Fire Emblem : Awakening

Kellam/Cordelia :

Soutien C :

Cordelia : Très bien... Il semble que personne ne m'ait vue...
Kellam : Salut, Cordelia. Qu'est-ce que tu fais ?
Cordelia : Kellam ?! Tu es là depuis combien de temps ? Mon entraînement secret tombe à l'eau...
Kellam : Tu disais quelque chose ? Excuse-moi de te déranger en plein entraînement...
Cordelia : Ce n'est pas grave. Et puis, c'est ma faute si je me suis laissé surprendre.
Kellam : Tu t'entraînes à être invisible ? Tu planifies une attaque surprise, c'est ça ?
Cordelia : Un bon guerrier ne néglige aucune technique. On ne sait jamais quand est-ce que cela vous sera utile.
Kellam : Ouah, Cordelia, toi au moins tu ne fais pas les choses à moitié !
Cordelia : Peut-être, mais nul n'est aussi talentueux que toi dans l'art de se rendre invisible/
Kellam : Certes, mais ça ne compte pas vraiment. Ce n'est pas comme si je m'étais entraîné... J'ai un don pour que les gens m'ignorent...
Cordelia : Rien n'est le fruit du hasard. Tu as forcément quelque talent caché !
Kellam : Non, pas vraiment. Je me tiens là et puis... je me fonds dans le décor. Bon, bonne chance avec ton entraînement.
Cordelia : Kellam, attends ! J'aimerais en savoir davantage sur... Mais comment fait-il pour disparaître ainsi ? D'autant que son armure n'est pas particulièrement discrète !

Soutien B :

Cordelia : Pff, pff... Je crois que cette fois-ci j'ai réussi...
Kellam : Salut, Cordelia. Alors, tu t'entraînes encore à te rendre invisible ?
Cordelia : Ah, te voilà ! Je crois avoir trouvé l'astuce ! Je viens de faire le tour du camp sans me faire repérer !
Kellam : Vraiment ? Bravo ! Cela n'a sans doute pas été facile !
Cordelia : Mais une chose m'intrigue: j'ai compté tout le monde, mais je ne t'ai pas vu, toi.
Kellam : C'est parce que c'était mon tour de garde. J'ai patrouillé autour du camp moi aussi.
Cordelia : Mais... j'ai fait tout le tour du camp ! J'aurais dû t'apercevoir ! Tu es sûr que tu ne faisais pas la sieste dans une tente ? Je ne le dirais à personne...
Kellam : Non, j'ai fait ma garde. Je t'ai même vue te cacher derrière les framboisiers.
Cordelia : Quoi ? Tu m'as vue ? Mais alors je n'y suis pas arrivée... Je n'étais pas... Oh, j'en ai marre !
Kellam : Ce n'est pas ta faute. Se rendre invisible n'est pas aisé quand on sort de l'ordinaire.
Cordelia : Tu penses que je sors de l'ordinaire ?
Kellam : Eh bien, je veux dire, tu es très jolie et tu as ces cheveux si longs et...
Cordelia : C'est ça ! Je vais me faire couper les cheveux.
Kellam : Oh, non ! Ne fait pas ça, s'il te plaît !
Cordelia : Je plaisante ! Ne t'inquiète pas. Mais... Merci du compliment !
Kellam : Oh, euh... Je t'en prie.

Soutien A :

Kellam : Mmh... Je n'ai pas vu Cordelia de la journée. Je me demande si elle s'entraîne encore à passer inaperçue...
Cordelia : Tout à fait !
Kellam : OUAH ?! Mais... tu es là depuis quand ?!
Cordelia : OUI ! J'ai réussi ! Je suis enfin parvenue à me faufiler jusqu'à toi et à te surprendre ! Eh bien, j'ai cru que c'était peine perdue !
Kellam : Félicitations !
Cordelia : En revanche, je suis incapable de disparaître à ma guise comme toi.
Kellam : Souvent, le mieux est de se tenir de profil. Mais parfois je reste ainsi sans bouger.
Cordelia : J'aurais beau m'exercer, je ne parviendrai jamais à égaler ton talent.
Kellam : Mais pourquoi vouloir se perfectionner dans l'art de se rendre invisible ? Tu as beaucoup d'autres talents.
Cordelia : J'ai peut-être beaucoup de talents, mais aucun que je ne maîtrise à la perfection ! J'aimerais qu'il y ait une chose que je sache faire mieux que quiconque !
Kellam : Oh, je suis sûr qu'il y a quelque chose ! Voyons voir... Ah, je sais ! Tu es meilleure que quiconque dans l'art d'être polyvalent !
Cordelia : Ce n'est pas vraiment ce que j'espérais...
Kellam : Mais c'est un talent formidable ! Tu apprends chaque jour de nouvelles choses. Cela veut dire que tu es la plus doué pour être moyennement bonne à plein de trucs !
Cordelia : Mmh... Peut-être qu'il y a bien de quoi être fière, après tout !

Soutien S :

Kellam : Pff, pff, pff... Cette fois-ci, dix-sept minutes sans cligner des yeux ! C'est parti ! Gnnnnnnnnnnn !
Cordelia : Tu t'entraînes dur, Kellam !
Kellam : Mes yeux ! Ça brûle ! Oh, salut, Cordelia. Je copie les exercices que tu as utilisés pour me surprendre.
Cordelia : Je n'aurais jamais cru un jour me retrouver dans le rôle du professeur ! Mais cela me plaît. J'aime pratiquer des techniques d'infiltration en ta compagnie.
Kellam : Moi, ce qui me plaît, c'est d'avoir quelqu'un à qui parler, pour une fois. C'est pour ça que je me suis procuré cet anneau... pour toi.
Cordelia : Oh ! C'est magnifique ! C'est toi qui l'as fabriqué ?
Kellam : Oui. Il n'a sans doute pas grande valeur, mais il est forcément unique au monde !
Cordelia : J'ignorais que tu étais capable de fabriquer des bijoux !
Kellam : Je ne sais pas vraiment... Mais j'ai fait de mon mieux ! À force de tâtonnements, j'y suis arrivé !
Cordelia : Tu as fait tout ça... pour moi ?
Kellam : Je... Tu me plais vraiment beaucoup, Cordelia ! Plus que quiconque ! Sans parler du fait que tu puisses me voir ! Du coup ,'ai réfléchi, et, euh...
Cordelia : Kellam, je suis désolé... Je ne sais pas comment te l'annoncer...
Kellam : Oh oh.
Cordelia : Je plaisantais ! Ma réponse est OUI ! J'accepte ta demande en mariage !
Kellam : Oh, tu veux bi... bien ? Ça alors ! J'ai cru que tu allais refuser...
Cordelia : Pourquoi est-ce que je ferais ça ?
Kellam : Oh, tu sais... Je suis un peu bonne poire, parfois.
Cordelia : Il va falloir revoir cette attitude négative si vous voulez être mon époux, Monsieur !
Kellam : Euh, oui ! Tu as raison !

C'est quand même un boulot titanesque

Daraen X Gagrel :

Soutien C :
Daraen:Ah, salutations, Gangrel.
Grangrel :Darean.
D:D'où vous vient cet air pensif ?
G:Je me remémorais les temps révolus...
D:Des temps où vous étiez roi, c'est ça ?
G:Oui. En y repensant, je réalise que peut-être mon règne à été irréfléchi...Voire cruel.
D:C'est un point de vue à peu près honnête...
G:Ha ! Tu ne mâche pas tes mots, toi !
D:Ce serait ridicule de prendre des gants. C'est la raison même pour laquelle nous sommes venus vous renverser.
G:C'est bien ton genre de dire cela. Mais j'avais mes raisons, tu sais ! Nous étions sous la menace de Valm et de Walhart. Si j'avais pu nous unir...
D:Par « nous », je suppose que tu entends Ylisse, Regna Ferox, et Plegia ?
G:Les temps étaient sombres...et nul ne savait jusqu'où irait l'empire de Valm. Mais si j'avais pu subjuguer tout le continent pour y bâtir un grand empire...Peut-être aurions nous alors réussi à arrêter son avance ! En tout cas, c'était comme ça que je voyais les choses.
Votre règne n'était que violence et cruauté, et vous avec terrorisé vos sujets et voisins. Une union bâtie sur l'intimidation et les menaces est naturellement vouée à l'échec.
G:Ne me fais pas la leçon, petit arrogant ! Je n'ai pas dit que j'avais raison ! Les circonstances m'ont rendu aveugle, et incapable d'envisager une autre voie. Bah ! Je ne vois pas pourquoi je m'explique. Tu sais comment mener un royaume, toi ?
D:Eh bien, je suppose que non.
G:J'en ai assez de tout ceci !

Soutien B :
D:Gangrel ?
G:Darean.
D:Que faites-vous ici, tout seul ?
G:Rien de spécial.
D:Vous ressassez à nouveau le passé ?
G:Je croyais avoir de bonnes raisons de faire cette guerre, Darean. Vraiment. Mais au final, ce sont Chrom et votre troupe qui avez arrêté Valm.
D:N'est-ce pas ?
G:Cette grimace suffisante ne te sied pas ! Ma folle soit de pouvoir a causé la misère de milliers d’innocents ! Combien de personnes ai-je tuées ? Combien de familles ai-je séparées ? Et tout cela pour quoi ? Pour rien.
D:Je ne le discuterais pas. Vos actes sont difficilement pardonnables.
G:Comment se sent-on, quand on est assez immaculé pour pouvoir juger les autres ?
D:S'il est vrai que vous avez cette guerre pour protéger votre peuple, assumez cela. Vous avez mieux à faire que de vous apitoyez sur votre sort.
G:Vraiment ? Alors dis-moi, grand sage, ce que j'ai de mieux à faire...
D:Rejoignez-nous dans nos efforts pour apporter une paix durable à nos terres. Vous aurez beau remâcher le passé, vous n'y trouverez aucune absolution.
G:Oh, Darean ! Tes paroles me percent, car elles sont vraies !
D:Et donc ?
G:Je me suis fait monarque ; juste un fou, qui erre sans but et sans attache. Je devrais me réveiller et me battre pour la paix juste pour vous faire plaisir ? Pouah ! Je n'ai pas besoin d'un des toutous de Chrom pour me donner une raison d'être ! Que le monde prenne garde ! Gangrel a un nouveau plan ! Une nouvelle vision !
D:Voilà qui ressemble déjà plus au Gangrel d'avant...dans le bon sens du terme.
G:GYAAAH ! Gangrel est de retour, et il est prêt pour la bagarre !
D:C'est bien la première fois que je suis ravi d'entendre ça...

Soutien A :
G : Mouah ha ha ! Mais c' »est mon bon ami, Darean !
D:Bonjour, Gangrel.
G : Tu as vu l'air surpris de ce mort-vivant ? Il ne s'attendait pas à CA, hein ? Ha ha ha !
D:Vous voulez dire quand vous lui avez coupé la tête avec une pelle ? Nul doute que cela est venu par surprise, en effet. Vous êtes devenu un redoutable combattant, ces derniers temps.
G : Mouah ha ha! Et tu sais grâce à qui ? A toi ! Toi et tes paroles acerbes m'ont finalement poussé à l'action !
D:Vous me voyez ravi d'avoir inspiré tant de motivation...ça me rappelle quelque chose.
G : Et qu'est-ce donc ?
D:Vous avez un temps fait partie des disciples de Grima, n'est-ce pas ?
G:Ces hurluberlus avec leurs vieux grimoires ? Ha ! Sûrement pas. Mais c'était la croyance du royaume, donc j'en connaissais évidemment les rituels.
D:La religion peut être un puissant outil pour unir un peuple derrière une cause commune. J'imagine qu'Aversa s'en est servie afin de persuader vos sujets de prendre les armes ?
G:Peut-être...Mais au fond, je pense qu'elle s'est surtout servie de moi.
D:Et les Plégiens, que pensaient-ils vraiment de cette croyance ?
G :Ce qu'ils en pensaient ? Ha ! Ils ne pensaient pas du tout, je dirais ! Pris entre ma poigne de fer et l'inquisition d'Aversa, ils n'avaient pas le choix ! Comme je te l'ai dit, les temps étaient sombres.
D:Le peuple était intimidé par votre pouvoir, mais les temples offraient du réconfort ?
G :Oui. le réconfort des damnés.
D:Merci, Gangrel.
G :Hein ? Merci pour quoi ?
D:Comment aider le peuple plégien sans connaître ce qui se trame dans son coeur? Notre cause est simple : sauver ce monde et tous ceux qui l'habitent. Cela inclut les pauvres hères qui restent les esclaves de Grima.
G:Tu es un être bien singulier. Les Plégiens ont infligé aux autres terreur et épreuves, pourtant, tu voudrais les sauver. Tu m'impressionnerais presque.
D:Ce n'est pas le moment pour les récrimitions ou les envies de revanche. Si nous voulons sauver le monde, il nous faut combattre sans hésitations...mais nous devons également être prêts à accorder le pardon.
G : Mouah ha ha ! Tu t'y connais aussi bien en discours mielleux qu'en paroles acerbes ! Mais tu as raison. Il y a aura bien assez de temps pour des condamnations plus tard.
D:Tout à fait !
G:Quoi de mieux pour redresser mes torts que de sauver mon propre peuple ? Je reviens non pas en tyran, mais comme sauveur !
D:Parfait. Votre route sera longue, mais chaque nouveau pas compte.

Kellam est suicidaire en faite (soutient palne)

Merci pour la Maj, ça permet d'y voir clair^^ Et ça a l'air bien long à écrire

Kellam/Sully :

Soutien C :

Sully : Kellam ! Hé, KELLAM !
Kellam : Euh... Oui ?
Sully : J'ai deux mots à te dire, tête de piaf ! Chrom m'a dit qu'à la dernière bataille, tu assurais secrètement mes arrières ?!
Kellam : Euh... Ce n'est rien de secret, Sully. Je me bats juste avec...
Sully : Arrête ça, tu veux ?! C'est moi qui assure les arrières, ici ! C'est moi qui protège ! Compris ?! Je n'ai pas besoin d'un petit homme dans une grosse armure pour me débrouiller !
Kellam : Euh... M... Mais...
Sully : Tu crois que j'ai besoin d'aide ? C'est ça ? Que je suis une « chose faible et fragile » ? Tu crois être mon chevalier galant dans sa grosse armure étincelante ?
Kellam : Je ne te traite pas différemment des autres, vraiment ! J'aime juste protéger...
Sully : Je ne le dirais qu'une fois, tête de piaf : Ne me refais JAMAIS ça ! C'est bon ? C'est rentré dans ton crâne ? Parce que si c'est le cas, j'ai fini. J'ai mieux à faire que de crier sur un type caché dans une boîte en fer.
Kellam : Oh... Euh... Bien sûr, évidemment... Je veux dire... euh... Au revoir.

Soutien B :

Sully : Kellam ? KELLAM !
Kellam : Euh... Oui ?
Sully : Ah, tu es là ! Hmm... C'est ce que je pensais... Tu t'es fait blesser au bras.
Kellam : Oh... Tu avais remarqué... ? Je pensais que personne ne...
Sully : Bien sûr que j'ai remarqué, idiot ! Le coup que tu as reçu m'était destiné. Je ne t'avais pas déjà dit la dernière fois que je ne voulais pas de ton aide ?
Kellam : M... Mais ce type allait te trancher la tête ! Je ne peux pas rester là à regarder mes amis se faire découper, tout de même.
Sully : Oh, quelle galanterie ! Pfff... ! Je l'aurais évité, ce type. Et de plus, je ne vois pas en quoi ça nous aide que tu meures au lieu d'un autre.
Kellam : Euh... Tu as sûrement raison...
Sully : Bon, fais-moi voir ton bras que je puisse jeter un œil à cette blessure.
Kellam : Ça va aller, ne t'inquiète pas. Vraiment ! C'est à peine une égratignure...
Sully : Arrête de jouer au dur et fais-moi voir ce bras, que je te mette un bandage !
Kellam : T... Tout de suite, Madame !
Sully : Mais quel imbécile ! Et si on me guillotinait, tu mettrais la tête sous le couperet ?
Kellam : Probablement que oui !
Sully : Ah ! Et moi qui croyais que tu n'étais qu'une petite souris docile... Lorsqu'il s'agit de protéger les autres, tu es têtu comme une mule !

Soutien A :

Sully : Kellam ?
Kellam : Je... Je suis là, Sully... S'il te plaît ne me frappe pas ! Je sais que je t'ai encore aidée, mais je ne l'ai pas fait exprès ! Je le jure !
Sully : À vrai dire... je voulais te remercier. Ils étaient trop nombreux pour moi cette fois. Si tu n'étais pas intervenu...
Kellam : Euh... Tu veux dire que...
Sully : Oui... C'est bon ? Oui, tu as gagné. Tu peux assurer mes arrières. Bon sang, je n'ai jamais rencontré un homme aussi têtu de toute ma vie !
Kellam : On a tous besoin d'aide à un moment, Sully. Et on se bat tous pour la même cause. Ça n'a pas de sens de vouloir tout faire seule, peu importe ta force.
Sully : Tu veux dire comme servir tout seul de bouclier pour tout le monde ? Hmm... ? Ce n'est pas une mince affaire pour un seul homme. Je pourrais t'aider...
Kellam : M... M'aider... ?
Sully : Si tu protèges les autres, quelqu'un doit bien te protéger. Non ? Tu peux être le bouclier des Veilleurs et moi je serai le TIEN.
Kellam : Euh... Eh bien...
Sully : Quoi ? Tu n'aimes pas recevoir de l'aide de quelqu'un ? Il va pourtant falloir t'y faire !
Kellam : Euh... D'accord... Merci, Sully.

Soutien S :

Kellam : Hé, Sully. Je voulais te remercier de m'avoir sauvé la mise dans la dernière bataille.
Sully : Aucun souci, tête de piaf. Je te le devais bien... C'est drôle, je ne me rappelle même pas comment je faisais pour me battre sans toi. Ça fait vraiment du bien de savoir que quelqu'un veille sur moi.
Kellam : C'est vrai ! Je me sens aussi plus fort quand je suis avec toi.
Sully : C'est encore plus que ça, Kellam. Tu me donnes envie d'être une meilleure personne.
Kellam : Euh... Eh bien... En fait... À vrai dire... C'est toi entre tous que je préfère protéger.
Sully : Oh ! Vraiment ?
Kellam : Je t'aime bien, Sully... En fait, je t'aime vraiment BEAUCOUP. Et... euh... je me disais que peut-être nous pourrions nous... marier ?
Sully : Nous marier ?!
Kellam : Oui ! Pourquoi pas ?! Regarde, je t'ai acheté un anneau !
Sully : Je ne suis pas vraiment une dame, tu sais. Je me demande quelle épouse je serais.
Kellam : La meilleure, j'en suis sûr !
Sully : Je... Hmm... J'ai du mal avec ce genre de... choses, mais... Je t'aime, Kellam. Je n'ai jamais rien ressenti de tel pour personne auparavant.
Kellam : Alors... Oui ?
Sully : Oui, tête de piaf. C'est parti. On se protégera l'un l'autre, et tous les deux, nous serons imbattables.

Vous voulez que je tente les soutiens MU(F) X n'importe qui ?

A l'occasion , je ferais aussi dans quelques jours Tiki x MU (M) , Say'ri et Anna.

Tente le coup Gotha.
Prochain que je fais : Kellam/Tharja.

Kellam/Tharja :

Soutien C :

Tharja : Mais où est-il...
Kellam : Tu cherches quelque chose ?
Tharja : Hiii ! D'où tu sors, toi ? Comment fais-tu pour devenir invisible ? On t'a jeté une malédiction ?
Kellam : Non... Ou alors je ne m'en rappelle pas.
Tharja : Je vois. Bien, c'était un plaisir de discuter avec toi, Monsieur Discret. À présent, si tu veux bien m'excuser, j'ai une lettre à envoyer.
Kellam : Ah... Je suis aussi ici pour ça. Je peux te donner un coup de main si tu veux.
Tharja : Je veux envoyer ça à Plegia, je me demande si c'est possible.
Kellam : Oh, mmh. Je n'en suis pas sûr. Mais ça devrait passer. Tu as de la famille à Plegia ?
Tharja : Oui...
Kellam : Tu dois t'inquiéter pour ta famille. C'est normal. Je m'inquiète pour la mienne aussi.
Tharja : Je viens d'une puissante famille de mages noirs. Ils savent se protéger avec la magie. Mais... avec la guerre... on ne sait jamais.
Kellam : Une famille de sorciers ? Ils devraient s'en sortir.
Tharja : Je l'espère...

Soutien B :

Kellam : Tharja ?
Tharja : Hiii ! Toi, la prochaine fois que tu apparais comme ça, je te jette un sort.
Kellam : Oh... désolé... je t'apportais ceci. C'est arrivé au courrier de ce matin.
Tharja : Une lettre ? Pour moi ? Donne-la-moi.
Kellam : …
Tharja : Oh, quel soulagement !
Kellam : C'est ta famille ? Est-ce qu'ils vont bien ?
Tharja : Tu es toujours là ?
Kellam : Oh désolé. Je voulais savoir... si les nouvelles étaient bonnes.
Tharja : Pourquoi est-ce que tu t'inquiètes pour ma famille ? Tu es bizarre. Quoi qu'il en soit, c'est bien une lettre de mes parents, et ils vont bien. Et ta famille ? Tu as reçu une lettre ?
Kellam : En vérité, non. Je passe ici tous les matins, mais rien n'est encore arrivé. Mon frère aîné vit avec sa femme et il répond toujours très vite. Pas cette fois. C'est inquiétant.
Tharja : Si tu es inquiet, je peux t'offrir mon aide. Si c'est ce que tu veux.
Kellam : Comment ?
Tharja : Avec un bon sort, on arrive à tout.
Kellam : C'est pratique. Eh bien, si tu veux bien m'aider, je ne dis pas non !
Tharja : Alors, tu dois tout me dire sur ton frère. Ne néglige aucun détail. Si tu omets quelque chose, mon sort risque d'avoir des conséquences abominables.
Kellam : Gloups ! Vraiment ? Est-ce que ça arrive souvent ?

Soutien A :

Kellam : Tharja ?
Tharja : Hiii !
Kellam : Oh, désolé, j'ai pourtant essayé de ne pas te surprendre...
Tharja : Je commence à m'y habituer. Est-ce que tu as des nouvelles ?
Kellam : Oui. J'ai reçu une lettre de mon frère. Lui et sa famille sont partis pour éviter le conflit. Je ne l'aurais jamais su sans ton aide.
Tharja : Ce n'était rien.
Kellam : Il vient d'avoir un fils. Je suis oncle.
Tharja : Quelle bonne nouvelle !
Kellam : Hum...
Tharja : Oui. Qu'est-ce qu'il y a ?
Kellam : C'est la première fois que je te vois sourire. Ça me rend heureux.
Tharja : Tu es vraiment bizarre.

Soutien S :

Tharja : Kellam ?
Kellam : Gaaah ! Comment m'as-tu remarqué ?
Tharja : Hé hé hé ! Je te rends la monnaie de ta pièce. Tu es facile à repérer avec un ou deux sortilèges.
Kellam : Ah, je vois. Tu t'es servi de la magie... c'est pratique...
Tharja : Tiens. C'est pour toi.
Kellam : Qu'est-ce que c'est ?
Tharja : Une amulette pour protéger l'utilisateur et lui porter chance. J'en ai fabriqué beaucoup et j'en ai trop. Tu pourrais la donner à ton neveu.
Kellam : Oh, merci ! Mon frère et sa femme seront si contents ! C'est si gentil de ta part, je ne saurais pas comment te rendre la pareille...
Tharja : Je t'ai dit que j'en avais trop ! Tu es vraiment bizarre quand tu t'y mets.
Kellam : Hum... j'ai aussi quelque chose pour toi. Ce n'est pas aussi utile qu'une amulette, mais...
Tharja : Un anneau ? Pour moi ?
Kellam : Oui. Je t'aime... beaucoup. Et quand je t'ai vu rire... Je me suis dit que je voulais passer plus de temps avec toi pour te voir rire encore. Est-ce que tu veux cet anneau ?
Tharja : J'ai toujours su que tu étais bizarre... mais moi aussi, quand on y pense.
Kellam : Tu n'es pas bizarre. Tu es magnifique !
Tharja : Si c'est ce que tu penses, alors... je n'ai qu'à accepter ton anneau et ta demande. Nous devrions écrire à nos familles pour leur annoncer la nouvelle.
Kellam : Oh, absolument ! Peut-être devrions-nous nous asseoir et écrire une lettre ensemble ?
Tharja : Oui. Faisons ça !

Sully/Frederick :

Soutien C :

Sully : Te voilà, Frederick ! Que dirais-tu d'une petite séance d'entraînement ?
Frederick : Avec plaisir, Sully. Je vous laisse me porter le premier coup quand vous serez prête.
Sully : Tu vas prendre une belle fessée ! HIIIYAAA !
Frederick : Hmm... Une technique admirable et un geste maîtrisé, à n'en point douter... C'est toutefois à mon tour, à présent...
Sully : Aah !
Frederick : Je ne vous ai pas blessée, j'espère.
Sully : Tu n'y es pas allé de main morte, mais ça va, merci ! Je crois que j'abandonne, en fait... …
Frederick : Quelque chose vous perturbe ?
Sully : Je suis surprise que tu me battes aussi facilement, voilà tout.
Frederick : Ce n'était point un duel facilement remporté. Loin de là.
Sully : Peut-être, mais je n'ai pas l'habitude de perdre !
Frederick : Parfois, l'issue d'un duel peut se décider sur un simple coup de chance.
Sully : Hmm... Bon, merci pour tout. Je te préviendrai quand ma technique sera au point.
Frederick : C'est avec plaisir que je reprendrai l'entraînement avec vous.

Soutien B :

Frederick : Vous n'étiez pas dans votre assiette lors de notre dernière bataille. Si vous avez quelque inquiétude, je suis là.
Sully : Je n'arrive pas à comprendre comment tu as réussi à me battre. Voilà ce qui me mine !
Frederick : Bonté divine ! Plusieurs jours ont passé depuis ! La comparaison est vaine puisque nous nous battons sous la même bannière.
Sully : Je sais, mais tout de même. C'était comme si ce duel était perdu d'avance. Je n'avais jamais eu cette impression auparavant contre qui que ce soit.
Frederick : Lorsque vous avez rejoint les Veilleurs, j'étais chargé de votre entraînement. C'est peut-être cela qui vous perturbe...
Sully : Ha ! Je m'en souviens. Je pensais pouvoir tous vous corriger les uns après les autres. Et je m'en sortais plutôt bien jusqu'à ce que tu arrives ! Tu n'en avais pas l'air, mais tu m'as fustigée dans les règles de l'art !
Frederick : Hmm, le mot est un peu fort... Il serait plus juste de parler d'une sorte d'initiation...
Sully : Je n'ai pas pu dormir pendant plusieurs jours. J'étais furieuse de m'être fait battre.
Frederick : Tout cela est sans doute lié à vos inquiétudes du moment. Lorsqu'il dispute son premier duel contre son maître, l'élève n'est jamais serein. Le maître apparaît bien souvent comme imbattable.
Sully : Je ne peux donc pas te battre, car tu m'as dérouillée quand j'avais 15 ans ?
Frederick : Je ne l'aurais pas forcément formulé ainsi...

Soutien A :

Sully : Est-ce que vous m'avez vue aujourd'hui sur le champ de bataille ?
Frederick : Vous avez fait un excellent travail ! Un cap a été franchi !
Sully : C'est grâce à tes remarques. J'ai toujours senti la nécessité d'être meilleure que les autres. Lorsque quelqu'un me surpassait dans un domaine, je le vivais comme un échec. Et le fait de ne pas pouvoir m'imposer face à toi m'avait particulièrement affectée.
Frederick : Cette manière de penser peut aussi être une force.
Sully : C'était en effet une force au début, mais ça a fini par entraver ma progression. Je ne me suis pas entraînée toutes ces années dans le seul but de te battre. Le but était uniquement que tu puisses me considérer sur un pied d'égalité.
Frederick : Vous êtes devenue une guerrière accomplie. Je n'ai rien à craindre lorsque vous êtes là.
Sully : C'est en comprenant ce que je ressentais que tout m'est apparu clairement. Et c'est grâce à toi que j'ai pu aller de l'avant. Je te dois une fière chandelle.
Frederick : Vous n'êtes plus une élève. Vous êtes passée maître dans votre art. Nous combattons désormais sur un pied d'égalité.
Sully : Je ne te le fais pas dire !

Soutien S :

Sully : Hmm...
Frederick : Vous pensez à quelque chose ?
Sully : Je réfléchissais à nouveau à l'impossibilité de te battre en duel.
Frederick : Je pensais pourtant que vous aviez déjà trouvé la solution à ce problème...
Sully : Oui, moi aussi je le croyais, mais... J'ai l'impression que ce n'est pas lié au fait que tu aies été mon maître.
Frederick : Dans ce cas, quelle en est la raison ?
Sully : Eh bien, quand tu es là, je suis maladroite, je manque de concentration... Comme ce sentiment est nouveau pour moi, je n'arrivais pas à saisir ce qui m'arrivait. En fait, si je me sens ainsi, c'est parce que... je suis amoureuse de toi.
Frederick : …
Sully : Je sais que je n'y vais pas par quatre chemins et que tu ne t'y attendais pas. Mais j'ai besoin de te dire ce que j'ai sur le cœur pour aller de l'avant. Hmm... Qu'en penses-tu ?
Frederick : Je dois admettre que j'avais envisagé la chose. Aussi ai-je apporté un présent pour l'occasion.
Sully : Oh, Frederick ! C'est une alliance avec mon nom gravé dessus !
Frederick : J'avais l'intention de vous la remettre à la fin de la guerre.
Sully : À moi ? Vraiment ? Je n'arrive pas à y croire... Je suis si...
Frederick : Forte ? Vaillante ? Intelligente ? Vous avez ces vertus et bien d'autres encore.
Sully : J'ai l'impression de chevaucher un poney rose dans un champ de coquelicots... Et pour quelqu'un qui a en horreur des mièvreries, c'est beaucoup dire !
Frederick : Quoique moins inspiré que vous, le même sentiment habite mon esprit. Sully, ma belle âme, voulez-vous être mon coquelicot ?
Sully : Seulement si vous acceptez d'être mon papillon d'amour !
Frederick : … C'est particulièrement embarrassant.
Sully : Euh... Légèrement, oui... Allons donc nous entraîner pour compenser un peu.

Je vous fais Daraen avec Olivia mardi

Y en a tellement

Kellam x Tharja , je trouve que c'est le seul soutien où Kellam passe plus pour un personnage marrant et sympas qu'un soumis.

Inigo X Lucina....

Comment il appelle à l'aide sa mère à la fin...

Sully/Vaike :

Soutien C :

Vaike : OUAAAH ! Ça sent mortellement bon ! C'est quoi que tu manges ?
Sully : Un gâteau aux baies des bois recouvert de la meilleure crème d'Ylisse.
Vaike : Je te parie cette pièce d'or que c'est les demoiselles qui te suivaient qui l'ont fait !
Sully : Garde ta pièce. Elles l'ont préparé à notre départ pour que je n'attrape pas froid.
Vaike : Par l'enfer ! Aucune demoiselle n'a jamais préparé quoi que ce soit au champion ! C'est quoi ton secret ? Va pas croire que je suis jaloux, hein ! C'est pas ça...
Sully : Je suis peut-être naturellement charmante. Tu aurais besoin d'un conseil ?
Vaike : Ha ha ! Non, t'inquiète ! Le champion n'a pas besoin d'être conseillé sur ça ! C'est sûr que personne ne m'a jamais préparé de gâteau délicieux ou autre... Mais une fois une bergère m'a filé une belle pomme qui n'avait qu'un seul asticot !
Sully : Heureuse de l'apprendre...
Vaike : Le truc, c'est que j'suis du genre viril. Et un homme viril, ça mange pas trop de gâteau. Je préfère manger l'arrière-train d'un mulet plutôt qu'un gâteau préparé par une femme. Mais bon, avoir une experte en pâtisserie qui prendrait soin de moi, ça se refuse pas. Si seulement j'avais une belle monture, j'arriverais peut-être à en trouver une...
Sully : Un idiot à cheval est toujours un idiot.
Vaike : Tu disais... ? Bah, peu importe. Sinon, Sully... T'es une femme, toi... Du coup, c'est quoi que tu recherches chez un homme ?
Sully : Il doit être meilleur que moi et mériter mon respect.
Vaike : Quand tu dis « meilleur », tu veux dire plus « chic » ?
Sully : Je veux dire plus vif d'esprit, plus fort et plus adroit à la lance et à l'épée.
Vaike : Dans ce cas, on pourrait s'affronter en duel ! Je suis plutôt costaud, moi !
Sully : Ce n'est pas en provoquant une femme en duel que tu vas gagner son cœur. Mais soit ! Ça fait une éternité que je n'ai pas transpercé un idiot de ma lance...

Soutien B :

Vaike : Hé, Sully, tu veux pas aider le champion à gagner le cœur d'une femme ? J'ai une allure d'enfer, la force d'un ogre et le charme d'un noble !
Sully : Tu as raison sur l'un des trois. Enfin, plus ou moins... Tu te débrouilles bien à la hache, mais je suis meilleure que toi à la lance. Notre duel était serré jusqu'à ce que tu utilises tes bras pour m'étrangler... Je dois bien admettre que tu es fort. Pas très vif d'esprit, mais fort.
Vaike : 498... 499... 500 ! Tu disais ? Désolé, j'étais occupé à faire des tractions avec mes biceps. Tout ça pour dire que j'ai besoin de ton aide, Sully. Ne me laisse pas tomber ! Vise un peu mes biscotos ! C'est quand même du bon matos ! J'ai tout pour plaire !
Sully : Peste ! Tu es irrécupérable ! Et te montrer aimable et courtois ? Tu y as pensé ?
Vaike : Mais, euh, ça sert à rien !
Sully : Pour moi, un homme doit avoir des idéaux. Il doit vouloir se surpasser. Je ne vais pas passer ma vie avec une personne incapable de gagner mon respect.
Vaike : C'est moi tout craché ! J'ai plein d'idéaux ! C'est pour ça que j'ai rejoint les Veilleurs !
Sully : Tiens, oui, au fait. Pourquoi te bats-tu pour Chrom ? Je t'écoute ! Qu'est-ce qui t'a décidé à faire ce choix ?
Vaike : Je voulais devenir le plus grand guerrier du royaume !
Sully : Non, idiot ! Je veux savoir pourquoi tu veux devenir un grand guerrier ?
Vaike : Y a une raison à ça. Je veux bien te raconter si ça t'intéresse... J'ai grandi sans rien dans un petit village. Aucun gamin n'arrivait à me battre. Je me suis vite retrouvé à la tête d'une petite armée de mioches qui m'admiraient. Bien sûr, pour les adultes, on était qu'une bande de petits vauriens.
Sully : Ça ne m'étonne qu'à moitié.
Vaike : Un jour, Emmeryn en personne s'est rendue dans ce coin perdu, et elle nous a dit... « Mon but est d'apporter le bien-être et la prospérité dans tout Ylisse. ». Ça m'a tout de suite parlé ! À partir de là, j'ai su quel était mon objectif !
Sully : Rejoindre les Veilleurs pour réparer tes erreurs passées et lutter pour la justice ?
Vaike : C'est ça ! J'arrivais juste pas à l'exprimer en mots ! Comment t'as deviné ?!
Sully : Tu n'es peut-être pas aussi irrécupérable que je le pensais, Vaike. Tu mériterais presque qu'on te respecte.
Vaike : Tu le penses vraiment ? Du coup, ça veut dire que toi et moi...
Sully : Tu rêves !!! C'est quoi ton problème ? Tu es tombé sur la tête quand tu étais petit ?
Vaike : Oh, c'est bon ! Restons courtois quand même !

Soutien A :

Vaike : Hé, mais c'est Sully ! Je te cherchais justement. J'ai une question pour toi !
Sully : Quoi donc ? Je suis occupée...
Vaike : Pour quelle raison tu as rejoint les Veilleurs ? Moi, je t'ai raconté mon histoire. Alors faut que tu me racontes la tienne. C'est normal !
Sully : C'est pas intéressant ! J'ai rejoint les Veilleurs pour devenir chevalier.
Vaike : Je te crois pas ! T'es en train de te jouer de moi !
Sully : C'est quoi le problème ?
Vaike : C'est que/// Je pensais que tu étais déjà chevalier !
Sully : J'ai une armure et des armes, mais je dois encore prêter serment.
Vaike : Ah, je vois. Tu veux donc te couvrir de gloire en compagnie des Veilleurs ! Si tu te fais remarquer par Chrom, il va peut-être t'adouber !
Sully : Ce n'est pas nécessaire. Mon père est chevalier tout comme son père avant lui. Ce titre me reviendra de droit quoi qu'il advienne. Je pourrais rester assise à manger du raisin toute la journée. Ça ne changerait rien.
Vaike : Mais dans ce cas, pourquoi rejoindre...
Sully : Parce que je n'aurais aucun mérite à attendre en restant les bras croisés. Un chevalier ne devrait pas acquérir son titre en raison de ses origines nobles ! Un chevalier a des devoirs et des responsabilités ! La bravoure, la loyauté et la protection des faibles doivent guider son chemin. Je ne peux prêter serment sans affûter ma technique et m'endurcir au combat. Le courage ne vient qu'après avoir croisé le regard de la mort sur le champ de bataille. Mon combat auprès des Veilleurs durera tant que je n'aurais pas mérité mon titre !
Vaike : Par tous les diables, c'est ce que j'appelle un discours enflammé !
Sully : Tais-toi ! Mon intention n'est pas de... Je défends ces valeurs, voilà tout. Je n'ai pas souvent l'occasion d'en parler. Tu dois me trouver ennuyante...
Vaike : Ennuyante ?! Ha ha ! Ah non, je trouve pas ! Tu es tout sauf ennuyante, Sully ! Rien ne m'avait autant ému depuis la visite de la Sainte Reine dans mon village !
Sully : Vraiment ?
Vaike : Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer ! Tu es prête à m'affronter à nouveau, Sully ? Tu veux devenir un chevalier accompli et moi le meilleur des guerriers ! On est fait pour s'entendre !
Sully : Je ne vais pas me retenir. Ça risque de faire mal... Et pas qu'un peu.
Vaike : Ha ha ! Je sais !

Soutien S :

Vaike : Hé, salut, Sully.
Sully : Bonjour, Vaike.
Vaike : Au fait, je me demandais... Tu serais pas un peu amoureuse de moi, toi ?
Sully : Peste ! D'où tu tiens une idée aussi absurde ?!
Vaike : Disons que dernièrement tu te comportes pas comme d'habitude avec moi. C'est ce qui m'a mis la puce à l'oreille. Mais si je me trompe, dis-moi/
Sully : Tu es plutôt du genre direct, toi ! Mais tu m'as posé une question honnête, et tu mérites une réponse honnête. Oui, je suis peut-être un peu amoureuse de toi... Mais je ne peux pas dire que ton comportement m'enchante !
Vaike : Ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd ! Le champion est content ! Parce qu'en fait, tu commences aussi à me plaire.
Sully : Mais si tu crois que je vais faire le ménage, tu te fourres le doigt dans l’œil jusqu'à l'os.
Vaike : Ha ha ! Il faudrait être le roi des idiots pour y croire ! Je t'aime comme tu es. J'ai l'impression que je peux tout te raconter. C'est pour ça que pour moi tu es la femme idéale !
Sully : Je n'arrive pas à croire que je sois assez stupide pour considérer la chose. Bon, allez, pourquoi pas ? Et si on se mariait ?
Vaike : Une seconde ! C'est moi l'homme ici ! C'est donc à moi de faire la demande !
Sully : Pfff ! Trop tard, andouille !
Vaike : Ah, ça pour un raté ! Je m'étais préparé toute la journée pour la demande ! Je t'avais même acheté cette bague à la noix...
Sully : Et tu vas me la donner ou rester planté là comme une triple buse ?
Vaike : Ah, ouais. Tiens, attrape !
Sully : Oh, Vaike, cette bague est tellement... magnifique. C'est trop beau ! Tu veux aussi un petit battement de cils et des larmes de crocodile, andouille ?
Vaike : Bah, franchement, ce serait pas du luxe...

Zut, c'est rare que je fasse des fautes de frappe, j'en remarque déjà une...

Ton truc c'est plutôt les fautes d'orthographe.

Et, si tu lis ce que j'écris, essaie de les repérer les fameuses fautes Debug'.
Autre soutien à venir.

Sully/Stahl :

Soutien C :

Stahl : Merci pour l'entraînement d'aujourd'hui. C'était vraiment une bonne session.
Sully : Ha ! Tu abandonnes déjà, lavette ?!
Stahl : Euh... Quoi ?
Sully : Tu crois que c'est digne d'un chevalier de baisser si vite les bras ? Les chevaliers légendaires qui servaient le roi Marth n'ont jamais abandonné !
Stahl : Tu veux dire, Panthère et Taureau ? Ceux des contes de fées ?
Sully : C'est de ce genre de force dont nous avons besoin pour gagner cette guerre ! Et c'est à ce genre de force que j'aspire.
Stahl : Évidemment, qui ne voudrait pas être un héros légendaire, chanté par les bardes ? Mais je ne crois pas avoir ce qu'il faut. Je suis un type plutôt... faible.
Sully : Ha ! Si tu es si faible, file en cuisine et amènes-y ton attitude avec toi ! Je ne veux pas juste égaler les légendes du passé... Je veux les SURPASSER !
Stahl : Waouh... Tu es vraiment... déterminée. C'est vrai que je pourrais forcer un peu plus pendant l'entraînement.
Sully : Et comment ! Je n'arrêterai pas tant que je ne serai pas aussi forte que Taureau !
Stahl : Ah ha ! Je suis sûr que... Hé, attends ! Tu serais Taureau dans ton scénario ?
Sully : Ça te dérange ?!
Stahl : Non, non ! Non, c'est... bien. C'est bien. Ça veut dire que je suis Panthère, alors ? J'ai du pain sur la planche, on dirait...

Soutien B :

Stahl : Assez ! J'abandonne !
Sully : Oh, allez ! Tu peux faire mieux que ça ! Tu me laisses gagner, c'est ça ?!
Stahl : Personne ne te laisse gagner quoi que ce soit. C'est toujours par la force que tu saisis la victoire.
Sully : Pff... C'est ça, ton excuse ?!
Stahl : Hé, tu savais avant de commencer que j'étais faible...
Sully : Tu manques de confiance en toi car tu ne peux pas te voir. Là, serrons-nous la main... Bon sang ! Attrape ma main !
Stahl : Euh... D'accord.
Sully : Alors ? Que ressens-tu ? Ma main est-elle différente de la tienne ?
Stahl : Eh bien... Elle est bien plus petite que je ne le croyais... et vraiment douce ! Hmm... C'est assez agréable, en fait.
Sully : Tu t'égares. Concentre-toi sur la première chose que tu as dite. Tu es plus grand que moi et plus musclé. Tu es aussi un meilleur cavalier. Explique-moi par quel miracle j'arrive à te botter le derrière de la sorte ?!
Stahl : Je ne sais pas ! Je crois que c'est à cause de cette... aura, que tu dégages. Celle qui me dit que tu en manges trois comme moi au petit-déjeuner, tu sais ?
Sully : C'est dans ta tête ! Arrête de te croire si faible et tu t'amélioreras rapidement !
Stahl : Tu crois vraiment ? Hmm... Attends, tu ne serais pas en train de me dire juste ce que je veux entendre ?
Sully : Sauf que j'ai raison. Et que tu ferais mieux de m'écouter si tu veux survivre ! Alors, qu'est-ce que tu en dis ? Prêt pour un autre combat ?
Stahl : Prêt ! Et cette fois, je ne me laisserai pas faire !

Soutien A :

Sully : Aïe ! Eh bien... Je vais le sentir passer demain.
Stahl : Ah ha ! Stahl la Panthère frappe encore ! Tu sais, je crois que je commence à saisir ce dont tu parlais l'autre fois. Avoir la bonne attitude, ça fait vraiment une grande différence.
Sully : Ne crois pas pour autant pouvoir un jour me battre, parce que ça n'arrivera pas !
Stahl : Ha ha ! J'en ai peur rien que d'y penser... Qui sait ce que tu me ferais ?!
Sully : Mais tu ESPÈRES y arriver un jour, non ?
Stahl : Euh... Eh bien... Oui, enfin...
Sully : C'est bon, gamin. Laisse tomber. C'est toujours la même chose...
Stahl : Hein ? Quoi ? Tout va bien ? Qu'est-ce qui t'arrive tout d'un coup ?
Sully : Je déteste qu'on me sous-estime sous prétexte que je suis une femme !
Stahl : Euh... D'accooord... Je ne vois pas d'où ça sort, mais si tu penses que je...
Sully : Pas toi, imbécile. Tu me traites comme ton égale et tu me respectes. Mais... Que se passera-t-il SI un jour tu me surpasses ? Personne ne pensera que le travail ou le talent y sont pour quelque chose. Ce ne sera rien de plus qu'un homme qui bat une femme. Une fois de plus.
Stahl : Ha ! Et qui pleurniche maintenant ?
Sully : Hé ! À qui crois-tu parler, crétin ?! Je vais te mettre une de ces...
Stahl : Ha ha ! ÇA c'est la Sully que je connais ! Nous sommes les chevaliers légendaires... Et Panthère n'est rien sans Taureau, alors arrête de chouiner et viens te battre !
Sully : Oh, je vais te faire ravaler tes dents en moins de deux ! Allez, amène-toi, gros dur ! Montre-moi ce que tu as dans le ventre !
Stahl : Waaaah ! J'aurais peut-être mieux fait de me taire...

Soutien S :

Sully : *halètement* C'est bon ! Assez ! Je... J'abandonne. Par tous les dieux, Stahl... Tu es une vraie bête sauvage aujourd'hui !
Stahl : *halètement* Tout ça... c'est grâce à... ton entraînement, Sully.
Sully : Tu n'es pas DEVENU fort grâce à moi. Tu l'étais déjà en commençant.
Stahl : Serait-ce la fin du règne de terreur de Sully ?!
Sully : Pour aujourd'hui. Demain est un autre jour.
Stahl : Je savais bien que tu n'abandonnerais pas si facilement ! Tu travailles plus dur et vises plus haut que n'importe qui. Tu es incroyable...
Sully : Certes, mais j'aurais fait preuve de moins d'enthousiasme si tu n'avais pas été là. La route est plus facile à tenir lorsque l'on y marche à deux... Tu es le meilleur partenaire d'entraînement que j'ai jamais eu.
Stahl : Je pourrais être plus qu'un partenaire d'entraînement, si tu le voulais...
Sully : Hein ? Mais qu'est-ce que tu... Par tous les diables, Stahl ! Tu m'offres un anneau ?!
Stahl : Oui. C'est une... demande en mariage. Je suis plus souris que panthère pour le moment, mais j'y arrive doucement ! Et avec toi à mes côtés, je deviendrai l'homme, et le chevalier, que j'aspire à être. Et je serai là pour t'encourager, aussi ! Même si tu n'en as pas vraiment besoin...
Sully : C'est plutôt culotté comme offre, venant d'une petite souris.
Stahl : J'ai beau avoir l'air sûr de moi, je suis à deux doigts de me faire dessus... Si ce n'était pour toi, je n'oserais jamais faire quelque chose comme ça. Tu es mon courage, Sully.
Sully : C'est vraiment adorable, en fait. Et si tu es sérieux, j'accepte ton offre. Nous avons encore du chemin à faire, mais je ne le ferais avec personne d'autre. Nous irons jusqu'au bout, Stahl.
Stahl : Longue vie aux nouveaux Panthère et Taureau !

Doit... Me retenir... de les lire ...