Sujet :
[Fic] Le Capitaine Laroche...
La suite 
singuei 
Tu passe de juin 1944 à septembre 44 
Je vais continuer ainsi pour le moment.
The-Major-Bryan J'ai eu quelques soucis, je n'ai pas pu aller sur le pc depuis deux jours. La suite ce soir.
La suite tant attendue est arrivé 
Savourez la bien mes enfants 
Elle est aussi longue que la précédente...
Cpt Laroche : Bien, messieurs, regroupez-vous ou à défauts, écoutez-moi.
Nous voilà donc, une petite cinquantaine réunie dans ce corps de ferme. Nous avons à disposition tous les moyens pour faire face aux Panzers et à l’infanterie, nous avons même avec nous deux mortiers.
Le Capitaine continua alors son discours pour clarifier la situation auprès de tous les soldats.
Cpt Laroche : Sergent-chef Clark, approchez vous.
[…]
Vous savez tout comme moi, que le sergent Walter, qui est mort, était de la 101éme, des « Bulldogs Devil », étant vous aussi de la 101éme, vous commanderez les gars de la 101éme au même titre que Walter.
Heliert ! Approchez !
[… Heliert descend du grenier où il était avec les ingénieurs au poste radio]
Heliert : Oui mon capitaine ?
Cpt Laroche : Pour ne pas surcharger Clark, vous allez commander Hawk, Eddy et Garnet.
Les hommes continuèrent de prendre connaissance. Quand une heure plus tard, vers 11h30, un appel radio provenant des plages annonçait que les premières patrouilles allaient partir des plages en direction de Pouppeville.
Sur l’appel d’un ingénieur, Laroche accourut au grenier, il ordonna alors de transmettre le message suivant :
« Une fois à Pouppeville, vous continuerez vers Audouville-La-Hubert, de là nos patrouille prendront contact avec vous, et vous amènerons sur notre position »
Tout cela bien sûr en code, pour éviter que des patrouilles allemandes fassent obstacle.
Cpt Laroche : Sergent Clark, vous allez prendre les gars des « Bulldogs Devil », ainsi que certains nouveaux venus. Vous allez vous rendre à Audouville, vous y serez dans une heure en marchant et en prenant garde. Vous aller devoir traverser Audouville, juste après cette ville des hommes y installerons un poste avancé pour couvrir la route si des fridolains tentent une incursion dans nos lignes.
Ces hommes seront composés des nouveaux qui nous ont rejoints, ils seront sous les ordres d’un adjudant de mes forces français libre.
Les mortiers restent ici dans le doute d’une contre attaque allemande, à l’heure qu’il est, les allemands doivent savoir que plusieurs milliers de soldats ont débarqués sur les plages de Normandie.
Tout le monde se prépara, à 13h les premiers soldats équipés d’une radio partent en direction de Turqueville pour y installer le poste avancé.
Il est 13h45.
Cpt Laroche : [Parlant de la cour en direction du grenier] Heliert ! Toujours pas de nouvelles avec la section T ?
Heliert : Aucune mon Capit… Ah… Attendez… Nous recevons un signal faible.
L’opérateur nous informe qu’ils sont tombés sur des grenadiers en grand nombres, ils ne sont plus que douze sur les vingt du début, ils n’ont plus de munitions, la radio à reçue une balle, c’est pourquoi le signal est faible !
Cpt Laroche : Bon, une mauvaise surprise cette patrouille… CLARK !!
Sgt-Clark : Oui mon Capitaine !?
Cpt Laroche : Vous allez emmener avec vous deux de mes hommes, ainsi que tout les hommes de la 101éme, vous y laisserais aussi 2 Rangers. Ce devrait suffire, demander à Heliert des pièces pour la radio.
Sgt-Clark : Pas de soucis Capitaine, le tant de prévenir les hommes et nous partons.
Les troupes se mettent en routes, il reste donc dans la ferme une trentaine d’hommes, réparties en deux positions d’éclaireurs dans les bois alentours, dans la ferme, deux Browning et une MG42 était en position de tire, couvrant ainsi les angles de la ferme. Dans le troue du grenier, était en place un mortier, le second étant dans le potager, prés de la cour. Les hommes avec leurs anti-char, leur snipers et le reste étant en position défensive dans la ferme.
Par radio les hommes de la première position de reconnaissance ont repérés des fantassins allemands s’approchant de la ferme, les mortiers étant à porté, ils commencèrent à ouvrir le feu, ils réussirent à en tuer une dizaine, les cinq autres furent tuer par les hommes de reconnaissance.
Plus rien à signaler durant une heure.
Pendant cet intervalle, un contact radio… C’était le sergent Clark qui annonçait qu’ils venaient de faire jonction avec les premiers GI de Pouppeville, d’autres arriveraient d’ici une demi-heure.
Laroche ordonna que sur ces ordres, une fois le reste des GI arrivés, ils devront faire route pour rejoindre la ferme, lui expliquant qu’une contre-attaque venait de ce passé…
Sur le coté ouest de la ferme, les éclaireurs signalent un mouvement de troupes et de blindés.
Laroche leur ordonna de ne quitter la position qu’au dernier moment, groupe d’éclaireur est rentré à la ferme, ils se mirent en position pour défendre la ferme.
Les éclaireurs-ouest signalent par radio : trois sections de Panzer Grenadier, un Sdkfz 251 ainsi qu’un 222, et chose la plus terrible, un PanzerIV.
Cpt Laroche : SOLDATS !! Les allemands arrivent, c’est un petit Kampfgrupp, les fantassins sont entre et sur les chars l’arrière, à l’avant, un sdkfz 222 et un 251, vous allez les laissez approcher, et quand vous serez à porté [s’adressant aux anti-char] qui détruirais ces blindés. Le reste des blindés arrivera sans doute à pleine vapeur, à ce moment vous passerez dans le grenier, en essayant de détruire des réservoirs de carburant en hauteur.
Quand à vous les mitrailleurs, vous rentrez les canons, vous les sortirez au dernier moment, lors de la vague de fantassins, à ce moment et à ce seul moment, vous les mortiers qui descendrez dans la cour, vous serez à l’abri grâce à la ferme l’attaque venant de la face opposé, ainsi les chars ne pourront voir les panaches de fumé.
Le groupe d’éclaireur rentre dans la ferme, le second groupe doit quitter la zone, ils rentrent également à la ferme, un jeune 2nd classe est tué par une salve de la MG du 251.
Ils sont maintenant repérés, Laroche leur ordonne de ne pas rejoindre la ferme, ils mettraient en danger l’opération, ils devront la contourner, les allemands ne els suivront pas, et Laroche sait très bien pourquoi, les Kampfgrupp vient chercher des munitions pour tuer les Américains qui viennes de débarquer et qui se trouveraient déjà dans la zone. Et c’est maintenant confirmé, dans américains se trouvent dans la zone.
Les Sdkfz arrivent, aucun tir ne se fait entendre, hormis celui des Bazookas et des PzFaust, les fantassins du 251 persuader qu’il n’y à presque personne dans la ferme tentent d’y entrer, les tires de Garant se font entendre, pris par surprise les allemands n’ont opposés aucune résistance.
Le groupe de blindé s’avancent soutenue par l’infanterie.
Les blindés sont désormais devant la ferme, ils ne tirent pas encore, mais continuent de tourner pour rendre les risques possibles minimes. Un, puis deux, et pour finir quatre ( 
) tires d’anti-char se font entendre, deux arrivent sur cible, l’un enflamme l’arrière du char, les membres de l’équipage sortent, rejoignant les fantassins qui avancent vers la ferme…
Cpt Laroche : Sortez les mitrailleuses, feu à volontés ! Les mortiers ; AU BOULOT !!
Quelques soldats teutons sont déjà morts, ou blessés grâce au feu du char, ou aux explosions ratés des anti-char. Les mortiers et les soldats eurent vite fait de finir le travail, non sans quelques pertes du cotés américains du à la mitrailleuse du char et à ses coups de 75mm.
La char après avoir était touché deux fois à l’avant, décide de battre en retraite, continuant d’arroser la ferme. Les mortiers ont beau continuer à tirer, rien n’arrive à toucher le char…
Soldat Français : Regardez ! Un avion américain !
L’avion, c’était un P-47 ! Il ne due pas trop faire d’effort pour éventrer le char, sous l’effet des explosions des bombes, la tourelle du Panzer se souleva, faisant exploser le char de l’intérieur.
Cpt Laroche : [Machinalement comme à la fin de chaque combat] Il n’y à plus l’air d’avoir de menace, les éclaireurs retournaient à votre poste, tout le monde dans la cour, évaluation des dégâts.
Le groupe d’éclaireur ouest à peine rentré dû repartir. Un Browning est inutilisable, six américains furent tués par la MG34, les munitions commençaient à s’amenuiser..
Heliert : Capitaine ! Clark approche, ils sont une vingtaine, ils ont rencontrés de la résistance sur la route, il demande s’il doit ramener avec lui la position de Turqueville.
Cpt Laroche : Oui il peut, j’ai un nouveau plan à lui soumettre, alors qu’ils se dépêchent.
15 minutes plus tard, le sergent chef Clark présenta au Capitaine Laroche le Colonel Dassaut, un colonel américain de la 4éme division d’infanterie.
Colonel Dassaut : Bonjour Capitaine.
Cpt Laroche : [se mettant au garde à vous] Bonjour Colonel.
Col Dassaut : Allons Capitaine, cessons ce petit jeu. Et continuer votre discourt, ensuite nous parlerons.
Il était 16h00 quand Laroche finis sont discourt, le colonel ne lui ayant pas encore parlé.
Il proposa ses trois suggestions à la compagnie.
A/ Rester encore dans la ferme (pas la meilleur du au fait du manque de munitions, et des contra attaques allemandes qui deviendrons de plus en plus meurtrière)
B/ Rejoindre Sainte-Mère-Eglise. (La ville est sous le contrôle de la 101éme, et beaucoup d’hommes s’y retrouvent pour s’y reposer)
C/ Continuer le combat en s’enfonçant dans les terres vers Carentan (Les hommes sont épuisés, et à cours de munitions, mais quand on doit y aller, on y va !!)
Discussion entre le Colonel Dassaut et le Capitaine Laroche au prochain épisode
Du changement est à prévoir.
PS: Je pense l'avoir moins bien réussie... 
Merci pour la suite 
Je dirais solution b)
Contrairement à ce que tu pense moi je trouve que cette suite que tu as faite est très bien réussi 
En tout cas j'espère que le colonel ne vas pas prendre le commandement et évincé le capitaine (ce capitaine fait quand même du bon boulot, car ça fait trois ou quatre fois qu'il met en échec les allemands 
).
En fait j'espère juste que le capitaine puisse continuer à commander ses hommes sur le terrain et que le colonel pourrait par exemple "renseigner" le capitaine depuis son QG. 
Enfin de toute façon j'attendrais la suite pour savoir 
Continue comme ça c'est excellent
Tu n'as pas écouté mon conseil sur le dialogue littéraire. Fais le, parce que ça ne me donne pas trop envie de lire.
Charlie_Woods Bah écouté j'ai déjà écourté les dialogues. Je pourrais en faire beaucoup plus si je veux.
Donnez votre avis:
A/ Rester encore dans la ferme (pas la meilleur du au fait du manque de munitions, et des contra attaques allemandes qui deviendrons de plus en plus meurtrière)
B/ Rejoindre Sainte-Mère-Eglise. (La ville est sous le contrôle de la 101éme, et beaucoup d’hommes s’y retrouvent pour s’y reposer)
C/ Continuer le combat en s’enfonçant dans les terres vers Carentan (Les hommes sont épuisés, et à cours de munitions, mais quand on doit y aller, on y va !!)
Comme ça on pourra avoir la suite
Ça va faire cinq jour qu'il n'y a pas eu de suite 
Tu t'en fiche des autres 
C'est pas comme si tu as aucun lecteur vu que je suis là 
Et si j'aimais pas, tu crois pas que je me serais barrer depuis longtemps
Ou soit y'a rien à redire, juste à lire et relire.
Perso je vote pas, car si on te force à un choix que tu voulais pas trop, t'aura pas l'inspiration. Prend le choix qui t'inspire le plus
Fait comme tu le sent
Ah ok
Merci les gars
J'annonce une suite dans la nuit 
Désolé c'est le pseudal de ma copine. 
Tellement l'habitude sur mon PayCay
Le message précèdent est de moi et non de Akiyama__Mio.
La suite ! La suite !
On nous avait promis une suite dans la nuit... Elle est pas la
Sujet :
[Fic] Le Capitaine Laroche...