Ah, le coup de la boucle m'avait échappé je dois dire.
Voici les résultats de cette dernière session:
Ggiot 11pts
FreshPrince 5 pts
Choco +0
Encore bravo à tous les participants et votants, qui ont fait de ce topic un lieu de création incontournable.
Nous semblons nous diriger désormais vers la création d'un recueil de nouvelles, avec les meilleures que nous ayons pu pondre. Quiconque souhaitant apporter sa contribution (relecture de textes, corrections, mise en forme? ), sera le bienvenu.
Arrêt sur Images, c'est...
... un concours qui a réuni 49 personnes de tout horizon autour d'une passion commune, l'Ecriture.
... une émulation permanente, du 22 Juin 2015 au 7 Décembre 2016, avec exactement 137 textes produits.
... 33 sessions différentes, pour 37 victoires, partagées entre 21 artistes talentueux !
Le podium des participations :
Yugo l’infatigable atteint la première place, avec 14 participations !
En deuxième place, Helping et Mandoulis prouvent leur endurance avec 13 participations chacun !
En troisième position, votre dévoué serviteur, avec 9 participations !
Le podium des victoires :
Quelle plume, quel souffle ! Yugo maintient sa gloire avec pas moins de 5 victoires à son actif !
Mandoulis défend sa deuxième position, avec 4 belles victoires !
Arduilanar s'invite à la troisième place, et gagne les 3 premières sessions d'ASI !
Bravo à eux !
Je remercie tout particulièrement Mandoulis et Elfi, pour leur importance quant à l'existence de ce concours.
Plus que des chiffres, ASI a d'abord été une aventure partagée ; du travail et une impulsion créatrice rare, pleine de qualité. A titre personnel, cela aura été une fierté d'en être, de pouvoir confronter mes productions aux vôtres, et d'apprendre à vos cotés, sur la voie difficile de l'art manuscrit.
A tous les autres, je dis : bravo. Le travail accompli rend compte d'un souffle artistique singulier ; celui d'un jeune et difficile XXIème siècle. C'est pour cela que la création d'un recueil des textes d'ASI est en ce moment pensée, par et pour vous.
C'était la deuxième session du concours Arrêt sur Images...
https://docs.google.com/document/d/184uxGjElP1u9cwqEWbeb05-xsppCEZ9bI3V6-vWP11I/edit
Participons maintenant à la minute de silence en hommage à ASI
Je viens de découvrir ce topic, j'ai bien envie de m'y essayer.
J'prends la dernière image proposée.
J'me lance.
J'ai si peur de te perdre bien que tu ne m'appartienne pas encore, je ressens pour toi un désir des plus fort.
Tu me rends fou, ton sourire m'enchante, je voudrais pouvoir être avec toi en permanence, je t'ai à peine quitté que déjà tu me manque.
C'est à l’absinthe que je cautérise cette plaie béante qu'est ton absence.
J'en fais des cauchemars, car la nuit, le soir, je suis envahi de pensées moroses, je t'imagine me fuir, t'éloigner de moi, et je tombe de la plus haute des tours, du dernier des nuages sur lequel j'étais, paisible, là, allongé à côté de toi.
D'un coup tu disparais, je crie ton nom mais point de réponse, ma peine alors j'éponge, tant bien que mal.
Ce nuage blanc et cotonneux sur lequel nous étions si bien, sans toi s'étiole, devient noir et douloureux, je m'y enfonce, et bientôt il me recrache, les étoiles constellant les cieux s'éteignent une à une, j'entame alors une chute vertigineuse, mon horizon de ciel bleu devient celui d'une ville grise, tout ce béton vers lequel je me dirige à une vitesse impressionnante, la pointe de ce building qui accueillera mon être de la plus sanglante des façons.
Ce sont des maçons du mal qui les ont construite ces fortifications, au milieu desquelles j'irai errer sans raisons.
Je continue, je vais piocher une image au hasard parmi celles qui ont déjà été proposées
Voilà
J'attends pas qu'on m'acclame, qu'on me réclame, messieurs mesdames de vos honneurs je 'm'écarte.
Le clapotis de vos mains vagues, cette mer de bras s'agitant n'est que mauvais temps, le son orageux de vos applaudissements m'agace, mes oreilles sifflent.
Cette masse informe que vous formé me donne la nausée, sur la scène je tangue, jetant mon mépris aux pieds du troupeau d'imbéciles indécis que vous êtes.
Tous vos "bravo", vos "hourra" ne sont pour moi que bruissements abrutissants, c'est ahurissant, de voir à quel point ces choses sont avilissantes.
Seul parmi la foule, je foule aux pieds vos congratulations, tribulations d'un tribun qui ne défend les intérêts que de son propre peuple, constitué de ses idées, de ses pensées et de personne d'autre que lui même.
Vas y encore un
J'habite des contrées désolées, où l'ombre règne, Reine d'un pays ravagé.
On peut y croiser les réminiscences d'un passé glorieux et fastueux, aujourd'hui effacé, le temps semble s'y être arrêté.
Plus de lendemain ni d'hier, simplement un jour sans fin, où la nuit jamais ne vient, pourtant la lune est le seul astre qui ose éclairé faiblement cette nation de désastre.
Et partout des os, parfois on y aperçoit de féroces créatures se mouvant lentement dans la lumière livide de ce monde que même la vie a quitté.
Et moi j'y vagabonde, je ne peux dire que j'y vis, ce serait mensonge, j'y suis certes, mais point je n'y vis et n'y voit que désespoir, malchance, malheur et mort.
Oubliés de tous, ces territoires inextricables n'ont ni entrée ni sortie, on y atterrit, on s'y réveille et l'on réalise qu'on y foulera l'herbe, mauvaise et folle, indéfiniment jusqu'à la fin des temps qui ne viendra jamais.
Allez un ptit dernier pour la route
Roi sans couronne
Patiemment j'attends
J'attends la venue de celle qui deviendra ma Reine
Mélancolie marraine de mes nuits
Me chuchote "jamais elle ne viendra"
J'attends celui qui brulant d'ambition
Viendra tenter de prendre ma place
Alors de son fourreau l'épée royale jaillira
Et répandra le sang du pauvre bougre
Qui aura oser défier sa majesté
Je veille sur mon royaume comme le soleil veille sur son monde
L'obscurité emplit les pièces de mon palais
De mon auguste lumière j'éclaire la salle du trône
Je ne me plais pas dans ce rôle
Mais les dieux m'ont choisi
Alors ma tâche j'accomplis
Assis sur le siège souverain
Je me souviens des combats menés
Je me saoule de vin et de nostalgie
De mes frères perdus lors des guerres
Je laisse une larme couler
Et me ressers un verre de nectar doré
Je déterre le topic pour la bonne cause. De manière temporaire ou non, tout va dépendre de comment ça va se passer...
Face à la non-coopération de la modération du 18-25 pur le concours estival, on va se rabattre ici, car il y avait des gens intéressés.
Nous allons reprendre le format ASI (parce qu'ici nous sommes fainéants ): une semaine pour écrire, une semaine pour lire et voter. (du mercredi au mercredi toujours, j'aime pas changer. )
Voici le sujet de cette semaine:
Vous avez donc jusqu'au mardi 29 août au coucher du soleil pour nous pondre un texte. Les votes se dérouleront la semaine suivante.
En espérant vous compter nombreux.
Bon ben je vais essayer de gratter un truc d'ici-là
Ca tombe bien, j'essaye d'écrire de nouveau pour le moment, sans trop savoir ou je vais... Du coup ASI c'est parfait
(A première vue l'image ne m'inspire pas spécialement quelque chose (quoi que) mais je vais essayer de participer )
Cloîtrés au plus profond de ma chaire
Derrière une porte de fer
Se terrent les maux de mon âme
Cadenassés, mes sentiments prisonniers
Ne laissent couler aucune larme
Tombent en cendres au bout du tisonnier
Le mal n'est pas saisonnier
Toute l'année il vit en moi
Pauvre damné quoi qu'il en soit
Sa propre vie lui échappe, toujours en fuite
Il n'appartient plus aux vivants bien qu'il le fut, brièvement
Quand à elle, paroxysme du faux
Une image, un mirage dans les flammes
Que je contemple des heures, passe-temps chronophage
Lorsqu'une femme demeure porte close
Impossible d'ouvrir le livre, d'en tourner les pages
Hors de portée, jamais je ne caresserai sa rose
Rien aux alentours, rien dans les parages
Ne saurait me consoler de ces moments perdus
Seul le vent perdure
Érode la roche si dure
Fait danser les feuilles, d'un geste si sûr
J'ai tant besoin d'air pur
Mais je ne puis sortir
Car de faim mourant
J'ai avalé la clef
Et avec elle s'en sont allés souffrants
Mes derniers rêves que j'ai laissés pourrir
Texte posté par _58 / Curselax sur le 18-25. (Et que je me permets de copier ici vu qu'il l'a écrit en rapport avec l'image)
Aies-moi attendu quand même
Marteau. Comme un putain de marteau qui tambourinerait joyeusement sur mes tempes. C'est donc ça, la gueule de bois ? Je me serais bien passé de cette découverte. C'est pire que ce que je pensais. « Ah bah tu vois que t'aimes bien l'alcool ! Il suffit qu'on en mette à ton insu dans du jus de fruit, et hop, ça y va ! » Florilège d'abrutis... Je savais que je n'aurais jamais dû venir à cette soirée. alors que j'ai un rendez-vous aujourd'hui. Le plus important de ma vie. « Justement, il faut fêter ça ! » Quelle andouille, cet Arthur... Même si c'est grâce à lui que j'ai ce rencart. De moi-même, je n'aurais jamais osé franchir le pas et m'inscrire sur ce site de rencontre. Fameux paradoxe de l'athée qui croit au destin. S'il existait une femme pour moi dans ce bas monde, je tenais à la rencontrer naturellement. Et de toute façon, si elle existait, elle serait forcément trop entêtée pour s'inscrire sur un site de rencontre, elle aussi. Amusante coïncidence... Ou peut-être que justement, la majorité des profils sont créés ainsi, dans le dos de l'intéressé, par procuration forcée. Par contre, si elle me voit dans cet état, elle va repartir en courant. Déjà que j'ai dû passer pour le yéti quand je lui ai avoué ne pas avoir de téléphone portable, si en plus je me laisse ressembler physiquement à la bête... Allez, il serait temps que je me lève, pour constater l'ampleur des dégâts...
Rouge. Ouvrant enfin un œil, je suis salué par le papier peint vieilli. Fichtre, on dirait qu'il a fait la guerre ce mur. Mais... Nom de Dieu ! Je ne suis pas chez moi ? Oui, maintenant que j'y repense, je ne me souviens pas être rentré chez moi. Je ne me souviens plus de grand chose, ceci dit. Foutue gueule de bois. Et surtout, je ne me souviens pas que la maison de Bruce était si... Défraîchie. Quelle chambre minimaliste. Un lit, une table de nuit, un tapis moche. Et c'est tout. Enfin, non. Il y a encore le plafond délabré, les oppressants murs dans leur robe écarlate, ainsi que la vieille porte en bois à demi ouverte. Mais pas même une fenêtre. 9h38. Ça va, j'ai encore le temps. Allons voir dans quel état sont les autres. Et si ils ont des conseils pour mettre en sourdine cette marche militaire jouée par le marteau dans mon crâne.
Vide. Désespérément esseulé. J'ai inspecté chaque pièce. Les nombreuses toiles d'araignées constituent les seules traces de vie que j'ai pu trouver dans toute la maison. Ils ne m'ont même pas laissé un post-it. Mais je ne suis pas chez Bruce. Sans doute chez un ami qui m'aura ramené avec lui. Enfin, « chez lui »... Est-ce vraiment chez soi, s'il n'y a aucun objet un minimum personnel pour égayer les lieux ? Ma tête va un chouïa mieux. Le fait de manger m'a sans doute fait du bien. Je n'avais jamais vu cette marque de céréales auparavant. Pourtant elles sont vachement bonnes, ils devraient faire davantage de pub. Mais comme quoi, j'ai peut-être bien fait de venir à cette soirée, finalement. Elles me rappellent un peu les regrettées Apple Minies. En plus elles semblent bien fonctionner contre la gueule de bois. Bon, il faudrait peut-être que je me mette en branle, si je veux avoir le temps de rentrer chez moi et de me rendre présentable. Quelle heure est-il ?
9h38 ? Putain de merde. Vite. Ma montre s'est arrêtée. Sortir. Bordel. Pressons. La porte. C'était bien le jour... La rue. Vide. Grand réverbère noire. Aucune ombre. Pastelle. Il est midi. Une poubelle verte me sourit. Vite. Des immeubles ultra modernes. Dans cette ville ? Gauche, droite : personne. Comme morte. Pressons. Foutu dimanche. Il me faut un plan de la ville. Gauche. Ou quelqu'un pour me renseigner. Cours. Ou un arrêt de bus. Plus vite. Ou bref, quelque chose. Le marteau qui se réveille. Merde. Un centre commercial. Horloge. Immense et cristallin. 12h33. Les deux grandes portes qui s'ouvrent. Déjà 21 minutes de retard. Une vague humaine qui inonde la voie publique. Tous en bleu. 22. Vite, mon portefeuille. « Madame, s'il vous plaît ? » Le papier sur lequel j'avais noté l'adresse. Rustre. Le regard qu'elle m'a lancé. « Excusez-moi, Monsieur ? » Rudesse. Quelle taille. « Mademoiselle ? » Elle aussi. Tous géants. Enfin un sourire. « La rue Didier Burkhalter, s'il vous plaît ? » Miracle. « Merci infiniment ! » À 500 mètres d'ici seulement. Tous suspicieux. Quelle chance. Sauf un. La femme de ma vie. Espoir. 23 minutes. Course. Moi qui déteste arriver en retard... Quartier de riche. M'auras-tu attendu ? Ta gueule le marteau ! Si c'était toi qui étais en retard, je t'aurais attendue. Largement. Quel jardin impeccable. Une heure, trois heures, dix heures... Ma vie sans toi n'a pas de sens. Attention la crotte de chien. Alors je crois que je t'aurais même attendue pendant des jours. Goutte de sueur qui glisse sur mon flanc droit. Ralentissons. Pendant toute une vie, même. Essayons de rester sec. Pour elle. Mais... Tu es une déesse, je ne suis qu'un pauvre humain... Pitié, aies-moi attendu quand même. Respirons.
Foi. Une voiture électrique qui passe. Première fois que je vois ce singulier modèle. Seconde à droite. Un parcmètre et un contractuel. Bien fait. Je ne peux m'empêcher de me réjouir quand un gros 4x4 bien polluant se prend une contravention. Ensuite troisième à gauche. « Dans cette rue, il y a une maison que j'adore. C'est la pénultième de la rue. Tu ne peux pas te tromper, ils viennent de la repeindre en blanc. Avec la porte en bois fermée par un cadenas. Retrouvons nous là-bas ! » C'est pour ça que je l'aime déjà. Ce côté décalé, spontané, champêtre. Avec tout le reste de sa magnifique personnalité. Et puis la cerise sur la crème, la photo n°3. Son visage si clair et singulier. Mais surtout, ce bon gros cul. Somptueux. Un joli ventre, aussi. Bien charnu. Miam... Pardon. Ah ! Voici la rue du tournant de ma vie. La pénultième maison... De quel côté ? Et en partant d'où ? Non, ces maisons-ci sont bleues, c'est donc l'autre bout de la rue. Voyons... Mais... Cette maison est bleue aussi, tandis que celle en face est complètement... Ah, je vois... Évidemment ! C'était ironique, ce « on vient de refaire la peinture »... Effectivement, je ne pouvais pas me tromper. Combien de retard ? 9h38. Ah, oui, j'avais oublié... En plus de repeindre, il faudrait déraciner ce lierre, aussi. Quoique tout cela participe au charme du lieu de rendez-vous. Comme un mini-bout de campagne au cœur de la ville... Cette maison est absolument incroyable. Une relique. Tellement en dissonance avec tout le reste de ce quartier si froid. Le cadenas est ouvert. Je pose ma main droite sur le bois séculaire. Alors que je m'apprête à pousser, le fil de ma vie se défait. Rapide et désordonné. Rouge. Vide. Bleu. Une contravention un dimanche ? J'ouvre.
Magnifique. Tu m'as attendu. Juste là, derrière la porte, sagement assise. C'est absurde, mais je te vois me sourire. Ce corps si caractéristique et parfait. Nous nous trouvons enfin, et nous ne nous quitterons jamais. Je t'aime tellement que je te reconnaîtrais parmi mille. Même réduite à un squelette. Larme. Noir.
On a deux textes (avec celui posté sur le 18-25) quelqu'un pour un 3ème?
Nous avons donc trois textes, j'invite chacun à lire et voter, en distribuant SIX POINTS comme bon vous semble.
(Et après je réenterre ASI parce qu'on bide )
Jusqu'à mardi prochain!
Ayant moi-même posté un texte, je vais m'abstenir de distribuer des points. Surtout que je trouve fort difficile de les mettre en compétition. Principalement parce que je ne me sens pas à l'aise pour juger de la poésie.
Du coup, je vais me contenter de contenter de commenter le texte de Klux.
Je suis passé un peu par tous les états. "J'aime bien", puis "Mon Dieu qu'est-ce que c'est que ça ?", "Ah, je vois... J'aime pas le genre", "C'est long", "Ah, je comprends maintenant, mais j'aime pas cette morale" et enfin "Ah, je m'attendais pas exactement à cette fin, du coup c'est pas vraiment la morale que j'avais anticipé. J'aime énormément cette fin". Et donc pendant un moment, je ne savais pas quoi penser et je me demandais ce que je pourrais trouver à dire. Et je ne suis pas sûr d'avoir encore bien mûri ce que j'avais à dire. Il y a des défauts que je lui trouvais pendant que je lisais qui finalement s'avèrent "nécessaires". J'ai l'impression qu'il y a des choses qui seraient sans doute à retravailler d'une manière ou d'une autre. Mais ce qui est indéniable, c'est que ce texte m'aura fait quelque chose.
Et en écrivant ce (maladroit) commentaire, je me fais la réflexion que même un truc que je voyais comme un défaut, prend maintenant du sens et me fait réfléchir encore un peu plus. Donc pour finir, les changements dont j'aurais eu envie risquerait de briser cet effet. (Sauf la conversation avec les parents. Là, j'y trouve une certaine "maladresse" inutile.)
Enfin bref. Tu dis toi-même que tu as dû le rusher. Donc si tu as l'occasion de le retravailler, ça peut clairement en valoir la peine, parce que déjà en l'état, je trouve qu'il y indéniablement un truc.
Le 30 août 2017 à 13:29:36 Mandoulis a écrit :
Nous avons donc trois textes, j'invite chacun à lire et voter, en distribuant SIX POINTS comme bon vous semble.
(Et après je réenterre ASI parce qu'on bide )
Jusqu'à mardi prochain!
Noooooooon Mandou le réenterre pas !
A la rentrée j'aurais trop besoin de ça pour me bouger le cul et me forcer a faire des trucs ! Faut juste que les gens se remotivent quoi.
En tout cas je participe à la prochaine session !
Le 04 septembre 2017 à 08:07:30 -Say- a écrit :
Le 30 août 2017 à 13:29:36 Mandoulis a écrit :
Nous avons donc trois textes, j'invite chacun à lire et voter, en distribuant SIX POINTS comme bon vous semble.
(Et après je réenterre ASI parce qu'on bide )
Jusqu'à mardi prochain!Noooooooon Mandou le réenterre pas !
A la rentrée j'aurais trop besoin de ça pour me bouger le cul et me forcer a faire des trucs ! Faut juste que les gens se remotivent quoi.
En tout cas je participe à la prochaine session !
Ben personne n'a lu en fait... ça me conforte dans mon idée le le réenterrer.
Je vais lire aujourd'hui, j'ai ENFIN un jour libre!
C'est jusqu'à aujourd'hui, coucher du soleil ?
Le 05 septembre 2017 à 10:33:48 Suledhel a écrit :
C'est jusqu'à aujourd'hui, coucher du soleil ?
Oui c'est cela.