F1 2012

Oui, Julian !

Oula, ça fait longtemps que j'ai pas poster sur ta story.

ouuuuh le très bon épisode et la petite fourberie du Max qui veut nous faire languir

Je suis maso mais j'aime ça

Cool le dernier épisode Ca rajoute du piment a cette saison??

Pressé de voir c'est qui le mec de la fin de l'épisode (Peut etre Julian )

Vivement la suite!!!!

Saison 7, Episode 10 (n°257) : Le Ying et le Yang

Dès qu’elle m’a rejoint, Anna a vu que j’étais perturbé et que mon teint était pâle. Je lui ai dit que je couvrais peut-être un petit virus. Je ne voulais pas lui dire que je l’avais vu, ici à Barcelone sur mon terrain, dans mon univers. On commence à peine à retrouver une vie normale qui nous a trop longtemps été arrachée, il n’est pas question que la machine s’enraye à nouveau. La nuit du jeudi à vendredi fut terrible, je n’ai pas arrêté de me réveiller ce qui n’a pas manqué d’alerter Anna une nouvelle fois. Le lendemain au réveil, je me suis même demandé si je n’avais pas fait un vilain cauchemar la veille. Malheureusement, je me suis très vite rendu compte que c’était bien réel en voyant les Force India arborer leur nouveau sponsor. Pire, par malchance, je l’ai vu au loin à nouveau. Ce qui m’a frappé, c’est son assurance. En face de moi, l’homme avait grandi, s’était forgé un mental d’acier et avait soigné son allure afin de laisser éclater son charme aux yeux des photographes.

Mon état d’esprit au moment de monter dans la voiture n’est pas idéal. Je cherche ma première victoire en rouge, mon équipier est devant moi au championnat et je suis sur un circuit qui me pose souvent des problèmes. Je décide de sortir rapidement afin de me vider l’esprit des mauvaises ondes et me concentrer sur la seule chose qui importe : Mon pilotage. La vérité de la piste est tout autre comme je dis toujours. Peu importe comment nous nous sentons moralement, physiquement ou sentimentalement dans la vie active, une fois dans le cockpit, ce qui importe ce sont les sensations entre l’homme et sa machine.

Heureusement pour moi et pour la première fois sûrement de ma carrière, je sens bien la voiture sur ce circuit de Montmelo ! Au fond de moi, j’ai l’impression qu’un miracle vient de se produire ! Je suis en difficulté avec la Ferrari depuis le début de saison et voilà que sur un circuit où j’ai du mal, elle se conduit comme un charme ! Malheureusement, au niveau du chrono, ce n’est pas la grande joie. Je tourne dans un premier temps en 1.25.236. J’améliore rapidement en 1.24.709 malgré une sortie un peu large dans le second intermédiaire. En confiance, je sors la grosse attaque pour atteindre 1.23.673 ! Je suis plutôt fier de ce temps qui m’offre la deuxième place derrière Di Resta. Je décide de rentrer après cela.

Il reste un peu moins d’une demi-heure lorsque j’y retourne. Dès mes premiers tours, je suis dans le coup et je réalise une boucle que j’estime parfaite ou quasiment parfaite. 1.23.275 malheureusement ça ne suffit pas, je suis troisième mais à seulement 0.1 secondes. Je m’arrête après cela. J’effectue encore un dernier run mais il ne donnera rien. Perez me passe devant et je termine 4ème de cette séance à 0.187 de Di Resta. Hamilton est deuxième.

Le lendemain, j’aspire à faire mieux qu’une 4ème place. En me sentant aussi bien cette année, il serait malheureux que je ne joue pas au moins la première ligne. Néanmoins, les Mclaren semblent en grande forme ce week-end, ça va être dur de les battre. Mon premier temps de 1.23.380 est gâché par la Toro Rosso de Felix da Costa qui m’a gêné. Les choses ne vont pas mieux lors de mon second essai puisque je suis en avance avant que Chilton ne fasse une sortie de route, m’obligeant à ralentir et surtout me déconcentrant fortement. Heureusement, je me remets dans le bain pour mon dernier essai du premier run et je réalise un tour parfait comme il le faut pour une qualification ! 1.21.838, je crois que je n’ai jamais tourné aussi vite ici à Barcelone. Je suis tellement fier de mon temps que je ne prends pas la peine de ressortir pour un second run. La probabilité que j’améliore est trop faible pour sacrifier un jeu de pneus !

Personne n’arrivera à me battre et je signe une nouvelle Pole Position. C’est un peu la moue chez Mercedes au contraire des Sauber et Prodrive qui rayonnent ici. Par contre, pour Force India, c’est la catastrophe ! Voilà qui ne fait pas une bonne pub pour le nouveau sponsor de l’écurie et je dois avouer que je m’en réjouis même si, dans l’absolu, j’aime beaucoup Sainz Jr. qui m’a impressionné en Chine et bien sûr, j’adore Alguersuari qui fait toujours partie de mes meilleurs amis en F1.

Grille

1 Thirion (1) (Ferrari) – 2 Hamilton (3) (McLaren)
3 Perez (2) (Ferrari) – 4 Di Resta (4) (McLaren)
5 Rosberg (7) (Red Bull) – 6 Alonso (9) (Lotus)
7 Ricciardo (8) (Red Bull) – 8 Senna (10) (Lotus)
9 Clos (11) (Sauber) – 10 Vettel (6) (Mercedes)
11 Kubica (5) (Mercedes) – 12 Hulkenberg (12) (Sauber)
13 Kobayashi (18) (Toro Rosso) – 14 Felix da Costa (19) (Toro Rosso)
15 Vandoorne (15) (Williams) – 16 Chilton (23) (Prodrive)
17 Maldonado (22) (Prodrive) – 18 Vergne (14) (Williams)
19 Gutierrez (24) (Marussia) – 20 Kvyat (25) (Marussia)
21 Bianchi (20) (Proton) – 22 Bottas (21) (Proton)
23 Sainz Jr. (17) (Force India) – 24 Alguersuari (16) (Force India)

tres belle suite encore une fois

Génial , comme d'hab'

P.S. : C'est Dashoun mais je suis ban

Je l'avais dit que c'était Julian !
Super épisode et très belle pôle position !

Bien joué.

woah sa a bien avancé cette story faut vraiment que je prenne le temps de lire les 60 épisodes que j'ai loupé xD

Nice Max ! :ok

Et vivement le prochain épisode qu'on apprenne ce qu'il se passe

Merci à tous

Content de te revoir arnaud

je vois que t'es pas loin de la fin des 7 saisons

Saison 7, Episode 11 (n°258) : Un équipier encombrant

« Anna, assieds-toi, j’ai quelque chose à te dire d’assez grave. Voilà, Force India a un nouveau sponsor et lors de la présentation, j’ai vu Julian au loin. Je pense qu’il s’agit de sa société car je l’ai encore revu cet après-midi. Je tenais à te le dire avant que tu ne le croises. Ne pense pas à lui et à ce qu’il t’a fait. Je suis là pour te protéger et je ne le laisserai plus jamais te faire du mal. »

Elle n’a rien dit même si elle semblait un peu apeurée et triste. Je l’ai serrée contre moi et nous nous sommes endormis rapidement. Demain, j’ai une course à disputer et ça me ferait plaisir d’à nouveau gagner sur ce circuit pour la troisième fois. Pour un tracé que je n’aime pas, ce serait quand même pas mal non ?

Le départ n’est pas mauvais mais la ligne droite est longue et Hamilton se met dans ma roue pour prendre l’aspiration, il passe devant moi au premier virage. Bien joué de sa part, Lewis est décidément incorrigible ! Dès les premiers virages, je comprends que la voiture ne se comporte pas du tout de la même manière que durant les essais. Je suis mal à l’aise en condition de course. C’est quand même terrible un tel changement de comportement entre les essais et la course. Cela me sert à quoi de la régler pour le dimanche si elle change du tout au tout ?

Perez se montre très dangereux à la fin de ce premier tour mais je résiste et Di Resta se faufile devant lui. Au 5ème tour, alors qu’on creuse un mini écart, Lewis et moi partons à la faute quasiment au même endroit, dans le esse du second intermédiaire. Lui à la sortie et moi à l’entrée. Nous ne perdons pas de place mais le peloton est revenu et nous progressons en file indienne. Di Resta veut ma peau au bout du second intermédiaire mais il freine trop tard, glisse et part en vrille. Perez repasse troisième devant Alonso.

Checo tente à son tour de me passer au bout de la ligne droite des stands, je résiste, il s’énerve et part à la faute. Alonso prend donc la troisième place devant Ricciardo et Di Resta. Au 10ème tour, l’Australien fait une erreur à son tour dans le dernier intermédiaire, le pilote Red Bull laisse à Di Resta sa quatrième place et à Vettel la cinquième. Au terme du 13ème tour, j’ai 4.6 secondes de retard sur Hamilton et 2.5 d’avance sur Alonso. Deux tours plus tard, Clos s’empare de la cinquième position au détriment de Vettel.

Au 17ème passage, Alonso est revenu et tente sa chance dans la ligne droite des stands mais je garde l’avantage. Pendant ce temps, Maldonado s’offre le meilleur temps au tour, preuve de l’excellente forme des Prodrive ici ! Au 22ème tour, j’effectue mon arrêt en compagnie d’Alonso et Di Resta. L’Écossais va faire d’une pierre deux coups puisque mon équipe tarde à effectuer l’arrêt tandis qu’Alonso a un problème, Di Resta ressort devant en 10ème position, je suis juste derrière. Maldonado commet une erreur dans notre tour de sortie et nous gagnons une place. Je passe même la McLaren au bout du second intermédiaire mais l’Ecossais est coriace et il repasse en forçant le passage dans la dernière chicane.

Au jeu des arrêts aux stands, je remonte 6ème avec Perez qui sort juste derrière moi. Au 27ème tour passage, Rosberg passe avec sa Red Bull devant Checo. Cinq tours plus tard, il effectue la même manœuvre sur moi avec autant de réussite ! Je ne perds pas de position car Vettel vient d’effectuer son stop en même temps. Je n’ai pas cherché à prendre tous les risques pour empêcher Nico de passer, mon équipe me dit qu’il doit encore s’arrêter. J’ai de toute façon compris que je ne tirerai rien de ma voiture cet après-midi.

Au 40ème tour, après une énième tentative de dépassement erronée, Perez pète un câble et m’accroche au second virage. Cela crée une pagaille pas possible dans le premier virage et nous repartons 13 et 14ème, lui devant moi. Je suis piqué au vif et je me le fais au bout du second intermédiaire ! Sainz Jr., Hulkenberg et un troisième pilote s’arrêtent à la fin du tour, touchés par nos conneries. Hamilton, le leader, s’est également arrêté et c’est Bianchi qui mène provisoirement. Deux tours plus tard, le Français effectue son stop et c’est Dani Clos qui hérite du commandement !

Au 45ème tour, Vettel passe Rosberg pour le gain de la 8ème place juste devant moi. Pendant ce temps, c’est Hulkenberg qui s’octroie le meilleur temps au tour ! Au 50ème tour, Perez me passe avec l’aspiration au premier virage. Mais je le repasse à l’épingle du second intermédiaire. C’est plus que chaud entre nous, le genre de bagarre qu’on n’a pas avec un équipier… Cela continue au début du 54ème tour, nos voitures sont déjà endommagées et l’on joue des coudes. Les ingénieurs ne savent plus gérer la situation. Au 60ème tour, j’ai creusé un écart d’une seconde sur lui tandis que Bottas part à la faute et nous fait gagner une place.

C’est aux 9ème et 10ème positions que l’on termine la course. Dani Clos l’emporte à la grande surprise de tous. Il confirme que la Sauber adore Barcelone. Les McLaren complètent le podium tandis que Bianchi est un magnifique 4ème ! Stoffel marque enfin des points et les esprits puisqu’il complète le top 5 ! C’est la grande fête ici avec la victoire d’un enfant du pays. Les aficionados auraient préféré leur dieu Alonso, c’est un jeune qui lui vole la vedette, ce qui n’empêche pas les gens de faire la fiesta comme s’ils avaient gagné la Coupe du Monde. De mon côté, je suis furieux sur Perez qui a gâché nos deux courses, ça va chauffer dans le garage et dans le bureau de Domenicali !

Classement :

1 Clos (11) (Sauber)
2 Hamilton (3) (McLaren)
3 Di Resta (4) (McLaren)
4 Bianchi (20) (Proton)
5 Vandoorne (15) (Williams)
6 Alonso (9) (Lotus)
7 Vettel (6) (Mercedes)
8 Rosberg (7) (Red Bull)
9 Thirion (1) (Ferrari)
10 Perez (2) (Ferrari)

Classement Pilotes

1 Lewis Hamilton (n°3) (McLaren) 71
2 Paul Di Resta (n°4) (McLaren) 70
3 Sergio Perez (n°2) (Ferrari) 67
4 Daniel Ricciardo (n°8) (Red Bull) 55
5 Maxime Thirion (n°1) (Ferrari) 53
6 Nico Rosberg (n°7) (Red Bull) 38
7 Robert Kubica (n°5) (Mercedes) 32
8 Dani Clos (n°11) (Sauber) 31
9 Fernando Alonso (n°9) (Lotus) 28
10 Sebastian Vettel (n°6) (Mercedes) 16
11 Jules Bianchi (n°20) (Proton) 12
12 Stoffel Vandoorne (n°15) (Williams) 10
13 Kamui Kobayashi (n°18) (Toro Rosso) 8
14 Jean-Eric Vergne (n°14) (Williams) 6
15 Carlos Sainz Jr. (n°17) (Force India) 3
16 Nico Hulkenberg (n°12) (Sauber) 2
17 Valtteri Bottas (n°21) (Proton) 1
18 Antonio Felix da Costa (n°19) (Toro Rosso) 1
19 Jaime Alguersuari (n°16) (Force India) 1
20 Bruno Senna (n°10) (Lotus) 0
21 Esteban Gutierrez (n°24) (Marussia) 0
23 Pastor Maldonado (n°22) (Prodrive) 0
22 Daniil Kvyat (n°25) (Marussia) 0
24 Max Chilton (n°23) (Prodrive) 0

Classement Constructeurs

1 Vodafone McLaren 141
2 Scuderia Ferrari 120
3 Red Bull F1 Team 93
4 Mercedes GP 48
5 Sauber F1 33
6 Lotus GP 28
7 Team Williams 16
8 Malaysia One Proton F1 Team 13
9 Scuderia Toro Rosso 9
10 Force India F1 4
11 Marussia GP 0
12 Prodrive Ultimatum F1 Team 0

AVIS A TOUS

Je pars d'ici quelques heures pour disputer la Virée des Cols Vosgiens, je ne reviens pas avant dimanche. Le prochain épisode n'aura donc pas lieu avant ça surtout que je n'ai pas eu le temps de simuler la prochaine course donc ça risque de prendre du temps Merci de votre compréhensition

Dommage pour la course ! Perez fait chier !
Pas grave, ont peut attendre !

Saison 7, Episode 12 (n°259) : Rivaux et têtus

Alors que l’Espagne semble s’être trouvé un nouveau dieu pour remplacer Alonso en la personne de Dani Clos, l’ambiance est plutôt terne dans les locaux de Ferrari en ce dimanche soir. Pas question de sortir s’amuser ou de rentrer chez soi. Perez et moi sommes convoqués dans le bureau de Domenicali en présence de Di Montezémolo notamment. L’équipe nous fait comprendre que les événements qui viennent de se dérouler pendant le grand prix sont inadmissibles, incompréhensibles et dignes d’amateurs. Cela ne colle pas du tout à l’image de l’écurie, ni à la philosophie de celle-ci qui a eu pour habitude d’avoir toujours un numéro 1 et un numéro 2. Chacun reste sur sa position. J’estime que Perez n’était pas forcément plus rapide sur l’ensemble du tour que moi-même si en ligne droite, il profitait de l’aspiration. Du coup, je ne vois pas pourquoi j’aurai du le laisser passer sachant qu’on est trop tôt dans la saison pour jouer le titre avec un seul pilote. Lui estime que j’aurai du le laisser passer car il était plus rapide et en tête du championnat.

Le problème c’est que sa manœuvre qui a provoqué l’accrochage ne plaide pas en sa faveur. Si ma résistance n’était peut-être pas très bien venue, son geste était carrément nocif pour l’écurie puisqu’il mettait en péril la course des deux voitures. Nous avons perdus de gros points et la tête des deux championnats à cause de cela. Sans parler du danger que cela a provoqué au premier virage. La situation serait plus simple si j’étais devant lui au championnat. Or pour un numéro 1, je suis 5ème au classement avec 14 points de retard sur celui qui aurait du être mon second. Dans le cas contraire, Ferrari aura pu mettre un responsable unique mais là, mon mauvais début de championnat fait tâche et cet accrochage peut être considéré comme un aveu de faiblesse de ma part. Avec 18 points de retard, je ne suis pas inquiet après 5 courses. Je sais que la saison est encore longue. Un autre problème est le fait que je me plains trop de la voiture. Or vu que Checo était en tête du championnat, Ferrari peut me rétorquer qu’elle marche très bien.

C’est un peu la face cachée de la cohabitation. J’aime beaucoup l’ambiance de l’écurie, je n’ai pas de problème avec quelqu’un excepté mon équipier mais je n’ai pas l’esprit Ferrari. Ce n’est pas véritablement un secret mais mes motivations pour venir dans l’écurie n’étaient pas un fanatisme pour le Cheval Cabré. D’ailleurs, ma philosophie n’est pas vraiment en adéquation avec celle de l’écurie. J’estime que si mon équipier est plus rapide, il passera sinon il n’est pas question qu’il passe. La Formule 1 n’est pas un sport où l’on fait de cadeaux. Si Perez doit être champion du monde, il le sera mais sans mon aide, je m’y refuse. Dans l’écurie, un pilote qui n’adhère pas à la mentalité du team, ce n’est pas très bien vu. La réunion s’est un peu terminée comme ça. Au moment de sortir, le Mexicain m’a lancé un regard qui en disait long sur sa façon de penser. Entre lui et moi, la cohabitation ne sera plus jamais la même et à partir de maintenant, je suis un adversaire comme les autres pour lui.

Le temps entre la course à Barcelone et Monaco devait être le meilleur de l’année puisque je suis sur place ou presque. Malheureusement, le spectre du retour de Julian hante nos nuits. Anna est plus irritable que d’habitude, plus anxieuse et elle dort moins bien. En plus, Enrique semble totalement perdu quant à ses sentiments et l’avenir de sa relation avec Sophie. Cette dernière ne semble pas vouloir changer d’avis, pas question de se caser. Enrique ne veut plus faire l’amour avec elle tant que la situation n’est pas clarifiée. Du coup, ils vont voir ailleurs tous les deux mais ne semblent pas en tirer profit moralement. Sophie, je la connais, derrière sa carapace et ses nombreuses conquêtes, elle souffre aussi de la situation et voudrait sûrement sauter le pas vers une relation sérieuse. Mais elle sait que cela implique de se mettre en danger et de souffrir. Pas question pour elle d’angoisser à savoir si son mec est fidèle, s’il l’aime et piquer des crises de jalousie. Elle aime le spontané mais pas les clichés. Or quand on est couple, on finit toujours par tomber dans le cliché. Bref, je passe pas mal de temps avec elle à essayer de la raisonner mais je n’arrive pas encore à mettre le doigt sur son point faible.

Le clou du spectacle fut le mardi avant de partir pour Monaco. Enrique était mal parce que Sophie venait de lui répondre un peu sèchement au téléphone et croyez-moi, elle sait y faire aussi pour ça. Après une longue discussion avec Anna, lui et moi ; nous sommes arrivés à lui rendre le sourire. Nous nous sommes alors mis devant la télévision. A peine cinq minutes après, voilà qu’une pub passe sur la TV Espagnole où l’on voit le nouveau sponsor de Force India faire sa promotion et la tête de Julian sur trois plans de cette pub. L’ambiance du reste de la soirée fut maussade voire déprimante.

Petit épisode sympa mais l'ambiance Ferrari n'est pas faite pour toi !