Ok... 
Ouhlala, pauvre moi. 
Virion & Zelcher
Soutien C
Zelcher : Virion ? Je vous ai cherché partout. C'est l'heure de votre séance d'entraînement.
Virion : Oh, déjà ? Bien, préparez le matériel et...
Zelcher : C'est déjà fait. Je suis prête.
Virion : Ha ha ! Bien sûr que vous l'êtes ! Vous êtes mon vassal le plus dévoué , je l'ai toujours dit.
Zelcher : Les flatteries ne vous mèneront à rien.
Virion : Des flatteries ? Allons, vous savez bien que je parle toujours avec sincérité ! Si l'on ne m'avait point volé mes terres, vous seriez encore...
Zelcher : Vous avez perdu vos terres, il n'y a aucun intérêt à discuter de ce qui aurait pu être. C'est la réalité, le présent, où nous nous faisons face sur le terrain d'entraînement.
Virion : Ah, la réalité. Je commence réellement à détester cet endroit. Mes terres m'ont été confisquées. Cela a rompu tout lien de vassalité entre nous. Vous n'avez plus aucune obligation envers moi. Vous n'avez nul besoin de m'entraîner comme vous le faites. Vous êtes libre de servir qui vous voulez.
Zelcher : J'en suis consciente. Mais je ne vous ai pas servi en raison de vos titres.
Virion : Vraiment ? Alors, serait-ce... par amour ?
Zelcher : Encore un commentaire comme celui-là et je laisserai Minerva vous « aimer » à sa façon.
Virion : Gloups ! Mes plus plates excuses, Madame ! Je n'ouvrirai plus la bouche !
Soutien B
Virion : *soupir*
Zelcher : Quelque chose ne va pas ?
Virion : Ah, ma douce Zelcher. Comme toujours, vous avez lu dans mon cœur. Moi, esseulé et pleins de regrets, frappé par une demoiselle à la langue acérée.
Zelcher : Est-ce de moi dont vous parlez ou de Minerva ? Qu'est-ce qui vous trouble tant ? Êtes-vous toujours effondré de la façon dont Walhart vous a confisqué vos terres ?
Virion : Assez! C'était une tragédie. Je ne vous permets pas d'en parler de façon si légère !
Zelcher : Ce n'était pas mon intention. Beaucoup ont souffert sous le joug de Walhart. Mais je sais que vous avez souffert plus que n'importe qui. Si cela pouvait vous consoler, Minerva et moi irions punir les coupables.
Virion : Ma fidèle Zelcher, vos mots emplissent mon cœur de courage et d'espoir ! Est-il possible que vous soyer tombée amoureuse de Virion le galant ?!
Zelcher : Pffffft !
Virion : Ah, nostalgie. Je n'avais pas entendu ce rire glacé comme une lame depuis longtemps.
Zelcher : Plaisanteries mises à part, ce qui est fait est fait, vous n'auriez pu l'arrêter. Il est temps de vous tourner vers l'avenir et d'arrêter de ressasser le passé.
Virion : *soupir* Je ne pensais pas qu'il serait si dur de me pardonner...
Zelcher : Derrière votre attitude insouciante, vous avez toujours été trop dur avec vous-même. Promettez-moi de ne pas sombrer dans le regret le plus amer.
Virion : Seulement si vous le demandez. Mais en retour , vous devez aussi me faire une promesse. Le jour viendra ou vous devrez choisir entre la loyauté envers moi et votre propre voie... Ce jour-là, je veux que vous choisissiez ce qui est le mieux pour vous, pas pour moi.
Zelcher : Inutile de me le dire. C'était bien mon intention !
Virion : Ah, très bien... fort bien, même. Fort bien... Quoique si vous pensiez à moi un tout petit peu, cela ne serait pas une mauvaise chose.
Zelcher : Ne revenez pas sur ce que vous avez dit.
Soutien A
Virion : J'aimerais bien savoir ce qu'il se passe sur mes terres en ce moment...
Zelcher : Plus vite nous gagnerons cette guerre, plus vite nous pourrons le savoir.
Virion : Dites-moi. Qu'avez-vous l'intention de faire une fois cette guerre terminée ?
Zelcher : Retourner chez moi, bien sûr, vous aider à reconstruire le domaine de la Maison Virion. Et pour vous ?
Virion : La même chose, naturellement. Mon domaine a besoin de moi.
Zelcher : Êtes-vous sûr que vous pourrez y retourner en toute quiétude ? Nombre de souvenirs douloureux sont liés à ces terres...
Virion : Oui, en effet. Mais j'en garde aussi de très bon souvenirs... Des souvenirs dans lesquels vous êtes à mes cotés. Les plus beaux moments de ma vie, je les ai passés en votre compagnie.
Zelcher : Allons, je ne suis pas une de vos servantes qui succombe à la moindre de vos flatteries.
Virion : *soupir* Pourquoi est-ce que personne ne me croît quand je parle avec sincérité ? Est-ce le revers de mon charme désinvolte et débonnaire ?
Zelcher : Je pense que nous nous connaissons trop pour parler de choses si sérieuses.
Virion : Oui, peut-être que vous avez raison.
Soutien S
Zelcher : Il est temps de partir, Virion.
Virion : Hélas ! Pourquoi suis-je chassé si vite ?
Zelcher : Vous êtes en train de vous assoupir. Pas question d'entendre vos ronflements.
Virion : Oui, désolé, je ne dors pas très bien dernièrement. Ma couche est glacée et personne n'est là pour la réchauffer.
Zelcher : Avez-vous essayé de séduire une fille de cuisine esseulée ?
Virion : Pensez-vous que je puisse me satisfaire de n'importe qui ? J'ai mes valeurs !
Zelcher : Il y a autant de servante que d'étoiles dans le ciel. Il y en a bien une que vous trouverez digne de vous.
Virion : Oui, et vous savez fort bien de qui il s'agit.
Zelcher : Oh, Virion. Nous en avons déjà parlé. Nous nous connaissons trop bien.
Virion : Oui, nous sommes proches. Peut-être plus proches que deux êtres ne l'ont jamais été ! Je ne peux pas ma passer de vous, comme je ne peux pas me passer d'eau ou d'air ! Les autres ne sont que de pâles reflets comparés à vous.
Zelcher : Vous vous entraînez pour séduire votre prochaine victime.
Virion : Vous êtes la plus à même de comprendre que je suis sincère.
Zelcher : Je suppose que c'est vrai.
Virion : Et bien que je craigne d'entendre votre réponse, j'ai un dernier atout à jouer. Je vous ai apporté quelque chose.
Zelcher : Est-ce bien ce que je pense ?
Virion : Si vous pensez que c'est une alliance, alors, vous avez raison. Me croyez-vous à présent ?
Zelcher : Oui. Assurément.
Virion : Quelle est votre réponse ? Acceptez-vous ?
Zelcher : Hé hé ! Il n'y a pas le choix. Qui d'autre pourriez-vous accepter comme épouse ? Mais je vous avertis, une fois mariés, vos nuits avec les domestiques sont finies. Si vous osez me tromper, je vous jette en pâture à Minerva.
Virion : Loin de moi ces pensées ! Je parle des servantes. Votre animal de compagnie m'inquiète un tant soit peu.
Zelcher : Tu as entendu, ma petite Minerva ? Assure-toi bien qu'il tienne sa promesse. (cri de Minerva)
Virion : Pourriez-vous oublier ces menaces ? Ce n'était pas censé être un instant de joie ?
Zelcher : Hé hé hé !
Tu peux envoyer. 
Cette fois un soutien garanti sans faute d'écriture ou d'orthographe. Gomenasai pour les précédentes fois. Aujourd'hui :
Nowi & Zelcher
Soutien C
Nowi : Hé hé hé ! Minerva ! Encore ! Encore !
Zelcher : Je suis heureuse que Minerva et toi vous amusiez tant, Nowi. Mais peut-être devrais-tu arrêter la bagarre et laisser Minerva faire une pause. Minerva est puissante mais, sous forme de dragon, tu es une adversaire redoutable !
Nowi : Oh, d’accord. Désolée, Minerva ! Est-ce que je vous ai épuisée ?
Zelcher : Pauvre Nowi. Tu veux encore jouer, n’est-ce pas ?
Nowi : Ça ira, ne vous en faites pas. J’aimerais bien jouer plus mais Minerva est épuisée. Je patienterai.
Zelcher : Peut-être pourrais-je prendre la place de Minerva ?
Nowi : Est-ce que je ne vais pas vous blesser ? Je suis très forte en dragon !
Zelcher : Oh, je suis plus forte que j’en ai l’air. Après tout, j’ai gagné face à Minerva autrefois.
Nowi : Oooh, vraiment ?
Zelcher : Oui alors ne te retient pas ! Peut-être que je gagnerai cette fois-ci aussi !
Nowi : Hé hé ! Alors, c’est parti !
Soutien B
Nowi : Alors ? Je n’y vais pas trop fort, n’est-ce pas ?
Zelcher : Non, c’est juste comme il faut ! Mmm… Je ne savais pas que tu étais si douée pour les massages au dos.
Nowi : On en apprend des choses en mille ans. Je suis désolée de vous avoir frappée si fort avec ma queue. Je ne pensais pas que vous décolleriez comme ça !
Zelcher : Un peu plus à gauche, s’il te plaît… Aaah… c’est ça. Ne t’inquiète pas, ce n’est pas la première fois qu’on me fait mordre la poussière.
Nowi : Je pense vous m’avez menti quand vous avez dit avoir battu Minerva. Vous avez dit ça pour que je ne sois pas inquiète en vous affrontant.
Zelcher : Tu penses vraiment que je t’ai menti, Nowi ?
Nowi : Un peu… Tournez votre tête de ce côté.
Zelcher : Oooh, ça fait du bien… Tu vois la brûlure sur mon épaule ? C’est un souvenir du jour où j’ai capturé Minerva.
Nowi : Wahou ! Vous avez été brûlée par le feu d’une wyverne et vous avez survécu ?
Zelcher : Quand j’ai rencontré Minerva, elle était très faible. Après cette première gerbe, son feu était à peine suffisant pour roussir mes cheveux. Si elle avait été en pleine santé, notre combat aurait pu tourner différemment…
Nowi : Hé hé ! Et après cette première fois, vous vous êtes fait confiance ? Vous avez de la chance d’avoir une amie comme Minerva. Je suis si jalouse !
Zelcher : C’est une très chic fille, c’est sûr !
Soutien A
Zelcher : Nowi ?! Nowi ?! Est-ce que ça va ?!
Nowi : Gnnn… Non… mais ça va aller. Est-ce que j’ai perdu ?
Zelcher : Je suis désolée ! Je pensais que tu te changerais en dragon avant de recevoir mon coup.
Nowi : La dernière fois, j’ai frappé si fort que vous avez atterri dans un arbre. Je ne voulais pas que ça se reproduise.
Zelcher : C’est très gentil, Nowi, mais je ne veux pas te blesser non plus ! Alors, la prochaine fois, transforme-toi vite en dragon, tu as compris ?
Nowi : Non, ça va ! Ça ne fait plus mal ! Et puis, parfois… J’aime ne pas être transformée en dragon.
Zelcher : Alors peut-être pourrions-nous jouer à un jeu différent.
Nowi : Oh, ça serait fantastique !
Zelcher : Pourquoi ne pas dessiner ? Ce devrait a priori être moins dangereux…
Nowi : Hmm… Pourquoi ne pas plutôt jouer à cache-cache ?
Zelcher : Tu n’aimes pas dessiner ?
Nowi : Si, mais Minerva ne pourrait pas jouer avec nous. Cache-cache est plus amusant si nous pouvons jouer toutes les trois !
Zelcher : Très bien alors jouons à cache-cache.
Nowi : Fabuleux ! Je vais gagner, c’est sûr !
Gerome & Cynthia
Soutien C
C: Hé! Bonjour Gérôme!
G: ...
C: Hé oooh! Gérôme! je suis là! Tu pourrais au moins me regarder!
G: *soupir* Que me veux-tu?
C: Je ne veux rien du tout. Je me demandais juste si tu avais du temps pour discuter.
G: Non, pas du tout.
C: Vraiment? parfait! Je voulais savoir à quoi ressemblait le héros parfait selon toi. Par exemple, est-ce qu'elle, ou il, est plutôt belle, forte, gracieuse...? Et tout le monde la trouve géniale? Ou le trouve génial, ça peut être un homme... En tout cas, j'ADORERAIS avoir ton opinion sur le sujet. Tu ressembles assez à un héros toi-même avec ta conduite mystérieuse et tout ça!
G: Je m'en vais... Ne me suis pas.
C: Non Gérôme, attends! Je n'ai pas fini! Je n'ai pas... fini. Si je ne le connaissais pas, je pourrais croire qu'il essaie de m'éviter.
Soutien B
C: Hé, Gérôme! On peut, maintenant? Allez, s'il te plait...
G: On peut quoi?
C: parler héros, bien sur!
G: je n'ai jamais accepté de <<Parler héros>>. De plus, je n'ai rien à dire.
C: Menteur! Tu te souviens quand on était petits? On en parlait pendant des heures!
G: Nous ne sommes plus des enfants.
C: je sais! mais tu te souviens m'avoir dit que j'avais la force et la grâce d'une héroïne?
G: J'ai dit ça?
C: Oh oui! Tu le disais tout le temps! J'aimerais que tu me le dises encore. Hi hi! J'avais des frisson dans le dos quand tu me disais que j'étais merveilleuse! j'ai toujours aimé ça chez toi!
G: Qu... Quoi?! Tu m'aimes?!
C: Bien sur, on a grandi ensemble! On est les meilleurs amis du monde, non? j'adorais que tu dises que je suis héroïque! ... Et gracieuse et belle et intelligente.
G: Oh, euh... Bien sur! je sais tout ça.
C: Aloooooors...? Flatte-moi, allez!
G: ... Nous ne sommes plus des enfants!
C: Attends, Gérôme! Ne pars pas! Oh... Mince! Il me déteste vraiment.
Soutien A
G: je n'aurais pas du faire ça. C'était cruel.
C: Qu'est-ce qui était cruel?!
G: Waaaah! De...Depuis combien de temps es-tu là à m'espionner?!
C: Oh, depuis bieeeeen longtemps! Tu m'aurais remarquée si tu n'étais pas si absorbé dans tes pensées. Si j'avais été un ennemis, j'aurai pu te décapiter sans que tu t'en rendes compte.
G: Oui, mais dans une bataille j'aurais fais bien plus atten...
C: N'oublie pas! Tu es un héros maintenant! Tu ne dois jamais baisser ta garde. Ça fait mauvais genre pour un héros...
G: Qui a dit que j'étais un héros? A part toi, je veux dire.
C: Oh, Gérôme, tu n'as pas besoin d'être aussi modeste. Je t'aime malgré tout!
G: Tu... Tu m'aimes?
C: Bien sur, je te l'ai déjà dit. Bref... je ne suis pas venue te voir pour parler de ça. J'ai une question pour toi. Une très importante question.
G: Attends! On peut revenir au moment où tu m'as dit...
C: Est-ce que tu me déteste?
G: Pourquoi cette question?
C: Parce que, parfois, on dirais que tu fais tout ton possible pour m'éviter.
G: ... j'ai du mal à être en ta compagnie.
C: Non... Oh, j'en étais sure...
G: Je n'ai pas terminé. Tu as toujours été le rayon de soleil de ma vie. mais parfois, un homme comme moi doit tirer les rideaux et rester dans l'ombre
C: Comme... un troglodyte?
G: Ne me méprend pas. Je ne te déteste pas. Ta bonne humeur remonte le moral des troupes et dissipe les horreurs de la guerre. Tu es l'espoir qui tel un phare nous guide vers un meilleur avenir. Tu avives en nous le feu de l'optimisme et nous inspire tous à continuer la lutte.
C: Bon sang... A t'entendre je suis si... importante. Continue! mais alors... je suppose que si tu pense ça, tu ne peux pas me détester... Pas vrai?
G: Aucun de tes camarades, moi y compris, ne te déteste
C: Ouf! Quel soulagement! Merci, Gérôme! On se reparlera bientôt, promis.
G: Attends! Ce que je voulais te dire, c'est que je ne VEUX PAS parler!
Soutien S
C: *gratte gratte* *gratte gratte* Waouh... Une vieille miette! Miam miam! la la la la laaaa... (note de musique) LA LA LA LA LAAAA!
G: Vas-tu te tenir tranquille?! Nous sommes de garde! Nous devons rester alerte...
C: Hmm... Alerte! Très bien! Compris! ... En fait, je n'arrête pas de ressasser mes souvenirs d'enfance. Tu te souviens quand on filait dans les bois pour jouer aux vengeurs de la Justice?
G: ... Vaguement.
C: Un jour je faisais semblant d'être un paladin et combattais de maléfique gobelin. Tu disais que j'avais l'air héroïque, même qi les gobelin étaient juste des fleurs.
G: Tu n'oublie jamais rien, n'est-ce pas? Je devrais peut-être te le dire...
C: Me dire quoi?! Un problème?! Oh, bon sang! Il y a un problème! C'est bien se que je craignais! Allez, vas-y! Dis-moi!
G: Quand je t'ai avoué l'autre jour que j'avais du mal en ta compagnie, j'ai... menti. Ou du moins, j'ai mentis sur les raisons.
C: Tu veux dire que ce n'est PAS parce que je suis trop lumineuse et enjouée? Je peux peut-être changer pour que tu ne me déteste pas complétement.
G: Nom d'une pipe! Je ne te déteste pas! J'ai juste du mal à être avec toi à cause de mon vertige.
C: Tu veux dire que tu as peur des hauteurs?
G: Tu te rappelle quand tu m'as appris à voler lorsque nous étions enfants?
C: Oh oui! Tu avais tellement le vertige que tu ne pouvais pas monter une wyverne! lors je t'ai pris sur mon pégase et nous avons volé jusqu’à vaincre cette peur. Hi hi! On s'est tellement amusés! Je n'y avais plus pensé depuis des lustres.
G: J'avais espérer ne plus jamais y repenser.
C: Alors... Attends. Tu me déteste parce que je connais ton point faible?!
G: Non! Ce n'est pas ça du tout! ... Enfin, peut-être un peu. Je désespère de t'impressionner, alors que tu m'as déjà vu perdre mes moyens.
C: Tu plaisante?! TU essaie de m'impressionner?!
G: est-ce si incroyable?
C: Gérôme! je suis FOLLE de toi! Pourquoi crois-tu que je t'embête tout le temps?!
G: Je... J'ai toujours cru que c’était parce que nous étions des amis d'enfance.
C: C'est vrai aussi, mais une fille ne boit pas tes paroles au nom du bon vieux temps! Comment quelqu'un d'aussi merveilleux peut-il être aussi épais? Bon... Maintenant que tu as vidé ton sac, on peut repartir sur des bases saines.
G: Hmm... Oui. Je suppose. A l'ordre du jour: comment faire ressortir notre coté <<Couple héroïque-chic>>?
On a déjà ce genre de soutien. 
Celui-là on ne l'a pas, si l'envie te prend de le rédiger. 
Laurent & Lucina
Soutien A :
Laurent : Pourrais-tu m'accorder un instant, s'il te plait ?
Lucina : Mmh ? De quoi s'agit-il ?
Laurent : Puis-je jeter un oeil à ta jambe gauche ?
Lucina : A quelle fin ?
Laurent : Ce n'est qu'une conjecture de ma part, mais il me semble que tu as été blessée.
Lucina : Comment le savez-vous ? Je ne l'avais révélé à personne... Je n'ai point jugé utile d'inquiéter la troupe pour rien, à vrai dire.
Laurent : J'ai pu observer que tu réalisais de plus grandes enjambées avec ta jambe droite...
Lucina : Votre souci du détail est remarquable.
Laurent : J'ai à cœur de veiller sur l'état de nos soldats et de garantir sa pérennité. Je te demande ainsi de prendre soin de ta jambe dans les meilleurs délais. Ton souhait de maintenir la sérénité est louable, mais contre-productif. Traîner une jambe mal soignée risque de te causer un réel préjudice.
Lucina : Je demanderai à ce qu'on examine ma jambe pour m'assurer une prompte convalescence.
Laurent : Très bien. Bon rétablissement !
Lucina : Une fois de plus ses paroles sont pleines de sagesse. Je devrais peut-être m'en inspirer.
Soutien B :
Lucina : Mmh... C'est étrange...
Laurent : Quelque chose ne va pas, Lucina ? Tu m'as l'air perplexe.
Lucina : Oh, bonjour, Laurent. Je m'entraînais à l'épée, mais quelque chose me perturbe.
Laurent : Dans quel sens ?
Lucina : On dirait que mes coups manquent de force.
Laurent : Je crains malheureusement que ta maîtrise de l'épée ne surpasse de loin la mienne. Mais le concept de force m'est familier. Peux-tu me faire une démonstration ?
Lucina : Oui, si vous pensez que ça peut m'aider. A trois, d'accord ? Prêt ? Un... deux... Et trois ! HAAAH !
Laurent : Ah ! Je crois avoir compris.
Lucina : Déjà ?!
Laurent : Je pense qu'à cause de ta blessure, tu t'es habituée à prendre moins d'élan qu'avant. Les personnes qui sortent à peine de convalescence ont souvent ce souci. En prenant un demi-pas de plus, tu devrais pouvoir retrouver ta force.
Lucina : Je comprends. Je vais essayer. Un... Deux... Et trois ! RAAH !
Lucina : Ca y est, Laurent ! Je retrouve enfin mes repères. vous êtes sensationnel ! Je vous dois toute ma gratitude. Vos dons d'observation sont stupéfiants.
Laurent : Ce n'est rien.
Lucina : Je l'affirme sans ambages. Votre œil attentif est une bénédiction pour nous tous. Au nom de toute la troupe, je vous réitère toute ma gratitude.
Laurent : C'est très gentil à toi. Je ne puis vous offrir à tous que ma perspicacité et mon analyse. Ce serait donc un plaisir de les mettre à contribution à une occasion ultérieure.
Lucina : Je suis certaine de faire à nouveau appel à votre talent !
Soutien A :
Lucina : Laurent ? Puis-je m'entretenir un instant avec vous ?
Laurent : Naturellement.
Lucina : J'ai récemment eu vent de certains propos troublants à votre sujet. On affirme que la qualité de votre travail n'est plus ce qu'elle était.
Laurent : Comment ?!
Lucina : Ces plaintes sont injustes. Notre armée continue de dépendre grandement de vous. Pour ma part, il ne s'agit que d'accusations sans fondement... Toutefois, par souci d'honnêteté, j'ai pris la décision de vous en parler.
Laurent : Je vois... Merci pour cette démarche.
Lucina : Pensez-vous que ces affirmations aient une quelconque pertinence ? Dans le cas contraire, je m'assurerai d'identifier la source de ces rumeurs et...
Laurent : D'a... D'accord ! Enfin, non ! Ne fais rien, s'il te plaît... Ces remarques sont hélas justifiées. Je suis dernièrement un peu... distrait.
Lucina : Si vous avez quelque inquiétude, je suis là pour vous écouter.
Laurent : Hmm... Comment te formuler la chose ?
Lucina : N'ayez crainte, Laurent. Vous pouvez me parler franchement. Après tout ce que vous avez fait pour moi, je vous dois au moins cela.
Laurent : Eh bien... J'ai moult doutes quant à mon rôle dans cette armée... Alors que j'exécutais mes tâches et que j'aidais le reste de la troupe, j'ai pensé... Peut-être que tous mes efforts n'ont autre but que de flatter mon égo... Après tout... Chaque Veilleur est doté d'un talent rare et d'une condition physique hors du commun. Qui suis-je pour encadrer leur entraînement ou les préparer mentalement ? Je crains que mon comportement ne serve en effet qu'à exalter mon orgueil.
Lucina : Ce que vous dites est absurde. Je sais à quel point vous êtes utile pour cette armée.
Laurent : Lucina...
Lucina : L'unique personne à qui vous devriez consacrer plus de temps, c'est vous-même.
Laurent : Moi-même ?
Lucina : Oui ! Apprenez à vous accorder davantage de crédit. Et si vous ignorez comment, je peux vous apporter mon aide...
Laurent : Au risque de paraître grossier, tu n'es pas la plus qualifiée pour cette tâche. S'il est une seule personne plus exigeante envers soi-même que moi, c'est bien toi !
Lucina : Ha ha ha ! J'ai bien peur que vous ayez raison. Je ne risque pas d'être bien utile.
Laurent : Nous pourrions peut-être nous améliorer en travaillant main dans la main ?
Lucina : Excellente idée ! C'est d'accord !
Soutien S :
Lucina : Puis-je vous parler, Laurent ?
Laurent : Lu... Lucina !
Lucina : Je pense que nous devrions nous associer afin de réfléchir à de nouvelles idées sur...
Laurent : ...
Lucina : Mmh, Laurent ? Tout va bien ? Vous semblez fuir mon regard.
Laurent : Mes excuses, Lucina.
Lucina : Vous êtes bien étrange. Que vous arrive-t-il ?
Laurent : Non, j'ai simplement.. En fait, je...
Lucina : Je peux peut-être vous aider à formuler ce qui vous perturbe ? Comme je vous l'ai déjà dit, vous pouvez me parler en toute franchise.
Laurent : Très bien... Lorsque je t'ai parlé de mon manque d'attention, j'ai évoqué des doutes... Des doutes sur la pertinence de mon utilité au sein de cette armée. Tu t'en rappelles ? Eh bien, ce n'était qu'une demi-vérité...
Lucina : C'est-à-dire ?
Laurent : Mon inquiétude ne portait pas tant sur ma capacité à soutenir cette armée... ... mais plutôt sur ma capacité à te soutenir, toi. Et ce désir de te soutenir toi exclusivement a fini par me consumer ! Voilà pourquoi j'ai été moins efficace par rapport au reste de la troupe.
Lucina : Laurent, qu'est-ce que vous cherchez à me dire, exactement ?
Laurent : Tu es la fille de Chrom. Dans tes veines coule le sang de héros et de rois. Aussi comment un homme de ma condition peut-il prétendre te soutenir ?
Lucina : C'est ridicule. La lignée d'une personne n'est en rien liée à ses capacités !
Laurent : Afin de pouvoir te soutenir efficacement, je dois être sûr de pouvoir en être capable. Sans cette conviction, tout est inutile. Je suis comme une barque à la dérive.
Lucina : Est-ce bien là l'unique raison ?
Laurent : Je suis amoureux de toi, Lucina. J'ignore comment l'exprimer autrement...
Lucina : ...
Laurent : Je suis un sot de nourrir un amour pour une femme de ta lignée. Et pourtant...
Lucina : Ai-je ne serait-ce qu'une seule fois mis en avant ma lignée ? Peu m'importe si vous êtes bien né ou non, Laurent. Seul votre cœur m'intéresse. Et les sentiments que vous éprouvez à mon égard son réciproques.
Laurent : En vérité ?
Lucina : Oui. Et ces sentiments ne datent pas d'hier.
Laurent : C'est... magnifique ! Je ne sais pas... quoi te dire...
Lucina : Nous pourrons nous soutenir pendant le restant de nos jours ensemble.
Laurent : C'est la meilleure chose que deux personnes qui se négligent peuvent faire pour elles !
Eh voilà pour le soutien Laurent/Lucina \o/
Et c'est parti pour le soutien Noire/Brady
Soutien C :
Noire : Oh, quelle honte... Allongée sur un lit de camp à l'infirmerie... ENCORE ! Les autres se font vraiment trop de souci. J'étais juste un peu étourdie...
Noire : ... Hein ? Oh... J'ai dû m'assoupir. Mais... j'entends des pas... Waaah ! Le bruit se rapproche ! Et si... Et si c'était un ennemi ?!
Brady : Hein ? Oh, c'est toi...
Noire : Brady !
Brady : Pff... Je me suis encore couvert de ridicule pendant la bataille. Je suis pathétique !
Noire : Oh non, est-ce que tu es blessé ?
Brady : Oui, si on veut... J'ai voulu esquiver un coup et je me suis tordu la cheville. La cheville ira bien, mais mon ego est en chute libre.
Noire : Je vois...
Brady : Enfin, on dirait bien qu'on va être voisins un moment. Bienvenue au club...
Noire : Bienvenue... En fait, je me sens déjà mieux. je ne vais sûrement pas rester ici longtemps...
Brady : Je te comprends ! J'aimerais bien moi aussi pouvoir quitter cet endroit. C'est vraiment déprimant, ici !
Noire : Complètement... Enfin, je te souhaite un prompt rétablissement.
Soutien B :
Brady : Félicitations ! Bravo, Brady ! De mieux en mieux ! A peine la cheville guérie, je me retrouve ici pour une AUTRE blessure stupide.
Noire : Hi hi ! Je vois que nous sommes encore voisins.
Brady : Je suis un bouffon ? Je te fais rire ? Parce que je ne rigole pas ! Quel genre d'idiot arrête un coup avec son entrejambe, hein ?! Même en cherchant bien, tu ne trouveras pas de blessure plus pathétique !
Noire : Euh... C'est mieux que de ne pas bloquer le coup du tout, non ?
Brady : Oui, je suppose... Alors, qu'est-ce qui t'amène dans la tente de la honte ? Tes étourdissements, encore ?
Noire : Oui...
Brady : C'est pas le pied... Et si c'était pas assez d'être blessés, on s'ennuie dans cette tente. J'ai envie de m'en aller. D'aller en ville, peut-être.
Noire : Il faut d'abord se soigner.
Brady : Oui, je sais. J'aimerais juste avoir autre chose à faire que dormir. Je l'ai déjà assez fait, ça.
Noire : Je comprends ce que tu ressens... Mais que voudrais-tu faire d'autre ?
Brady : Hmm, ça devrait aller... Ngh !
Noire : Brady ?! Mais que fais-tu avec cette caisse ? Elle a l'air de peser une tonne...
Brady : C'est un peu le but. Puisqu'on est coincés ici, je ferais aussi bien de me muscler un peu.
Noire : Mais... Mais tu es blessé ! Tu ne devrais pas te ménager, plutôt ?
Brady : Le bas est abîmé, mais le haut fonctionne encore ! Autant en profiter ! Allez, c'est parti... Une ! Deux ! T... Trooooois... ... Aaaaaïe !
Noire : Tout va bien ? Ne me dis pas que tu t'es fait mal au bras ?!
Brady : J'aurais peut-être dû commencer avec une caisse moins lourde... Ngh... !
Noire : Je t'avais dit que tu devais te reposer ! Ne bouge pas, je vais chercher de l'aide. Euh... Enfin, je vais appeler à l'aide, plutôt, vu que je suis coincée... Hééé ? Il y a quelqu'un ? Brady est blessé ! Encore PLUS blessé, je veux dire !
Brady : Bon, je retire ce que j'ai dit. Il y a bien des blessures plus pathétiques encore...
Soutien A :
Brady : Eh bien... Ca fait combien de fois, maintenant ?
Noire : Ha ha ! Et c'est toujours nous deux. c'est un vrai point de rendez-vous !
Brady : Tu dis ça comme si ça te plaisait...
Noire : Euh... Pas à toi ? Je veux dire, au moins on a pu parler tous les deux.
Brady : Parler, c'est à peu près tout ce qu'on peut faire, ici. Je crois que la fois où j'ai voulu soulever des poids l'a bien montré...
Noire : Alors, pourquoi ne pas parler de la belle époque, pour changer ?
Brady : Comme quoi ?
Noire : Tu as peut-être oublié, mais, enfants, on était toujours à l'hôpital, aussi. On s'échangeait nos rhumes, semaines après semaines. Ca n'en finissait pas...
Brady : Oh, je me rappelle ! Tu éternuais toujours une TONNE de morve ! Il n'y a rien d'étrange pour des enfants à tomber malade. Ca leur arrive à tous. Mais toi et moi, nous tombions toujours malades au même moment.
Noire : Je me rappelle être allongée sur le lit de camp, pleine de fièvre, non loin de toi.
Brady : Ha ha ! Oui, tu n'arrêtais pas de pleurer !
Noire : Oh, merci. MERCI de me rappeler ça !
Brady : Pendant ce temps, je me demandais comment m'endurcir un peu... Je crois qu'on ne se refait pas, hein ?
Noire : J'étais si maigrichonne. Je voulais trouver un moyen d'être moins frêle...
Brady : Hé hé ! Regarde-nous, maintenant ! Quels imbéciles...
Noire : C'est tout de même réconfortant de savoir que certaines choses ne changent pas.
Brady : C'est une question de point de vue, je suppose. On dirait que nous allons être voisins pour encore un bon bout de temps. Alors, euh... A ta santé.
Noire : A ta santé. Que nous devenions tous les deux plus forts, petit à petit.
Brady : Tu l'as dit, bouffie !
Soutien S :
Brady : Pff... Me revoilà dans la tente de la honte...
Noire : Ah ! Brady, tout va bien ?! Que s'est-il passé ?!
Brady : J'ai juste... Pff... fini d'amocher mon épaule déjà abîmée.
Noire : Quoi ?! Tu dois faire plus attention quand tu es blessé ! Là, allonge-toi...
Brady : Tu fais toute une montagne d'une taupinière, Noire. Et toi, qu'est-ce qui t'amène ici, cette fois ? C'est pas trop sérieux, j'espère ?
Noire : Je... Je suis venue chercher quelque chose.
Brady : Oh, alors je suis le seul coincé ici ? Tant mieux pour toi !
Noire : Brady...
Brady : Oh, t'inquiètes pas, je survivrai... C'est bien de ne plus être une habitée de l'infirmerie. Tu devrais être heureuse.
Noire : Mais... j'aime cet endroit.
Brady : Hein ? Tu plaisantes ? Pourquoi dire une chose pareille ?
Noire : Cet endroit est le nôtre. Nous avons tous les deux beaucoup de souvenirs ici, Brady. Même aujourd'hui... Ce que je cherchais, c'était... toi. J'espérais te croiser ici, tu sais ?
Brady : Ha ha ! Tu sais comment me remonter le moral ! Tu voulais me voir et le premier endroit auquel tu as pensé c'est l'infirmerie ?!
Noire : Non, ce n'est pas ce que... Tu n'as aucune raison d'avoir honte, Brady. Je sais ce que tu fais sur le champ de bataille, je t'ai vu. Tu te mets toujours en danger pour défendre les autres. C'est pour ça que tu es toujours blessé.
Brady : Tu... m'as vu ?!
Noire : Bien sûr, tu n'es peut-être pas le plus solide sur le champ de bataille... Mais tu es le plus brave, et tu n'hésites pas à risquer ta vie pour protéger tes alliés ! Il n'y a rien de honteux là-dedans.
Brady : ...
Noire : Ah ! Désolée ! Tu es blessé et je ne te laisse pas tranquille... J'y vais. Tu dois te reposer.
Brady : Hmm... Et moi qui croyais avoir été subtil. On dirait que j'ai des progrès à faire...
Noire : Tu ne devrais même pas essayer de cacher ce genre de chose...
Brady : J'ai passé beaucoup de temps dans les hôpitaux, Noire. Tu le sais bien. Et je me demandais toujours comment devenir plus fort, tu sais ? Comment... Comment être plus utile... Comment... Comment protéger la fille dans le lit d'à côté... Parce que je l'aimais.
Noire : Brady !
Brady : Je t'aime, Noire ! Je t'ai toujours aimée ! Bon sang, je te trouve fantastique ! Alors, tu voudrais qu'on passe plus de temps ensemble, quand j'irai mieux ? Comme par exemple... l'éternité ?
Noire : J'en serais ravie, Brady ! Je suis tellement heureuse que je me sens toute légère !
Brady : Moi aussi ! Mais les herbes médicinales doivent y être pour quelque chose...
Eh voilà. Je remarque que les soutiens S des mômes se finissent toujours super brutalement n'empêche
Oh, un soutien en plus 
Euh Soren, 2 soutiens de link-auron en plus ! 
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