Je vais devoir mettre ma fic en pause a cause d'un problème personnel(vous avez juste besoin de savoir que c'est très grave). La suite sera donc postée, au plus tôt, lundi et au plus tard, l'autre lundi.
Oh...
Suite demain.
Chapitre 38 : de l’amour et au lit
Depuis combien de temps nous attendions ça? Seulement quelques jours mais dieux que ça m’avait manquée. Fevila continuait de m'embrasser tout en me caressant et je ne pouvait retenir mes mains aussi. S'embrasser dans l’eau tout en se caressant avait quelque chose d'excitant ce qui me faisait penser a retenter l’expérience une autre fois. Fevila finis par détacher ses lèvres des miennes pour me regarder dans les yeux avant de poser un baisé sur mon front puis la joue.
-Je t’avais dit que je m’occuperais de toi se soir. Me dit Fevila avec un sourire coquin.
Il ne fallut alors pas longtemps avant que nos lèvres se rencontrent de nouveau plus fougueusement que la dernière fois. On pouvait en profiter pleinement car nous étions seul et il n’y avait aucun Azaelle casse pied ou je ne sais quel fou ou folle pour nous épier. Fevila fins par reculer son visage avant de le plonger entre mes seins pour les dévorer des ses lèvres une nouvelle fois. Je poussa une faible gémissement de plaisir mais qui voulait tout dire: J’aimais ça plus que tout et jamais je ne m’en passerais. Elle continua son oeuvre tout en me caressant les bras et le dos avant d'accélérer le rythme avec mes seins se qui me fit gémir un peux plus fort. A croire qu’elle voulait que je crie de plaisir. Après avoir bien joué avec un de mes tétons elle remit son visage fasse au miens et commença a caresser mon entre jambe.
-Tu veux toujours pas?
-Disons pour la troisième fois d’accord? Proposais je.
-D'où ça te viens cette idée de “la troisième fois c’est la bonne”?
-De mon père. Répondis je. Il disait que la troisième fois sera qui rendra définitif notre amour.
-C’était un poète dis donc.
Je ne répondit rien et baissa les yeux, c’était un poète oui et je n’aurais plus jamais l'occasion d’entendre le son de sa voix. Févila, voyant qu’elle avait dit une bêtise, se mis derrière moi et me serra dans ses bras tout en posant sa tête sur mon épaule.
-Désolé, j’aurais pas du te rappeler un mauvais souvenir pareille.
Elle m'embrassa sur la joue avant de regarder le ciel étoilé de la nuit. Elle eu un petit rire et me souleva un peux mes seins avec ses mains.
-Regarde, ils sont tellement beau qu’il se reflète dans le ciel.
J’observa le ciel pour voir Masser et Sécunda en croissant de lune et je n'eus pas besoin de plus de temps pour faire le rapprochement avec le sur nom que me donnait Fevila: ma porteuse de lune, en référence a la taille de mes seins. Mais je ne pus m'empêcher de lâcher un rire.
-T’es vraiment bête des fois. Rétorquais je avec un sourire.
-Quoi, c’est pas vrai?
Nous rimes alors toute les deux avant de reprendre notre observation du ciel. La ou Fevila devait être enchanté de la beauté des étoiles, moi je ne pouvais faire que la constatation funèbre que lorsque les deux lunes seront pleines, Inamora devra être morte par ma main. Je fut heureusement sortie de cette constatation par fevila qui m’embrassa la joue puis le cou avant de se remettre devant moi.
-Je veux que tu passe un bon moment pour ensuite que tu passe une très bonne nuit. Annonça Fevila. Donc tu vas pas bougé et me laisser prendre soins de toi ainsi que Masser et Secunda.
A peine cela dit, elle m'embrassa une nouvelle fois mais avec une tel douceur que j'aurai voulue que ça dure pour l’éternité. Que Mara me soit témoins, je brûlait d'envie de rompre la petit tradition de mon père et laisser Fevila prendre soin de TOUT mon corps. Elle me serra fort dans ses bras et m'entraîna avec elle dans l’eau tout en continuant a m'embrasser. Cette expérience était particulière mes magnifiques, j’ouvris les yeux sous l’eau pour voir le visage de Fevila d’une beauté incroyable dans l’eau avec ses cheveux qui se mouvait au gré de l’eau et j'aurai aimé voir comment la Dunmer me voyait elle.
Nous retournâmes a la surface quelques secondes plus tard et dé&tacha ses lèvres des miennes. J'étais en transe Ses quelques secondes sous l’eau avait été merveilleuse et je ne demandais que la suite. Fevila fit parcourir ses lèvres sur tout mon visage et attrapa mes jambes pour que je m'agrippe a son bassin, elle descendit alors sa bouche sur le haut de ma poitrine puis sur mes seins. Elle les attrapa a pleine mains avant de poser un baisé sur mes tétons ce qui poussa mon excitation bien haut.
-Maman viens s'occuper de vous. Annonça joyeusement Fevila.
Il ne lui fallut pas longtemps mon dévorer mes seins de ses lèvres une nouvelle fois mais le fait qu’elle les serrait le plus possible de ses mains décuplait le plaisir que je ressentait et si ça continuait, j’allais me mettre a jouir dans la vallée et mieux valait éviter. Je chercha des mains quelque chose a me mettre dans la bouche pour étouffer mes gémissement qui devenait des cris et j’attrappa mon veston que je mordis a pleine dent. Je remarqua alors que j’avais aussi mordu dans du papier et en ouvrant les yeux, je pu lire sur une feuille:
“Molag Bal te réserve une place spécial”
Je voulu pousser un grognement qui devins un gémissement sous un énième assaut des lèvres de Fevila et je lui demanda de ralentir d’un tapotement a l’épaule avant que je ne puisse plus rien étouffer avec mon veston. Fevila accepta et continua sur le reste de mon corps sauf mon entre jambe comme le voulait mon souhait et après une micro sieste, nous sortîmes de l’eau pour nous habiller.
-Comment t’as trouvé? Me demanda malicieusement Fevila alors que j’accrochais ma jambière assis sur le sol.
-Tout bonnement merveilleux. Répondis je simplement mais avec un grand sourire sur les lèvres.
-Je te réserve le meilleur pour la troisième fois. Tu me rejoins au camp.
Et sur ses mots, la Dunmer partie rejoindre le campement. Je m’était allongé sur le sol et, je rêvassais, ce moment dans le bassin avec Fevila a été tellement bon que j'espérais de tout mon coeur la prochaine fois qu’il se reproduirai mais sûrement pas en Tamriel. Je commença a me demander si je ne devais pas retourner en Akavir après tout, plus rien ne m’attachait au vieux continent après tout et je pourrais emmener Fevila avec moi. Mais je me rappela bien vite que j’avais toujours les gardiens de Lorhkan sur le dos ainsi qu’un terrible dilemme avec la vie d’Inamora.
-Une fois tout ça réglé, je rentre en Akavir moi. Annonçais je a voix haute.
Je me releva et pris la direction du camp tout en réalisant que j'étais épuisé et puis il devait se faire tard. Une fois arrivé dans ma tente, je pus constater qu’Inamora dormait déjà mais que Fevila n’était pas encore présente. Je m’avança sur ma couchette, me dévêtis mais au moment de mettre ma couverture sur moi, quelqu’un m’attrapa et m'embrassa fougueusement. Je pouvais reconnaître les lèvres de Fevila entre mille et ça voix se fit rapidement entendre.
-Dort avec moi ce soir. Demanda la Dunmer.
-Je voudrais bien mais il y a Inamora. Répondis je en pointant du doigt la demi argonienne.
-Mais elle dort et puis si tu veux, je me mettrais dans ma couchette avant l’aube pour qu’elle ne remarque rien si tu veux.
-Je poussa un soupir et donna ma réponse.
-D’accord mais je surveille tes mains.
Fevila hocha joyeusement la tête et en moins de deux secondes, nous fumes toutes les deux dans ma couchette. Fevila me serrait dans ses bras tout en me caressant et tout d’un coup, j’avais envie de reprendre ce que nous avions arrêté dans les sources thermales mais je ne voulais pas réveiller Inamora qui dormait si bien.
-Si il était en vie, tu crois qu’il m’accepterait? Demanda Fevila.
-De qui tu parle?
-Ton père.
-Oh... eh bien...
Je pris un temps pour réfléchir et répondis.
-Il est vrai que c’est un impérial dans l'âme et me faisait tout le temps rêver d'être avec un belle homme. Mais il ne désirait avant tout que mon bonheur et n’aurait fait aucune opposition si il avait su que j'étais avec une femme même si il aurait trouvé ça bizarre au début.
-Et ta mère?
-Ma mère je l’emmerde.
Fevila resta stoïque face a ma réaction et nous restâmes silencieuse quelque secondes a rêvasser avant que la Dunmer ne m’embrasse sur la joue.
-Fevila. Lançais je en faux avertissement a la Dunmer.
-Quoi, je t’embrasse juste.
-Et bien que ça n’aille pas plus loin.
Fevila gloussa avant de reprendre sur une autre discutions.
-En tout cas, ça dois pas être facile pour elle. Annonça Fevila en désignant Inamora. Vu le père qu’elle a.
-Il la couve un peux trop c’est vrai mais c’est sa fille unique donc c'est normal.
-Ça lui donne pas de raison d'être aussi froid avec nous deux.
Je hocha la tête mais j'étais trop fatigué pour répondre et cela se certifia quelque secondes plus tard lorsque je m’endormis sous les caresses de la Dunmer. Mais mes rêves furent hanté par Yoshiko qui, maintenant, me faisait plus peur qu’il m’attristait, surtout que j’avais l’impression de ne pas être avec lui. J’avais envie de ne pas respecter la proposition de l’elfe antique mais... une petite partie de moi voulait le contraire.
J'aime les chapitres comme ça
Plus qu'une fois avant le grand feu d'artifices si je puis m'exprimer ainsi
Chapitre 39 : Fanatique sur la route
Une fois réveillée, je pus m’apercevoir que j’étais encore la dernière levée mais de quelques secondes heureusement. Mais cela ne m'empêcha pas d’avoir le regard noir d’Azaelle se planter sur moi lorsque je sortie de la tente. Dieux que son comportement envers moi m'horripilait mais je devais garder mon calme car me disputer avec lui ne résoudrait rien. Je pu a peine manger que nous fumes déjà de retour sur la route et quitter ce petit coin de paradis me chagrinait un peux. Je constata, a mon grand désarrois, que mordre a pleine dents dans mon veston en peau avait laissé des marques... de sacrés marques vu que j’avais déchiré mon veston au niveau du ventre et je me mis a espérer tout d’un coup que personne ne l’avais vu.
Mes yeux ne pouvaient pas quitter Inamora et cela ne signifiait rien de bon, a croire que Kaykalak m’avait lancé un sort qui se faisait de plus en plus sentir. Mais c’était tout, je la regardait et n’éprouvait rien d’autre sentiment comme une envie de la tuer. Se fut un soulagement qui signifiait que j'étais maîtresse de mon corps... pour l’instant du moins. Je ressentit malgré tout un léger froid s'infiltrait dans ma déchirure et qui me léchait l’abdomen, ce qui n’était pas très agréable vus que je n’avais pas l’habitude de ressentir le froid. Je fis malgré tout comme si de rien était tout en me promettant de faire payer Fevila les réparations de mon armure.
-« Je croyais que tu n’avais jamais froid. » Me demanda Ili qui c’était faite extrêmement discrète dans le voyage.
-« De quoi tu te mêle? j’ai pas froid. »
-« T’as peau blanchie, t’as la chaire de poule et tu tremble. Donc si tu as froid. »
-« Lâche moi la dessus. »
Ili hocha la tête pour accepter de se taire et redevint silencieuse. Mais cela ne l'empêcha pas de descendre de la calèche pour marcher a cotés de moi. Elle donnait l’impression d'être plus calme, plus détendus que les fois ou elle était colérique en permanence.
-« On ne t’as pas vus au source. » Fis je remarquer.
-« J’ai pris un bassin seul pour méditer et réfléchir de certaine chose. »
-« Comme quoi? »
-« La déchirure de ton veston a un rapport au gémissement que j’ai entendus depuis la ou j’étais? Ça donnait l'aire d'être des gémissement de plaisir... comme si toi et la peau sombre vous auriez fais l’amour. »
J’étais rouge d’embarras mais elle avait vus juste et je comprenais très bien le message qu’elle voulais me faire passer.
-« Bon d’accord ta gagné, oui moi et fevila avons fait l’amour dans les sources et... j’ai un peux trop pris mon pied. Donc maintenant dit moi a quoi tu avais besoin de réfléchir? »
Ili ricana tout en affichant ses crocs dans un sourire victorieux alors que je me trouvais encore plus embarrassée que d’habitude. La Po’Tun finis par redevenir sérieuse et répondit enfin a la question que je lui avait posé un peux plus tôt.
-J’ai besoin de revenir en Akavir pour présenter le compromis que j’ai fais avec toi. pour que je puisse redevenir Un Po’Tun auprès de mes pairs. Me répondit Ili soudainement en Tamrielien.
-Présenter a qui?
-A un tribunal de Ka Po’Tun qui détermineront si le compromis et suffisant.
Je hocha la tête alors que le convois continuait d’avancer tout doucement. Nous fumes soudainement pris dans une tempête de neige violente qui nous empêchait de voir a plus de cinq mètres et j'espérais alors que nous ne tomberions pas sur un ravin. Malheureusement, je sentie autre chose avec le pas de velours. Un groupe armé se dirigeait vers nous et cette fois, il ne s’agissait pas de simple bandit. Il était mieux équipé comme l’indiquait les vibration lourde que je ressentais a la plante de mes pieds. Je voulus avertir le groupe mais...
-POUR LES NEUFS!!!!!! Hurla une voix qui émanait du groupe de soldat.
Des silhouettes apparurent alors dans le blizzard, des hommes en armures lourdes, portant de grande cape en fourrure. Azaelle réagit bien vite en dégainant son arme et prévint le reste du convois. Inamora créa un puissant sort de feu qui créa un mur de flamme devant les assaillants.
-RIEN NE PEUX ARRÊTER NOTRE FOI!!!!! Hurla un fanatique avant de s’élancer sans regret dans le mur de feu.
Les flamme parcoururent son armure alors que le guerrier cuisait littéralement dans le métal chauffé a blanc et s’écroulla au sol mais sans un seul crie ou gémissement de douleur. Ses compagnons utilisèrent son cadavre pour franchir les flamme et engager un violent combat contre le convois en commencent avec Azaelle.
J'eus a peine le temps de me réjouir de voir l’argonien qui me détestait en difficulté que trois chevalier se ruèrent sur moi avec leurs grandes épées.
-Les huit et l’unique on exigé ta mort femme. Veux tu confesser tes péchés avant que ton châtiment ne sois prononcé?
-Vas chier!!
-TUEZ LA BLASPHÉMATRICE!!!!
Les trois chevalier me chargèrent dans une parfaite synchronisation alors que mes consoeur était déjà au prisent avec d’autre de ses étrange ennemis. Je fis alors le rapprochement avec eux et ceux qui avait attaqué Bruma lorsque je m’y étais rendus. Mais pourquoi s’attaquaient ils soudainement a nous?
J'esquivai leurs attaques et m’élança dans une fente élégante vers l’un d’entre eux qui esquiva sans mal. Cela me mis dans une position délicate puisqu’un des chevalier tenta de me transpercer mais je le contra grâce a un coup de talon sur le front suivit d’un coup de pied dans le bras. Je para alors avec difficulté une nouvelle attaque mais cette fois, je réussi a déséquilibrer le chevalier pour trancher la gorge d’un coup vif, suivit d’un autre qui lui transperça le cœur.
Les deux restant qui étaient sur moi se ruèrent avec plus de rage sur moi et je du parer un très grand nombre de coup d’épée qui avait tous pour but de me tuer je réussi malgré tout a me glisser sous les jambes d’un des guerrier pour lui grimper sur le dos et lui décoller la tête des épaules d’un grand coups de Katana. Une fois de retour au sol, je chercha des yeux le derniers chevalier que j’avais contre moi mais je reçus de plein fouet un coup d’épaule en pleine poitrine qui m’envoya au sol sans plus de cérémonie. Le chevalier m’attrapa les cheveux pour me soulever la tête et plaça sa lame sous ma gorge.
-Ta tête sera rapporté a notre seigneur!! Annonça le chevalier.
Mais il n'eus pas le temps de faire glisser sa lame sur ma gorge car soudainement, il relâcha sa prise et lorsque je me retourna toujours au sol, je pus voir Inamora avec une épée invoqué dans la main. Je lui en devait une mais je devais la tuer... drôle d’ironie du sort.
-Merci. Lâchais je alors que je reprenais mon souffle.
-Tu me remerciera quand...
Inamora n'eus même pas le temps de finir sa phrase qu’un chevalier se rua sur elle pour la plaquer sur un rocher. Je voulus lui prêter main forte mais un cri de douleur attira mon attention et je fis vite mon choix en voyant Fevila a genou se tenant l’épaule. Je me rua sur le chevalier qui était en face d’elle et le coupa en deux verticalement avant de le transformé en lamelle par une série de coup vertical. Personne n’avait le droit de faire du mal a ma Fevila. La dunmer me remercia d’un hochement de tête mais a peine c’était elle relevée qu’un autre guerrier se rua vers nous deux et dégagea Fevila d’un terrible coup de poing dans le ventre. Il dégaina d’un geste sa magnifique épée et porta un coup vers moi que je para très difficilement et il en profita pour m’assener un coup de bouclier dans le crane. Je tituba en arrière avant de me remettre en garde face a mon adversaire qui semblait ne pas être tout a fait comme les autres. Sa cape a capuchon en fourrure cachait toute son armure et même son heaume. Les deux seul chose visible étaient ses bottes et ses gantelet, en acier étincelant.
-Je te rencontre enfin. Mes frères mon beaucoup parlé de toi et je tenait a t’affronter pour savoir si ce qu’il disait été vrai.
C’était un gardiens de Lorkhan, j’en était maintenant persuadé mais faisait il partie des fanatiques qui nous attaquaient ou a il profité du chaos pour m’attaquer?
-Père dit que tu es dangereuse et que mes frères et moi devons coordonner nos action pour te vaincre... mais comme mes frères, je ne vois qu’une adolescente de dix sept ans, sachant se battre et en vie uniquement grâce a la chance.
-Tu déchanteras bien vite dans ce cas. Répondis je a l’homme en cape.
Et après ma réponse, je me rua sur lui pour tenter de lui assener un coup vertical mais il bloqua de son bouclier avant de me le mettre en pleine figure ce qui me fit reculer complètement désorienté. Je pus malgré tout voir mon adversaire qui s’approchait de moi en marchant mais je ne pus continuer mon observation plus longtemps que quelqu’un me tira par mon veston.
-On se casse, viens!! Cria Yashakenn.
Le groupe entier se rua vers un passage qui se révéla donner sur une falaise abrupte alors que la tempête de neige disparaissait. Azaelle finit par remarquer un chemin qui menait vers une foret en contre bas et nous y mena rapidement mais malgré que Calaranil et le frère de Lucan, valérian, tentait de retenir les fanatique, ces derniers continuait de passer.
Puis, Inamora se retourna vers les fanatiques et chargea dans ses mains ce qui semblait être du feux a l’état liquide et elle l’envoya sur nos poursuivant. La totalité des chevalier furent carbonisé vif mais le plus troublant c'était qu’il tentaient malgré tout de continuer a nous poursuivre alors qu’il finissaient tous par s'écrouler au sol. Aucun ne survécus a ce carnage sans nom et pour le reste du groupe, tous étaient morts mais pas pour moi. Une personne se tenait au milieu des flammes et des cadavre des chevaliers. Ce personnage, enveloppé dans sa cape de fourrure me regardait et j'étais la seule a pouvoir le voir.
-Encore une fois, la chance vous a sauvé Miria Wavrick. Annonça l’homme. Mais sachez qu’un jour, elle vous lâchera et vous ne pourrez plus en profiter les prochaine fois que nous nous verrons.
Et sur ses mots, l'homme disparus soudainement.
-Va vraiment falloir que je trouve le moyen de me débarrasser d’eux. Chuchotais pour moi même.
Et le convois reprit son court en direction de la première ville de Bordeciel: Epervine.
OUBICHOUVINE !
Le badass a la fin , en mode MASTER OF THE WORLD
Super suite, dieu que j'aime quand nos fics sont en coop
Chapitre 40 : De l’agitation dans la ville des morts
Après quelques heures de marches, Epervine fut en vus et fut un grand soulagement pour beaucoup car l’attaque des fanatiques avait détruit la calèche ainsi que les vivres pour le voyage, mais aussi et surtout pour moi et mes consoeur, nous n’avions plus l’argent que nous avez donné Fasuuji pour toute nos dépense quel quelle soit. Ils nous restaient cent vingt pièces d’or et par les dieux j'espérai que nous trouverions plus d’or au temple d’Havreciel. Après une énième petite dispute entre Inamora et Alrik nous entrâmes dans l’auberge du mort de soif pour prendre des chambres. Une fois qu’Azaelle eu prisent celle de son groupe, je m’approcha du comptoir pour appeler l’aubergiste.
-Qu’est ce que ce sera ma petite dame? Demanda l’aubergiste.
-Ce serait pour prendre quatre chambre s’il vous plait.
-Malheureusement, il ne me reste que deux chambre de deux personne coûtant quarante pièces d’or chacune... mais ce sont de très bonnes chambres.
Je hocha mollement la tête avant de me décider et de payer les quatre vingt septims demandé. J’entendis alors Inamora se plaindre a son père de ne pas avoir payer pour nous mais je fis signe a la jeune fille de ne pas s’en faire. Une fois les chambres prisent, le groupe entier alla déjeuner et je dus faire preuve d’un contrôle sur moi exemplaire vus a qu’elle point Azaelle se montrait désagréable envers moi.
Une fois manger, je me dirigea vers le forgeron pour réparer la déchirure de mon veston car je n’avais pas vraiment envie de continuer le voyage avec le ventre a l’air. Fevila insista pour m’accompagner et Ili fit de même mais s’en rien nous avoir demandées. Le forgeron, un vieillard nordique du nom de Lod, nous accueillis chaleureusement et après lui avoir montré la déchirure, il l’observa plus en détail sans me demander de retirer mon veston.
-Eh bah, sacrée déchirure que vous avez la mademoiselle. Constata le forgeron. Vous vous êtes fait attaquer par un Smilodon enragé?
Et sous cette remarque, Fevila explosa de rire alors que moi je venais de virer au rouge d'embarras. Je finis par hocher la tête avant que le forgeron ne pense autre chose et après une dernière petite inspection, il se releva pour m’adresser la parole.
-Je peux le faire mais j’imagine que c’est du cuir qui provient de Vardenbreck?
Je hocha la tête tout en se sachant pas ou voulait en venir le forgeron.
-Dans ce cas, ça vas vous coûter chère.
-Et pourquoi? Demandais je.
-Vardenbreck est connue pour avoir les meilleur matériaux pour les armes et les armures, c’est pas pour a rien qu’on surnomme la ville: la Cité de la guerre. J’ai réussis a me procurer du cuir de Vardenbreck mais va falloir que vous y mettiez le pris pour que je décide a m’en séparer pour une simple réparation.
-Combien? Demandais je.
-Deux cents septims.
Après avoir payée les chambre, il me restait tout juste quarante septims ce qui était très largement insuffisant pour satisfaire le forgeron. Je proposa alors d’utiliser du cuir standard mais le forgeron ma répondit que cela fragiliserait l’endroit de la réparation. Après de longues minutes de négociation, je finis par trouver un accord avec le vieillard qui obtiendrais des matériaux de Vardenbreck a prix cassé contre les réparations. Pendant queFevila me prêta sa veste en cuir sombre pour que je ne sois pas les seins a l’aire pendant que le forgeron travaillait.
-Une Smilodon enragé. Se moqua la Dunmer a coté de moi.
-Tu oublie tout de suite se surnom. Ordonnais je.
Fevila pouffa de rire et les réparation terminé, je remis mon veston pour nous diriger vers l’auberge alors qu’il devait être quatre heures de l'après midi. Fevila et Ili me laissèrent devant l’auberge pour aller se promener et j'entrai seul pour surprendre une autre dispute de Alrik et Inamora. De vrai enfant ces deux la.
-Vous vous disputez toujours? Fis je remarquer.
Tous me regardèrent alors que je m’asseyait a coté d’Inamora ce qui fit grogner Azaelle mais je n’en fit aucun cas et commanda un verre de vin.
-C’est Alrik qui me cherchait. Répondit Inamora en se tournant vers moi.
-On dirait des enfants, "c'est lui qui a commencer" "non c'est elle" " vilain" "méchante". Me moquais je en imitant deux enfants ce qui fit rire la demi argonienne.
Elle finis par me donner une légère tape sur l’épaule.
-T’as réussi a faire réparer ton armure. Constata-t-elle
Je fis en sorte de ne pas redevenir rouge d'embarras car elle pensait peut être que j’avais été blessé pendant l’attaque des fanatique.
-Ouais, j'ai du supplier le forgerons pour qu'il me donne un peu de cuir.
-Pourquoi tu l'as supplier ?
-Je n'ai presque plus d'argent, le prix des chambres a grignoter tout mon argent.
Inamora prit une mine sévère et tourna la tête vers son père.
-Tu aurais du leur payer l'auberge, c'est pas gentil surtout après le coup de main qu'elle nous a donner.
-Rien a faire, elle sait ce démerder non ? alors qu'elle me fiche la paix. Siffla Azaelle.
Je jeta un regard vers Azaelle et me pose une simple question: Était ce juste par ce que j’étais lesbienne que l’argonien me haïssait? Vu que je n’avais pas envie de quitter l’auberge sans la réponse a ma question, je décida d’en savoir plus.
-Je vous ai fais quelque chose? Demandais je a Azaelle.
-Quoi?
-Vous m'avez très bien compris, depuis le début de notre voyage vous n'arrêtez pas de me haïr, limite vous voudriez m'égorger vive.
-Foutaise. Rétorqua l’argonien a ma question.
-Je répète ma question...je vous ai fais quelque chose ? Insistais je.
Une tension électrique s’installa entre moi et Azaelle qui, maintenant, me lançait un regard noir. Inutile de préciser qu’il ne devait pas aimé que je lui demande des explication sur son comportement a mon égard mais il finit malgré tout par répondre.
-Sincèrement...oui j'ai quelque chose contre vous...plus particulièrement a la façon dont vous convertissez ma fille. Commença l’argonien sur un ton glacial.
-Je la "convertie" ? a quoi donc ?
L’argonien montra ses dents et se fut seulement maintenant que je savais a quel point il me haïssait. Je devais maintenant faire en sorte que cela se finisse bien.
-Vous lui faite croire qu'aimez une femme ne peut que lui apporter le bonheur, vous voulez la rendre comme vous...histoire sûrement de pouvoir profiter d'elle ou je ne sais qu'elle autre perversité.
Par tout les dieux qu’est ce qu’il ne faut pas entendre comme stupidité.
-Que ce soit bien claire entre nous, jamais je n'irais raconté de t-elle sottise a Inamora, et jamais de ma vie je n'éprouverais pour elle une quelconque attirance pour elle, Févila me suffit amplement. Répondis je le plus calmement possible.
-Votre parole est aussi sincère que celle d'un Sload, les gens comme vous vive dans le malheur, et il n'y a que le malheur qui vous attend. Vous croyez être heureuse en étant lesbienne, mais sachez qu'après un certain moment, vous vous sentirez vide.
Si seulement il savait ce que j’avais vécus, il fermerait sa gueul sur le champ... mais il ne fallait pas que je m'énerve
-Qu'est ce que vous en savez ?
-Je sais, c'est tout, vous influencez ma fille donc vous êtes une potentielle menace a éradiquer.
-Inamora fera ses choix, je ne l'influence en rien, si elle décide d'aimer une femme, alors soit. C'est son choix et non le mien, comme vous avec Dame Elisabeth.
L’argonien frappa la table qui se fissura légèrement et je fis un effort considérable pour toujours avoir l’air neutre alors qu’Azaelle dégoulinait de fureur.
-Ne mettez pas mon couple dans cette histoire, j'ai raison et vous avez tort, point finale.
-Alors ne venez pas me dire comment faire ma vie, et comment faire la vie de votre fille, qui est assez grande pour faire des choix intelligents. Rétorquais je sèchement.
Azaelle serra les dents.
-Vous savez...au Marais Noir, les gens comme vous ont les enterre dans la boue, et on les lapides avec des branches pourries et des boules de boue...puis ont les laisse se faire dévoré lentement par les vers. Je peux très bien reproduire la sentence, il me suffit juste de claquer quatre fois des doigts, et Miguy viendra vous grignotez le tronc avec suffisamment de force pour vous coupez en deux...comme une brindille cassant sous le vent.
-C'est une menace ? M’indignais je.
La tension entre nous deux était maintenant meurtrière. Moi et Azaelle nous regardâmes alors que Elisabeth en profita pour s'éclipser et qu’Inamora se faisait toute petite. Dieux que je n’aurais pas voulus lui infliger ça mais elle pouvait etre sur que je ne me battrais pas avec son père.
-Peuh...vos parents ont du mal vous éduquez...vous devez leur faire honte a l'heure qu'il est.
A cette insulte, mon sang ne fit qu’un tour et je me jeta a la gorge de l’argonien en sauta par dessus la table, folle de rage. mais Azaelle me repoussa du pied avant de sortir son épée dont le tranchant était rouge et je fis de même avec mon Katana.
-VOUS NE SAVEZ RIEN DE MES PARENTS !!! Hurlais je.
-Je sais qu'il ont honte de vous.
Je me rua vers l’argonien sans plus de cérémonie et tenta de l’embrocher mais Azaelle dévia ma lame avant de me donner un puissant coup de point dans le visage. Mais la force de la haine me fit tenir bon et après une petite botte secrète de Shinobi basé sur mon jeu de jambe, je me retrouva vers l’argonien et tenta de le trancher en deux. Qu’il aille demander lui même a mon père si je lui faisait honte.
Azaelle para malgré tout et après une brève épreuve force qu’il gagna sans surprise, je me glissa sous ses jambes et l’envoya au sol d’un coup de pied dans le dos. Azaelle se releva rapidement et enchaîna une série d’attaque vers moi que j'esquivai... jusqu'à me retrouver coincer dans un coin. L’argonien en profita pour m’assener un coup d’estoc que j’esquiva facilement avant de me ruer vers lui mais je ne réalisa maintenant être tombé dans un piège. Je tenta alors un pas sur le coté pour éviter le prochain coup mais trop tard car je sentie la lame de l’argonien mordre a pleine lame mon épaule.
Je m’attrapa la blessure mais l’argonien m'assena un puissant coup de pommeau qui me fit mettre un genoux au sol. La douleur était insupportable mais être a genoux devant une personne aussi détestable l’était encore plus.
-Vous êtes une plaie pour le bien être de ma fille.
-JE VOUS HAIS !! Hurlais je en réponse a la nouvelle insulte qu’il me faisait.
Je me redressa d’un bond pour mettre un puissant coup d’épaule a Azaelle qui alla faire plus ample connaissance avec le bar. Mais alors que je me relevais, je trébucha sous une douleur perçante qui venait de mon épaule. Était ce un poison? En tout cas, ça pouvais l'être. Azaelle fut alors prit d’une violente quinte de toux et cela me rappela que j’avais un compte a régler avec lui et je m’avança vers l’argonien. Mais il tomba brusquement au sol sans un bruit, je n’entendais plus aucun son. Je vis qu’Azaelle avait du sang qui sortait de sa bouche mais alors qu’il recrachait quelque chose avec l’aide de sa fille, ma vision se troubla rapidement et je m’écroula au sol avant de ne voir que du noir.
Je nous adore
Super suite
Ouais!
Chapitre 41 : Regret, excuse et Blancherive
-Ça va?
Cela devait faire la cinquantième fois que fevila me demandais ça et la cinquantième fois que je répondais par un simple hochement de tête alors qu’une redoutable migraine me foudroyait le cerveau. J'étais assise sur une chaise a l’autre but du hall de l’auberge avec Fevila a mes cotés en sirotant un simple verre d’eau comme l’avait exigé Yashakenn. Après m'être évanouis, la Yurei me soigna ainsi que l’autre connard d’Azaelle et nous fumes placé a bonne distance et je pus me consoler lorsque je vis Elisabeth faire passer le plus gros savon a son mari. mais après ça... il ne resta qu’un calme des plus pesant. Inamora était la elle aussi, sûrement pour se faire pardonner du comportement de son père même si elle n’avait rien dit jusqu'à présent.
-Tu veux pas aller dormir? Me proposa Fevila.
-Nan merci. répondis je mollement.
-Faut que tu mange au moins, je vais aller te chercher un truc.
-Nan, c’est bon.
Mais trop tard, la Dunmer c’était déjà dirigée vers le comptoir et appela l’aubergiste. Il ne restait plus qu’Inamora qui avait gardé les yeux baissés depuis qu’elle m’avait rejoins après le combat que j’avais eu avec son père.
-Je... heu... je suis désolé. Mon père n’aurait pas du se comporter comme ça.
Je tourna la tête vers Inamora qui venait enfin de m’adresser la parole mais gardé toujours les yeux baissés.
-Il sait pas qui t’es vraiment donc il pouvait pas savoir pour tes parents.
-Je te dois aussi des excuses. Répondis je. J’aurais pas du l’attaquer. J’aurais pas du te faire subir ça.
Je marqua une pause avant de reprendre.
-Et a vrai dire c’est totalement ma faute puisse que j’aurais jamais du exister dans cette réalité.
Inamora leva les yeux et m’interrogea du regard, c’est vrai que le prochain livre de sa mère était toujours en court d’écriture et qu’elle ne l’avait pas encore lu.
-Tuer le Dovahkiin n’a pas été sans conséquence en fait. Je ne sais pas vraiment qu’est qu’ils sont mais lorsque je l’ai tué, le temps c’est brisé et a encore du mal a s’en remettre.
-Mais pourtant y a toujours les Shimazu j’imagine? Yashakenn et Ili? Fit remarqué Inamora.
-Je crois que, lorsque les réalités on fusionné pour réparer la cassure du dragon que j’avais provoqué, Ça a laissé mes connaissances mais je ne pouvais pas voir les changement en Akavir vus que le continent m’était inconnus avant les évènements des gardiens et c’est seulement de retour en Tamriel que j’ai vus que quelque chose n’allait pas.
Inamora resta silencieuse et Fevila revint pour me tendre un fruit que je refusa d’un signe de main mais voyant qu’elle insistait, je prit l’orange et commença a la manger. Fevila partie alors, sûrement, rejoindre Yashakenn et me laissa une nouvelle fois seul avec Inamora.
-Et ta mère? Demanda Inamora.
-Elle est morte dans mon coeur. Rétorquais je froidement n’ayant pas envie de m'étendre sur le sujet.
Je promis alors, que lorsque je la retrouverait, elle regrettera de ne pas être morte de chagrin.
-Tu n’as donc plus... de famille? Demanda prudemment la demi-argonienne.
-Ou veux tu en venir?
-Bah je pensais que... vu qu’on a à peux prêt le même âge et qu’on s'entend bien... tu pourrais devenir ma... soeur?
La proposition d’Inamora était charmante et m’arracha un sourire. Certes j’étais déjà la soeur adoptive des Shimazu mais je savais très bien que jamais je ne m’entendrais avec eux comme une vrai famille. Ils vivaient depuis plus mille ans et avaient vécus tant de chose que je ne pourrais jamais vivre et nous étions bien différent.
-C’est très gentil Inamora mais je ne vais pas me décider tout de suite et puis je ne pense pas que ton père serait ravie de savoir que je suis sa nouvelle petite fille.
-Je m’en fiche, il a mal agit. Lança la demi argonienne. Et puis comme ça il apprendra a mieux te connaître.
-Mais le veut il au moins? Rétorquais je en tournant la tête vers Inamora.
La demi argonienne haussa les épaules sans répondre.
-En fait, ma destination c’est... le quartier général des lames. Finis je par avouer.
-Tu vas au temple d’Havreciel!!?
Je fus pour le moins extrêmement surpris de savoir qu’Inamora connaissait ma destination qui était l’un des lieux les plus secret de Tamriel.
-Eh bien... oui... comment tu connais?
-Grâce a mon père qui me racontait les histoires de mon grand père.
-C’était un membre des Lames? Demandais je.
Inamora eu un petit rire avant de répondre.
-Nan, c’était l’enfant de dragon.
Je réussis l’exploit de m'étouffer sans rien avoir dans la bouche, Inamora était la petite fille du Dovahkiin de cette réalité qui avait tenté de me tuer lors de mon combat contre se dernier. Maintenant la ressemblance avec Azaelle et la transformation de l’enfant de dragon s’expliquait très bien mais par tout les dieux, être en présence de la petite fille de celui qui était sur le point de me tuer restait dérangeant.
-Y a un problème?
-Aucun. répondis je.
Le reste de la soirée se passa sans autre accrochage et la nuit passé, le convois reprit le chemin tout en espérant ne pas avoir de nouveau affaire a d’autre fanatique des neuf. Le voyage dura deux jours sans événement particulier ou Azaelle et moi furent gardé a bonne distance l’un a l’autre sous surveillance pour éviter toute nouvelle dispute. Fevila était celle qui devait garder un oeil sur moi mais ça ne l'empêchait pas d’insulter Azaelle de tout les nom possible et inimaginable... dans deux langues différentes.
Le matin du dernier jour de voyage, la ville de Blancherive fut en vue et j'éprouvai alors un certain regret car cela signifiait que j’allais devoir me séparer d’Inamora qui avait été une très bonne amie. J’admirai alors fort dragon qui, je devais l’admettre, dégageait une certaine magnificence.
-Eh ben...c'est un beau château. Lâchai je.
-En effet, et tu sais que mon Grand-Père a aider a enfermer un Dragon ici ? un puissant Dragon du nom... d'Odha... d'Odhachiche... Papa!
-Odhaviing ! combien de fois je dois te le répéter bon sang!
Je garda un sourire et pourtant, le nom de se dragon me rappelait un très mauvais souvenir comme la mort d’un dragon Akavirois qui m’avais sauvé la vie.
-C'est vrai...j'avais oublier que tu étais la petite fille du Dovahkiin. Ricanai je légèrement dans une tentative de penser a autre chose.
-D'ailleurs mon père m'avait raconter qu'une amie du précédent Jarl était morte a cause du Dragon, mais surtout a cause de mon Grand-Père, ce qui entraîna une violente dispute entre le Jarl Balgruul et Papy...
-Qui c'est résolut quand Papa et Balgruuf ont réglée l'histoire a grand coups de poings ! quatorze tours, sur le pont de Fort-Dragon, le combat c'est terminée lorsque lui et Balgruuf sont tombé raide de fatigue. Rit Azaelle.
Je continua ma contemplation de Blancherive alors qu’Inamora me fit fis un descriptif de la ville avant de me proposer de me faire faire un tour dans la place marchande mais je du refuser car maintenant, il allait falloir se séparer. Juste le temps de faire quelques préparations. Inamora paru triste et me serra dans ses bras.
-Tu vas me manquer !! S'exclama t-elle.
Je me rappela alors que j’avais pour mission de la tuer... mais j’avais encore du temps pour me décider.
-Moi aussi tu vas me manquer.
Celes et l’argonien fou firent irruption toujours en pleine folie ce qui s'enchaîna en une dispute entre Inamora et Celes ainsi qu’une rouquine envoyé a l’eau par Alrik mais je préféra ne pas suivre cela. Une fois dans la ville, l’heure des séparations sonna malgré que Tiss fit une nouvelle démonstration sa folie avant d'être envoyé dans le puis.
-Tes sûr que tu peux pas venir. Demanda Inamora après m’avoir serré dans ses bras.
-Non, j'ai d'autre choses a faire ici... et puis bon qui te dit qu'on se reverra pas un jour?
On se serra une nouvelle fois dans les bras et Fevila en fit aussi de même en soulevant la rouquine. Mais nous fumes alors confronter a un problème plutôt inattendus.
-JE REFUSE DE TE QUITTER MON AURBIS !! JE REFUSE DE TE LAISSER SEUL ET SANS DÉFENSES EN CES TERRES DE CHAOS!!
Nous tournâmes alors la tête vers une scène plutôt surprenante du haut elfe calaranil qui se tenait a genoux de Yashakenn en lui tenant les mains.
-Je te promet qu'une fois que nous aurons réglé notre affaire je reviendrais vers toi, pas avant...je t'en supplie comprend. Supplia Yashakenne.
-Je refuse de comprendre! tu est mon Aurbis! sans toi je suis le petit Vasard sans importance! sans toi je ne suis qu'un avorton idiot! Même une potion ou un sort ne pourrait m'enlever mon amour pour toi.
A croire qu’il avait bu un élixir d’amour mais je ne fis aucune remarque alors que ce qui aurait pu être une scène de théâtre se déroulait devant nous.
-Calaranil...je...Miria !! on l’emmène avec nous !
-Quoi !?
Boudiou
Mais nous sommes des artistes toi et moi
Surtout toi
Bonne suite !!
Chapitre 42 : Le temple d’Havreciel
je n'eus pas vraiment le choix d’accepter la demande de Yashakenn et sans nous en rendre compte, on se retrouva avec un nouveau compagnon. Le reste des séparations se clôtura par des excuses d’Azaelle pour son comportement envers moi et aussi par un doute qui se mit a m’assaillir. Pourrais je revoir Inamora avant les pleines lunes. Mais je secoua la tête pour me dégager cette idée du cerveau, je ne devais pas y penser et puis qui sait? peut être que l’elfe antique avait oublié notre arrangement?
Nous sortîmes de la ville pour nous diriger vers les écuries de la ville alors que Fevila partie négocier avec les marchand pour nous faire des vivres malgré le peux d’argent que nous avions. Et moi avec Ili, Yashakenn et notre nouvelle arrivant Calaranil, je tenta de m’arranger avec le marchand de chevaux pour avoir au moins un mulet mais... plutôt tenter de négocier avec un mur pour avoir du pain. Notre petit groupe partie en direction du temple d’Havreciel vers la fin de mâtiné en traversant les plaines de la châtellerie de Blancherive et franchement, je déteste ce paysage qui n’a rien a envier a Cyrodiil.
Je marchais en tête avec Fevila en queue de fil portant les vivres. Ili restait juste derrière moi alors que Yashakenn et Calaranil ne se séparait plus et se contentaient de me suivre. Le haut elfe finis par s’approcher de moi.
-Je dois dire que je suis très honorer d'être sous la direction d’une aventurière ayant voyagé en Akavir. S’exlama le haut elfe.
-De même. Rétorquais je sans vraiment prêter attention.
-Yashakenn m’a dit que nous allions au temple d’Havreciel, que savez vous de cette endroit?
-Que c’est le quartier général des lames et qu’on va devoir combattre des parjures pour y accéder. Y a besoin de savoir autre chose?
-Sa localisation par exemple.
-Je la connais.
-et comment y entrer?
Je voulus répondre mais il est vrai que le haut elfe avait raison, pour l’un des endroits les plus secret de Tamriel, l'entrer ne devait pas être une simple porte. Calaranil gloussa mais s'interrompit lorsqu’Ili lui rappela que la Po’Tun ne l’aimait pas d’un petit coup de coude. Pourquoi Ili ne l’aimait pas? Cela m'échappais.
-Voyez vous, la porte ne s’ouvre pas avec un simple clé mais du sang mademoiselle.
Je fus interloquer par la réponse de Calaranil car, du sang voulais dire pour moi un sacrifice. Le haut elfe remarqua mon incompréhension et continua son explication.
-En fait, le sang doit être verser sur ce qui est appelé couramment le sceau sanglant mais le sang doit être celui de l’enfant de dragon.
-Quoi!? M’écriais je.
Cette simple précision changeait littéralement nos plans mais surtout, comment allions nous trouver le sang du Dovahkiin que j’avais tué un an plus tôt? Yashakenn s’approcha a son tour de moi et Fevila en fit de même après m’avoir entendus m'exclamer.
-T'inquiète pas Miria. Me rassura la Yurei. je pourrais arranger ça.
-Et comment?
-Un des secrets des dames de soins ma chère. Ricana Yashakenn.
Je leva les yeux au ciel alors que elle et le haut elfe s’embrassèrent. Si ils avaient un enfant, je me demandais si il croirait que sa mère viens d’un continent presque inconnus. Ili me bouscula avant de m'attraper et me mettre a l’écart.
-Je n’aime pas cette peau jaune, juste un savant amoureux qui se fiche du reste. Siffla la Po’Tun dans un lourd accent Akaviri.
-Tu t’en fais trop Ili. Répondis je. Et puis pourquoi il serait dangereux?
-J’ai pas besoin de raison.
Puis, elle retourna a sa place et nous continuâmes a marcher. Nous atteignîmes le village de Rorikbourg pour y passer la nuit a l'extérieur faute d’argent pour payer les chambres et le lendemain, a six heures tapante, nous repartîmes vers notre destination dans le terrain accidenté des montagne de la crevasse. Un autre paysage que je n’aimais pas aussi bien visuellement que physiquement avec cette pierre particulièrement saillante qui mordait la peau de mes pieds a chacun de mes pas.
-Comment c’est passé votre entraînement par les Tsaescis car d'après ce que ma dit Yasha, votre style se base surtout sur votre jeu de jambe? Questionna le haut elfe juste curieux.
-Je n’ai le droit de rien dire si vous n'êtes pas une personne en qui je peux avoir extrêmement confiance.
-Mais je le suis.
-Pas selon les arguments de mes mentors.
Le haut elfe parut déçus que je ne lui dise rien mais se contenta de retourner auprès de Yashakenn. Nous dûmes marcher encore quelques minutes et alors que le soleil était a moitié caché par le relief de la crevasse, l'accès vers le temple était en vus. Un camp de parjure a cotés d'une ruine de temple nordique... plutôt vide, voir désert. Nous étions tous très interloqué par se spectacle inhabituel car il était très étrange que personne n’habite ce “village”. Mais ce qui était le plus surprenant, c’était que toute les affaires des habitants étaient encore la.
Nous rentrâmes dans le camp pour commencer a explorer l’endroit et trouver des indices et mes impressions que le village a été abandonné du jour au lendemain se confirmait lorsque je voyait certain objet placés de manière a laisser penser que quelqu’un les avait utilisé, juste avant d'être dérangé par quelque chose. Mais l’hypothèse d’une attaque de mercenaires ou d'aventuriers ne tenait pas la route a cause du fait qu’il n’y avait aucun cadavre ou trace de sang. Alors que c’était il passé ici.
-C’est plutôt bizarre. Commenta Fevila qui me rejoignait après avoir fouillé une tente. Je viens de voir une marmite avec des aliments trop cuit sur un feux éteints. C’est comme si les parjures se seraient cassés sans prendre la peine de terminer leurs activité en cour.
-Miria! Appela une voix d’homme qui ne pouvait être que celle de Calaranil.
Je ne fis aucunement attendre le haut elfe qui m’indiqua une autre tente occupé déjà par Ili droite comme un piquet et Yashakenn au chevet d’une petit fille sur un lit. Je m’approcha de cette dernière mais en remarquant sa pâleur inhabituel, je pus déduire qu’elle était morte. Yashakenn avait posé sa main brillante de lumière sur le front de l'enfant tout en gardant les yeux fermé.
-Pauvre petite, elle est morte d’une fièvre violente. Commenta la Yurei sans rouvrir les yeux ni enlevé sa main. Elle avait une maladie et suivait un traitement avec des herbes médicinales mais d’un coup, plus aucun médicament.
Elle ouvrit les yeux et se tourna vers moi.
-Quelque chose de très bizarre c’est passé ici car je vois mal les habitant de ce camps disparaître en laissant leurs enfant mourir de maladie.
Je hocha la tête avant de remarquer un petit journal au pied du lit. Je l'attrapa pour l'ouvrir et remarquer que c’était un journal intime.
-Je crois que cela nous donnera plus d’information. Fis je remarquer en montrant le journal.
A peine avais je terminer ma phrase qu’un crie de douleur féminin se fit entendre depuis la ruine nordique et nous arracha un terrible sursaut. Je regarda Ili avant de lui demander d’aller voir. Une fois partie, le haut elfe s’interrogea si ce n’était pas dangereux de l’envoyer toute seul.
-Ne vous souciez pas d’elle mais de ses victimes. Rétorquais je avec un petit sourire.
Calaranil haussa des épaules mais ne répondit rien et j’en profita pour feuilleter le journal de la fille décédée. La grande majorité des écrits racontaient une vie de parjure standard montrant sa haine contre les nordique et vivant de raide et autre pillage, drôle de vie pour une enfant de huit ans. Mais malgré cette ensemble de préjugé sur les parjures, l’enfant aimait beaucoup écrire et le faisait ressentir vus le nombre de ligne pour pas grand chose a raconté mais ce fus vers la fin que je pus enfin avoir des informations sur les événements étranges du camp.
“J’ai attrapé une fièvre la dernière fois que j’ai voulus suivre les guerriers et ma mère n'arrête pas de me faire la moral sur ce qui aurait pus arriver si personne ne m’avait vus. Dommage mais je veux aller tuer des nordiques.
C’est bizarre, la nuit dernière on a entendus des bruit de combat venant de l’intérieur des ruines. Le chef c’est juste contenté de vider ceux qui habitaient dans les ruines et de commencer des fouilles. Il pense que c’est juste des morts vivants maudits nordique mais il n’est pas sur. Ma fièvre se calme mais ma mère ne doit pas arrêter les soins.
Y a de moins en moins de monde dans le village et les guerriers envoyé a l’intérieur des ruines ne sont jamais revenus. Ma mère a peur et discute avec le chef pour que nous quittions cet endroit maudit. Je voulus lui dire que j’avais vus de drôle de petite lumière venant du haut des ruines la nuit mais elle ne ma pas cru.
Tout le monde est partie, ils mon laissé toute seul pendant que je dormais la nuit, ils ont pourtant laissé leurs affaires et ma mère est partie sans moi. Qu'est-ce que j’ai fait pour déplaire et ma famille? Les petites lumières se rapproche le plus de ma tente, j’ai au début crus que c’était des feux follets mais maintenant, je pense que c’est des yeux.”
Il n’y avait pas d’autre page écrite, la fille a du mourir après avoir écrit cette partie de son journal. Le haut elfe s’approcha de moi et regarda par dessus mon épaule.
-Vous avez une idée? Demanda-t-il.
Je fis non de la tête et Yashakenn nous appela.
-Quelqu’un a accéléré sa maladie jusqu'à sa mort. Déclara la Yurei en se relevant. Et je connais le moyen de le faire.
Yashakenn était pale et commençais a trembler, elle avait peur d'avoir raison et si c’était le cas, elle nous en dirais plus mais pour l’instant, il n’y avait qu’une chose a faire.
-Allons rejoindre Ili, elle a peut être trouvé quelque chose. Déclarais je.
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J'ai qu'ça qu'a dire...
Chapitre 43 : Les livres d’histoires n’ont pas toujours raison
L’intérieur de cette étrange ruine nordique était vide et les rares aménagements qu’il y avait étaient couvert de poussière. Nous continuâmes notre avancer grâce a la petite lumière magique qu’avait invoqué Calaranil pour éclairer notre route. Nous dûmes alors traverser d‘étrange pont de pierre sans balustrade qui donnait l’impression de s'être posé grâce a un mécanisme et malgré que rien ne m’inspirait ce sentiment, cet endroit me faisait peur. Si le temple d’Havreciel était bien le quartier général des Lames, cela voudrait dire que c’est eux qui ont, pour une raison quelconque, tués les parjures mais si ce n’était pas eux... Qui?
Les Lames sont un groupe d’élite surentraîné avec un mélange de style impérial et une infime partie Akavirois alors la chose ayant tué les parjures a forcément du tuer les lames, ce qui voulait dire que cette chose était très puissante. Un autre détail m’interloquait, l’architecture qui se découvrait a nous avait beau être Akaviroise, elle n’était pas Tsaesci, ni Po’Tun et ni Tang Mo grâce a des schémas trouvé dans la bibliothèque de Satsuma. Nous arrivâmes enfin dans ce qui semblait être l'entrer du temple d’Havreciel. Les mur était de pierre sombre et du même style étrange qu’avant et une ouverture était dessinée dans un des murs. En face de cette ouverture donnant dans un escalier, une espèce de cercle en pierre représentant un insigne qui m’était inconnue. Ili se trouvait proche de l'entrer a coté d’une personne adossé au mur et cette personne se trouvait être ma soeur adoptive aîné: Shimazu Selia.
En me voyant arrivé, elle secoua la tête mais ne dit pas un mot, Ili nous fis signe de venir et je pus remarquer que Selia saignait abondamment de se coude qu’elle se tenait de son autre bras. Yashakenn n’attendit même pas la permission et alla s’occuper de la blessure de la demi Tsaesci.
-J’imagine que c’est mon frère qui vous a envoyé. Fit remarquer Selia.
-En effet mais il ne ma pas parlé de toi. Répondis je encore surprise de la présence de la demi Tsaesci dans cet endroit.
-Lorsque mon frère ma fait par de ses inquiétudes sut le silence des Lames, j’ai voulus y aller directement pour régler cet affaire rapidement mais...
Selia ne termina pas sa phrase et resta silencieuse. Elle afficha malgré tout une grimace lorsque Yashakenn termina les soins d’une manière un peux direct et reprit.
-J’ai comme l’impression que le temple avait déjà d’autre propriétaire avant l'arrivée des lames. J’ai pas pus voir a quoi ils ressemblaient a cause de l’ombre mais ils sont très grand, dans de lourdes armures et leurs yeux brillent comme de petites bougies.
Je ne connaissait qu’un seul type d'être dont la caractéristique des yeux correspondait et si c’étaient bien eux, la survie d’une seul lame est quasi nul. Selia se laissa tombé sur le sol pour s'asseoir avant de relever la tête vers moi.
-Si vous voulez y aller, ne vous gênez pas. Indiqua Selia d’un signe de tête vers l'entrer grand ouverte. Vous en faite pas pour moi, j’ai survécus a pire.
-Tu as vus un membre des lames en vie la dedans? Demandais je.
Selia se contenta de hausser les épaules.
-En tout cas, j’ai rien vus d’amical. Répondit elle.
Je hocha la tête et me plaça devant l'entrer qui pouvait s'interpréter comme une entrer des ténèbres. Je remarque alors que Calaranil n’était pas tranquille mais plutôt comme si il était déjà venus et que quelque chose n’est pas comme d’habitude. Je ne fis pas plus attention et entra a l’intérieur des ombres repoussées par la lumière magique qui flottait au dessus de nos tête. Je pouvais très bien décidé de repartir faire mon rapport a Fasuuji mais je voulais en avoir le coeur net sur l’identité de ceux qui ont écrasés les lames. ili se plaça a coté de moi mais paru apeuré et a ma grande surprise, Yashakenn aussi. Mes doutes se confirmaient, surtout quand Yashakenn fut de plus en plus mal a l’aise en observant les fresque sur les murs de l’escalier menant a une double porte. Une fois devant celle si, Yashakenn m’attrapa les mains pour m'empêcher d’ouvrir.
-NON!! N’ouvre pas. Supplia Yashakenn. Je sais quel est cet endroit.
-C’est une structure Yurei. Répondis je a la question que j’aurais pus poser.
Yashakenn hocha la tête mais garda cette air terrifié et reprit.
-Sauf que ce n’est pas n’importe laquelle. C’est une forteresse du nom d’Orikiar, la première colonie sur Tamriel des Arkived. A l’époque nous étions en froid avec une autre race qui attendais le moindre prétexte pour nous attaquer et cet forteresse a donc était garnis des meilleurs soldats de notre empire.
-Heu... je ne suis pas trop la. Commenta Calaranil.
-On raconte que les Ashen avait inventé des amulettes qui repousse les Yurei. Signala Ili. On, pourrai peut être en faire une.
-Pas la peine, j’en ai une.
Et cela dit, je m’accroupis pour mettre ma main dans ma jambière gauche et y retirer une splendide amulette avec en son centre une magnifique émeraude. Une amulette offerte par Yoshiko. Calaranil, n’ayant absolument rien compris de notre histoire s’approcha de nous déterminé d’en savoir plus.
-Quelqu’un peut il enfin m’expliquer ce qu’il se passe? Demanda le haut elfe.
-Il se passe que, apparemment, le temple d’Havreciel n’est jamais été un avant poste Akavirois mais une forteresse datant au plus tard de l’ère Mérétique. Expliquais je. Et les vrais habitants du temple ne sont pas très subtil quand il s’agit de régler des problèmes.
-Mais... comment est ce possible?
Je ne répondit pas a cette question et après avoir enroulé la chaîne de l’amulette autour de mon avant bras droit, j’ouvris les portes et nous entrâmes dans les ténèbres absolu. C’était étrange que la lumière magique se soit éteins mais je n’en avait pas besoin grâce a mon sixième sens de shinobi. Il s’agissait de la deuxième partie de l’escalier et une fois celui si gravit, nous nous retrouvâmes dans un grand hall. Il y avait une grand table en pierre en son centre et derrière celle si, ce trouvait le légendaire mur d’Alduin. Je voulus bien m’approcher pour l’observer d’un peux plus près mais je ressentit la présence d’un Yurei en armure non loin.
Je fis se baisser tout le groupe d’un signe de main et je me mis derrière un pilier de pierre pour chercher des yeux le nouvel arrivant. Il se trouvait proche d’une ouverture menant a une autre pièce. Comme le reste des siens, il était dans une armure en os de dragon intégrale et armé d’une hallebarde fait a partir du même matériaux. Le Yurei semblait dormir debout mais lorsque qu’une chauve souris s’envola pour rejoindre l’autre bous du hall, il sembla se réveiller et empoigna férocement son arme. Néanmoins, un détail me frappait sur cet ancien Arkived: un rose accroché a la hampe de son hallebarde.
-Yakosh.
Je me retourna et vis Yashakenn juste derrière moi en train d’observer le Yurei avec des yeux rond. Elle le connaissais apparemment.
-C’est qui? Demandais je.
-Mon grand frère. Il avait été affecté ici avant que la malédiction ne sois lancer sur nous. Ma mère lui avait donné une rose pour qu’il se souvienne de nous.
Je me retourna vers le Yurei pour remarquer qu’un autre avait apparus, ou plutôt une autre. c’était une femme habillé des même vêtement de Yashakenn mais avec un capuchon. Elle entra de l’ouverture a droite de Yakosh et se dirigea vers le mur d’Alduin en traînant par le col un impérial en armure Akairoise: Une Lame.
-Il va falloir le sauver. Ordonnais je.
-Tu veux attaquer des Yurei? on sais même pas combien ils sont. Fis remarquer Ili.
-Peux importe, il reste un survivant, il faut le sauver.
Mais il est vrai que nous allions devoir être prudent, le survivant était inconscient et si on le réveillait, il y avait des chances qu’il cri et alerte tout les Yurei présent. Je demanda a Yashakenn et Calaranil qui n’ont aucune notion de discrétion de rester ici et demanda a Ili de me suivre mais avant que nous nous avancions, Fevila m’attrapa par l’épaule.
-Et moi je fais quoi? Demanda la Dunmer.
Il était évident que la Dunmer n’avais pas envie de me laisser prendre des risques.
-Couvre moi avec ton arbalète.
-Mais je veux venir avec toi.
-Fais ce que je te dit! Ordonnais je.
Nous nous avançâmes dans l’ombre avec Ili vers le mur d’Alduin. Le survivant des lames avait été laissé couché au pied du mur par la dame de soin Yurei qui avait disparue dans l’ombre. Le mieux serait maintenant de récupérer le survivant et foutre le camps sans être repérées. Ili s’avança pour se cacher derrière la table, le soldat Yurei était toujours la et malgré qu’il c'était remis a “dormir debout”, mieux valait faire attention. Ili me fis un signe de main pour que je la rejoigne.
-Faudrait faire dégager le Yurei pour récupérer l’humain.
-Je ne sert pas d’appas. Prévins je directement.
-Et ta pas de pouvoir Shinobi pour ça?
J’en avait en effet un mais son pouvoirs était d’intervertir ma place avec la cible ce n’était donc pas vraiment ce que nous cherchions. Pendant que je cherchais une idée, Ili fis quelque chose de fou mais c’était peut être ce que nous cherchions et jeta une dague qui alla se planter dans la gorge du Yurei.
-« Viens la le monstre!! »
Et alors que j’étais bouche bée, Ili se précipita vers une ouverture avec le Yurei sur les talons. Je reprit mes esprits et je me rua vers le soldat des lames mais j’eus une très mauvaise surprise. Je fus nez a nez avec la dame de soin, le talon sur la gorge du survivant et avant que j'eus le temps de faire quoi que se soit, elle écrasa la gorge de l’impérial et le tua sur le coup.
-La on est dans la merde. Commentais je sous les yeux froids et étincelants de la Yurei.
Chapitre 44 : Les yeux de flamme
J’avais les yeux de la Yurei planté dans les miens et cela me pétrifiait de peur. Elle approcha sa main de mon visage mais un carreau d'arbalète vint se planter dans son bras et je fus rapidement rappelée a l’ordre par Fevila.
-BOUGE DE LA!!! Me hurla la Dunmer qui préparait déjà un nouveau carreau.
Aussi tôt dis aussi tôt fait, je me précipita vers la Dunmer a une vitesse folle alors qu’un immense brouhaha se faisait entendre et ça n’avait rien de rassurant.
-Qu’est ce que c’est!? Cria Calaranil alors que des rugissements se faisait entendre.
-Rien de bon pour nous, on fous le camps sur le champs!! Ordonnais je.
-Et Ili? Demanda Fevila.
Je ne pouvais pas la laisser ici mais dans notre situation avais je le choix? Yashakenn devint de plus en plus terrifier et poussa un crie d'effrois en regardant dans ma direction. Je me retourna et vis la dame de soin marcher dans ma direction la main levé comme pour me caresser. Notre réaction ne se fis pas attendre chacun de nous courûmes dans une direction aléatoire. Je ne savais pas si Yashakenn était avec Calaranil mais une chose était sur: j'étais seul. Je décida de chercher des yeux Fevila mais je ne vis que des Yurei en armure intégral arriver dans le hall comme des tueurs a l'affût de leur proies. Cela me suffit pour courir encore plus vite et je me précipita dans une ouverture pour y refermer la lourde porte en pierre derrière moi. Je m’avança pour remarquer que j'étais dans un dortoir malgré que seul un faible rayon de la lune éclairais la pièce. Je m'assis sur un lit avant de me poser une question. Pourquoi les Yurei ne se sont pas réveillé avants?
-Aurait tu besoins de soutiens? Demanda une voix très familière.
-Fyrre?
Je me leva et chercha des yeux l'apparition de l’Ayléide. Si il y avait bien une personne pour m’aider dans cette situation catastrophique c’était bien elle. Mais malgré l’aide du pas de velours ou de mon sixième sens, elle demeura introuvable.
-Tu continus a servir cet elfe antique ou Herma Mora? Demanda la voix de Fyrre.
-C’est oublié ça aide moi!! Ordonnais je
Un bruit de fracas se fit entendre de l’autre coté de la porte, les Yurei avaient envie d’entrer.
-tu es sur? N’oublie pas qu’il peut toujours réapparaître pour te promette au combien tu serais heureuse avec ton cadavre Yoshiko.
-Je lui dirais d’aller se faire foutre viens m’aider maintenant!!
Un nouveau fracas et cette fois, la lame d’une hache en os de dragon traversa la porte. Je dégaina mon katana bien que combattre un Yurei était inutile et attendis une réponse Fyrre qui se faisait grandement demander.
-Je vais y réfléchir.
De toute les réponses que j’attendais d’elle, celle la était la pire. Un nouveau fracas se fit entendre et la porte se fracassa au sol. Un Yurei avec un casque grande corne orienté vers le haut et le visage caché par de la maille s’approcha de moi dans une marche puissante. Il s'élança tout d’un coup dans une charge et voulus me scier en deux d’un coup de son immense hache mais je réussi a esquiver au dernier moment mais je ne pus cesser de bouger car il enchaîna avec un enchaînement de grand coup. Par les neuf que c’était horripilant d'être face a un adversaire qui ne peux pas mourir. Mais malgré tout, je profita d’une faille dans sa garde pour planter ma lame dans son oeil droit mais c’était comme si sa chaire n’était que de la fumé car la pointe de mon Katana ne rencontra aucune résistance a part le casque de mon adversaire qui bloqua directement la course de ma lame.
Je dégagea mon arme et remarqua que je n’avais fait aucune blessure a mon adversaire mais lui ne prêta pas attention au fait que j’avais transpercé sa tête et recommença a m’assaillir de coups. Je tenta alors une folie et positionna ma lame pour dévier sa prochaine attaque. Je regretta alors mon geste et je fus projeter sur le mur de pierre avec une impressionnante brutalité. Je repris ma respiration avec difficulté et une fois relevé, je chercha des yeux mon Katana que je vis derrière le Yurei qui s’avançait vers moi. Il me porta alors un coups pour me décapiter et je me baissa pour esquiver, suivit d’une roulade pour attraper mon arme. Mais une fois debout, au lieu de lui faire face, je me précipita a l'extérieur du dortoir par la sortie pour me cogner sur Ili.
-T’as le crane dur. Grogna la Po’Tun en se relevant.
Elle m’attrapa par la main et me remis debout.
-Sache que je ne referait plus jamais l'appât et tache d’avoir un pouvoir pour...
Elle s'interrompit pour se baisser et plaqua ses main sur mes épaules pour me coucher au sol. Je compris bien vite le but d’un tel geste lorsque je sentie la hache du Yurei sifflé au dessus de ma tête qui défit ma queue de cheval. J’avais évité la mort d’un cheveu.
-J’ai a peine semé le miens que tu m’en ramène un autre!! S'exclama Ili.
Elle dégaina ses dagues pour s’attaquer directement au Yurei qui avait sa hache planté dans le mur. Je ne compris pas vraiment pourquoi elle se jetai sur lui et je ne pris pas le temps de lui poser la question car je reprit ma course directement. Heureusement pour Ili, elle me suivit après avoir envoyé le Yurei au sol et me fis même part de ma lâcheté pour ne pas l’avoir aidé mais franchement, je n’en avais que faire.
Malheureusement, a force de nous disputer sur ma fuite, je ne fis aucunement attention a ou je courais et on se retrouva dans une autre pièce sans sortie qui se trouvait être une réserve. Nous n'eûmes pas le temps de nous retourner que nous dûmes esquiver un puissant coup de hache de la part de notre poursuivant qui réduisit en copeau de bois une étagère pleine de caisse. Je me releva et esquiva d’un salto arrière une nouvelle attaque mais je remarqua qu’Ili ne c’était toujours pas relevé et tenait son bras en sang. J’attendis une nouvelle attaque du Yurei et cela fait je me précipita vers Ili avec une roulade avant de la mettre sur mon dos tout en ignorant qu’elle pesait bien plus que moi.
Je ne pus aller bien loin car le souffle d’un nouveau coups, évité de peux, me fis tomber sur le ventre toujours avec Ili sur mon dos ce qui n'arrangea rien a la douleur que je subissait. Je me releva avec difficulté tout en poussant Ili sur le coté. Je me plaça face au Yurei et me mis en garde tout en espérant ne pas en avoir un deuxième a mes trousses. Je me mis a espérer aussi que les autre aille bien. J’entendis alors Ili grogner et se relever a coté de moi en se tenant encore le bras. Étant blessé, la Po’Tun ne pouvait plus se battre.
-Il marche pas trop le coup de l’allumette. Fit remarquer Ili.
Il est vrai que la, je ne pouvais que être d’accord. Peut être cela nous protégeait pendant notre sommeil mais éveillée, ce n’était juste qu’une décoration inutile. Le Yurei se relança dans une charge vers moi et abattis sa puissante hache. Je pus esquiver habillement mais Ili s'écrasa sur son bras blessé et elle se mordis la lèvre au sang pour ne pas crier. Elle avait sûrement un os de casser. Je fus alors surpris par l’incroyable force et rapidité de l’ancien Arkived qui succéda les coups sur moi a une vitesse folle et tous les esquiver fus un défis. Il me porta un coup de pied en plein dans le ventre et m’envoya valdinguer a l’autre bous de la pièce mais cet fois, Mon Katana et mon fourreau restèrent dans ma main.
Je voulus me relever mais je remarqua que le Yurei ignorais littéralement Ili qui restait au sol immobile pour s’occuper de moi. Je commença a imaginer le pire mais je fus ramener dans la réalité lorsque le Yurei était juste au dessus de moi et s'apprêtait a abattre son immense hache. Je glissa entre ses jambes et chercha des yeux la source de lumière de cette pièce et une fois que j'eus repérer une bougie sur une étagère, je me précipita vers elle et l’éteignis avec mes doigt au risque de me brûler. Ça pouvait paraître stupide quand on sait que les Yurei voient dans le noir mais comme toute personne, il y a un temps d’adaptation et ce court moment me permettra de fuir avec Ili.
Une fois dans le noir total, je me précipita vers Ili et la mis sur mon dos avant de courir hors de la pièce. Je me cacha ensuite derrière une colonne et je pus voir le Yurei courir jusqu’au bout du couloir. Je ne pus m'empêcher de souffler un soupir de soulagement et c’est a se moment qu’Ili s’agita sur mon dos.
-Je peux marcher. Commenta la Po’Tun.
Je la mis sur ses pieds et je glissa au sol tout en m'appuyant sur la colonne. une fois les fesses sur la pierre, je laissa traîna ma jambe droite de tout son long et je poussa un autre soupir de soulagement. On avait réussis a ce débarrasser du Yurei.
-Rejoignons les autres. Annonçais je à Ili.
La concerné hocha la tête mais soudainement elle voulus crier. Trop tard. Une lourde hache tomba sur ma jambe et la coupa net au niveau du genou. Il a fallu que je regarde moi même ma jambe amputé pour prendre conscience que c’était bien arriver et me mettre a hurler de toute mes forces sous la douleur et le choc. Ili ne perdit pas de temps et se jeta sur le Yurei et le poignarda a une vitesse folle, même l’ancien Arkived semblait surpris d’une tel réaction et furie de la par de la Po’Tun.
-CONNARD!!!! Hurla la voix de Fevila.
Et quelque secondes après, le Yurei fus transpercé dans le dos par l’épée de la Dunmer qui l'enchaîna par la suite d’une très grand nombre de coup d'arbalète. Dans ce déchaînement de violence, je vis Yashakenn et Calaranil aller auprès de moi toujours hurlante et maintenant d’un pâleur effarante. Yashakenn observa avec la plus grande délicatesse mon moignon toujours en train de déverser du sang.
-Et merde, mais heureusement, je peux soigner ça. Me rassura Yashakenn. Cala, prend sa jambe.
-D’accord mon amour.
Le haut elfe s'exécuta mais au même moment Ili et Fevila valdinguèrent vers nous. Ili se retint le bras de plus belle sous la douleur mais voulais encore charger le Yurei. Yashakenn lui ordonna le contraire et le groupe entier pris la fuite avec moi sur le dos de Fevila.
-T'inquiète Mimi, tu crèvera pas aujourd’hui!!
La voix de Fevila c’était faite comme un écho dans ma tête et quelque secondes plus tard, je n’entendis plus rien et ne vis que les ténèbres.