Assassin's Creed III

Heu,

Mister Des idées la suite de l'histoire , l'evolution du personnage

Sweet?

Mister Passe sur la Discution avec les autres et lit ce que j'ai envoyé

J'ai lu, et j'ai pas compris...

Lol ! Euh, Laisse tombé ! XD

Bonne lecture à Tous...

Partie 2 : Paris.

[France, Paris, 1934, 14 :23]

Nous étions enfin arrivés à destination. Etant fatigué, nous décidâmes de prendre un petit repos dans une auberge. Il s’est avère qu’il en avait une non loin de l’endroit où nous étions. Non marchâmes quelques minutes, pour y arrivé. Arrivé, nous assistâmes à un combat juste devant l’auberge, deux alcooliques qui se battaient pour soit disant le plaisir.

« -Bob, entrant…Et ne révèle pas ton identité, je ne crois pas que tout les français aime les allemands. » Murmurai-je au serpent

J’ouvris la porte en bois, L’auberge était spacieuse, au mur à droite était posé des épées, des haches, et des pistolets très ancien. Les tables étaient ronde et très anciennes mais d’une qualité unique. Un escalier à droite, menait vers les chambres. Nous nous dirigeâmes vers la serveuse : Gross, Carrée, les lèvres gonflées, les yeux pleine ouverte, une cicatrice au visages. Elle prononça d’une voix telle une porte rouillé qui s’ouvre

« -Qu’est ce que vous voulez mes petits ?

-Bonjour, on voudrait deux tequilas s’il vous plaît.

- Ha !...Vous avez l’accent allemand vous, ne vous iniquité pas, mon mari il est allemand, Je vous sers et gratuitement en plus. »

L’a femme s’en alla, je me retournai vers Bob et dis-je

« -Tu parle français toi ?...

-Oui, J’ai passé quelque temps en France lors de ma formation…c’est ici que j’ai
rejoins l’ordre des assassins. » Répondit-il

Quelques instant après, la serveuse revint, deux verres de tequilas à la main.

« -Voilà pour vous étranger…»

-Nous cherchons un certain Diebold Bodmann, un bruit court qu’il passe souvent dans ces quartiers

-Et qu’est ce que vous lui voulez ?

-C’est confidentiel…

-Oui c’est ça je vous crois, regardez moi vous tout les deux, ce Bodmann c’est mon mari, si l’un de vous lui fait du mal, je vous jure que je lui couperai ses boules. »
Dit-elle d’un air menaçant.

Elle se dirigea vers une porte en bois, mesurant environ un mètre trente. Elle frappa deux fois, et un homme, la cinquantaine apparut. Il avait la peau blanche, quelque poils dessus, les cheveux noirs, les yeux vert, les nez pointu, la bouche fine. Il mesurait environ un mètre soixante-dix neuf. Il prononça avec sa voix grave.

« -C’est bob, et le…L’ex-Nazi, Adler Bergmann ?

-Exactement.

-Suivre moi. »

Nous pénétrâmes dans une autre auberge, plus grande, et plus vivante. Les tables était
larges, et grandes, les murs étaient finement décorés, on pouvait visiblement voir des dessins grecques, des mosaïques arabes, des écritures sumériennes. Bodmann nous présenta des hommes vêtus en grenat, un bandana sur la tête rayé en noir et grenat. Ces couleurs dominaient les lieux. Notre guide nous invita à le rejoindre à table.

« -Hé bien ne vous gênez pas, Joignez vous à nous les Voleurs… ici vous êtes chez la Guilde des voleurs ! » Annonça-t-il a voix haute.

Je conseillai à mon acolyte de garder ses mains dans ses poches, on ne peut jamais croire un renard. Nous expliquâmes à Diebold la raison de notre venu. Il affirma qu’il pouvait nous venir en aide. Il fit signe à trois de ces agents qui se présentèrent sur le champ.

« -Maître ?

-Oui, ces deux hommes appartiennent à l’ordre des assassins, et ils ont besoin d’aide pour une mission d’assassinat. Votre travaille consiste à localiser leur cible, Urger Fritz, Un Allemend Nazi qui traîne souvent au alentours du quartier Nord, partez ! »
Je commençais à me sentir fatigué, je devais me reposer.

« -Bodmann, Je dois dormir, vous n’auriez pas une chambre ?

-Va en parler avec ma femme … »

Arrivé, elle m’annonça qu’il y en a une en haut à droite, elle me donna la clé puis je filai. Quelques heures après, deux hommes de Diebold vinrent me réveiller.

« -Adler, Réveilles-toi, Le chef te cherche

-Je viens je viens… »

Je me levais, la tête lourde, les yeux qui se renferment. Je descendais les escaliers quand je vis Bob et Bodmann prés de la sortie.

« -Diebold, Diebold ! Je suis là, qu’est ce tu me veux ?

-Viens, mes hommes ont trouvé ta cible ! Il est à l’ambassade, viens vite, il ne faut pas tarder !»

Nous prîmes la voiture de Diebold, et nous filâmes vers ma cible. A mi-chemin, Le serpent versa quelques goûtes de poison sur une sorte de lame caché sous sa main. Il m’annonça que cette arme est réservée aux assassins de rang Assassin puis Il me versa quelques goûtes de poison sur mon poignard. Nous arrivâmes à destination, le soleil commençait à se coucher. Nous descendîmes tout les trois Alignés. Bob S’adressa à moi

« -Nous allond entrer en sautant se mur, Tu peux nous suivre ?

-Hein ?! Comment ça ?

-Regarde ! »

Le serpent et Diebold couraient vers le mur d’en face, l’escaladèrent pour arriver à une fenêtre. Puis ils me chuchotèrent.

« Bergmann, Reste-là bas ! Surveille la porte principale ! »

Je me retournai sans rien dire, le poignard à la main, et m’assit dur le capot de la voiture. Quelques instants, Diebold sortit, en se dirigeant vers moi, le sang sur les mains.

« -On le tien, Viens ! » M’ordonna t-il

Je mis mon masque et nous nous précipitâmes vers ma cible. Arrivé, Bob plaquait Urger Fritz au mur, tout en lui posant une lame au cou. Je pris la parole.

« -Laisse le Bob, Il est à moi… » Tout en marchant vers la cible.

Je sortis mon poignard. Je le pris par le cou, le regardant droit dans les yeux. Je voyais en lui un homme faible, se cachant derrière ses supérieures. Il pleurait, m’embrassait la main, me suppliant de l’épargner. Moi Je restais Immobile, le cœur bouillant de rage.

« -Vous tous, n’êtes que de faibles hommes…Vous vous caché derrière des masques qui
finissent toujours par se briser, et dévoile votre véritable personnalité...Puisses-tu reposer en paix, et que ton âme soit purifié…» Articulai-je

Brusquement, ma main bougea toute seul, et planta le poignard dans le cou de la cible. Des torrents de sang commençaient à se verser. Ses yeux se fermaient progressivement. Sa bouche essayait d’articulait vainement, ses mains froides retombaient sur terre. J’entendis soudain des bruits de pas se dirigeait vers moi, quand je me tournai…

Bien, bien, mais j'aurais couper le chapitre un peu plus tôt, je l'aurais arrêter à :"Articulai-je"

Mais c'est mieux, les descriptions sont très bien, l'histoire est plutôt cohérente, encore des fautes, mais ça, c'est secondaire

Merci Je voulais laissé un peu de suspense vers "Quand je me tournai..."

PS: J'ai pas compris pourquoi arreter la partie 2 à "Articulai-je" ?

Bon chapitre New Age, mais j'ai pas compris comment ils coincent le Nazi...

Mister Mon Protagoniste aussi ne sait pas comment, Vu qu'il reste dehors ne sachant pas escalader les murs... Pour rester logique

Oui, tu as laissé du suspens, mais je trouve que la méthode employée est trop facile, c'est simple de dire : Quand soudain...

Créer du suspens par une VRAIE (désolé du terme, mais dans un roman, tu ne trouveras jamais un coupage de chapitre comme ça) fin de chapitre est encore mieux, je pense qu'il faut que tu travail ça.

Coupé ton chapitre par "Articulai-je" aurait été 10x mieux dans le sens où le lecteur aurait pu imaginer plusieurs situations, là "Quand je me tournais", ça nous donne plus une impression de manque d'inspiration que de suspens.

Je sais pas si j'arrive a me faire comprendre

Oui Oui... ;) Merci du conseil d

Inspire toi de moi en fait!

• Se jète des fleurs*

Oui Oui...Ca fait longtemps que j'ai pas lu ta FIC :/...

Suite le samedi prochain ;) / Vendredi ;)

MDR ! Je croyais que j'avais posté la suite. Désolé

Bonne lecture à tous.
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J’entendis soudain des bruits de pas se dirigeait vers moi, quand je me tournai, Diebold et le serpent était prés de la porte.

« -Bergman, on file, la police va pas tarder ! » M’alerta-t-il

Chapitre 4 : Nouvelle vie…

[Allemagne, repaire des assassins, Berlin, 04 :35]

Partie 1 : Mes derniers jours en Allemagne…

Arrivé en Allemagne, je su sur le champ que la nouvelle était communiqué, ce qui nous poussa à éviter tout véhicule suspect, ou soldat Nazi. Nous empruntâmes les ruelles jusqu’à arriver au repaire. Les lieux étaient calme, tout les assassins dormaient, certainement. Nous pénétrâmes dans l’immeuble. Un noir ténébreux nous cachait partiellement la vue. Puis Murmurai-je au serpent

« -Tu pense qu’ils s’endorment tous.

-Normalement, Damien doit nous attendre…

-Restons grouper… »

Je sortis mon Poignard. Bob, Me frappa à l’épaule tout en m’indiquant une silhouette assise sur une chaise. Mon acolyte se précipita vers cette dernière, et mit son doigt sur le cou de l’étrange silhouette. Bob Resta Figé au sol, il se tourna, le visage défiguré, soudain une larme coula de son œil, puis il s’écroula. Je me précipitai vers lui, quand je fus choqué : Notre mentor était assassiné. Je ne ressentis malheureusement aucune tristesse ; je n’ai pas eu la chance de connaitre le mentor.

« -Bob, On n’est pas seul ici, Nous ne devons pas rester longtemps » Ordonnai-je à Bob

A peine eu-je terminé ma phrase qu’on entendit « : Bruler moi cet immeuble ! » Et Une Explosion se fit entendu dans l’étage inferieur.

« -Bob ! On monte aux toits ! »

Nous nous précipitâmes vers les escaliers qui commençaient à prendre feu. D’autres explosions suivirent. Arrivé à l’étage supérieur, j’aperçu les cadavres de mes confrères qui brulaient, je restais bloquer en voyant celui de Damien, quand Bob me tira par ma capuche. Arrivé au toit, l’immeuble commençait à s’écrouler, nous courûmes, et sautâmes dans le vide, pour tomber dans un grand vide-ordure. Nous y restâmes cachés jusqu’à ce que les assaillants se retirent. Je sortis, La nausée à la gorge, puis je commençais à vomir. Bob était sur le point de s’évanouir à cause de l’atroce odeur de ces poubelles.

« -Qu’est ce qu’on fait maintenant ? Tout est foutu…

- On doit trouver un lieu ou passé la nuit…puis on quitte le pays ! » Répondis-je

Nous étions condamnés à errer dans les rues cherchant. Quartier après quarter, Rue après rue, sans résultat. Tout espoir perdu, j’aperçus une ancienne usine.

« -Bob, Regarde, tout droit

-Quoi ? Je suis crevé, laisse moi !

-Mais regarde, Une usine, on pourra y passer la nuit…

-Tu crois vraiment …

- On n’a pas le choix, allez filons. »

Bob s’avança le premier, et escalada la barrière, il utilisa sa lame secrète pour crocheter la serrure et m’ouvrir le chemin.

[frontière entre Allemagne-France, 10 :26]

Nous étions enfin arrivés à la frontière Est du pays. Je me sentais un peu rassuré d’avoir échappé à ces maudits chiens. Déboussolé, je ne savais plus quel chemin prendre. Je me retournai vers mon acolyte, et lui demandai.

« Bob, tu as une carte sur toi ?

-J’en ai une mais pas très détaillé, c’est mieux que rien… »

Je m’aperçu qu’une ville nommé « Strasbourg » était sur notre route.

« -Il nous faut un véhicule

-Mais où est ce qu’on va trouver ton p*tain de véhicule Bergmann

-Calme toi, Bob, Calme toi…On doit chercher une station de service…et là-bas, on
chopera une voiture, ou quelque chose sur quatre roues.

-T’es sérieux sur ce coup ? Je ne t’ai jamais vu comme ça !

- On ne t’a pas dit que j’étais un espion Nazi ? J’ai du me débrouiller dans plusieurs situations… »

Nous marchâmes quelques kilomètres pour apercevoir une station de service en plein milieu de la route. Il y avait deux voitures, et un camion. Je regardai Bob et lui murmurai.

« -séparons-nous et quand je te fais signe, essai d’attirer l’attention sur toi.»

Je me dirigeai vers une chaise, et j’essayais de trouver un chemin de repli si ca tourne mal. Bob de sa part, se pointa derrière un homme. Qu’est ce qu’il mijote encor celui-là ? Je me levai, le masque au visage. Je fus attiré par une voiture noire, surement appartenant à un riche. Arrivé, je me mis à coté de cette dernière. Je levai ma tête, me tournai vers Bob, et lui fis signe. Il sortit son pistolet, et pris l’homme pour otage. Je cassai la vitre, ouvris la porte du conducteur puis celle des passagers.

« -Serpent ! Vite !

-Je fais de mon mieux…Ghaaaa ! »

Bob jeta l’homme dans les sièges de derrière et s’assis prés de moi.

« -Fonce ! Allez ! » M’ordonna-t-il.

« -Comment on démarre cette m*rde ?!

-fais descendre le truc qui ressemble à un levier ! »

Je cherchai le « levier » jusqu'à ce que j’en aperçu un à droite du volant. Je le fis descendre et la voiture démarra.

« -On va vers Strasbourg, puis on passe à paris visiter Diebold, il pourra nous héberger.»Annonçai-je

«-Et le mec derrière qu’est ce qu’on en fait ? » me questionna Bob

L’otage sortit son porte feuille et nous donna de l’argent pensant quand était des ravisseurs.

«-Prenez tout…mais laisser moi en vie s’il vous plaît ! »

Soudain, je commençais à rire, à éclater de rire, je ne pouvais plus m’arrêter. Bob commençait lui aussi à rire.

« -Qu’est ce qu’on fait du gros ? » Articulai-je…
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La caisse que les deux assassins on volé :

(http://www.renault.com/fr/passionsport/les-vehicules-historiques/images_without_moderation/4cv-1-zoom.jpg)

une sweet ?

Hein ?

c'est une suite