Vous trouverez tous les soutiens que j'ai pu faire avec Soren57 sur ce Googledoc : https://docs.google.com/spreadsheet/ccc?key=0AqUHVf85qyfZdEZzbHdaNW5rbTdRU2ZHS2I4RkNRN1E#gid=2
Ah, tu as décidé de les poster, enfin.
Linfan(F)/Nah
Soutien C
Nah : Aah ! Yaahh ! Gaaah ! Gnnnh !
Linfan : Euh, ça va, Nah ? Je te vois taper des mains depuis un petit moment déjà...
Nah : Oh, Linfan ! Oui... je... j’espérais que personne ne me verrait. je m'entraine en secret pour dépasser mon plus grand point faible !
Linfan : Tu as un point faible ? Sérieusement ?! Mais tu es un dragon... comment peux-tu avoir un point faible ?
Nah : Malheureusement, il existe un type d'arme qui est un vrai fléau pour mon espèce... on les appelle... les dracocides.
Linfan : Ah, ouiii ! Ces épées qui peuvent même traverser les écailles des dragons !
Nah : Tout à fait. pour m'en prémunir, je m'entraine à la saisie d'épée.
Linfan : La saisie d'... Euh, c'est-à-dire ?
Nah : C'est une technique d'ailleurs, utilisée par les plus grands maîtres épéistes. Elle permet d'arrêter la lame de l'ennemi en la saisissant avec le plat des deux mains.
Linfan : Cela semble plutôt... improbable. Mais j'imagine que ce serait un bon moyen de se protéger d'un dracocide...
Nah : Oui... mais j'ai du mal à y arriver... je ne sais pas si je m'y prends bien...
Peut-être que je n'en suis tout simplement pas capable...
Linfan : Non, Nah ! Il est trop tôt pour abandonner un entrainement aussi exceptionnel ! D'ailleurs, je vais même t'aider !
Nah : Hmm ?
Linfan : Je ne suis pas la meilleure des épéistes, mais je pourrais t'être utile...
Dis-moi si je peux t'aider en quoi que ce soit !
Nah : Oh... C'est vraiment gentil de votre part. Très bien. Pourquoi n'essayez-vous pas de m'attaquer ? et je tenterai de saisir l'épée.
Linfan : D'accord ! Je vais commencer avec un coup léger, à mains nues... j'y vais ? Yaaah ! *Bruit de coup*
Nah : AAAH ! Ouille...
Vous m'avez fait mal !
Linfan : Aaah ! Désolée ! je suis vraiment navrée, Nah !
Nah : Si je ne peux même pas arrêter ça, ça va me prendre du temps pour saisir une épée...
Linfan : Tu y arriveras. j'en suis sûre ! Il faut tenir bon ! Et persévérer dans l'effort ! Avec mon aide, tu réussiras !
Nah : Oh, merci beaucoup, Linfan !
Soutien B
Linfan : Yaaah !
Nah : AH ! Je l'ai attrapée !
Linfan : Et pour la dixième fois d'affilée ! Tu maîtrises les coups à mains nues, on dirait !
Nah : Youhou !
Linfan : Mais voyons voir... Si je fais ceci... YAH !
Nah : AH ! Hmmh ?! Que s'est-il passé ? J'ai raté ma parade ? *Bruit de coup* Aïeuh !
Linfan : Oups ! Ça va ? Tu ne l'as pas vu venir, celui-là, hein ?
Nah : Ce n'est pas juste, Linfan ! Vous avez frappé une seconde après avoir crié !
Linfan : Hmm, qui te dit que ton ennemi combattra de manière loyale, le moment venu ?
Nah : Hmm... Vous n'avez pas tort.
Linfan : ATTAQUE SURPRISE !
Nah : Mais je... YAH ! Ha ha ! Vous ne m'aurez plus !
Linfan : Ooooh ! C'était impressionnant, Nah ! Tu t'améliores à vue d’œil !
Nah : Et vous, vous êtes de plus en plus surprenante dans vos attaques !
Linfan : Mais tu m'as arrêtée ! Tu as des réflexes dignes d'un grand maître, Nah !
Nah : Par contre, après tout ces efforts, j'ai le cœur qui bat la chamade...
Linfan : Quoi qu'il en soit, je dirais que tu as réussi la première étape.
A partir de maintenant, on peut varier les exercices comme je viens de le faire.
Nah : C'est difficile de se synchroniser avec l'autre, sans avoir un signal clair...
Linfan : Mais au combat tu n'auras pas le temps d'y réfléchir. Tu devras réagir sur le moment.
Passons à la vitesse supérieure ! Je vais t'attaquer avec un tome bien lourd !
Nah : Hiii. Un tome, ça doit faire mal. A côté, les coups à mains nues, c'est de la gnognotte.
Linfan : Oui, justement ! Ce sera une bonne motivation pour toi pour m'arrêter !
Nah : Mais, euh, vous risquez d'abîmer les tomes, si vous me tapez avec...
Linfan : C'est pour l'entraînement ! Ne t'inquiète pas, je m'assurerai qu'ils restent lisibles...
Nah : Bon, bon, d'accord... Allez-y, dans ce cas !
Linfan : Très bien ! C'est parti !
Nah : Je suis prête !
Soutien A
Linfan : YAAAH !
Nah : Ha ! Je l'ai arrêté !
Linfan : C'était tou simplement parfait ! Tu peux donc arrêter un coup de tome dans ton sommeil ! Toutes mes félicitations, Nah !
Nah : Vous pouvez y aller, je suis prête à tout arrêter, à tout moment, et n'importe où !
Linfan : N'importe où ? Hmm... Alors, essayons encore autre chose... Par exemple... CECI ! *Bruit de coup*
Nah : Ouille ! Gnnh ! Oh, Linfan ! Vous m'avez jeté un livre dans l'estomac !
Linfan : Il s'agit d'un évènement probable, dans un vrai combat ! Tu dois faire attention aux flèches, enfin, à tous les projectiles, en fait.
Nah : Linfan ! Je me moque des projectiles ! Je dois arriver à saisir des EPEES... !
Et plus précisément, des dracocides. Personne ne serait assez fou pour bêtement jeter une épée aussi rare sur quelqu'un !
Linfan : Oui, tu as raison. Désolée. Je me suis laissé emporter par l'entraînement. Oh... Attends une seconde. Nah, Je n'y pense que maintenant... mais...
Nah : Hmm ?
Linfan : Quand tu es transformée en dragon, tu as des bras vraiment petits, non ? Tu ne peux même pas toucher ta propre tête, si ?
Nah : Quoi ?! Je... Ils sont...
Linfan : Ils sont très courts, non... ? Aussi courts que des bras humains, je crois ?
Nah : Oui, peut-être même plus courts...
Oh, c'est déprimant... Tout cet entrainement qui n'a servi à rien...
Linfan : Non, ne te laisse pas abattre ! On va trouver une autre solution ! Continuons de chercher ! Il y a bien un moyen de te protéger des dracocides...
Nah : Oui. Vous avez raison. Je vais continuer d'y réfléchir.
Merci, Linfan. C'est vraiment formidable d'avoir une amie aussi optimiste.
Linfan : Ha ! C'est une de mes rares qualités !
Allez ! Garde espoir ! On y arrivera !
Nah : D'accord ! Merci beaucoup, Linfan !
Petit up
Non.
Et c'est reparti pour un tour. Mais ce coup-ci, ça va être un vrai tour.
Henry/Nowi
Soutien C :
Nowi : Pfffiou ! J'ai joué toute la journée ! Je suis éreintée ! Ces enfants sont si mignons !
Henry : Oui, je les ai déjà vus jouer par ici... Ils habitent un petit village voisin.
Mais pourquoi en parles-tu comme des enfants ? Tu es une enfant, toi aussi, non ?
Nowi : NON ! Je suis une femme adulte et j'ai bien mille ans de plus que vous, mon petit !
Henry : Ah, euh, d'accord... Hi hi hi ! Désolé, ma petite !
Nowi : Pardon ?! Vous parlez à tous vos aînés de cette façon ?
Henry : Non... Juste à toi. Hé hé.
Pour une adulte, tu aimes un peu trop jouer à cache-cache, je trouve...
Nowi : Mais jouer à cache-cache, c'est fabuleux !
D'ailleurs, vous devriez vous joindre à nous, la prochaine fois...
Henry : C'est d'accord !
Nowi : Vraiment ? Quelle bonne nouvelle !
J'ai demandé à tout le monde sur le campement et personne n'a jamais accepté.
Henry : C'est parce que tu as trop d'énergie... Tu ne t'arrêtes jamais ! Encore et encore...
... et encore... et encore... jusqu'à ce que les autres soient complètement exténués !
Nowi : Oui c'est vrai ! Les gens se fatiguent bien vite, vous ne trouvez pas ?
Je ne sais pas... Dix heures, ce n'est rien du tout. Un échauffement, tout au plus !
Du coup, je n'ai pas un seul camarade de jeu digne de ce nom sur ce campement !
Enfin, plus maintenant... Je vous ai, vous ! Et nous pouvons jouer toute la journée !
Henry : Tu sais, je ne le dis pas à grand monde, mais j'étais plutôt seul, dans mon enfance.
Ma famille m'ignorait complètement, et je n'avais pas de camarades de jeu !
Mais j'ai appris à me divertir moi-même. Et à faire ami-ami avec les animaux.
Nowi : Nous avons tant en commun !
Enfin, plus de problème, puisqu'on est là l'un pour l'autre, maintenant !
Henry : Hi hi ha ! Oui, tout à fait !
Soutien B :
Henry : Grands dieux ! Je n'ai jamais vu des enfants courir aussi vite !
Nowi : Je crois que j'ai fait une petite gaffe...
Henry : Tu m'étonnes ! Débouler de nulle part sous forme de dragon, comme ça... !
N'importe qui se serait enfui face à ça !
Nowi : Je voulais leur proposer de monter sur mon dos. Tout le monde aime voler, non ?
Henry : Oui ! Ils sont sûrement dans leurs petits lits à trembloter de peur !
Mais ne t'inquiète pas. Tu peux trouver d'autres victi... euh, d'autres enfants !
Nowi : Les enfants sont stupides ! Ils n'ont pas vu que c'était moi, sous ma forme dragon ?
Et qui n'aurait pas envie de jouer avec un dragon, surtout si c'est moi ?! Pff !
Voler sur mon dos... me voir cracher du feu... écouter mes hurlements lugubres !
Henry : Euh, je ne te recommanderais pas de cracher du feu à proximité d'enfants...
Si tu les transformes en charbon, ce sera moins drôle de jouer avec eux, ensuite...
Nowi : J'aimerais avoir des amis Manaketes... Ce serait bien plus drôle...
Henry : Hmm, je ne peux rien promettre, mais je peux peut-être arranger ça avec un sort...
Nowi : Vraiment ?
Henry : Bien sûr... Mais cela va sûrement prendre du temps...
Nowi : Oh, pas de souci ! J'ai tout mon temps, comme vous le savez !
Soutien A :
Henry : Tadaaaaa ! Alors, qu'en dis-tu ?
Nowi : OOOH ! Un dragon !
Henry : Un joli petit lot, n'est-ce pas ? Je vous vois déjà cracher du feu à l'unisson !
Nowi : C'est une... une Manakete, comme moi ? Où l'avez-vous trouvée ?!
Bonjour, ma chère. Je m'appelle Nowi. Je suis vraiment enchantée de faire votre...
Hein ? Je voulais la toucher mais ma main lui est passée à travers !
Henry : Euh, oui, tu ne peux pas vraiment la toucher, en fait...
Je suis doué en magie, mais je ne fais pas encore des miracles !
Nowi : Vous voulez dire que ce n'est... qu'une simple illusion ?
Henry : Oui ! Son petit nom, c'est... hmm... « Hallucidragon » ! Alors ? Elle te plaît ?
Nowi : NON ! Elle est NULLE ! Et son nom est MOCHE ! Je ne l'aime pas DU TOUT !
Henry : Hé ! Ça m'a pris du temps et des efforts, de faire tout ça, tu sais ?!
Nowi : Je veux un VRAI ami ! Quelqu'un avec qui rire et parler... et pleurer, parfois !
J'aurais l'air de quoi, à converser avec une projection astrale à la noix ?!
Henry : Zut... Je pensais que tu l'aimerais bien... Je suis désolé.
Nowi : Je sais que vous cherchez à m'aider, Henry, mais ce n'est pas la bonne solution.
Henry : Pas de problème ! Je trouverai une autre idée, c'est tout. Ce n'est pas si compliqué.
Et dès que j'aurai trouvé, je t'en ferai part !
Nowi : Vous êtes un ami formidable ! Merci pour tout !
Henry : Hi hi hi ! Pas de soucis !
Soutien S :
Henry : Bonjour, Nowi. J'ai enfin trouvé un plan pour résoudre ton problème.
Nowi : Vous voulez dire, pour me trouver un ami Manakete ?
Henry : Oui. Et pas une illusion, cette fois.
Ce sera une vraie créature vivante, qui bouge, parle, rit...
Mais cela va prendre du temps... Vraiment beaucoup de temps...
Nowi : Ce n'est pas grave, ça ! Je l'ai déjà dit : j'ai tout mon temps !
Henry : D'accord. Dans ce cas, j'aimerais que tu acceptes ceci.
Nowi : Mais... c'est une alliance, c'est bien ça ? Pour quoi faire... ?
Henry : Car nous allons nous MARIER !
C'est ce que Chrom a fait, et il a eu une adorable petite fille.
Donc, le plan, c'est de se marier et d'avoir des petits bébés...
Ils auront du sang de Manakete, puisqu'ils descendront partiellement de toi !
Et quand ils auront un peu grandi, BOUM ! Tu auras des camarades de jeu pour la vie !
Nowi : Oh, Henry ! C'est une idée magnifique ! Pourquoi n'y ai-je pas pensé avant ?
Hi hi ! Donc, j'imagine que nous allons être mari et femme...
Henry : Et comment ! On aura toute la vie pour s'amuser ensemble !
Gregor/Maribelle
Soutien C
Maribelle : Halte, espèce de gros lourdaud ! Je souhaiterais vous dire deux mots !
Gregor : Ça gâche ton beau visage quand tu fronces les sourcils et plisses les yeux comme ça !
Maribelle : Beau visage ? Grands dieux... Grah ! N'essayez pas de changer le sujet avec vos paroles enjôleuses, fourbe ! Je dois traiter avec vous d'une question des plus sérieuses.
Gregor : J't'écoute, j't'écoute...
Maribelle : Vous avez à nouveau dérobé une miche de pain dans le garde-manger, n'est-ce-pas ?
Gregor : Les portions qu'on me donne sont trop maigres pour nourrir mon corps d'athlète ! Si j'm'écroule de faim, mes admiratrices sombreront dans le désespoir.
Maribelle : Ciel, vous vous faites des idées, mon pauvre.
Gregor : Mais non, c'est vrai ! Ça arrive tout le temps !
Maribelle : Les mercenaires de basse extraction sont-ils tous si stupides, ou est-ce juste vous ?
Gregor : Hein ? J'ai pas compris c'que t'as dit. Répète s'il te plaît.
Maribelle : Écoutez-moi un peu ! Chez les Veilleurs, il y a des règles strictes à ce sujet. La nourriture est rationnée à juste raison. Pas question de n'en faire qu'à votre guise. Monsieur ! Vous m'écoutez, quand je vous parle ?!
Gregor : Ouille... Mais, oui ! Bien sûr ! J'ai compris, belle dame. Faut pas que j'fasse à ma guise.
Maribelle : Le manque de discipline mène au désordre et le désordre entraîne la perversion. Si inoffensifs qu'ils puissent paraître, vos actes pourraient entraîner notre déroute !
Gregor : Mais, enfin, j'ai pris qu'une p'tite miche !
Maribelle : Vous pensez peut-être que j'exagère ? Une petite faim suffit à faire rompre le barrage qui nous protège du chaos !
Gregor : J'pense que tu t'laisses emporter par ton imagerie... imagination, Maribelle.
Maribelle : Je suis une femme de bonne éducation. Je crois en ce qui est juste et bon. Je ne tolérerai pas qu'un fripon profane les règles qui nous rendent forts !
Gregor : Ça suffit ! J'm'excuse bigrement pour le pain, d'accord ? À partir d'aujourd'hui, j'respecterai toutes les règles et j'serai un modèle de conduite.
Maribelle : Dans ce cas, nous n'avons plus rien à nous dire. Je vous souhaite une bonne journée.
Gregor : Rah ! Elle est jolie comme une rose, mais sa langue ne manque pas de piquants...
Soutien B :
Maribelle : Gregor ! À quel jeu jouiez-vous pendant le dernier combat ?
Gregor : Jouer ? Je jouais pas, j'me battais. Y a un problème, encore ?
Maribelle : Ne faites pas l'innocent, vous vous êtes rué à l'attaque sans attendre les autres.
Gregor : Et alors, on les a écrasés, non ? Tout est bien qui finit bien.
Maribelle : Si tous se comportaient comme vous, cette armée ne serait pas où elle est aujourd'hui ! Sans discipline, nous ne serions qu'une bande de pitres désorganisés !
Gregor : Mais si j'me suis rué en avant, c'était pour le bien de l'honorable Maribelle.
Maribelle : Vraiment... ?
Gregor : J'ai vu des ennemis cachés dans un fourré, tu comprends ? Ils voulaient tendre une embuscade à la plus belle des combattantes. Donc, galamment, j'me suis jeté dans la bataille pour défendre la dame Maribelle !
Maribelle : Ahem... Eh bien, voilà qui... explique en grande partie vos actions. Vous m'avez vue, moi, face à un mortel danger, et aviez comme seul choix...
Gregor : Ah, mais j'aurais fait de même pour n'importe quelle jolie fille ! Pas juste toi.
Maribelle : Ah. *toussotement* Oui... Oui, bien entendu. Je le sais. Quoi qu'il en soit, je vous pardonne cette fois. Mais n'oubliez pas : les règles ne doivent être enfreintes sous aucun prétexte.
Gregor : J'comprends. Euh... En fait, non. J'comprends plus rien.
Soutien A :
Gregor : Ohé, Maribelle ? Ohééé ? Mais où elle est ?
Maribelle : *soupir* Oh, Gregor...
Gregor : Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as l'air d'avoir un grand poids sur les épaules.
Maribelle : Ah ? Et de quoi ai-je l'air en temps normal, dans ce cas ?
Gregor : D'une belle fleur sous un ciel ensoleillé ! Si resplendissante que les dieux en pleurent de jalousie et de dépit !
Maribelle : Oh...
Gregor : Quel est le problème, Maribelle ? Dis-moi.
Maribelle : Je suis contrariée par le déroulement de la dernière bataille. Vous avez encore dû venir à mon aide !
Gregor : Ah, oui. J'suis très galant, moi, non ?
Maribelle : Cela n'est pas acceptable !
Gregor : Comment ?
Maribelle : Même si je souhaitais qu'on m'aide... Pour être honnête, c'était d'ailleurs le cas...
Gregor : Ha ! Tu vois !
Maribelle : Malgré cela, je ne peux tolérer de dépendre d'un individu qui manque à nos règles. Cela ne doit pas être, et, dès lors, ne sera pas !
Gregor : Euh... Justement, j'm'excuse d'avoir pris beaucoup de gâteaux à la cuisine... Oh, et j'ai chipé une mèche des cheveux à Chrom, pour la vendre à une admiratrice.
Maribelle : *soupir*
Gregor : Ne sois pas triste ! En vrai, je suis bien meilleur qu'avant, non ? Tu m'as beaucoup grondé, et j'me suis efforcé de suivre toutes les règles. Ça m'rend meilleur au combat et j'peux encore mieux assister mes camarades ! Mais c'est pas parfait, pas encore. Ces choses-là, ça met du temps !
Maribelle : C'est donc grâce à mes efforts que vous en venez à être capable de m'aider ?
Gregor : Ça y est, tu comprends !
Maribelle : Eh bien, je suppose que cela est sensé. Dans ce cas, je vous autorise à me venir en aide au combat. Et vous, vous continuerez à travailler au respect des règles ! C'est compris ?
Gregor : Oui ! D'accord !
Soutien S :
Gregor : Hmmm...
Maribelle : Oh, ça alors ! C'est un miracle !
Gregor : C'est quoi le miracle ?
Maribelle : Vous ! Si je ne me trompe, vous semblez réfléchir ! Et ce avec intense concentration. Quel est l'extraordinaire caprice de la nature qui a entraîné pareille déviation ?
Gregor : T'as raison. J'me creuse pas mal la tête, là... Avant que tout le monde disparaisse, j'aimerais te donner ceci.
Maribelle : Qu'est-ce que c'est que ça ? Un anneau ?
Gregor : Maribelle, j'veux t'épouser ! Aujourd'hui, j'te fais cette promesse : tu regretteras pas une vie avec moi !
Maribelle : Est-ce là une de vos impulsions folâtres ?
Gregor : Ah non ! J'ai jamais été aussi sérieux et solennel de toute ma vie !
Maribelle : Il est vrai que pour trouver un anneau si... baroque, vous avez dû vous donner du mal.
Gregor : Tu l'aimes bien, alors ?
Maribelle : Assurément pas ! Je le trouve abominable.
Gregor : Rah...
Maribelle : Toutefois... je suis enchantée et honorée par votre demande. Peut-être que si nous nous marions, je réussirai à vous inculquer goût et manières. Sans parler du respect des règles !
Gregor : Ho ho ! J'ferai de mon mieux ! Première règle : dansons pour fêter ça, ma douce !
Miriel/Donnel
Soutien C :
Donnel : Euh, Miriel ? T'as une minute ?
Miriel : ...
Donnel : Hmm... Miriel ?
Miriel : ...
Donnel : HÉÉÉ, MIIIIIRIEL !
Miriel : Diantre ! Quoi ?! Pourquoi cries-tu ainsi ?!
Donnel : J'essayions d'attirer ton attention, mais t'étais perdue dans tes pensées.
Miriel : Oui. Quand je lis, je m'immerge totalement dans l'ouvrage en excluant tout le reste.
Donnel : On dirait ben qu't'es toujours en train d'lire, Miriel...
Miriel : Je m'efforce de rationnaliser au mieux mon temps libre en le consacrant à la lecture.
Donnel : Tu dois en savoir un paquet d'puis l'temps qu't'étudies, non ?
Miriel : Je ne saurais dire si mes connaissances constituent un « paquet ». Je peux cependant affirmer que j'ai plus étudié que l'individu moyen.
Donnel : Dans c'cas, j'avons un service à te d'mander... Miriel, veux-tu bien m'enseigner ?
Miriel : T'enseigner quoi ?!
Donnel : Euh... J'savons pas, moi... La gigométrie, la litécriture... Ce genre d'choses.
Miriel : Ahem. Et pourquoi ?
Donnel : Avec c'que j'apprendrons ici, j'pourrons aider mon village après la guerre. On n'a pas d'école par chez nous, à la ferme, alors personne apprend rien.
Miriel : Je peux t'enseigner les théories de base des matières élémentaires. Il se peut, cependant, que tu n'y trouves pas d'applications pratiques immédiates.
Donnel : Oh, si j'connaissons la théorie, j'trouverons ben un moyen d'l'utiliser.
Miriel : Sais-tu seulement lire ?
Donnel : Mamie Crottin connaissait l'alphabet... Elle m'a bien appris à lire.
Miriel : Je ne peux t'enseigner plus que je ne sais, mais les bases devraient te suffire.
Donnel : Oh, fort merci, Miriel !
Miriel : Mais je t'avertis, je ne suis pas tendre avec mes élèves.
Donnel : J'espérons ben !
Soutien B :
Miriel : Bien. Considérons la leçon terminée pour aujourd'hui.
Donnel : Pfiou ! Tant mieux, j'sommes vidé...
Miriel : Je ne suis guère surprise. Le sujet abordé était d'une complexité exceptionnelle. La surprise est bien là, pourtant, mais elle se trouve ailleurs...
Donnel : Hein ?
Miriel : La ténacité avec laquelle tu étudies est absolument remarquable. J'avais accepté de t'instruire en pensant que, bien vite, tu abandonnerais. Et pourtant, à ma stupéfaction, tu as su maîtriser des concepts fort élaborés.
Donnel : Par les poules d'mon tonton, j'arrivons à peine à suivre ! J'sommes même pas sûr d'tout comprendre.
Miriel : Une compréhension partielle couplée à une attitude studieuse suffisent pour avancer. Et souvent, l'intuition qui s'en nourrit catalyse la sédimentation des acquis.
Donnel : Euh... S'tu l'dis, Miriel...
Miriel : Étant donné ton rythme d'assimilation, il se pourrait que...
Donnel : Hmm ? Qu'est-ce que tu disais ?
Miriel : Rien qui ne mérite que l'on s'y attarde... Allons, le cours est terminé. N'oublie pas de revoir ce chapitre pour la prochaine leçon.
Donnel : Pour sûr, Miriel !
Soutien A :
Miriel : J'ai fini de corriger ton examen.
Donnel : Alors ? Comment qu'j'm'en sommes sorti ?
Miriel : Tu as obtenu la meilleure note possible... Grâce à ton travail exemplaire, bien sûr.
Donnel : Wouhou !
Miriel : C'est ainsi que se termine ma mission de guide sur la route de la connaissance. Les leçons s'arrêtent donc ici.
Donnel : Vraiment ? Nom d'un épi d'maïs, ça va m'manquer.
Miriel : Mais l'apprentissage ne connaît pas de fin. À partir d'aujourd'hui, tu navigueras sur les mers du savoir avec ton propre sextant.
Donnel : Tout seul, tu veux dire ?
Miriel : Ne t'inquiète pas. D'après les données actuelles, ton potentiel est considérable. Continue à t'appliquer, et je ne doute pas que tu trouveras le succès académique.
Donnel : Ben moi j'aurions préféré naviguer sur les mers avec toi, Miriel...
Miriel : Je ne puis recommander d'alliance dans une telle entreprise.
Donnel : Pourquoi ça ?
Miriel : Les données empiriques suggèrent qu'un tel partenariat n'est pas viable. J'ai connu des collègues qui souhaitaient aussi collaborer à mes recherches... Hélas, jamais aucun n'a pu supporter ce type d'arrangement.
Donnel : Ben, pourquoi ?
Miriel : D'après eux, je montrais une tendance à l'exploration solitaire de nouveaux champs. Je suis moi même consciente de me couper du monde, poursuivant mes pensées. Ainsi, la poursuite de mes études en solo était l'unique solution de l'équation.
Donnel : C'est pas vrai du tout !
Miriel : Hmm ?
Donnel : C'est leur faute si y pouvaient pas suivre ! C'est pas parce qu'y z'étaient fainéants qu'tu dois toujours travailler seule.
Miriel : Quelle théorie fascinante...
Donnel : Donne-moi c'te chance, Miriel ! J'ferons tout pour t'suivre ! T'as ben dit qu'mes progrès étaient plus meilleurs qu'tu croyais, non ?!
Miriel : Le chemin que j'ai choisi est escarpé et semé de doutes. Parfois, je ne sais moi-même quelle direction prendre dans cette ascension... Es-tu certain que c'est cela que tu veux ?
Donnel : Ces histoires d'bateau m'rendaient nerveux. J'sommes un gars d'la montagne, moi. Mais les chemins escarpés, ÇA, ça m'connaît !
Soutien S :
Donnel : Comment s'passent tes études, Miriel ?
Miriel : Très bien, merci... Grâce à toi. Tu m'as plus d'une fois permis de surmonter les obstacles sur ma voie. Comme le veut la sagesse populaire, deux têtes valent mieux qu'une.
Donnel : Oh, euh... J'sommes ben content pour toi. Et, euh... Hmm... J'voulions t'parler d'ça, en fait, aujourd'hui.
Miriel : D'avoir deux têtes ? Tu sais bien que c'est scientifiquement impossible. Ah... Tu trouves difficile de poursuivre tes études conjointement avec moi ?
Donnel : Non, c'pas ça ! C'est même l'contraire, à dire vrai...
Miriel : Intéressant...
Donnel : J'voudrions qu'on s'conjointe encore plus ! Euh, je veux te conjonctiver... Euh... Raah ! Tiens ! J'voulons t'donner ça !
Miriel : Un anneau ?
Donnel : C'est un anneau d'mariage. J'espérions qu'tu voudrais ben êt' ma femme. J'voulons continuer à explorer l'monde avec toi, toute ma vie !
Miriel : Le mariage n'est pas exigé pour qui souhaite explorer le monde des sciences à deux.
Donnel : Euh, non... C'est vrai... Est-ce qu'ça veut dire qu'tu veux pas ?
Miriel : Accepter cet anneau offrirait cependant une myriade de chemins à explorer. Et je pourrais arpenter chacun d'entre eux avec toi... Je ne puis envisager de perspective plus grisante.
Donnel : Tu pourrais juste dire oui ou non ?!
Miriel : Très bien... J'accepte. Un éventail quasi infini de nouveaux défis scientifiques s'offre à nous.
Donnel : Et on a l'reste d'nos vies pour les relever !
Daraen(H)/Gerome (fils)
Soutien C :
Daraen : Bonjour, Gerome.
Gerome : Que me voulez-vous ?
Daraen : Oh, rien de particulier...
Gerome : Alors pourquoi m'adressez-vous la parole ? Je n'ai pas besoin d'ami.
Daraen : Vraiment ?
Gerome : Oui.
Daraen : Nous pourrions nous comporter en famille, maintenant que nous sommes réunis, non ? Lucina appelle Chrom "père", tu sais ? Tu pourrais essayer avec moi.
Gerome : Vous ressemblez peut-être à mon père, mais vous n'êtes pas cet homme. Mon père est mort depuis bien longtemps. Vous, vous n'êtes qu'un inconnu.
Daraen : Le tact aurait-il disparu dans le futur... ? Écoute, je sais que ton vrai père est mort et qu'il doit beaucoup te manquer. Mais peut-être pourrais-je être ce père que tu as perdu.
Gerome : Si c'est ce que vous croyez, vous n'êtes qu'un imbécile !
Daraen : Tu vas trop loin ! Je te fais cette offre de bonté de...
Gerome : Cette conversation est terminée. J'ai d'autres choses à faire. Je dois nettoyer le box de Minounette, lui brosser les dents et la nourrir.
Daraen : « Minounette » ?
Gerome : Euh... Ce n'est pas ce que... Raah ! Votre stupidité déteint sur moi !
Daraen : Eh bien, quel caractère de cochon...
Soutien B :
Daraen : Tiens, Gerome... Alors, tu t'es bien occupé de la petite "Minounette" ?
Gerome : Je ne l'ai JAMAIS appelée comme ça ! Quelle idée ridicule ! Vous avez dû mal entendre...
Daraen : Il n'y a pas de quoi faire une crise, Gerome. J'ai entendu Zelcher l'appeler ainsi, et j'en ai moi aussi pris l'habitude, c'est tout.
Gerome : Oh. Euh... Bien sûr, je le savais.
Daraen : Tu sais, tu es presque mignon quand tu t'énerves...
Gerome : ...
Daraen : Pas la peine de me foudroyer du regard ! Je ne voulais pas te vexer !
Gerome: Bien. J'accepte vos excuses.
Daraen : J'apprécie le geste. Je dois avouer que te voir en colère me rappelle mes débuts avec Zelcher...
Gerome : Que voulez-vous dire ?
Daraen : Hmm ? Oh, rien. Rien du tout... Mais... ce ne serait pas Minerva, là-bas ?
Gerome : Effectivement.
Daraen : Je ne me souvenais pas qu'elle était aussi... terrifiante.
Gerome :Vous trouvez ? Dans le futur, tous jurent n'avoir vu plus adorable wyverne. Regardez ces yeux malicieux, ces griffes immaculées et ces écailles luisantes... N'est-elle pas la plus mignonne... ? Euh... Je veux dire... Raah ! Vous m'avez tendu un piège !
Daraen : Absolument pas ! Tu as seulement dit ce que tu voulais dire.
Gerome : C'en est assez ! Je m'en vais ! Minerva, à moi !
Daraen : J'avais raison... Il est vraiment mignon quand il s'énerve.
Soutien A :
Daraen : Bonjour, Gerome. On se promène avec Minerva, à ce que je vois ?
Gerome : Pourquoi me harcelez-vous ainsi ?!
Daraen : Je t'assure que je ne fais rien de si sinistre. Je voulais juste voir si tu étais prêt à avoir une relation de père à fils. Maintenant que j'ai vu ton côté sensible, j'ai pensé que nous pourrions...
Gerome : Je n'ai pas de côté sensible.
Daraen : Bien sûr... Et tu ne te souviens pas avoir dit à quel point Minerva était adorable ? Tu avais une telle expression de tendresse et d'amour sur ton visage, et...
Gerome : MINERVA, ATTAQUE ! ARRACHE-LUI LA TÊTE ! ... Euh... Minerva ?
Daraen : Minerva ne m'attaquerait jamais, Gerome. Elle sait que je suis de la famille. Là... Là, ma petite Minerva. Tu me reconnais, toi, pas vrai ?
Gerome : Mi... Minerva ? Crois-tu vraiment que ce bouffon est de notre famille ? Qu'il est mon... père ? ... Ah, oui. Je vois. Très bien, Minerva. Si c'est là ton souhait...
Daraen : Euh... Qu'a-t-elle dit ?
Gerome : Vous prétendez être de la famille, mais vous ne pouvez pas la comprendre ?
Daraen : Eh bien, hmm... On peut ou on ne peut pas, mais ça ne s'apprend pas.
Gerome : Qu'importe. Si Minerva vous considère de la famille, je ne peux que vous accepter. Je suis désolé de vous avoir si mal traité... père.
Daraen : Tu m'as appelé... "père" ?
Gerome : Ne vous y habituez pas. Minerva, à moi ! Nous partons !
Daraen : At... Attends, Gerome ! Dis-le encore une fois ! S'il te plaît, juste une !
Gerome : Silence, imbécile !
Sully/Kjelle
Soutien C :
Sully : Pff... Ça suffit pour aujourd'hui.
Kjelle : D'accord, mère !
Sully : Tu es douée, petite. Assez douée pour me forcer à rester extrêmement concentrée...
Kjelle : Je tiens ça de ma mère.
Sully : Quoi, moi ? Hmm, enfin, la future moi ? Bon sang ! Impossible d'avoir les idées claires avec ces histoires !
Kjelle : Vous vous battez comme la mère que je connaissais. Ce doit être logique...
Sully : Ça explique que tu sois si difficile à battre. Tu connais toutes mes attaques. Mais attends, ce n'est pas tout à fait vrai...
Kjelle : Comment ça ?
Sully : Tes talents de cavalière sont médiocres. Comment est-ce possible ? J'en attendais davantage d'une de mes élèves.
Kjelle : Vous ne m'avez jamais appris à monter.
Sully : Quoi ? Pourquoi pas ? Vous devez manger les chevaux... ou quelque chose comme ça ?
Kjelle : Nous avions des chevaux mais pas de talent. Ou plutôt, je manquais de talent. Vous disiez que j'étais une cause perdue, alors je me suis entraînée seule... Sans grand succès.
Sully : Oh.
Kjelle : Mais maintenant que j'y pense, voilà votre chance.
Sully : Hein ? Ma chance ?
Kjelle : Oui, apprenez-moi à monter ! C'est de votre faute si je ne sais pas encore le faire.
Sully : MA faute ? Comment ça, MA faute ? Je n'ai rien fait. Je t'ai même pas encore eue !
Kjelle : Ça viendra ! Alors, s'il vous plaît ?
Sully : Oh, d'accord. Si tu es résolue à apprendre, nous ajouterons ça à ton entraînement.
Kjelle : Parfait ! Merci, mère.
Soutien B :
Sully : Très bien. C'est fini pour aujourd'hui.
Kjelle : À vos ordres, mère ! Merci, mère ! Alors ? Est-ce que je fais des progrès à cheval ? Un petit peu ?
Sully : À ton avis ?
Kjelle : Pas vraiment... Je n'ai peut-être vraiment aucun talent pour cela.
Sully : Le manque de talent n'est qu'une excuse ! Tu ne fais aucun effort.
Kjelle : Non... Vous avez raison. Je suis désolée. Ce doit être la frustration.
Sully : Il y a quand même quelque chose d'étrange...
Kjelle : Comme le fait que je ne fasse pas le moindre progrès ?
Sully : Non, pas ça. Le fait que le futur moi t'ait dit autre chose que ce que je viens de te dire.
Kjelle : Ce que c'est un manque d'efforts, pas de talent ?
Sully : Oui. J'ai toujours détesté le mot « talent ». Pourquoi dirais-je que tu n'en as pas ?
Kjelle : Pour être honnête vous n'avez jamais utilisé le mot « talent »... Vos mots exacts étaient : « Tu n'es pas faite pour monter à cheval ». Mais ça revient au même.
Sully : Non, je ne crois pas. Je ne l'aurais pas dit si ce n'était pas vrai.
Kjelle : Oh. Vous voulez dire que vous allez encore arrêter mon entraînement ?
Sully : Je suis pas du genre à baisser les bras ! On va finir ce qu'on a commencé, quoi qu'il en coûte.
Kjelle : Youpi ! Merci !
Sully : Il y a quand même quelque chose d'étrange dans cette histoire...
Soutien A :
Sully : Je ne te dérange pas, Kjelle ?
Kjelle : Vous avez besoin de moi ?
Sully : Je crois savoir pourquoi je ne t'ai pas appris à monter dans le futur.
Kjelle : Oh non ! Vous allez vouloir arrêter mon entraînement, j'en suis sûre...
Sully : Il faut un certain talent pour chevaucher sur un champ de bataille. Mais ce n'est pas essentiel dans un combat. Chacun peut avoir sa propre spécialité. Je voulais certainement que tu trouves ce qui te correspond le mieux.
Kjelle : Mais pourquoi ? Savoir monter à cheval est essentiel.
Sully : Parce que je suis ta mère.
Kjelle : Quoi ?
Sully : Sur un champ de bataille, la moindre erreur peut être fatale. Si j'avais repéré le moindre risque, j'aurai voulu le tuer dans l’œuf.
Kjelle : Mais... vous m'entraînez, maintenant.
Sully : Hmm... Écoute, j'ai mis un peu de temps à assimiler cette histoire de maternité. J'ai accepté de t'entraîner sans vraiment réfléchir à tout ça. J'entraînais une partenaire, pas ma fille... Tu comprends ?
Kjelle : Mais ce n'est plus le cas ?
Sully : C'est ça. Après tout ce temps passé avec toi, j'ai découvert ma... fibre maternelle. Maintenant, je sais ce que ressentait ma future moi. Une mère vieillit avant ses enfants. Elle ne peut pas les protéger indéfiniment.
Kjelle : Alors, voyant que je n'étais pas une grande cavalière, vous m'avez réorientée ? Ah... Vous avez fait ça parce que vous teniez à moi.
Sully : Ce n'est qu'une intuition. Je ne peux pas poser la question à la future moi...
Kjelle : J'imagine que c'est la fin de mes cours d'équitation. Ça aura été amusant. Je suis sûre que j'aurais été une meilleure combattante sur un cheval, mais bon...
Sully : Minute, papillon ! Qui a dit que tu pouvais abandonner de la sorte ?
Kjelle : Quoi ? Mais vous venez de dire... Vous ne voulez pas encore arrêter mon entraînement ?
Sully : Peut-être bien dans le satané futur ! Mais PAS MAINTENANT ! Regarde-moi ! On a pratiquement le même âge toutes les deux ! Et nous nous battrons côte à côte jusqu'à la mort, jeune fille.
Kjelle : Alors vous allez continuer à m'entraîner ?
Sully : Ça c'est sûr ! C'est ce que le futur moi aurait voulu... Hmm, je crois. Je vais ajouter l'entraînement qu'elle aurait dû te donner à celui que j'ai prévu. Tiens-toi prête à transpirer.
Kjelle : Ne me brusquez pas TROP, d'accord ?
Sully : JE PRENDS ÇA POUR UN OUI ! ALLEZ, ALLEZ !
Kjelle : Euh... Oui... Oui, mère !
j'ai pas mal de soutien perso,est ce qu'il en reste qui n'ont pas été fait ?
bon je poste quand même celui là vu qu'il n'as pas l'air d'être mis :
Daraen (H)/Nah (Fille)
Soutien C
Nah : *Soupir* Ce que ma mère peut être énervante ! Elle ne fait que jouer, jouer et jouer... Le reste, elle s'en fiche !
Daraen : Qu'y a-t-il, Nah ?Je ne t'avais encore jamais vue dans un tel état...
Nah : Oh, bonjour père. Je ne faisais que penser à mère. Encore une fois... Comment pouvez-vous la supporter ?! Son immaturité ne vous ennuie-t-elle pas ? Elle passe son temps à courir et à s'amuser dans le camp, à jouer et à rigoler...
Daraen: Quelle coïncidence ! Justement je me disais que vous vous ressembliez beaucoup. Et... non, elle ne m'ennuie pas. Elle est comme ça et on ne la changera pas.
Nah : Tss ! Vous êtes vraiment trop gentil, père ! Si vous ne commencez pas à être enfin sévère avec elle, elle ne grandira jamais !
Daraen: Hmm... Eh bien...
Nah : Et puis qu'est-ce que vous lui trouvez, d'abord... ? Vous êtes si sérieux et responsable... Et elle, si volage et insouciante ! Je ne vois vraiment pas ce que vous appréciez chez elle... Vraiment pas. A moins que vous ayez été tellement pressé de vous marier... ... que vous n'avez pas pris le temps de faire sa connaissance!
Daraen: Q... Quoi ?! Ne sois pas ridicule, voyons ! Je savais très bien à quoi je m'engageais.
Nah : Vous êtes sur la défensive, on dirait... J'ai mis dans le mille, n'est-ce pas ?
Daraen: J'étais bien au courant de son coté frivole. Et je l'ai trouvé... charmant. Oui, c'est ça. Charmant.
Nah : Vous savez quoi, père ? Je ne crois pas un traître mot de ce que vous dîtes... Allez, crachez le morceau, à la fin ! Pourquoi l'avez-vous épousée ?!
Daraen: Assez ! C'est personnel comme question et je ne te répondrai pas, un point c'est tout !
Nah : Hé, mais... ! Ne vous enfuyez pas ! ATTENDEEEEEZ !
Soutien B
Nah : Père ! Enfin, vous voilà ! Nous n'avons pas encore terminé notre conversation.
Daraen : Nah, tu as beau insister encore et encore, je ne répondrai pas à ta question. Je ne te détaillerai pas pourquoi j'ai épousé ta mère !
Nah : MAIIIIS EUUUH ! Pourquoi ?! Toutes les filles veulent savoir comment leurs parents sont tombés amoureux ! Vous ne savez pas comment fonctionne le cœur d'une femme, espèce de mufle !
Daraen: Tu ne crois pas que tu es un peu jeune pour t'inquiéter du " coeur " des femmes... ?
Nah : Je rêve ou vous venez de faire un commentaire sur mon âge ?! C'est un miracle qu'une femme ait eu la bonté d'âme de vous prendre pour époux !
Daraen: Nah ! Tu oublies que je suis ton père ! Si ça continue comme ça, je vais finir par me fâcher, jeune fille!
Nah : Oups ! Dé... Désolée, père. Je ne voulais pas vous mettre en colère. Je le jure.
Daraen: Bon, très bien. J'accepte tes excuses.
Nah : J'ai dépassé les bornes... Je vous prie de bien vouloir m'excuser.
Daraen: Oui, bien sûr. Mais...
Nah : J'imagine que je vous ai fait perdre assez de temps comme ça. Je... Je m'en vais.
Daraen: Non, attends.
Nah : Oui ?
Daraen: Tu as l'air si abattue... Est-ce que tout va bien... ?
Nah : Il va bien falloir faire avec... Je n'ai pas d'autre choix. Puisque mon père s'énerve dès qu'on lui pose la moindre petite question innocente...
Daraen: Hmm... Oui, enfin... Tu vois, c'est...
Nah : Inutile de vous justifier ! Ma détresse fait désormais partie de mon quotidien ! Et le rejet de mon père n'est qu'une goutte de plus dans l'océan de mes tourments... C'est ainsi... N'en parlons plus... Je vous souhaite une bonne journée. Je m'en vais, à présent.
Daraen: M... Mais... Voilà donc à quoi ressemblera ma vie pendant les années à venir...
Soutien A
Daraen: Nah...
Nah : Oh. Bonjour père. Je peux faire quelque chose pour vous ?
Daraen: Tu te souviens de l'autre jour ? Quand tu disais que tu vivais dans la détresse... Qu'est-ce que tu voulais dire par là ?
Nah : Ah, ça... Je repensais à ma famille d'accueil, pendant mon enfance...
Daraen: Attends... Tu veux dire que ce n'est pas Nowi qui t'as élevée... ?
Nah : Non. Je n'ai jamais connu mes parents. On m'a envoyée chez la famille d'un ami de mon père. Un soldat. Mais celle-ci n'était guère disposée à accueillir un monstre à moitié humain...
Daraen: Ne dis pas ça...
Nah : J'ai vite compris que j'allais devoir travailler dur pour me faire accepter et... survivre. Je m'occupais des corvées avant qu'on me le demande. Je me débarrassais des Ombres qui erraient près de la maison. Je me disais qu'en me rendant utile, ils allaient forcément arrêter de... me haïr. Pourquoi en vouloir à une enfant qui aide et qui ne demande jamais rien en échange... ? Malgré tous mes efforts, il a bien fallu me résoudre à vivre dans cette détresse... Je n'avais pas d'ami. Personne à qui parler. J'étais complètement seule. Et pas une fois je n'ai fait mention du fait que mes parents me manquaient... *pleurs* Je n'ai même... jamais... demandé quand ils reviendraient me chercher !
Daraen: Oh...
Nah : Une fois arrivée ici, j'ai voulu découvrir tout ce que je pouvais à leur sujet. Snif... C'est pour ça que j'ai continué à vous poser toutes ces questions qui vous ont fâché...
Daraen: Je suis sincèrement désolé, Nah. J'ai été terriblement égoïste sur ce coup. Je te dirai tout ce que tu veux savoir à propos de ta mère. Y compris comment nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre. Et si tu te sens seule ou triste, je resterai avec toi. Tant que je serai dans les parages, tu ne seras plus jamais en détresse !
Nah : V... Vraiment ? Pour... Pour de vrai ?! Oh, merci, père !
Daraen: Ce n'est rien, Nah. Bon, dis-moi, qu'est-ce que tu veux savoir?
Nah : Dites-moi comment s'est passée votre demande en mariage ! Qu'est-ce que vous avez dit à mère ? Qu'est-ce que vous avez fait ? Je veux TOUT savoir. Alors n'oubliez pas de me donnez tous les détails, surtout!
Daraen: Bonté divine! Je ne sais pas si je vais me souvenir de TOUS les détails...
Et voila ! on dirait quand même que Nah a un peu manipuler son père ...
Salut, Ilanos, oui, il en reste un bon paquet qui n'ont pas été fait ! Je te mets un lien vers ce site assez complet sur Fire Emblem. Tu peux voir dans la page des Dialogues de Soutiens de chaque personnages les soutiens manquants !
Bien sûr, si je prends le soutien que tu as fait pour l'afficher sur ce site, j'indique sur la page un remerciement !
http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=13&categorie=705
J'ai pas mal de soutiens manquants sur ton forum si j'ai le temps je pourrais les mettre.
P.S. :ça faisait assez le longtemps que je cherchais une communauté de fire emblem merci d'avoir donnée ce lien comme ça j'ai pu m'inscrire
Vaike/Yarne :
Soutien C :
Yarne : ...
Vaike : Euh, Yarne ? Pourquoi tu me dévisages comme ça ?
Yarne : J'essaie de lire sur votre visage si vous faites des infidélités à ma mère.
Vaike : Qu... Quoi !? Des infidélités ? Je f'rais jamais une chose pareille ! J'ai été fidèle à Palne depuis le jour où je lui ai fait ma demande en mariage !
Yarne : D'accord... Tant que c'est la vérité...
Vaike : Mais qu'est-ce qui te fait penser ça ? Qui c'est qui raconte des mensonges ?
Yarne : Personne. C'est juste une idée qui m'est venue à l'esprit l'autre jour. Voyez-vous, j'ai réfléchi, et je me suis demandé ce qu'il adviendrait de moi... Si vous en veniez à penser que mère ne ferait plus votre bonheur.
Vaike : Euh... Je sais pas, mooi...
Yarne : Je partais du principe qu'il me suffisait que vous restiez tout deux en vie. Vous finiriez par me concevoir, et bam, mon existence serait assurée. Mais en fait, tout cela serait bouleversé si vous quittiez ma mère avant ma conception. À l'instant précis où vous feriez ce choix, catastrophe ! Mon existence serait effacée ! Rien que d'y penser, j'en ai des frissons dans le dos. Brrrrrr...
Vaike : Oh... Je commence à comprendre pourquoi tu t'fais de la bile...
Yarne : Alors, je vais faire TRÈS attention à ce que vous rentriez dans le rang, Monsieur !
Vaike : Euh... Attends une minute, gamin !
Yarne : Pas d'inquiétude ! Je ferais une exception pour les badinages pendant les batailles. Mais à condition que les fréquentations SE LIMITENT au champ de bataille ! Bon, il faut que j'y aille. Mais n'oubliez pas de vous tenir coi !
Vaike : Rah, j'y crois pas !
Soutien B :
Yarne : Ah, bonjour, père.
Vaike : Qu'est-ce qui se passe ? Tu fais une tête d'enterrement...
Yarne : Treize fois hier, et huit fois avant hier. Savez-vous de quoi je veux parler ?
Vaike : Euh... Du nombre de coups de champion que j'ai délivrés à l'ennemi ?
Yarne : NON ! Il s'agit du nombre de fois où vous avez parlé à une AUTRE femme que mère. Et moi qui vous ai cru lorsque vous disiez que vous seriez fidèle ! Vous n'avez aucune retenue, et au final, je vais disparaître ! RAAAAAAH !
Vaike : Yarne, je disais juste bonjour, histoire d'être poli. C'est tout.
Yarne : Il me semble avoir entendu bien plus que ça ! Les Tagüels ont l'ouïe très développée.
Vaike : Oh, crois-moi, t'as pas besoin de me le rappeler... Mais tu dois comprendre qu'il est inévitable que je discute avec mes camarades... Les hommes ET les femmes... En pleine bataille, c'est souvent vital de bien connaître ses compagnons d'arme. Je veux dire... Que dirais-tu si quelqu'un t'interdisait de parler à Lucina ?
Yarne : Euh, j'imagine que ce serait un problème.
Vaike : Je suis content de savoir que tu le vois ainsi. Mais j'aimerais que tu me croies quand je te dis que je n'ai pas l'intention d'être infidèle.
Yarne : Bien sûr, vous me dites cela maintenant... Peut-être même y croyez vous... Mais qu'en est-il du futur ? Comment être sûr que vous ne changeriez pas d'avis ? Vous m'avez un jour promis que vous alliez rentrer à la maison et n'êtes jamais revenu !
Vaike : Ah...
Yarne : Euh, oubliez ce que je viens de dire. Cela importe peu... J'arrêterai de vous épier. Mais si vous manquez à votre parole à nouveau, je ne le vous pardonnerai jamais !
Vaike : Je comprends, maintenant... Dans le futur, je meurs, et je laisse derrière moi une promesse non tenue...
Soutien A :
Vaike : Ah, te voilà , Yarne. Je te cherchais.
Yarne : Que voulez-vous ? Je vous ai dit que je ne vous espionnerai plus.
Vaike : Ce n'est pas pour ça que je viens te voir. J'aimerais te demander pardon. Dans le futur, je t'ai promis que je serais de retour... et je t'ai déçu. Je suis désolé.
Yarne : Mais qu'importe que VOUS vous excusiez ?! Ce n'est pas VOUS qui m'avez abandonné ! C'était un autre vous, dans une autre époque !
Vaike : Oui, je comprends ça. En fait, tu n'es pas vraiment mon fils non plus....
Yarne : ...
Vaike : Ce n'est pas seulement une autre époque, mais aussi une autre VERSION du temps. Et pourtant, je considère que tu fais partie de la famille ! J'espère pouvoir te donner ce que ton père dans le futur n'a pas pu. C'est ce que tu veux, pas vrai ?
Yarne : Euh... je crois bien, oui. Je sais que c'est étrange, mais je ne peux m'empêcher de vous voir comme mon père. C'est pour cela que vous voir parler à d'autres femmes m'a fait paniquer. Je ne supportais pas l'idée que vous quittiez ma mère pour devenir le père d'un autre. J'aurais le sentiment de perdre mon père une nouvelle fois.
Vaike : Yarne, tu veux bien que j'te fasse une promesse ? Je jure sur tout ce qui m'est cher de ne pas mourir, et de ne pas quitter ta mère. Tous les deux, je vous aime plus que tout au monde, et je vous ferai jamais de mal.
Yarne : Je... je ne sais pas quoi dire.... hormis.... que je vous remercie. Car cette fois, je suis sûr que vous tiendrez votre promesse.
Vaike : Génial !
Yarne : Ouf ! Je peux enfin me décontracter et arrêter d'avoir peur de disparaître ! Oh, je suis si heureux d'avoir trouvé en vous un père jeune et formidable !
Vaike : Aïe ! Ya... Yarne ! Arrête de me pincher les choues !
Lucina/Cynthia (Sœur)
Soutien C
Cynthia : Quelle pagaille ! Je devrais vraiment ranger plus... souvent... AAAAAAAAAAAAAAAARGH !
Lucina : Grands dieux, Cynthia ! Est-ce que quelqu'un nous attaque ?! Cynthia ! Tout va bien ?
Cynthia : Lu... Lucinaaaaa !
Lucina : Respirez, Cynthia. Calmez-vous et dites-moi ce qu'il s'est passé. Vous n'avez plus rien àcraindre maintenant que je suis là!
Cynthia : Une b... bestiole ! Une bestiole !!!
Lucina : Vous parlez d'un insecte ?
Cynthia : Je parle d'un gros truc affreux et terrifiant avec des pattes velues... HORRIBLES !
Lucina : Vous voulez dire que tous ces cris et cette agitation sont dus à un INSECTE ? Pff... J'ai cru que l'armée des Ombres arrivait... Ça aurait pu créer un branle-bas général.
Cynthia : AAAAAH! Ça vole ! Ça vole ! Arrière !!! Ne t'approche pas de moi !
Lucina : HIII... !
Cynthia : Tu as vu ?! C'est un cauchemar ! Alors hâte-toi et tue-le! Brûle-le vif !!!
Lucina : Pas question de m'approcher de ce... truc ! C'est trop ÉNORME !
Cynthia : QUOI ?! Je croyais n'avoir plus rien à craindre maintenant que tu étais là ?! Comment vas-tu sauver le futur si tu ne peux même pas tuer cette bestiole... ?
Lucina : Ces deux choses n'ont rien à voir entre elles... Et comment espérez-VOUS devenir une grande héroïne en ayant peur d'un insecte ?
Cynthia : Plutôt mourir comme une lâche que de toucher cette chose affreuse ! Écoute, c'est toi l'aînée... Alors vas-y, tue-la ! Père t'a bien demandé de toujours protéger ta petite sœur, non ?
Lucina : Euh... Je suppose, oui... Très bien, je... je vais arranger ça.
Cynthia : J'étais sûre de pouvoir me fier à toi ! Gloire aux Saints-Rois passés et à venir !
Lucina : Vous avez du sang royal aussi, vous savez ? Vous pourriez montrer un peu de courage...
Cynthia : C'est le moment ! La bestiole vient de se glisser dans un coin derrière l'étagère !
Lucina : C'est trop sombre. Je n'y vois rien...
Cynthia : Tu devrais faire briller Falchion ! Et dès que tu l'aperçois, COUIC !
Lucina : Falchion n'est pas un outil pour chasser les nuisibles, Cynthia !
Cynthia : Ha ha ha, d'accord, d'accord. Je suis désolée, je... AAAAAAH ! Il s'envole encore ! Il vole !
Lucina : C'est un ennemi impressionnant, mais je vous promets qu'il ne vous touchera pas !
Cynthia : Allez, Lucina, vas-y ! ALLEZ, TUEZ-LE !
Chrom : Au nom du ciel, mais qu'est-ce que vous faites là, toutes les deux !
Lucina : Père ?
Cynthia : Père !
Chrom : Sérieusement, tout ce vacarme pour un insecte... ? Mais à quoi pensiez-vous ?
Cynthia : Désolée...
Lucina : Je suis désolée, père...
Chrom : Je vous demande simplement de ne pas recommencer... D'accord ?
Cynthia : C'était logique qu'il s'en charge. Il est si inébranlable...
Lucina : C'est vrai. Même s'il était beaucoup moins calme quand il nous a réprimandés...
Cynthia : Tu te sens toujours mal à propos de ça ? Je me suis bien amusée, moi, au final. Je ne me souviens pas qu'on ait déjà eu des ennuis pareils ensemble... C'est comme si... Je ne sais pas, pendant un instant, on était une famille normale...
Lucina : Je reconnais que ça m'a plu à moi aussi.
Soutien B :
Lucina : Cynthia...
Cynthia : Hmm ?
Lucina : Devinez donc ce que j'ai à vous dire...
Cynthia : Ahem... Ne pas oublier de nettoyer Falchion après avoir fini de couper cette pomme ?
Lucina : Ou ne PAS utiliser Falchion pour couper une pomme ?! Êtes-vous devenue folle ?!
Cynthia : Oups! Par... Pardon ! Je suis désolée !
Lucina : Être désolée ne suffit pas ! Cette épée est un trésor national d'Ylisse en même temps que celle de notre père ! Oseriez-vous utiliser le dernier souvenir laissé par lui pour couper un FRUIT ?! La lame colle, maintenant ! Vous avez déshonoré l'arme qui a bâti votre patrie !
Cynthia : Oui, mais la pomme était trop grosse pour être croquée et c'était le seul couteau... Et puis, je ne l'avais encore presque jamais touchée. Je sais pas, je... j'étais curieuse.
Lucina : ...
Cynthia : Alors, ahem, tu... ? Oui, tu m'en veux...
Lucina : Vous n'avez encore jamais tenu Falchion ?
Cynthia : Non, pas vraiment. Dans le futur, tu la gardais toujours avec toi. Et depuis que nous sommes ici, j'ai du la changer de tente une fois ou deux.
Lucina : Alors nous ne savons pas si vous avez le potentiel pour la manier ?
Cynthia : Tu veux dire qu'il n'y a qu'un individu particulier qui puisse l'utiliser ?
Lucina : Je vois qu'il y a bien des choses que vous ignorez... Cette lame a été forgée grâce au pouvoir de Naga, puis a été liée à la lignée royale. Seuls quelques élus peuvent la manier, même au sein de la famille royale d'Ylisse.
Cynthia : Eh bien, quel élitisme... Euh, mais ça ne me surprend pas que tu en fasses partie, Lucina.
Lucina : Peut-être que vous aussi, Cynthia. J'ai honte que nous n'ayons toujours pas fait le test malgré tout ce temps.
Cynthia : Ce serait particulièrement glorieux si je pouvais aussi la manier ! Occire les ennemis d'une épée mystique est l'acte héroïque par excellence !
Lucina : J'ai surtout honte de n'avoir jamais pris le temps d'y penser. Si vous faites partie des élus choisis par Falchion, nous devons le savoir. Un jour viendra peut-être où vous n'aurez d'autre choix que de vous en servir.
Cynthia : Tu veux dire si tu es occupée ?
Lucina : Si je suis morte, Cynthia. Si quelqu'un pouvait l'utiliser même après ma mort, ce serait un atout majeur. Nous devons utiliser tous les moyens à notre disposition pour protéger le futur. Allons faire le test, maintenant.
Cynthia : ...
Lucina : Cynthia ?
Cynthia : Oh, oublie ça. Il n'y a aucune chance pour que l'épée choisisse quelqu'un comme moi.
Lucina : Vous ne pouvez pas l'affirmer avant d'avoir essayé. Vous avez dit vous-même que vous aimeriez pouvoir l'utiliser. Alors allons...
Cynthia : J'ai dit NON ! Je ne le ferai pas ! Ne m'oblige pas... Ne m'oblige pas à m'entraîner pour le moment où tu ne seras plus là, Lucina !
Lucina : Je comprends ce que vous ressentez, mais regardez la vérité en face. Nous ne pouvons pas perdre cette guerre. Qu'importent les événements et les deuils.
Cynthia : Tu crois que je ne le sais pas ?! Mais... Ce n'est pas si facile pour moi, d'accord ?! Tu as prévu de m'abandonner, aussi ? D'abord mes parents et ensuite toi ?
Lucina : Pas par choix, Cynthia. Jamais par choix. Mais la guerre n'offre aucune garantie...
Cynthia : Et tu penses que ça me remonte le moral, tes histoires ?! Si ça implique ta mort, je ne veux rien avoir à faire avec Falchion! Et même si je POUVAIS la manier, je ne m'en servirais que pour couper un fruit. Cette conversation m'énerve. Je m'en vais.
Lucina : Cynthia... Vous êtes vraiment déterminé à l'utiliser comme un couteau à légumes...
Soutien A
Cynthia : Lucina, est-ce que, euh... Est-ce que tu as une minute ?
Lucina : Que se passe-t-il, Cynthia ? Pourquoi cet air grave?
Cynthia : Je veux que tu m'aides à savoir si je peux utiliser Falchion ou pas.
Lucina : Vous aviez pourtant l'air résolument contre. Qu'est-ce qui a changé ?
Cynthia : Moi, je crois. J'ai repensé à tout ce que tu as dit. Au fait que nous devions gagner cette guerre par tous les moyens... Je fuyais la réalité ainsi que mon devoir. J'appartiens à la lignée des Saints-Rois... Comme tu l'as dit, je dois regarder la vérité en face... Acceptes-tu de m'aider ?
Lucina : Si c'est votre décision, je n'ai aucune raison de m'y opposer. Je vais immédiatement prendre les mesures nécessaires. Très bien. Je veux que vous attaquiez cette bûche comme un ennemi. Si vous n'avez pas le potentiel pour manier Falchion, sa lame sera émoussée... ... et vous pourrez à peine retirer l'écorce. En revanche, si vous faites partie des élus, la bûche se fendra en deux.
Cynthia : ...
Lucina : Là. Empoignez Falchion.
Cynthia : D'accord... Je vais essayer... Attends, que vais-je faire si cela FONCTIONNE vraiment... ?
Non... Je m'inquiéterai de cela plus tard. Plus de doutes. Cela fait partie de moi ! C'est parti ! GnnnaaaAAAH ! ... Hein ? Je n'ai rien senti.
Lucina : La bûche est indemne... Je suis désolée, Cynthia. On dirait bien que vous ne pouvez pas utiliser Falchion.
Cynthia : ...
Lucina : Ne vous en faites pas. Cela ne change pas qui vous êtes. Vous êtes toujours mon sœur, fille de Chrom et princesse d'Ylisse. Ne vous laissez pas...
Cynthia : Pfff... Hé hé ha ha ha ha ha !
Lucina : Cynthia ?!
Cynthia : Ha ha ha ha, dé... désolée, mais... j'étais si inquiète que j'ai... Je suis passée à côté ! J'ai raté la bûche ! Ha ha ha, c'est tellement ridicule !
Lucina : Hé hé... Euh, oui. Ahem. Essayez de rester sérieuse, enfin. Vous me faites rire. Mais on dirait que nous nous sommes trop excitées pour cette histoire toutes les deux. Notre relation s'est dégradée comme si nous nous étions disputées. Je préférais de loin la nuit où nous avons eu des ennuis à cause de cette grosse bestiole.
Cynthia : Oh, moi aussi ! Même si cela m'aura au moins aidée à renforcer ma détermination... Ne pas agir par peur de perdre ceux que j'aime n'est que... de la couardise... Si quelque chose devait t'arriver, je fais le serment de me battre jusqu'au bout. Mais je suis déterminée à ce que ça n'arrive pas. J'en souffrirais beaucoup trop... Alors laisse-moi te protéger. C'est le moins que ta sœur puisse faire !
Lucina : J'ai bien peur d'avoir fui, moi aussi... J'avais peur de vous faire cette promesse. Mais plus maintenant. Je vous jure ici et maintenant que je survivrai à cette guerre. Je refuse de vous laisser seul, ma sœur, ou qu'il vous arrive quoi que ce soit. Nous survivrons ensemble. Nous créerons notre propre futur.
Cynthia : C'est promis !
Lucina : C'est un serment fait sur Falchion. Oh, zut ! J'avais complètement oublié, mais je suis de corvée de cuisine, ce soir. Désolée, je dois y aller.
Cynthia : Ah, attends ! Lucina, tu as oublié Falchion ! C'était bien la peine de me dire qu'elle me laisserait jamais seule... Ah, bon. On n'est plus que toutes les deux, Falchy... Un dernier pour la route, vu le grand risque que j'ai de ne plus jamais te toucher ? Gnn... YAAAAAH ! ... Non... Pas la moindre éraflure... T'as intérêt à très bien protéger ma sœur, c'est compris ? Si elle meurt, tu seras rétrogradée au rang de couteau à légumes royal. Et je le ferai ! Bon... Allons voir Lucina.
Chrom : Mmh... ? C'est quoi cette bûche... ? Quelqu'un était-il en train de s'entraîner ? Elle est parfaitement coupée en deux...
Severa/Stahl
Soutien C :
Severa : Hé, je crois que c'est la journée idéale pour un petit rendez-vous père fille !
Stahl : Un... quoi ? Pourquoi ?
Severa : Est-ce qu'une fille a besoin d'une raison pour passer du temps avec son père ?! La plupart des pères seraient comblés à l'idée que leur fille veuille les voir !
Stahl : Tu as raison, je devrais m'en réjouir. Alors ? Où allons-nous ?
Severa : En ville ! J'ai vu des boutiques avec de très belles robes en vitrine !
Stahl : Des robes ? Bah, c'est bien de ton âge...
Severa : Mon âge ? Ohé ! Dans cette dimension, vous êtes à peine plus âgé que moi, père !
Stahl : Hmm... Oui, tu as raison.
Severa : La plupart des gens penseront que nous sommes frère et sœur.
Stahl : Hum, c'est assez étrange maintenant que tu le dis.
Severa : Étrange ? Est-ce une mauvaise chose ? Est-ce que vous êtes embarrassé à l'idée qu'on nous voie ensemble ?! Vous préféreriez être avec mère, n'est-ce pas ?
Stahl : Pas du tout ! Tu es adorable.
Severa : Vraiment ? Merci ! C'est si mignon ! Bon ben, c'est parti ! Il y a quelque chose en ville que je veut vraiiiment beaucoup ! Est-ce que vous me détesteriez si je vous demandais de me l'acheter ? Est-ce que mère serait furieuse... ?
Stahl : Je ne pourrais jamais te détester, Severa. Et je suis sûr que ta mère s'en moque. Tu es notre fille. Tu peux avoir tout ce que tu veux.
Severa : Oh, merci, père ! Je vous aime tant !
Stahl : Hé hé ! Je t'aime aussi, Severa.
Severa : (Tsss... Trop facile...)
Soutien B :
Severa : Merci encore, père ! Vous m'avez gâtée comme une princesse, vous avez acheter tous ce que je voulais !
Stahl : J'ai englouti le budget d'une armée dans cette histoire...
Severa : Père, est ce que vous m'écoutez ?
Stahl : Quoi ? Oh ! Oui, bien sûr, je t'écoute.
Severa : Vous savez... J'aimerais tant avoir un autre rendez-vous avec vous ! J'ai repéré un petit accessoire magnifique dans une ville voisine, l'autre jour...
Stahl : Désolé, mais ça ne va pas être possible...
Severa : Pourquoi ? Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal... ? Vous êtes en colère ?
Stahl : Me fais pas ces yeux de chien battu. J'ai dit non. Nous t'avons déjà acheté plein de choses.
Severa : D'accord, d'accord... J'irai acheter des haillons, si c'est comme ça !
Stahl : Quel brusque changement d'attitude... Écoute, ne je dit pas que je ne t'achèterai plus rien...
Severa : Oooh, vraiment ?!
Stahl : Je dis juste qu'il faut le mériter. Si tu aides au camp, je t'achèterai quelque chose.
Severa : Vous comptez m'offrir de l'argent de poche ?! Je ne suis plus une enfant !
Stahl : Alors prouve-le. C'est pour ton bien, Severa. Un peu de difficulté te forgera le caractère.
Severa : J'ai eu suffisamment de difficultés comme ça dans le futur, merci !
Stahl : Ma décision est irrévocable. Je ne te gâterai plus comme je l'ai fait. Si tu veux quelque chose, il va falloir travailler pour l'avoir.
Severa : D'accoooord... Très bien ! Je ferai vos corvées... Mais j'attends des cadeaux en retour, c'est compris ?!
Stahl : *soupir* Quel caractère...
Soutien A :
Severa : Alors... J'applique la pierre à aiguiser sur l'angle de la lame comme ça... Encore raté ! C'est la cinquième fois que ça se brise... ! Tout va toujours de travers avec moi !
Stahl : Severa ? Qu'est-ce que tu fais ?
Severa : J'aiguise ces armes stupides mais ça ne marche pas ! Vous m'avez dit de vous aider, alors je vous aide...
Stahl : Hmm... C'est pour ça qu'il y a cette pile d'épées brisées derrière toi ?
Severa : Ce n'est pas de ma faute si elles sont défectueuses ! Elles tombent en morceaux ! Désolée de ne pas être parfaite en tout point comme ma mère ! Pff... Je suis si stupide. J'ai compris... Je suis si inutile ! Je suis à jeter aux oubliettes...
Stahl : Severa, je crois que tu réagis un peu...
Severa : Je brûle tout ce que je cuisine ! J'ai presque décapité un cheval en coupant du bois... Je suis un fardeau pour tout le monde ! Un véritable boulet... Vous deviez avoir de hautes attentes au vu des qualités de mère... Navrée de vous décevoir.
Stahl : ...
Severa : Hé bien ?! Si vous voulez dire quelque chose, dites-le !
Stahl : Je ne suis pas déçu, Severa. Au contraire, je suis fier de ce que tu es devenue.
Severa : Oh, s'il vous plaît ! Est-ce que vous vous moquez ? Vous me croyez si stupide ?! Chaque fois que j'échoue à chaque chose, on me compare à ma mère ! Et vous êtes plus proche d'elle que quiconque ! Je sais ce que vous pensez !
Stahl : Je ne te compare à personne, Severa. Tu es ma fille, mon trésor le plus précieux, et je sais que ta mère pense la même chose.
Severa : Quoi ?!
Stahl : Je t'aime, et je serai toujours là pour toi. Et puis fini les discours de déception ! J'ai l'impression d'avoir été un mauvais père.
Severa : Quoi ? Non ! Père, je... snif ! Je suis désolée ! *sanglots*
Stahl : Tout va bien. Tu es passée par beaucoup d'épreuves, mais tout va bien... Je suis désolé d'avoir dit que tu avais besoin de plus de difficultés. Je n'avais pas réfléchi... Je ferai tout ce que je peux pour t'empêcher de souffrir, tu sais. Et tu m'as aidé pour mes corvées. Tu veux ta récompense maintenant ?
Severa : Non ! Je n'en ai pas besoin. J'ai seulement besoins de vous, père ! Mais si vous mouriez, je ne vous le pardonnerais jamais !
Stahl : Je te quitterai pas cette fois. Je te le promets.
Lon'zu x Inigo
Rang C
Inigo :J'étais vraiment à CA près de convaincre cette beauté des prés de sortir avec moi ! Qu'est ce qui t'as pris de venir m'arracher de là comme ça, père ?!
Lon'zu : Nous devons nous préparer au combat, Inigo. Tout le monde est déjà prêt. Tu ne peux t'en prendre qu'a toi même de ne pas avoir vu l'heure.
Inigo : Oh... Oups... Bon, allons donc écraser ces ennemis, que je me retrouve vite une petite !
Lon'zu: ...
Inigo : Tu me dévisages, père...J'ai une tache sur le visage ?
Lon'zu: Non. Je me demandais si tu étais aussi comme ça dans le futur.
Inigo : Ca dépend de ce que tu entends par "comme ça", j'imagine.
Lon'zu: Pour quelqu'un tout droit sorti d'un futur apocalyptique, je te trouve bien insouciant. Ta seule inquiétude semble être de trouver quelqu’un avec qui partager ton lit. Lucina est si sérieuse et déterminée. Je ne comprends pas que tu sois si différent .
Inigo : Tu crois que je manque de détermination ?! Mais je suis TRES déterminé, figure toi !
Lon'zu: Vraiment ?
Inigo : Oui ! Je ne m'arrêterai que quand toutes les femmes du royaume connaîtront mon nom !
Lon'zu: Ton but dans la vie, c'est d'avoir du succès auprès des femmes ? C'est tout ? Tu as fait un bond dans le temps pour ça ?!
Inigo : Ha ha ! Auprès de TOUTES les femmes, s'il te plaît. Je sais, je suis génial. Mais arrête, père, tu vas me faire rougir.
Lon'zu: Je... Je ne sais pas quoi dire.
Inigo : Quoi ?! Tu ne t'es jamais plaint quand mère rougissait !
Lon'zu: Non, ce n'est pas ce que... Pff... Je ne sais même pas par où commencer. Ecoute, discuter avec toi me fatigue. Je vais partir devant.
Inigo : ... Je suis bien insouciant, c'est ça ? Il veut dire que j'ai rien dans la tête, oui ! Il est peut-être une bonne pâte avec les autres, mais avec moi il ne se retient pas !
Rang B
Inigo : Ouille ! Ça fait mal... Je ne peux pas rentrer au camp dans cet état...
Lon'zu: Tout va bien, Inigo ?Les autres sont déjà sur le chemin du retour, tu sais.
Inigo : P... Père ?! Euh, je... J'ai vu une villageoise fort mignonne par là-bas, alors...
Lon'zu: Tu mens encore plus mal que ta mère... Tu es blessé à la jambe, je le vois d'içi.
Inigo : Tout va bi... GAAAAH ! Aïe! Aïe, aïe aïe ! Lâche-moi ! Pas touche ! Au secours !
Lon'zu: C'est blessure est sérieuse , Inigo ! Pourquoi ne l'as tu pas signalé avant ?
Inigo : Pour ruiner ma réputation ? Non, merci. Les femmes veulent « Inigo l'invincible ».
Lon'zu: Bon sang, Inigo ! CA SUFFIT !
Inigo : Père ?
Lon'zu: Tu peux à peine marcher, et tu parles encore des filles ?! Un peu de sérieux ! Vraiment, pourquoi es-tu revenu ? Lucina se bat corps et âme, mais toi... Je suis déçu... Tu n'as aucune idée de ce que c'est que d'être en guerre.
Inigo : ... Tu ne sais rien ! Tu ne sais rien du tout, père !
Lon'zu: Comment ?
Inigo : Penses-tu que je suis revenu SEULEMENT pour les filles ? Alors que je me bats tous les jours, au péril de ma vie ?!
Lon'zu: Inigo, ce n'est pas...
Inigo : Tu crois peut-être que je ne suis qu'un séducteur, qu'un écervelé... Mais beaucoup de gens dépendaient de moi dans le futur. Tous les jours, j'ai risqué ma peau en affrontant les morts-vivants... Tout le monde comptait sur moi, je n'avais pas le choix. Je DEVAIS être invincible . Je ne pouvais pas me plaindre ni m'autoriser la moindre faiblesse. Pas au milieu de tous ces gens qui se battaient pour survivre... Et alors même que vous étiez morts, mère et toi, je devais faire bonne figure. Je devais me battre chaque jour de ma triste vie. Et avec le sourire en prime !
Lon'zu: ...
Inigo : Tu disais que j'étais insouciant... ? Je suis désolé de t'informer que ce n'est pas le cas. Je souris et je plaisante pour ne pas montrer de faiblesse. Même si cela t'offense, je pense que tu vas devoir faire avec...
Lon'zu: Inigo, écoute...
Inigo : Ceci dit, merci de t'inquiéter. Je vais faire soigner cette jambe, maintenant.
Lon'zu: ...
Rang A
Lon'zu: Inigo ? J'aimerais te parler.
Inigo : Ah, Père ! Viens voir ! Regarde, ma jambe est guérie .
Lon'zu: Très bien, mon fils.
Inigo : Merci d'avoir insisté pour que je m'en occupe... Et désolé de t'avoir inquiété.
Lon'zu: Non, c'est moi qui doit m'excuser. Ce que j'ai dit. J'ai entièrement manqué de tact.Tu t'est battu de toutes tes forces, et je n'avais aucun droit de te critiquer.
Inigo : Pff, cela te préoccupe encore ? Mais c'est de l'histoire ancienne, voyons! Et puis j'avais tort aussi.
Lon'zu: Quand bien même...
Inigo : Vraiment, tout va bien ! Souris, un peu, quoi.
Lon'zu: Hein ?
Inigo : Tu es toujours si lugubre avec moi. Cela me déprime ! Allez, rigole un peu ! Guili-guili !
Lon'zu: Ha ha ha ! Arrête ! A... Arrête ! Ça chatouille ! Ha ha ha !
Inigo : Ha ha ha , voilà ! C'est beaucoup mieux ! Je n'ai pas fait tout ce chemin pour te voir si malheureux, tu sais?
Lon'zu: C'est pour ça que tu est revenu ? Pour me rendre heureux... ?
Inigo : Eh bien, oui. Toi, moi et les autres. Le monde entier, je crois. Enfin, je crois que je peux t'avouer certaines choses maintenant...
Lon'zu: Tu peux me dire tout ce que tu veux.
Inigo : c'est ce que tu dis maintenant, mais je ne veux aucun reproches après coup, compris ? Je suis tout sourire à l'extérieur, mais au fond, je suis très sensible. Et pessimiste. Ah, et je pleure pour un rien... Et si une fille refuse mes avances, je suis bouleversé pour des jours et des jours...
Lon'zu: Ha ha ha ! Arrête de plaisanter, je souris déjà , tu sais.
Inigo : Mais... Je ne plaisantais pas... A propos des filles, je veux dire.
Lon'zu: C'est normal de s'intéresser aux filles, mais avec modération, tout de même... Tu es devenu très fort, Inigo, un homme. Tu ne pourrais me rendre plus fier. Mais personne n'est invincible et tu ne devrais faire comme si tu l'étais. Si tu as un problème, viens me voir . On trouvera une solution tous les deux.
Inigo : Père... Je savais bien que tu m'aimais, mais... Oh, merci !!!
Lon'zu: Hé ! Mon cou ! Inigo, mon... cou... Tu... m'étouffes !
Inigo : C'est de ta faute ! Je crois que tu ne m'as jamais rien dit de tel, auparavant ! Et tu sais ça vaut aussi pour toi. Si tu à un problème, je suis là. Il est hors de question que je te perde une seconde fois .
Lon'zu: Et moi, je n'ai pas l'intention de te perdre tout court.
Lon'zu/Nah
Soutien C
Nah : *soupir* Ce que ma mère peut être énervante ! Elle ne fait que jouer, jouer et jouer... Le reste, elle s'en fiche !
Lon'zu : Qu'y a-t-il, Nah ? Je ne t'avais encore jamais vue dans un tel état.
Nah : Oh, bonjour père. Je ne faisais que penser à mère. Encore une fois... Comment pouvez-vous la supporter ?! Son immaturité ne vous ennuie-t-elle pas ? Elle passe son temps à courir et à s'amuser dans le camp, à jouer et à rigoler...
Lon'zu : C'est curieux ! Je me disais justement que vous vous ressembliez beaucoup. Et non, elle ne m'ennuie pas. C'est sa façon d'être. Elle ne changera pas.
Nah : Tss ! Vous êtes vraiment trop gentil, père ! Si vous ne commencez pas à être enfin sévère avec elle, elle ne grandira jamais !
Lon'zu : ...
Nah : Et puis qu'est-ce que vous lui trouvez, d'abord... ? Vous êtes si sérieux et responsable... Et elle, si volage et insouciante ! Je ne vois vraiment pas ce que vous appréciez chez elle... Vraiment pas. A moins que vous ayez été tellement pressé de vous marier... ... que vous n'avez pas pris le temps de faire sa connaissance!
Lon'zu : Ne sois pas ridicule ! Je savais très bien à quoi je m'engageais.
Nah : Vous êtes sur la défensive, on dirait... J'ai mis dans le mille, n'est-ce pas ?
Lon'zu : Son coté frivole ne m'a pas échappé. Mais je l'ai trouvé... charmant.
Nah : Vous savez quoi, père ? Je ne crois pas un traître mot de ce que vous dîtes... Allez, crachez le morceau, à la fin ! Pourquoi l'avez-vous épousée ?!
Lon'zu : Assez ! Tu n'as pas à savoir ça !
Nah : Hé, mais... ! Ne vous enfuyez pas ! ATTENDEEEEEZ !
Soutien B
Nah : Père ! Enfin, vous voilà ! Nous n'avons pas encore terminé notre conversation.
Lon'zu : Nah, tu as beau insister, je ne répondrai pas à ta question.
Nah : MAIIIIS EUUUH ! Pourquoi ?! Toutes les filles veulent savoir comment leurs parents sont tombés amoureux ! Vous ne savez pas comment fonctionne le cœur d'une femme, espèce de mufle !
Lon'zu : Tu es un peu jeune pour te soucier du « cœur » des femmes...
Nah : Je rêve ou vous venez de faire un commentaire sur mon âge ?! C'est un miracle qu'une femme ait eu la bonté d'âme de vous prendre pour époux !
Lon'zu : Nah ! N'oublie pas que je suis ton père ! Si tu continues comme ça, je vais perdre patience.
Nah : Oups ! Dé... Désolée, père. Je ne voulais pas vous mettre en colère. Je le jure.
Lon'zu : Soit. J'accepte tes excuses.
Nah : J'ai dépassé les bornes... Je vous prie de bien vouloir m'excuser.
Lon'zu : Oui, bien sûr. Mais...
Nah : J'imagine que je vous ai fait perdre assez de temps comme ça. Je... Je m'en vais.
Lon'zu : Attends.
Nah : Oui ? Quoi ?
Lon'zu : Tu as l'air abattue... Est-ce que tout va bien... ?
Nah : Il va bien falloir faire avec... Je n'ai pas d'autre choix. Puisque mon père s'énerve dès qu'on lui pose la moindre petite question innocente...
Lon'zu : Oui, enfin... Tu vois, c'est...
Nah : Inutile de vous justifier ! Ma détresse fait désormais partie de mon quotidien ! Et le rejet de mon père n'est qu'une goutte de plus dans l'océan de mes tourments... C'est ainsi... N'en parlons plus... Je vous souhaite une bonne journée. Je m'en vais, à présent.
Lon'zu : Voilà donc à quoi va ressembler ma vie pendant toutes ces années à venir...
Soutien A :
Lon'zu : Nah...
Nah : Oh. Bonjour père. Je peux faire quelque chose pour vous ?
Lon'zu : Tu te souviens de l'autre jour ? Quand tu disais que tu vivais dans la détresse... Qu... Qu'est-ce que tu voulais dire, par là ?
Nah : Ah, ça... Je repensais à ma famille d'accueil, pendant mon enfance...
Lon'zu : Ce n'est pas Nowi qui s'est occupée de toi... ?
Nah : Non. Je n'ai jamais connu mes parents. On m'a envoyée chez la famille d'un ami de mon père. Un soldat. Mais celle-ci n'était guère disposée à accueillir un monstre à moitié humain...
Lon'zu : Ne dis pas ça...
Nah : J'ai vite compris que j'allais devoir travailler dur pour me faire accepter et... survivre. Je m'occupais des corvées avant qu'on me le demande. Je me débarrassais des Ombres qui erraient près de la maison. Je me disais qu'en me rendant utile, ils allaient forcément arrêter de... me haïr. Pourquoi en vouloir à une enfant qui aide et qui ne demande jamais rien en échange... ? Malgré tous mes efforts, il a bien fallu me résoudre à vivre dans cette détresse... Je n'avais pas d'ami. Personne à qui parler. J'étais complètement seule. Et pas une fois je n'ai fait mention du fait que mes parents me manquaient... *pleurs* Je n'ai même... jamais... demandé quand ils reviendraient me chercher !
Lon'zu : ...
Nah : Une fois arrivée ici, j'ai voulu découvrir tout ce que je pouvais à leur sujet. Snif... C'est pour ça que j'ai continué à vous poser toutes ces questions qui vous ont fâché...
Lon'zu : Je suis désolé, Nah. J'ai été terriblement égoïste depuis le début. Je te dirai tout ce que tu veux savoir à propos de ta mère. Y compris comment nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre. Et si tu te sens seule, je resterai avec toi. Tant que je serai dans les parages, tu ne seras plus jamais en détresse !
Nah : V... Vraiment ? Pour... Pour de vrai ?! Oh, merci, père !
Lon'zu : Ce n'est rien, Nah. Dis-moi, qu'est-ce que tu veux savoir ?
Nah : Dites-moi comment s'est passée votre demande en mariage ! Qu'est-ce que vous avez dit à mère ? Qu'est-ce que vous avez fait ? Je veux TOUT savoir. Alors n'oubliez pas de me donnez tous les détails, surtout !
Lon'zu : Je ne sais pas pourquoi, mais je m'attendais à cette question...