Se connecter

The Elder Scrolls IV : Oblivion

Sujet : [fic]Les Deux et l'Aube Sanglant
darkness-stone
Niveau 10
03 septembre 2007 à 16:26:45

désolé, mais vousn´aviez qu´a me répondre ^^, je ferais plus atention la prochaine fois

darkness-stone
Niveau 10
04 septembre 2007 à 09:00:56

bon, là il faut que je fasse ma rentrée :bouh:, mais jusqu´à 12h30, le temps que je rentre et bouffe, je pourrais peut êter vous posté la siuite vers les 16h30-17h, voilà, et bonne rentrée a tous :lol: :diable:

darkness-stone
Niveau 10
04 septembre 2007 à 17:05:22

voilà la suite, un peu plus courte (1 page word), en espérant que cela continu a vous plaire.

Chapitre quatorze
2ème partie
Rencontres

Tana s’avança lentement vers la grotte, suivant les indications de la voix. Le chemin qu’elle empruntait était vert et vivant, partout et tout autour, des arbres fruitiers faisaient tombés leurs fruits doux et sucrés, partout, les branches des arbres pliaient sous le poids de leurs fruits si appétissants. Même sans mangée, Tana goûtaient aux plaisirs de cette orgie lumineuse et colorée. Touts ses muscles étaient détendus, elle était calme et reposée. L’herbe était verte et grasse, le pollen qui flottait dans les airs donnait une odeur féerique et envoûtante. Tana se laissait bercée par la douce mélodie du vent soufflant dans ses oreilles. Après un petit moment de pur extase dans cet endroit, elle finit par arriver devant une grotte qui reflétait tout, sauf les choses qu’elle avait vu en venant. Cette grotte rendait une idée de mort et de désespoir, une idée de torture et de sang. L’âme de la grotte semblait ténébreuse et souffrante. L’esprit de Tana se remit en marche immédiatement, par un instinct de survie elle attrapa ses dagues et se mit en position défensive. Puis, le vent se mit à augmenter brusquement, l’air s’engouffra dans le trou d’accès de la grotte, les cheveux de Tana se mêlèrent aux feuilles virevoltant dans les airs. La voix reprit dans sa tête, et lui ordonna de rentrer. Elle hésita un cours instant, puis finit par renter.

C’est en faisant attention qu’elle entra dans cet édifice dédié aux ténèbres. L’air environnant était d’une telle chaleur glaciale, que ces muscles furent presque paralysés sur le moment, la pierre de la paroi était glaciale et dure. Un bruit d’eau qui s’écoulait s’entendait au loin, la résonance des lieux était extrême, le moindre souffle se transmettait dans toute la grotte. Frigorifiée, Tana avança prudemment, elle finit par arriver au petit cours d’eau qu’elle avait entendu tout à l’heure. Elle chercha désespérément un autre chemin, mais ne vit rien que de la roche et de l’eau. Elle avança, s’accroupit, et prit un peu d’eau dans sa main. L’effet fut immédiat, sa main trembla de froid. Mais en regardant derrière elle, elle vit des piques s’avancés vers elle, elle hésita un moment entre une mort douloureuse, et une mort par le froid. Elle sauta dans l’eau, mais elle ne ressentait aucun froid, l’eau était certe froide, mais supportable pour le corps humain. Elle nagea pendant une bonne demi heure à travers les conduits de ce labyrinthe aquatique. Elle finit par arriver à un nouveau cul de sac. Elle regarda à nouveau autour d’elle, mais pas le moindre bout de terre en vue. Puis, elle ressentie une douleur au niveau de la cheville, une douleur vive et acérée. Elle plongea la tête, un poisson carnassier. Elle sortit une dague et le tua simplement. Cependant elle remarqua une ouverture dans les profondeurs. Elle rangea sa dague et plongea. Cinq mètres, dix mètres, quinze mètres, ses poumons allaient éclatés. Elle arriva enfin, à la porte, et se dépêcha de remontée. Une fois à la surface, elle reprit une énorme bouffé d’air. Elle remit ses cheveux derrière pour éviter de lui rentrer dans les yeux, et avança doucement jusqu’à la berge toute proche. Elle s’appuya un instant contre la roche, mais une nouvelle douleur lui fit annuler son geste. La roche était chaude, brûlante même. Elle remarqua que ses cheveux séchèrent en peu de temps, et que la chaleur dégagée par cet endroit commençait à la brûler. Elle replongea dans l’eau, et se dépêcha de suivre le couloir chaud et mortel. Trente secondes, elle est déjà à moitié sèche. Une minute, elle arrive enfin au bout du tunnel infernal, elle était complètement sèche. Elle continua à avancer.

Un bruit sec se perdit dans son oreille, elle s’accroupit, et dégaina très discrètement une dague. Des yeux s’illuminèrent dans le noir. Puis, le bruit de l’air coupé par le métal s’entendit, une énorme épée s’abattit sur Tana. Dans un ultime réflexe, elle baissa la tête, et sortit son autre dague. Un autre coup fut porté, elle esquiva encore de justesse. Elle riposta, elle sauta vers son ennemi, et elle lui planta une dague dans la cuisse droite. Il l’arracha, et frappa violemment Tana au visage. Elle recula, et se cogna contre le mur. L’épée vint a nouveau tentée de lui ôté la vie, elle roula sur le côté, et lui planta une autre dague dans l’abdomen. Son ennemi cria de douleur. Il retira la dague, et Tana en profita pour sautée sur son dos et lui enfoncé une autre dans la colonne vertébral. Les os craquèrent, le monstre s’abaissa, et dans un cri de désespoir s’effondra sur le sol. Elle se laissa choir sur le mur. Elle se frotta le visage, et reprit ses dagues, maintenant, elle était sur ses gardes.

Dans la grotte, la Mort se frottait les mains.

Tana continua à avancer, et une odeur commença à discrètement s’introduire dans les narines de la jeune femme. Puis, plus elle avançait, plus l’odeur était tenace et aigue. Un gaz vert pâle commença à envahir les conduits de la grotte, bien que Tana savait qu’elle se trouvait partout, sauf à l’intérieur d’une grotte, continuait à espérer une sortie. La couleur pâle se déposa lentement sur l’armure de cuir de Tana. Puis, une voix s’éleva dans les airs :
-Dezz queriam flatar, deriak zenos, sortys querias, édum feliar quez varr.
Des syllabes à glacer le sang, des enchaînements de mots oubliés. Le cœur de Tana se mit à battre à tout rompre. Elle continua à avancer, puis des squelettes apparurent, armés comme des hommes, mais cette armée ci venait du plus profond des ténèbres. L’armée des deux fois nés, ce jeta sur Tana. Elle tenta le tout pour le tout, elle monta au contact, et le nombre effarant d’ennemi, lui laissa comme unique choix la mort. Un coup de dague, une tête en moins. Une douleur, une blessure à la jambe, une autre au bras. Un bras en moins, puis à nouveau une tête. Puis une nouvelle blessure à la jambe. Le sang coulait. Les squelettes continuaient à avancés, comme imperturbable par la mort des autres. Tana était acculée contre un mur, quand un cri rauque et puissant, un cri d’espoir et de puissance s’empara du calme de la caverne. Un Khajiit armé d’une claymore en verre fracassait joyeusement les squelettes complètement fous pour s’opposer à lui, une joie immense se dessinait sur son visage, et un sourire d’extase s’était emparé de sa bouche. Il rigolait, tout en tuant par dizaine ses ennemis. Sa lourde claymore transperçait les os et les armes des squelettes. On aurait dit que ce Khajiit était né pour la bataille et le sang. Sa puissance était immesurable. Les squelettes changèrent de cible. Ils chargèrent tous le Khajiit. Après cinq minutes d’un intense massacre, les deux fois nés, retournèrent sous terre, rejoignant leur élément : ombre et poussière.

Le Khajiit s’avança doucement vers Tana. Celle-ci pris une dague, et se mit en garde, le Khajiit rigola :
-Je viens de fracasser se que tu n’aurais pas pus faire, et tu veux te battre contre moi ? Je n’y vois pas d’inconvénient, mais tu risques de perdre à tous les coups.
-Qui…Qui es tu ?
-Certain m’appelle S’kriar, d’autre, l’hybride, mais de préfère que l’on m’appelle par mon nom, et toi, qui es tu ?
-Tana.
-Tu es l’amie de Nel’Kalaah.
-Oui, mais nous avons été séparés, je ne sais maintenant depuis combien de temps. Mais où sommes nous ici ?
-Dans un monde entre le Paradis et l’Enfer. Mais que fait tu ici ? C’est endroit est la destination des morts ayant eut une mort douce et aimante.
Tana lui répondit en lui racontant tous ce qu’elle savait. Le Khajiit ne répondit pas, mais il lui fit un signe de la main, comme pour l’invitée à sortir

PS : les cours ayant repris, les suites seront postées les mercredis et les week-end (peut être deux chap pendant le wekk-end avec un peu de chance). voilà, et merci de voter compréhension.

darkness-stone
Niveau 10
04 septembre 2007 à 20:19:04

:up:

darkness-stone
Niveau 10
05 septembre 2007 à 20:55:47

avec un peu de chance la suite se soir vers 10h30, ou demain dans la fin de l´aprèm, ou en fin de soirée.

darkness-stone
Niveau 10
06 septembre 2007 à 19:41:20

voilà la suite, trés courte, mais elle me sert d´intro on va dire. et puis je suis crevé, et je savais pas trop quoi mettre, mais j´ai ma petite idée sur la suite de ce chap, et elle sera beaucoup plus longue. bon bonne lecture, et soyé pas sans pitié, merci de votre compréhension.

Chapitre quinze
1ème partie
Les trois épreuves

Tana suivait le Khajiit à travers les galeries sombres et tordues des lieux. Il semblait bien connaître les lieux, il savait exactement où il allait, et comment se rendre a telle ou telle endroit. L’air était froid et humide, la faible protection que lui offrait son reste d’armure ne servait à rien. Ses beaux cheveux blonds étaient crasseux, ils étaient lourds et morts, à chaque pas qu’elle faisait, ses cheveux s’envolaient, et retombaient aussitôt, dans un bruit faible et discret. Les heures tournaient, le temps semblait se rallonger à chaque mètre qu’ils parcouraient. Bien que S’kriar suivait apparemment un chemin précis, Tana, elle s’inquiétait au fur et à mesure que la faible et pâle lueur de la grotte disparaissant derrière eux. Puis, un moment, S’kriar pila sur place. Tana stoppa sa course juste avant de lui renter dedans. Il restait, là, immobile, comme prisonnier d’une cage invisible. Il ne respirait plus, mais Tana sentait son âme vibrer au rythme de ses pulsions cardiaques. Elle s’arrêta un instant, puis, voyant que S’kriar ne bougeait toujours pas, elle fit le tour du corps. Elle pencha la tête pour apercevoir celle du Khajiit. La vie lui reprit au même instant, il secoua la tête. Tana fit un bond en arrière. Elle lui demanda ce qui c’était passé. S’kriar ne répondit pas, il continua sa marche à travers les galeries. Sa démarche était rythmée par une chose inconnue. Elle le suivit encore pendant un temps infini.

Le temps ne semblait ne plus existé dans cette endroit, ils marchaient depuis trop longtemps, depuis un temps immesurable. Pourtant, elle n’était pas fatiguée, elle ne ressentait aucune douleur dans ses jambes. Par conter, son esprit, lui était ailleurs, absorbé par une chose inconnue, et d’une intensité immense, elle n’arrivait presque plus à pensée, sa démarche était devenue comme celle S’kriar, lourde et méthodique. Touts ses muscles étaient détendus, relâchés et inertes, flasques et sans vies. Puis, un bruit, produit par une chose étrange, la tira de son état hypnotique. Mais elle ne voyait rien, elle était plongée dans un noir complet et total. Elle parcoura rapidement son corps à la recherche des ses armes. Elle tira ses dagues, et se retourna. La même voix que celle qui avait invoquée les squelettes s’éleva dans les airs. Tana bondit et tendit l’oreille.

SonOfKhaine
Niveau 10
06 septembre 2007 à 19:42:08

Superbe, continue !

SoK, qui repart déja. Grec-Latin, c´est pas une vie...

darkness-stone
Niveau 10
08 septembre 2007 à 18:11:26

voilà la suite, plus longue comme promis. un passage risque de choquer peut être les plus jeunes de mes lecteurs (cannibalisme, vous comprendrez en lisant). vous pouvez de nouveau être sans pitié :lol: . bon je crois que j´ai trop parlé. oh ! me*de, une denière chose ( :oui: ), les suite seront posté le samedi vers la même heure (la 1S occupe tout mn temp libre et j´ai déjà un contrôle de math et deux maison : physique et svt). bon je crios que j´ai trop parlé, voici la suite :

Chapitre quinze
1ère partie

Les trois Epreuves

Le temps semblait s’être figer. Chaque mouvement de Tana semblait éternel, elle était immuable. Soudain, sa belle chevelure dorée se souleva, une immense bourrasque d’air, sortit d’un endroit inconnu, envahit les lieux. Au fur et a mesure que le vent s’intensifiait, elle se sentait propre et fraîche, toute la saleté et la terre qu’elle avait sur elle avait disparus. Puis, le vent cessa petit à petit. Le calme revenu, la lourde voix se refit entendre dans le silence mortuaire des tunnels froids et oubliés. L’écho amplifiait le malaise qui c’était emparé de Tana :
-Tu n’es pas morte, mais tu n’es pas vivante. Il te faut sortir de cet endroit, sinon, le grand Dessein de l’univers sera réduit. Pour sortir, il te faudra affronté les trois épreuves, chacune contenant l’essence qui primordial de l’être et de l’âme humaine.
La voix cessa un cours instant, puis reprit son monologue :
-Tu devras triompher du courage, de l’amour et du dévouement.
Le silence macabre repris ces pleins pouvoir une fois que la voix eut finit de parler.

Les tunnels s’éclairèrent d’une pâle lueur verte, une lueur qui semblait morte, une lueur qui glaça le sang de Tana. Un léger frisson de peur et de désespoir lui parcouru l’échine. Un frisson qui lui envoya toute sorte de pensée morbide et glauque. Elle regarda un instant tout autour d’elle. Les parois du tunnel n’était plus en pierres, mais en morceau de débris humain, des jambes et des têtes, des bras et des troncs, le tout relié par un mortier rouge et séché. Cette vision dégoûta Tana, elle se cacha les yeux, et laissa s’échapper une complainte de sanglot. Après ce bref moment d’émotion, elle sécha ses larmes et reprit sa route. Cette fois, le temps semblait avoir reprit ses droits sur l’implacable destin de l’Univers.

Elle continua sa route, en suivant toujours l’unique tunnel. Après maintenant se qui lui semblait être trois heures de marches, des cris se perdirent dans ses oreilles. Elle tira rapidement ses dagues, et continua à avancer de manière prudente et réfléchit. Touts ses sens étaient en alerte. Elle remarqua qu’au fur et à mesure qu’elle avançait, le mur semblait devenir plus minéral, et bientôt, ce fut toute la matière organique qui disparu. LA pierre était polit et belle, elle était un régale pour les yeux. Elle continua à avancer, mais elle remarqua q’une étrange teinte rouge commençait à faire son apparition, volant la blancheur de la pierre. La lueur elle aussi virait au rouge. Bientôt, ce fut dans un environnement rouge sanglant que Tana évoluait.

Après encore deux heures de marche, elle finit par arriver dans une vaste salle. Des milliers d’émotion déferlèrent en même temps dans ses pensées. Des larmes coulèrent le long des ses joues. Elle n’en croyait pas ses yeux, cette salle ressemblait parfaitement à la salle d’entraînement de l’arène. Elle continua à avancer, elle vit au loin un groupe d’enfant s’entraînant sur un ring en sable. Elle continua à avancer, et elle vit un argonien, un dunmer et une impériale qui s’entraînaient. Elle ne comprenait absolument pas ce qui se passait. Puis, l’orc monstrueux s’avança vers elle. Il ne lui parla pas, il lui pointa juste du doigt les escaliers menant à l’extérieur. Elle compris que c’était sa première épreuve.

Elle se dirigea lentement vers les escaliers sanglants, regarda un moment le réceptacle où était figé l’eau soignante, elle voulut y plonger ses mains, mais elle était dur et froide, la fontaine avait gelée. Elle y appuya ses mains, et pria un dieu inconnu pour la réussite de son épreuve. Elle reprit lentement son ascension, et arriva à la porte de chêne. Elle inspira un bon coup, et poussa la porte. Tout était comme elle l’avait gardée dans ses souvenirs, la grille en métal, la grille au milieu de l’arène, et les pieux sur les bords. Mais la seule chose qui manquait, était le bruit assourdissant des gens, et la voix de l’annonceur du spectacle. La grille s’ouvrit dans un fracas strident. Elle avança lentement, aucun ennemi dans les environs, elle rangea ses dagues, et contempla un instant les gradins. Les gens ne criaient pas tout simplement parce que ils étaient morts. Des cadavres remplissaient les gradins, des corps égorgés ou éventrés, des pendaisons, des mutilations atroces. Ce spectacle est d’une horreur sans nom. Les mouches infestaient les lieux, se régalant de leur festin. Tana ressortit ses dagues, et se mit dos à un mur. Son cœur battait très fort, et des sueurs froides envahirent son corps. Des frissons parcouraient des parts en parts tout son corps. Quand enfin son ennemi arriva.

Une bête d’un âge inconnu arriva, une énorme hache à la main, des cicatrices géantes lui parcouraient le corps. Elle avait un corps de minotaure, mais ce n’en n’était pas un, sa tête était un mélange de tête de serment et de chèvre : d’immense corne s’élevaient au dessus de l’énorme tête reptilienne. Ses yeux étaient d’une couleur verte, et son regard perçait l’âme de Tana. La bête s’élança sur elle. Tana eut le temps d’esquiver. La lourde hache s’écrasa dans un nuage de poussière dans la colonne de pierre derrière Tana. Tana prit une dague, roula sur le côté, et l’enfonça dans la hanche de son ennemie. La bête donna un revers de main qui fit voler Tana contre un pieu. Par chance le pic ne l’avait pas touchée. Elle se releva. La hache partait encore dans sa direction. Elle se baissa, et touts les pieux furent coupés en morceau. Tana sauta sur la tête du monstre, et lui enfonça une dague juste à côté de sa colonne vertébrale. La douleur de la bête provoqua des mouvements incontrôlés qui firent tombés Tana au sol. L’immense sabot du monstre faillit l’écrasée. Elle se releva. Elle évita de justesse le coup de hache suivant. Elle attrapa une dague, et la lança vers le visage de son ennemie. Puis, elle se glissa sous les jambes de la bête, et elle lui enfonça sa dernière dague ente les jambes. Encore une fois la douleur du monstre fut atroce. Tana se dégagea vite des sabots, mais elle ne vit pas la hache arriver sur elle. Par chance, ce fut le plat de l’arme qu’elle prit. Tana atterrit sur un mur. Le monstre la chargeait, elle voulut saisir une autre dague, mais ses mains ne saisirent que le vide. Elle baissa la tête, plus aucune dague. Le monstre arriva, et fracassa le sol avec sa hache. Tana sauta vers des pieux. La bête releva sa hache, et fonça tête baissée sur Tana. Au dernier moment, elle se retira, laissant apparaître la mort végétale. Le monstre s’empala dessus, il fut percé de par en par. Le sang coula abondamment sur le sol. Tana s’avança prudemment vers le corps sans vie, et ramassa ses dagues. Elle les rangea. La grille de fer en face d’elle s’ouvrit lentement. Elle avança vers l’ouverture. Elle descendit lentement les marches, et ouvrit la porte.

La pièce était vide, juste une pièce ronde dénuée de toute chose avec une lueur rouge. Il y avait là, perdu dans cet océan de vide, une table noir avec une gemme spirituelle posée dessus, et un sablier contenant une chose violette/rose à l’intérieur. Tana comprit que c’était l’une des âmes de ses compagnons. Elle brisa le verre du sablier et mit la gemme devant l’âme. Celle-ci rentra dans la pierre, et la pièce s’effondra sur elle-même. Tana ne ressentait plus rien, elle était paralysée.

Elle se réveilla dans une grotte obscure et froide. Elle se leva rapidement, et regarda un instant autour d’elle, il y avait deux hommes à côté. Elle tira rapidement ses dagues, mais aucun des deux hommes ne réagit, ils firent juste des signes comme pour inviter Tana à baisser ses armes. Ce qu’elle fit, puis, bien que la lumière était très faible, elle réussi à distinguer des détails sur les hommes. L’un était un rougegarde avec une lance et une épée à son flanc gauche. L’autre était un bosmer, avec un arc d’ébène et quelque flèche en acier. Touts deux étaient vêtus de vêtements pauvres et sales. Il ne semblait pas savoir parler, où alors ils étaient muets, car quand Tana leurs demanda où elle était, ils ne répondirent pas, ils écrivirent des lettres imaginaires sur le sol dure de la grotte. Puis, le rougegarde pointa du doigt une direction. Le petit groupe partit. Ils évoluaient dans la grotte très lentement, et chaque geste était prévu à l’avance. Ils finirent par arriver jusque dans une vaste salle. Le bruit de l’eau se faisait entendre. Ils continuèrent à avancer, et doucement ils arrivèrent jusqu’au ru. Ils se penchèrent un peu et burent un peu. Ils reprirent leur lente marche silencieuse. Ils finirent par arriver devant un petit pont de pierre au dessus d’un vide sans fond. Le rougegarde passa d’abord, puis Tana et enfin le bosmer. Là, traverser le pont, ils avaient le choix entre deux possibilités, à gauche ou à droite. Après avoir réfléchit quelques minutes, ils tournèrent à droite. Tana était heureuse d’avoir de la compagnie, cela faisait longtemps qu’elle n’avait vu des visages amicaux.

Ils longèrent le long tunnel pendant presque deux heures. Ils arrivèrent devant un cul de sac. Ils regardèrent autour d’eux. Tana aperçus une petite trappe juste au dessus d’eux. Tana s’y glissa, puis le bosmer et quand le rougegarde allait se glisser dans la trappe, un cri de douleur s’échappa de sa gorge. Une lame horizontale lui avait arraché tout le bas corps. Il tomba. Il mourut rapidement. Le bosmer versa une lame, et Tana était choquée par ce qu’elle venait de voir. Ils rampèrent dans la moisissure et de l’eau glacée. Ils rampèrent ainsi pendant deux bonnes heures. Ils finirent par arriver dans une petite salle avec un feu en son centre. Ils s’approchèrent discrètement. Un petit bruit sec se fit entendre. Le bosmer tourna la tête.

Une lame noire traversa les airs. Elle se planta dans le torse de l’archer. Tana se releva et dégaina ses dagues. Elle ne distinguait pas son adversaire, elle voyait juste l’ombre de sa lame, cette dernière semblait avaler la faible lumière dispenser par le feu. Elle chargea. L’ombre n’eut aucun mal à l’éviter, et lui donna un violent coup de la garde de son épée. Tana tomba près du feu. La forme s’avança vers elle. Cette forme et cette allure, c’était l’Immortel. Elle recula nerveusement. Il brandit son épée à deux mains, et la fit retomber de toutes ses forces. Elle mit rapidement sa dague devant elle et para de justesse le coup porté par son ami. Elle roula de côté, et envoya des braises à la figure de l’argonien. Elle se releva et le chargea. Nel’Kalaah repris vite ses esprits et para le coup de Tana. Nel’Kalaah avait une force surhumaine, il stoppa le coup de Tana avec son bras, et lui envoya une droite qui la fit voler jusque sur la paroi dure et rocheuse du mur. Elle voyait flou, elle distinguait juste son ami la chargée. La lame noire fendit une nouvelle fois les airs, Tana baissa la tête juste à temps. Une gerbe d’étincelle jaillit du contact entre le métal corrompu, et la roche froide de la grotte. Elle vit au même moment une brèche, elle vit qu’elle pouvait le tuer, mais une force étrange l’en empêcha. Une étrange sensation. Quand elle leva les yeux vers son ami, elle vit l’épée fondre droit sur elle, elle eut le réflexe instinctif de mettre ses bras en croix. Elle attendu trois petites et interminables seconde. Mais quand elle leva les yeux, Nel’Kalaah avait disparut. Elle se releva timidement. Puis, saisit un morceau de bois du feu et éclaira d’une manière vague et incertaine les environs. Quand elle vu qu’il n’y avait personne, elle se tourna vers le bosmer. Il était déjà mort, elle prit son arc et ses flèches, et continua sa route. Elle s’accrocha un moment à une des nombreuses stalagmites de l’endroit. Elle réfléchissait, qu’est qui avait bien pus l’empêcher de tuer Nel’Kalaah. Elle regarda au loin le feu. Elle se sentait fatiguée et lourde, elle alla au feu et se coucha.

Les braises crépitant dominaient la vision de Tana. Le rougeoiement et la danse des flammes écarlates étaient un régal pour ses yeux. Elle se sentait comme empotée par le rythme des flammes, par le rythme du son sans bruit du feu. Bientôt, la fatigue et les récents évènements prirent le dessus face à ce magnifique spectacle.

Elle se réveilla, le feu était éteint, mais encore quelques braises demeuraient encore chaudes et luminescentes. Elle saisit un morceau de tissu du bosmer et brûla le tissu. Elle se fabriqua une torche rapidement. Elle voulut repartir mais la faim tiraillait son estomac. Elle regarda autour d’elle, mais pas le moindre rat ou crabe à porté de vue. Elle tourna son regard vers le bosmer. Dégoûtée, mais affamée, elle se leva et se dirigea vers le corps. Elle en découpa u morceau, et le fit cuire. L’odeur dégagée était insupportable, mais elle avait faim. Elle se résigna à manger, le goût de la viande était horrible, et avait un arrière goût qui restait en bouche. Une fois finit de manger, elle se dépêcha vite de levée le camp. Elle prit sa torche et continua sa route. Elle finit par arriver dans une vaste salle où des dizaines de milliers de torches éclairaient l’endroit. Tana laissa tomber la sienne, et prit les immense escaliers qui semblait ne jamais finir, ils s’enfonçaient droit dans les entrailles même de la Terre. Après avoir descendu les escaliers pendant une demi heure, elle finit par arriver devant une table contenant un autre sablier ainsi qu’une gemme spirituel. Tana brisa le verre, et captura la deuxième âme. Puis, dans un vacarme assourdissant, des escaliers réapparurent derrière la table. Mais cette fois ci, le noir le plus total envahissait les profondeurs du Néant. Tana frissonna, mais elle contourna la table, et tout doucement elle fit sa longue descente en enfer.

Cela fait maintenant quatre heures de noir total, et elle sent toujours qu’elle descend ces escaliers. Mais quand elle voulut faire demi tour, son pied ne sentit aucune chose dure. Elle se remit donc en marche, maudissant le jour ou elle avait voulu accompagné Nel’Kalaah. Elle ne voyait rien, et ses pupilles étaient totalement dilatées. En tournant le tête, elle aperçu qu’une étrange lueur brillait dans la petite poche où était enfermées les âmes. Elle approcha lentement sa main, et sortit les gemmes. Une sorte de lumière très pâle d’une couleur rose/voilette illuminait le noir. Elle n’aperçut rien d’autre que l’escalier devant elle, elle voulut se retourner pour voir se qui avait derrière elle. Il n’y avait absolument rien, et la table où était posé le sablier se voyait toujours. Puis, au loin elle cru apercevoir une petite fille. Mais elle flottait dans le noir. Puis, elle fut comme projetée à côté d’elle. Tana était là, devant elle, mais incapable de bouger. Des rires d’enfant s’entendaient, es rires de gaietés et de joie. L’enfant courait dans touts les sens, mais Tana ne voyait pas son visage. Quand enfin, la petite fille tourna la tête, Tana vus nue horreur sans nom, un visage hideux et laid, déformé par une force encore plus puissante que la magie du roi des Vers. Sa chair semblait ne plus tenir à ses os, et ses yeux étaient d’une rougeur démoniaque.

Tana recula de peur, elle tomba dans le vide infini et noir du gouffre.

Des voix familières ma tirèrent de son sommeil.

watcha_68
Niveau 10
08 septembre 2007 à 18:53:53

Et encore une tres bonne suite !

Je voulais aussi te remercier aussi de m´avoir soutenu contre S3NDOH (tous ensemble contre les boulets).

Toi aussi t´es en premiere S ? Je vois que c´est pas galere que pour moi.

darkness-stone
Niveau 10
08 septembre 2007 à 19:00:30

merci, mais ce n´est rien, le devoir de tout forumeur est de soutenir ses compatriotes :lol: .

sinon, oui je galère un peu, les math ont commencé direct par la généralité sur les fonction et je doit dire que c´est pas le truc que je préfère, je suis plus du genre SVT, ou physique-chimie. les maths vont m´être particulièrement désagrables cette année. mais je vais tout faire pour m´en sortir.

maiq_le_menteur
Niveau 6
09 septembre 2007 à 13:33:23

ton histoire est génial continu

darkness-stone
Niveau 10
15 septembre 2007 à 10:59:15

désolé de remonter mon topic des abysses du fofo, mais c´est pour vous dire que la suite ne sera peut être pas posté aujourd´hui, mais demain. si j´ai de la chance je pourrais vous la m´être se soir.

bon week-end a tous

potter0412
Niveau 4
15 septembre 2007 à 14:11:46

OSEF DE TON TOPIC GO TE PENDRE!!!!!!!!!!!!!!!!

potter0412
Niveau 4
15 septembre 2007 à 14:18:52

va réviser au lieu décrire nimportequoi

potter0412
Niveau 4
15 septembre 2007 à 14:31:16

nn je dek :gni: même si je suis :hs:

++ continu si sa te chante ^^ la 1ere S c dla merde stou go étudier avec justine elle taidera surement^^ ou LAURA mé c une débile profonde
jme pencherais sur ton histoire un moment entre le devoir despagnol de français de PC de math :lol:

maiq_le_menteur
Niveau 6
15 septembre 2007 à 16:31:26

non écrit la sa fait déjà trop longtemps qu´on attend

darkness-stone
Niveau 10
15 septembre 2007 à 16:37:25

cé bon, je vien de finir de régler mes problèmes. je pourrais poster la suite pas avant 20h

Sithis_09
Niveau 5
15 septembre 2007 à 16:40:34

Pour potter: :hs:

Pour darkness stone: :bravo: :ok:

darkness-stone
Niveau 10
15 septembre 2007 à 20:27:36

a tout mes fidèle :lol: , la suite entre 21h30 et 22h

watcha_68
Niveau 10
15 septembre 2007 à 20:45:43

Je sais que ce n´est pas le sujet mais, est-ce que tu pourrais de connecter sur msn, j´ai commencer une fic et j´aimerais ton avis.

Sujet : [fic]Les Deux et l'Aube Sanglant
News événement
Jouez et tentez de remporter des places de cinéma ainsi que des goodies du film Kraven The Hunter
   Retour haut de page
Consulter la version web de cette page