis fidèle. Et ma fidélité, elle est fidèle. En gros, je suis fidèle. Et même quand on se causais plus ... je lisais encore ta fic.