Création

Ceci pour manifester que je vais encore voter, je vais vite prendre une douche et je vous lis, désoléééée, journée chargée ^^

Le 22 décembre 2015 à 23:21:55 Suledhel a écrit :
Ceci pour manifester que je vais encore voter, je vais vite prendre une douche et je vous lis, désoléééée, journée chargée ^^

ah, ben, c'est pas trop tôt

Il m'a fallu la fouetter sur FB

+ Ggiot, si le texte est accessible sans l'explication, alors ne la met pas, ça gâche le mystère... Et seuls les plus cultivés feront le rapprochement.

Ouais désolée, entre le boulot la journée et ma mère qui m'a enrôlée pour les """"derniers"""" préparatifs de Noël au soir, c'était chaud, d'ailleurs je sais pas comment je tiens encore debout

Maaaaiiis j'ai lu, avec un peu de retard

+3 points Mand
+1 point ggiot
+ 1 point crazy

ggiot et crazy, j'aime assez bien vos styles en fait et y'a une atmosphère prenante dans vos textes, ici comme sur le premier match d'écriture, mais malheureusement le fond reste parfois un peu trop flou :/ Mand c'était du carnet de route, mais cette fois ça se "justifie" si je puis dire et puis le rassemblement de toutes les personnalités du forum est assez énorme

Bravo à tous, sorry encore pour le retard ²

Bon, au moins, j'arrive à trouver des votants, vu que nous en avons sept!

Mandoudou 18pts
Ggiot 8pts
Marty 7pts

Et ce soir, à l'unanimité, celui qui triomphe, c'est MOI!!! Mes concurrents en ! Je remporte enfin quelque chose avec mes carnets de route, c'est la consécration!! Merci cher public, merci de votre soutien, je vous aime tous! Vive Mandoudou, vive moi!

Bon, maintenant mes choux, tous à vos contes de Noël! Mardi prochain, 0h00!
https://www.mediamiser.com/wp-content/uploads/2013/12/santa-claus3.jpg

Choco qui me sort sa thèse sur la bête !

Merci pour ta lecture elfi.

Dois-je vraiment répondre à vos "critiques" (Mandoulis et Choco) ?

edit : et puis bravo au vainqueur alors ! Quel image original !

Ce n'est pas "ma" thèse, c'est celle qui est la plus crédible. La seule a expliquer tout les "paramètres" de l'affaire ou presque. Jte dis j'avais trouvé cette histoire passionnante, et l'explication, bien que rationnel, tout autant C'est surtout la seule qui tienne la route...

Elle n'est certes pas originale, mais au moins le thème est large... Si je n'ai pas au moins 5 textes, je sais pas ce qu'il vous faut...

Je suis le seul à trouver ce Père Noël terrifiant ?

Pour info - je ne sais plus si je l'ai dit - mais je pensais que c'était l'une ou l'autre des images, et non pas les deux ...

Nan tu l'avais pas dit. Et il y avait trois images, pas deux.
Thonthon, écris moi donc une histoire d'horreur

J'espère que vous écrivez hein

Bon, moi j'ai eu une idée, mais je ne suis pas certain d'être capable d'écrire ce texte. J'essaierai demain, voir ce que ça donne.

Voyons voir ce qu’en disent mes détracteurs, qui se plaignent de me voir sans cesse écrire du carnet de route… J’ai eu beaucoup de mal à écrire ce texte, vous comprendrez facilement pourquoi. Certains seront choqués, Yugo fera sa petite analyse psychologique de mon subconscient au vu de la noirceur apparue dans mes écrits récemment, mais je pense que je ne laisserai personne de marbre.
Trêve de palabres, voici le texte !

Le Père-Noël

Les rideaux tirés laissaient la petite chambre dans la pénombre. La faiblarde lueur du lampadaire tentait de percer au travers du tissu décoloré à fleurs. Ses yeux s’étaient habitués à l’obscurité, il distinguait sans problème les angles de son vieux bureau en chêne, dans un coin de la pièce. Une chaise de paille, trouée, lui servait à poser son séant lorsqu’il travaillait. Des journaux en fouillis recouvraient la surface de bois, il aimait y chercher les articles de ses exploits afin de les collecter dans un album. Le pays entier parlait de lui, il était célèbre.

Roger était assis dans son fauteuil, il aimait à s’y délasser. Cette chaise à bascule lui venait de sa mère, et le doux balancement la lui rappelait à chaque fois. Il avait dépassé la cinquantaine, et des rides apparaissaient sur son visage rougi par l’alcoolisme. Ses cheveux courts étaient cachés sous un grand bonnet, sa mâchoire dissimulée par une longue barbe blanche. Son gros nez emplissait toute sa figure, ses petits yeux porcins brillaient sous des sourcils fournis. Il n’était pas très beau, et n’avait jamais pu trouver femme à son pied. Il bossait dans un supermarché, mettant la marchandise en rayon, personne ne faisait jamais attention à lui. Ses parents étaient morts voilà des années, et il n’avait aucun ami. Mais il n’avait pas raté sa vie, car il était célèbre aujourd’hui.

Il était encore vêtu de son costume de Père-Noël, ses bourrelets remplissant la large veste rouge. Le pantalon sur les chevilles, il se masturbait avec délectation. Le petit garçon reposait nu sur les couvertures délavées, il était encore sous les effets du chloroforme. Il l’avait attaché au pied du lit, afin de prévenir toute fuite. L’enfant n’avait certes pas plus de huit ans, mais sa sciatique le dominait chaque jour un peu plus, il préférait ne pas prendre de risques. La main caressant son membre, Roger admirait les courbes infantiles de sa proie. Des cheveux bruns courts, un petit nez en trompette, il se rappelait ses grands yeux verts. Il n’était pas bien épais, mais ses fesses rebondies auguraient bien des plaisirs. Ses petits tétons pointaient, ajoutant à l’excitation du gros avachi dans son fauteuil.

Le gosse remua, il revenait à lui. Ses yeux ne lui suffisaient plus, Roger s’approcha et s’assit sur le bord du lit. De sa main calleuse, il caressa le buste du gamin, imprimant un nouvel élan à son membre défraichi. Ses doigts descendirent doucement jusqu’à l’entrejambe, et tâtèrent avec délectation les petits testicules de sa victime. N’y tenant plus, Roger se déshabilla, laissant apparaitre son corps gras et poilu. Il s’allongea près du garçon, passa sa main dans la chevelure du môme. C’était le sien, il était à lui, personne ne le lui prendrait. Il lécha les tétons de l’enfant de sa langue râpeuse, et descendit peu à peu. Le minuscule pénis glabre l’excitait au plus haut point, il le prit dans sa bouche édentée pour en savourer le délicat goût de l’innocence.
Le gamin se réveilla alors brusquement.
« Où suis-je ? Qui êtes-vous monsieur ?
-Je suis Roger, sois sage et je ne te ferai pas de mal. » répondit-il de sa voix usée.
« Où est Maman ? Je veux ma Maman !
-Elle n’est pas là pour le moment, mais sois sage, et tu la reverras vite. » Il était remonté à hauteur du visage de l’enfant, exhalant son haleine puante. Les grands yeux émeraude étaient pleins d’interrogation. Une larme coula sur sa joue potelée.
« Ne pleure pas mon ange, Roger va prendre soin de toi. » Il dirigea la main du gosse vers son membre dressé. Quelle douce sensation ! Qu’il aimait ce trouble agréable qu’il ressentait ! Sa victime retira brusquement ses doigts.
« Allons, ne fais pas l’idiot, je ne te ferai pas de mal. » dit-il sur un ton sec. Le môme se mit à hurler.
« Je veux ma Maman !
-Ta gueule morveux ! » Roger le bâillonna immédiatement à l’aide d’un de ses chaussettes. Le petit garçon se débattait, la colère montait chez son ravisseur.
« Tu n’as pas voulu être sage, eh bien Roger ne le sera pas non plus ! » murmura t’il en plaquant sa proie sur le ventre.

<< Mais... Mais... Tout ceci n'est absolument pas règlementaire! >> Le père Noël leva la tête vers le ciel, un voile de désespoir gris lui couvrit le visage
<< JE SAIS, QU'Y PUIS-JE? LA DÉCISION A ÉTÉ PRISE EN HAUT-LIEU. CETTE ANNÉE, JE N'AURAIS PAS LE DROIT D'EMPORTER LES ÂMES QUELQUES JOURS EN AVANCE POUR ALLÉGER TA CHARGE DE TRAVAIL. APPAREMMENT C'EST NOUS QUI NE RESPECTONS PAS LES RÈGLES.
- Simple curiosité, mais tu n'essayes pas de me faire faux bond par hasard? Pour profiter tranquillement des vacances pendant que moi je trimes comme un malade?
- CESSES DE PLEURER VIEIL HOMME, LE SAINT-PÈRE A DÉCIDÉ QUE DU 23 AU 24, PERSONNE N'ALLAIT MOURIR, TU CROIS QUE J'AI EU VOIX AU CHAPITRE?
- Mais... Mais pourquoi? Cela marchait si bien pourtant. Une petite vague de froid par la, une explosion dans une centrale thermique par ici... Les morts et les familles en deuil qui n'ont pas le cœur a fêter sont autant de client en moins pour moi... Toute la planète en une nuit c'est assez galère comme cela, si on ne peut même plus mettre en pratique ses petites astuces...
- CA MANQUE DE JOIE LA EN-BAS SI J'AI BIEN COMPRIS, LE SAINT-PÈRE VEUT Y REMÉDIER.
- ...En ajournant la mort durant une seule journée?
- JE SAIS, C'EST COMPLÈTEMENT CON.>>

C'est ainsi qu'un Père Noël abattu s'attela à sa tâche millénaire. Il récupéra des lutins la liste des enfants sages et celle des enfants qui l'étaient moins, attela ses reines de course pur-sang au traineau (Rodolph était mort d'un cancer il y a peu) et quitta le pôle nord. Le Canada fut son premier arrêt.

1000, 2000, 3000 cadeaux... Il consulta sa montre. 3 secondes s'étaient déjà écoulés. Dieu du ciel! Jamais il n'aurait le temps. Au détour d'une porte, il croisa un enfant encore debout malgré l'heure tardive. Bien sûr, le père Noël se déplace si vite que le cerveau humain n'a pas le temps d'enregistrer sa présence, voila pourquoi les radars de la NASA n'avait jamais pu capturer sur image cet étrange phénomène du 24 décembre. Cet enfant donc, était le premier sur la liste de ceux qui malgré tout l'amour de leurs prochains, n'avaient pas été sage. Pressé par le temps, le Père Noël prit un morceau de charbon de son sac et lui lança à la figure. Il repartit avant d'en observer le résultat.

Il est ici temps de mettre un terme à cette légende qui prétend que le Père Noël est gros. Non, il n'est pas gros. Il dispose simplement d'un physique de lanceur de poids ou de bucheron. C'est le physique évident qu'aura quiconque porte tous les cadeaux du monde entier ainsi que 2 tonnes et demi de charbon dans un seul sac, parcourant à la course toutes les villes, les maisons, les appartements et les cabanes. Ce n'est pas un physique pour passer par les cheminées, depuis que la population avait dépassé les 6 milliards, Dieu lui avait prêté son passe-partout pour gagner du temps, tant pis pour la tradition.

Le Père Noël avait donc quitté la maison en hâte après avoir lancé le charbon au visage de l'enfant. Quand le morceau atteignit sa cible, l'enfant eu le nez fracturé, ses dents de lait se déchaussèrent toutes, sa pommette droite se brisa en morceaux et sa boite crânienne fut irréparablement séparé de sa colonne vertébrale. Étrangement, quand ses parents découvrirent le corps, il respirait encore.

Mais le Père Noël n'avait rien vu, la machinerie parfaite de son corps taillé dans la roche accomplissait inexorablement sa tâche. Qu'importait la difficulté, il accomplissait sa tâche sans faillir, sans faiblir. Le devoir seul importait. Le devoir et l'espoir d'un bon gros RTT une fois que la semaine serait enfin passée.

Malgré sa foi, certaines mesures drastiques furent prises pour assurer une livraison dans les temps. Les cadeaux n'étaient pas posés avec un noeux rouge mignon sous le sapin, ils étaient lancés à la va-vite dans le salon. Le baiser qu'il devait déposer sur le front pure et innocent de chaque enfant fut remplacé par un rot tonitruant dans la chambre et, nouveauté de cette année qu'il avait découvert par hasard, le charbon n'était pas mis dans la chaussette, il était lancé au visage de l'enfant.

Un milliards, Deux milliards, << Mais... Mais... Tout ceci n'est absolument pas règlementaire! >> Le père Noël leva la tête vers le ciel, un voile de désespoir gris lui couvrit le visage
<< JE SAIS, QU'Y PUIS-JE? LA DÉCISION A ÉTÉ PRISE EN HAUT-LIEU. CETTE ANNÉE, JE N'AURAIS PAS LE DROIT D'EMPORTER LES ÂMES QUELQUES JOURS EN AVANCE POUR ALLÉGER TA CHARGE DE TRAVAIL. APPAREMMENT C'EST NOUS QUI NE RESPECTONS PAS LES RÈGLES.
- Simple curiosité, mais tu n'essayes pas de me faire faux bond par hasard? Pour profiter tranquillement des vacances pendant que moi je trimes comme un malade?
- CESSES DE PLEURER VIEIL HOMME, LE SAINT-PÈRE A DÉCIDÉ QUE DU 23 AU 24, PERSONNE N'ALLAIT MOURIR, TU CROIS QUE J'AI EU VOIX AU CHAPITRE?
- Mais... Mais pourquoi? Cela marchait si bien pourtant. Une petite vague de froid par la, une explosion dans une centrale thermique par ici... Les morts et les familles en deuil qui n'ont pas le cœur a fêter sont autant de client en moins pour moi... Toute la planète en une nuit c'est assez galère comme cela, si on ne peut même plus mettre en pratique ses petites astuces...
- CA MANQUE DE JOIE LA EN-BAS SI J'AI BIEN COMPRIS, LE SAINT-PÈRE VEUT Y REMÉDIER.
- ...En ajournant la mort durant une seule journée?
- JE SAIS, C'EST COMPLÈTEMENT CON.>>

C'est ainsi qu'un Père Noël abattu s'attela à sa tâche millénaire. Il récupéra des lutins la liste des enfants sages et celle des enfants qui l'étaient moins, attela ses reines de course pur-sang au traineau (Rodolph était mort d'un cancer il y a peu) et quitta le pôle nord. Le Canada fut son premier arrêt.

1000, 2000, 3000 cadeaux... Il consulta sa montre. 3 secondes s'étaient déjà écoulés. Dieu du ciel! Jamais il n'aurait le temps. Au détour d'une porte, il croisa un enfant encore debout malgré l'heure tardive. Bien sûr, le père Noël se déplace si vite que le cerveau humain n'a pas le temps d'enregistrer sa présence, voila pourquoi les radars de la NASA n'avait jamais pu capturer sur image cet étrange phénomène du 24 décembre. Cet enfant donc, était le premier sur la liste de ceux qui malgré tout l'amour de leurs prochains, n'avaient pas été sage. Pressé par le temps, le Père Noël prit un morceau de charbon de son sac et lui lança à la figure. Il repartit avant d'en observer le résultat.

Il est ici temps de mettre un terme à cette légende qui prétend que le Père Noël est gros. Non, il n'est pas gros. Il dispose simplement d'un physique de lanceur de poids ou de bucheron. C'est le physique évident qu'aura quiconque porte tous les cadeaux du monde entier ainsi que 2 tonnes et demi de charbon dans un seul sac, parcourant à la course toutes les villes, les maisons, les appartements et les cabanes. Ce n'est pas un physique pour passer par les cheminées, depuis que la population avait dépassé les 6 milliards, Dieu lui avait prêté son passe-partout pour gagner du temps, tant pis pour la tradition.

Le Père Noël avait donc quitté la maison en hâte après avoir lancé le charbon au visage de l'enfant. Quand le morceau atteignit sa cible, l'enfant eu le nez fracturé, ses dents de lait se déchaussèrent toutes, sa pommette droite se brisa en morceaux et sa boite crânienne fut irréparablement séparé de sa colonne vertébrale. Étrangement, quand ses parents découvrirent le corps, il respirait encore.

Mais le Père Noël n'avait rien vu, la machinerie parfaite de son corps taillé dans la roche accomplissait inexorablement sa tâche. Qu'importait la difficulté, il accomplissait sa tâche sans faillir, sans faiblir. Le devoir seul importait. Le devoir et l'espoir d'un bon gros RTT une fois que la semaine serait enfin passée.

Malgré sa foi, certaines mesures drastiques furent prises pour assurer une livraison dans les temps. Les cadeaux n'étaient pas posés avec un noeux rouge mignon sous le sapin, ils étaient lancés à la va-vite dans le salon. Le baiser qu'il devait déposer sur le front pure et innocent de chaque enfant fut remplacé par un rot tonitruant dans la chambre et, nouveauté de cette année qu'il avait découvert par hasard, le charbon n'était pas mis dans la chaussette, il était lancé au visage de l'enfant.

Un milliard, deux milliards... Enfin les 7 390 715 588 furent atteint. Avec trois secondes d'avances qui plus est. Il rentra, s'assit dans son fauteuil rouge et ferma les yeux, laissant son esprit vagabonder dans les régions inexplorées du sommeil et des rêves.

Un appel le tira de son repos. Il connaissait ce numéro, c'était certainement les félicitations qu'il méritait.
<<Saint-Père bonjour! que puis-je pour vous.
- Bonjour Père Noël, eum... Dis moi, quelles astuces a-tu utiliser pour aller plus vite?>> Le Père Noël sourit, surement sa créativité serait récompensé.
<<Comme d'habitude, comme nouveauté j'ai simplement lancé les charbons.
- Ah ok. Comment dire...>>

La mort observait la cohorte qui se pressait au portillon. Le Saint-Père n'avait pas menti, aucune âme n'était venu jusqu'au levé du jour en terre sainte. Puis le jour s'était levé. Puis une file mille fois plus énorme que prévue s'était présenté à l'accueil. La plupart des enfants dont la tête avait été séparé du corps par un morceau de charbon.
La mort secoua la tête et se mis au travail en grommelant.
<<TOUT CECI N'EST ABSOLUMENT PAS RÈGLEMENTAIRE.>>

Mille excuses par avance pour les fautes.

Oh oui un adversaire!

Que ça n'empêche pas tous les glandeurs en vacances d'en écrire un aussi! J'ai dit que je voulais cinq textes, je les aurai!

Je glande pas et je suis pas en vacances
Mais du coup j'ai pris de l'avance et je vous ai lus, déjà

Mand, effectivement, ça change ! Et c'est plutôt bien écrit dans le genre, j'ai trouvé. Après, c'est pas tellement le genre de textes que j'aime lire en général, donc je sais pas bien quoi te dire de constructif :/

Kokopali, j'ai rêvé ou bien y'a un morceau de texte (le début, en fait) que tu as inséré deux fois ? Niveau typographie je suis pas fan de tes guillemets mutants pour insérer les dialogues Pour le reste, c'était plutôt sympa, ça m'a un peu fait penser à Pratchett - normal, j'imagine - et du coup ça m'a donné envie de me remater une fois The Hogfather, en cette période de Noël

J'attends vos éventuels concurrents pour me prononcer

J'ai pas trouvé les guillemets classiques en fait, mon pc portable ne les intègre pas correctement

Pour Pratchett, je lui ai même piqué la phase de début et de fin

Texte fraîchement écrit, c'est bien pour toi Mandou. ( Le texte reste compréhensible sans la lecture de "Sensibilité extrême")

Réveillon

Le traditionnel sapin de Noël trône sur le salon de mon appartement. Les guirlandes et lumières illuminent de leurs couleurs la pièce. La grande étoile au sommet du pinacée, éclaire les visages de la famille se regroupant pour le réveillon ; tous sauf le mien.
Les différents membres de cette dernière dînent chaleureusement au tour d’une table garnie pas les mets habituels : Foix gras et dinde n’ont pas échappé au rendez-vous.
Ils rient, plaisantent, inaugurent la bouteille de champagne fraîchement débouchée.
Je regarde impatiemment l’horloge, l’heure passe lentement, trop lentement. Le sommeil pèse sur mes yeux, et les paroles alentours résonnent comme un coup de canon dans mes oreilles. La douleur d’une migraine s’immisce dans mon corps. Je laisse mon esprit divagué, au gré de ses envies.
Je ferme les yeux pour profiter pleinement de ce repos temporaire, mais ce dernier est vite brisé par la sonnette de l’entrée. J’attends que quelqu’un se dévoue pour aller ouvrir. Les invités ne bougent pas d’une oreille et continuent leur discussion. Je me décide à me lever de ma chaise et me dirige vers le couloir, énervé contre cette personne perturbant mon répit.
Je grogne et ouvre la porte

-Quoi ?

Une petite blonde se dresse devant moi, elle a changé de coiffure depuis la dernière fois : ces cheveux sont détachés et viennent enjoliver son doux visage, ton visage. Un regard hésitant vient se plonger dans le mien. Tu n’es pas comme d’habitude, tes yeux bleus retiennent quelques larmes.

-Je suis désolé

Elle m’entoure de ses bras si frêle, une enivrante odeur de tabac froid vient chatouiller mon nez. Après un moment d’hésitation je lui rends son étreinte. C’est beau et agréable. Le temps paraît s’être arrêté, les invités n’ont pas l’air d’avoir remarqué mon absence. La petite lumière du couloir nous éclaire faiblement, clignote par intermittence pour nous laisser parfois dans une agréable obscurité.
Elle essuie les quelques gouttes coulant sur sa joue.

-Viens

Je lui prends la main, la serre aussi fort que possible. Je contourne mon salon, les rires résonnent encore. Je lui ouvre la porte de ma chambre, je l’invite à s’assoir sur mon lit.

-Qu’est-ce que tu fais là ?

Un immense bonheur s’est emparé de mon esprit, mais le doute et une certaine envie de savoir me ronge.

-Je vais tout t’expliquer

Elle m’invite à me poser à côté d’elle. Elle pose sa tête contre mon épaule. Elle me parle, m’explique. Pourquoi tout ça ?

« Je ne voulais pas »
« Je ne savais pas ce que je ressentais pour toi »
« Je suis désolé, je te jure »
« Non non, ce n’est pas pour ça que j’ai fait ça, c’est parce que.. »

Sa voix familière m’apaise, ses paroles précieuses, celles que j’attends depuis si longtemps, survolent mon subconscient, embrumé par une épaisse couche de bien-être.
Je ne m’en rends même pas compte mais nous sommes maintenant allongés, ton explication finie, tu t’appuies sur moi et m’entoure de tes bras si rassurant. Ton parfum « Garo » flotte dans ma chambre et me rassure. Je regarde mon plafond, blanc comme la neige.

-Attends, ferme les yeux..

J’obéis, tu me glisses un baiser sur la joue, le contact de tes lèvres dégage en moi une libération, l’amour envahit mes pensées. Je suis apaisé, heureux. Je suis bien, ça fait tellement longtemps.

« JOYEUX NOEL »

Minuit a sonné, je rouvre les yeux, le cul toujours affalé sur ma chaise. Mon léger chuchotement est caché par les cris de célébrations.

-Merci Père Noël.

Merci mon Tweenou pour avoir posté qqchose

Il me manque encore deux textes, ô s'active les autres

Il reste 153 minutes à deux d'entre vous pour me pondre un texte.