Damn, j'entends la voix de Booker qui me crie "Elisabeth" dans la tête. Foutu jeu.
Je passe sur le topic juste pour dire a quel point le texte de dyck était exellent. Je l'ai même montré à des amis ! très franchement ton style est marquant et l'intrigue est bien menée. Bravo à toi
Tu vas me faire rougir
Merci à toi, ça encourage à continuer
C'est tellement spécifique que j'ai du mal à trouver une idée autre qu'un gars en train de tomber au-dessus d'une ville, curieuse des résultats
Le 25 novembre 2016 à 00:10:52 Lentivirus a écrit :
C'est tellement spécifique que j'ai du mal à trouver une idée autre qu'un gars en train de tomber au-dessus d'une ville, curieuse des résultats
"La Chute
- Ah je tombe !
- Attrape ma main !
- Tu tombes aussi ça sert à rien !
- Ah oui merde.
Puis ils s'éclatèrent sur le sol baigné par la lumière des buildings.
FIN"
Le 25 novembre 2016 à 00:30:19 TheSniderMcWood a écrit :
Le 25 novembre 2016 à 00:10:52 Lentivirus a écrit :
C'est tellement spécifique que j'ai du mal à trouver une idée autre qu'un gars en train de tomber au-dessus d'une ville, curieuse des résultats"La Chute
- Ah je tombe !
- Attrape ma main !
- Tu tombes aussi ça sert à rien !
- Ah oui merde.Puis ils s'éclatèrent sur le sol baigné par la lumière des buildings.
FIN"
Snider : 18 points
en même temps si tu pars dans l'idée de prendre le truc au premier degré
Tombé du monde
Habitant de Cloud City, Becker à une vie remplie d'amour et de paix, résidant dans une villa hérité de son père qui effleure les nuages au pied du Big Ben. Milliardaire, Becker, ça fait 5 ans qu'il a touché le coeur de sa dulcinée, Ashley, petite paysanne de 23 ans tout comme son prince charmant qui a vécu dans un ranch au Mont Silau avant de vivre ensemble. Leur quotidien se résume à s'aventurer dans les coins inconnus de la ville bien que certains passages sont dangereux voire inaccessible, en particulier cette ville situé dessous séparée d'un vitre.
Résidant aussi dans la ville, Jarod, ce mysogyne de 53 ans lui vit seul dans une maison délabrée envahi de bouteilles vides situé dans un coin paumé, il a pour passion, alcool, femme et l'argent, et ce qui lui intéresse plus que tout c'est d'avoir le pouvoir sur la ville ce qui est impossible car la clé est aux mains de son pire ennemi.
Il y a deux ans, Becker s'est vu offert les clefs de la ville par Dante, l'ancien Roi de Cloud City, en guise de récompense après avoir investi aux projets de ce dernier. Le peuple est ravi de ce changement, ce qui n'est pas le cas de Jarod, jaloux, il tente tant bien que mal à joué des mauvais tours à son rival de toujours. Mais il n'a pas dit son dernier car il prépare un plan des plus machiavélique pour que Becker fait face à un gros dilemme.
Au matin, sur la terrasse, Ashley boit son thé vert, et voit un oiseau apporté une lettre, elle la prend et la lit :
"RDV au Big Ben à 15h00, toute la famille sera là, on compte sur ta présence" signée ta maman chérie.
Ça faisait deux semaines qu'elle avait pas vue sa mère, et elle a hâte de la revoir. Situé au cœur de la ville, le Big Ben, elle a du chemin à faire donc elle fonce se préparer, en cherchant sa plus belle robe.
De son côté, Becker, est occupé à répondre aux attentes de la population, qui aimerait bien une évolution concernant les transports en communs plus rapides, les activités pour les jeunes et les moins jeunes. Il se doute même pas que quelque chose est en train de se préparer...
En haut du Big Ben se trouve Jarod, préparant un piège contre les deux tourtereaux, il est en train de construire une catapulte et créer une défaillance dans le système électrique de la ville. Soudain il aperçoit par le biais de ses jumelles, Ashley, au pied de la tour qui monte les escaliers en croyant qu'elle va trouver sa merveilleuse famille tout en haut.
Aussitôt le boulot terminé, Becker avait prévu de rejoindre sa reine au Big Ben histoire de passer un bon moment en famille. Croyant que c'était la fin d'une dure journée de travail, un homme intervient et lui demande un service :
- s'il vous plaît, mon cher Roi Becker, pourrai-je voir un instant les plans des nouvelles structures de la ville ?
- Je suis sincèrement désolé, monsieur, mais ma journée est terminée, veuillez revenir demain matin et je serais à votre disposition. Répond Becker.
Becker tourne le dos à cet inconnu, ferme la porte, mais reçoit un coup dans la tête.
Arrivée à la tour du Big Ben, Ashley, surprise de voir Jarod qui l'accueille avec un beau sourire.
- Comme on se retrouve ma belle ! Dit Jarod
- Mais ? Elle est où ma famille ? Et ma mère ?
- Elle est pas là, sale garce ! C'est moi qui a envoyé la lettre.
Jarod attrape les deux mains d' Ashley et les attaches.
- Dans moins de 5 minutes ton brave gentil copain sera là accompagné de mes disciples, il aura un choix à faire sur deux propositions, en attendant j'aimerais te faire une révélation. Je connais Becker depuis très longtemps, je crois même qu' on est proches sans même le savoir. Car moi et sa mère on était des amis d'enfance.
L'arrivée de Becker, attaché, et suivi des sbires de Jarod coupe nettement cette étrange discussion de ce dernier à Ashley.
- Ah Becker ! Il était temps ! J'ai eu une discussion avec ta jolie petite copine, et tu arrives à point nommé. J'étais en train de la raconter qu'on est très proche tout les deux.
- Tu dis n'importe quoi ! Chérie ne l'écoute pas ! Cria Becker.
- Oh que si ! Mon petit... Fils ! Eh oui tu es mon enfant Becker. Ta mère te la caché car pour elle j'étais un sale ivrogne et tu as préféré partir avec elle depuis tout petit au lieu de rester avec moi, et juste pour ça aujourd'hui tu vas payer très cher.
Choquée, Becker et Ashley, restent sans mots, préférant crier de l'aide aux alentours mais personne ne vient à leur secours.
- Aujourd'hui je vais te mettre face à un gros dilemme mon enfant. L'amour ou le pouvoir ? Ashley ou la ville ? Si tu me donnes les clefs de la ville, je vous laisse tranquille jusqu'à la fin de vos jours, au cas contraire tu subiras les conséquences.
- Ne l'écoute pas, Becker ! Ne lui donne pas les clefs ! Exclama Ashley.
- Mais il faudra bien, je n'ai plus le choix. Cria Becker avec déception.
Becker donne la clef à Jarod, Ashley même les mains attachées bouscule Jarod avec un coup de coude dans le dos, la clef glisse de ses mains et tombe dans la ville au dessous. Jarod appui sur un levier et expédie Ashley dans le vide, sans se poser de questions, Becker saute pour rattraper sa princesse, en ignorant que Jarod à ouvert la trappe qui les mène vers les rues sombre du monde parallèle. Vivant ? Mort ? Une autre question se pose... Le couple survivra t-il dans ce nouveau monde rempli de haine et de corruption bercé par les paroles des dirigeants matérialistes.
Plutôt fier de moi, j'ai surtout pu réaliser un fantasme de joueur, du gros fan service qui dégouline avec des tas de références ! Désolé pour ceux qui vont pas trop reconnaître.
°°°
L’Hirondelle.
La jeune femme rassembla ses forces et s’élança vers le chrosôme : à peine eut-il le temps de se retourner qu’elle avait abattu sa clé à molette contre son crâne. La créature s’effondra au sol, la face étendue dans une flaque d’eau.
— Bienvenu à Rapture, asséna Elizabeth en reprenant son souffle.
Derrière le corps de sa victime, elle découvrit une petite sœur terrifiée par les événements. Ses pleurs raisonnaient dans la pièce et un liquide visqueux suintait de ses grands yeux jaunes, coulant le long de ses joues livides. Les sombres cheveux non retenus par sa queue de cheval se retrouvaient plaqués contre son visage, humectés par le fluide. Ses mains, elles, avaient perdu leur extracteur et torturaient sa robe déchirée et rosâtre.
L'état de la jeune fille désolait Elizabeth, mais elle n’avait aucun moyen de l’aider. Elle jeta son arme, plia ses genoux et toucha instinctivement le dé à coudre de son auriculaire avant de lui tendre la main.
— Ton protecteur est coincé à la banque, expliqua-t-elle. Je suis venu te chercher.
La gamine observa le chrosôme étendu à ses pieds avant de se rapprocher.
— Là... c’est bien, n’ai pas peur, répétait Elizabeth au fur et à mesure que la petite venait à elle.
Elle la saisit finalement et la souleva sans peine.
— Il faut que tu te trouves un prénom, remarqua Elizabeth.
Elle pensa à ce vieux conte qu’elle lisait autrefois, enfermée à Columbia, où l’héroïne traversait seule un monde terrifiant.
— Que penses-tu d’Alice ? Alice de Rapture ?
La petite gémit de contentement.
Sa sauveuse ne s'attarda pas et partit pour la banque : toutes deux traversèrent des couloirs inondés, des salles emplies de cadavres en décomposition et où l'on entendait d’effroyables mélodies, vestiges d’une époque révolue. Aucun chrosôme ne croisa leur route : elles arrivèrent saines et sauves devant l’entrée de l’établissement illuminé, bloquée par un éboulement. Seule la taille de guêpe d’Elizabeth leur permit de passer sans encombre.
Elles gagnèrent ensuite la salle de réception, où le Big Daddy les attendait, impatient. À la vue de sa petite sœur, il se déplaça à pas lents et lourds, lui, son armure et sa foreuse meurtrière. Ses voyants passèrent au rouge jusqu’à ce qu’Alice coure et saute dans ses bras matelassés. Un râle merveilleux s’échappa du cuirassé ; tendre réaction au milieu des ténèbres.
— J’ai ramené la fille, à toi de payer ta dette, pressa Elizabeth.
Le titan laissa sa protégée grimper sur son épaule et s’en alla vers la salle des coffres. Coincée en automatique, l’énorme porte qui la gardait bloquait Elizabeth dans son avancée. Tout serait bientôt résolu.
Le Big Daddy saisit la poignée du sas et la tira autant qu’il pu, déformant puis arrachant son métal. Un trou apparu, qu’il agrandi à la seule force de ses bras. Après quelques minutes d’acharnement, il n’eut plus qu’à faire sauter les gonds de la porte la pour laisser s’affaisser.
Elizabeth accourut à l’intérieur, et se retrouva.
Une vieille femme à la longue robe bleutée et aux cheveux gris portés en chignon s’occupait d’un homme installé dos au mur, visiblement inconscient. Au son des talons d’Elizabeth, elle se retourna et dévoila un visage aussi dur que ridé. Le soulagement l'emporta et elle rejoignit Elizabeth.
— Ma petite ! s'écria-t-elle en l’enlaçant.
Elle posa les mains sur les joues de sa jeune amie.
— Tu n’as rien ?
— Ça va aller. Mais, monsieur DeWitt ?
Elizabeth jeta un œil à son père, victime d’un Handyman à leur dernier séjour en Columbia.
L’expression de la vieille femme se renferma et elle hocha la tête.
— Écoute-moi, petite : Papa ne s’en sortira pas si tu ne fais pas exactement ce que je te dis. Mon âge ne me permet plus de voyager, mais je peux encore ouvrir des brèches vers d’autres plans…
— Cela te fatiguerait inutilement, je peux le faire moi-même, il n’y a qu’à…
— Non, tu ne peux pas faire ça ; pas cette fois. Avec le temps, tu apprendras que notre univers n’est pas unique : tu sais voyager entre les réalités, mais pas entre les univers.
— Je ne comprends pas…
— Je ne peux pas t’expliquer, le temps presse. Tu vas devoir trouver l’Hirondelle, et la donner à Booker.
Elizabeth ne comprit pas.
— Une hirondelle ?
La vieille femme indiqua le tour de cou qu'elle portait, et sur lequel était gravé un oiseau. Il s’agissait d’un cadeau de son père, offert des années auparavant dans des circonstances particulièrement étranges. Par ailleurs, la vieille femme en possédait un identique.
— Trouve la femme aux cheveux de cendre, et demande-lui l’Hirondelle !
Sur ces paroles, elle ordonna à Elizabeth d'attraper son père et entama l’ouverture du portail. Une détonation résonna dans la pièce et le passage quantique s’ouvrit, avalant les objets alentours.
— Tu dois y aller maintenant, n’hésite plus !
— Mais, ... et toi ?
— Tu connaîtras ma fin, petite. Pars !
Elizabeth se rapprocha du portail et, Booker, bien trop lourd pour elle, l’y entraîna en chutant. Tous deux tombèrent sur une terre chaude et parfumée, avant d’entendre une seconde détonation éclater. Le portail s’était définitivement refermé : l'univers qu'ils avaient connu avait disparu.
Le soleil chauffait désormais le dos d'Elizabeth et son odorat percevait de nouveaux arômes, bien plus agréables que ceux de Rapture. Près d'elle étaient cultivés fruits et légumes, de beaux pieds de tomates ayant subi son arrivée malencontreuse. Après s’être relevée, elle découvrit un paysage rural et ensoleillé recouvert de vignobles.
— Mademoiselle, on détruit le potager ! s'indigna une voix masculine légèrement aristocrate.
Elizabeth en chercha le propriétaire et trouva, à quelques mètres de là, un homme chauve aux petites lunettes rondes, habillé de façon bien excentrique. Sans même lui accorder la moindre attention, elle tenta de rétablir son père, encore étendu à ses pieds et tordu de douleur.
— Aidez-moi, demanda Elizabeth, que l'angoisse gagnait peu à peu. S’il vous plait !
L’homme demeurait pétrifié.
— Que se passe-t-il, Barnabas ? s'éleva une voix féminine depuis les hauteurs du jardin.
Une jeune femme aux cheveux cendrés s’en extirpa et se rapprocha des DeWitt, l’épée à la main.
— Qu'allez-vous faire de ça ? demanda Elizabeth, apeurée.
Elle se souvint alors des paroles de la vieille femme.
— L’hirondelle ! hurla-t-elle comme s’il en allait de son salut. Nous cherchons l’hirondelle !
— L’hirondelle ? se surprit la bretteuse. Comment… ? Mais qui êtes vous ? Et d’où venez-vous ? Dîtes moi la vérité ! ordonna-elle en levant sa lame.
— Vous ne comprendriez pas, répondit Elizabeth. Il faut soigner mon père !
— Mademoiselle, se réveilla le majordome, je crois qu’ils sont tombés d’un portail.
La jeune femme fronça les sourcils.
— Êtes-vous magicienne ?
Elizabeth paniqua.
— Je… nous ne sommes pas dangereux. L’hirondelle doit soigner mon père, je vous en prie !
Elle n'aurait su que dire de plus mais, heureusement pour elle, son interlocutrice la prit en pitié et rangea son épée. Elle s’enquit de la santé de DeWitt, constata son état et ordonna qu’on l'emmène dans la propriété. Tous trois le portèrent à travers le domaine jusqu'à la maison, et le déposèrent sur la table de la salle à manger, où la jeune épéiste l’examina de nouveau. Son étude terminée, elle se tourna vers Elizabeth, que l’on avait fait s’asseoir.
— Il lui faut en effet de l’Hirondelle, mais je ne sais pas si son corps va résister…
— Faite ce qu'il faut pour le sauver.
La jeune femme quitta la pièce et revint avec un flacon de verre au contenu rougeoyant. Elle le fit boire à Booker, qui réagit violemment et tenta de le recracher.
Elizabeth, observant la scène, porta ses mains à sa bouche. Barnabas la rassurait quand la porte s’ouvrit et laissa pénétrer un homme âgé dans la pièce. Ses traits tirés, sa longue barbe et ses cheveux blancs rappelèrent le prophète Comstock à Elizabeth.
— Qu’est-ce que c’est que ce raffut ? demanda-t-il, encore endormi.
— Veuillez nous excuser monsieur, votre fille a recueilli ces étrangers tombés dans le jardin, indiqua Barnabas.
— « Tombés dans le jardin » ? Ciri, qu'est-ce que ça veut dire ?
— Un portail les a amenés ici, précisa-t-elle. J’essaie de soigner le père de la jeune fille que tu vois là, mais l’affaire est sérieuse... je vais devoir les emmener à Brokilone.
— Ciri, Brokilone est à des jours de…
— Je ne compte pas y aller à cheval, le coupa-t-elle.
Son père soupira.
— C’est toujours la même chose…
Et, d'une voix pleine de sagesse, il ajouta :
— Je hais les portails.
°°°
Merci pour votre lecture !
La phase des votes est ouverte !
Deux textes, quatre points à répartir comme bon vous semble !
Bonne lecture !
Avec deux jours de retard.
Je pense que ce sera la dernière session, il faut mieux arrêter un navire avant qu'il ne fasse naufrage On peut toujours le remettre à l'eau quand les conditions seront plus clémentes..
Désolé pour la phrase dégueulasse, j'ai fini à 3h du mat', m'voilà mais merci !
Merci leperenolonch
FreshPrince
Je n’ai malheureusement pas pu terminer. Ma première question est la suivante :
Le français est-il ta langue maternelle ? Si non, je salue la performance. En revanche, si c’est le cas, j’aimerais bien savoir quel âge tu as.
Les phrases sont trop longues, manque de concordance des temps, orthographe, trop d’infos, aucune atmosphère, syndrome du résumé. Je crois avoir plus ou moins condensé les défauts principaux de ton texte. Beaucoup de travail en perspective donc !
Ggiot
Bon alors t’as pas commencé que tu induis le lecteur. Du coup, je me lance en me disant que je vais rien comprendre vu que c’est plein de références… On va voir ce que ça donne.
Je vais rejoindre Nono, ça se lit facilement, ça va peut-être un tout petit peu trop vite par contre. Mais alors le fond, si l’on ne saisit pas les références, c’est assez lourd niveau noms.
Vote
Ggiot +3
FreshPrince +1
Choco +0
Langue maternelle pas forcément, j'habite à La Réunion.
Ce qui est bizarre pour moi c'est quand j'écris une lettre de motivation ou si je parle à quelqu'un j'arrive à bien m'exprimer mais quand il s'agit d'écrire une histoire surtout longue, je fais beaucoup de fautes. Est ce le fait de vouloir trop bien faire ?
Freshprince : chapeau pour la performance, j'imagine pas la galère
Ton texte ressemble plus à un résumé qu'à un réel texte, et avis totalement personnel (donc ça changera pas la note) mais j'ai du mal avec les textes au présent
Sinon j'ai assez bien aimé
ggiot : j'ai bien aimé aussi, malheureusement je connais pas assez l'univers du jeu pour tout comprendre
Freshprince : 2 points.
ggiot : 2 points.
Choco +0
Merci pour ton avis sur mon texte Snider
Ggiot :
Ah, bah enfin quelqu'un qui comprend les références que tu emploies.
Je regrette que Geralt et Ciri ne parlent pas polonais devant une Elizabeth perdue et décontenancée, mais je reconnais que ç'aurait été moins pratique pour finir ton texte comme tu l'entendais.
Texte bien sympathique ma foi, même s'il est étrange que tu aies mis en relation deux personnages aux pouvoirs similaires pour assez peu exploiter ce fait au final. Elizabeth ne va chercher Ciri que pour soigner son père, alors que pour ce faire n'importe quel mage guérisseur aurait pu faire l'affaire. Mais je chipote là.
Freshprince :
Il y a énormément de choses qui ne tiennent pas debout, comme cela a déjà été relevé plus haut : une gestion catastrophique de la concordance des temps, un récit qui ressemble par moment d'avantage à un résumé ou un synopsis... Mais tu mérites d'être encouragé, ce n'est qu'en pratiquant qu'on peut progresser.
Ggiot +3
Freshprince +1
J'aurai pu faire un roman, mais je devais finir le texte dans la soirée, donc... ^^
L'important c'était de mettre dans le même contexte et Ciri et Eliabeth, qui ont (à peu près) les mêmes pouvoirs et sont au coeur d'une même relation père-fille dans les jeux, en plus d'être toutes les deux en rapport avec l'hirondelle (le tour de cou d'Elizabeth // le nom elfique de Ciri).
J'ai imaginé que Elizabeth apprenait à traverser les univers avec Ciri, pour revenir dans le sien. Une fois vieille, elle rencontre une Elizabeth jeune et l'envoie chez Ciri pour soigner son père, et ce dans une boucle infinie ^^.