Savoir & Culture

Jerry des gens qui n'ont rien compris au PASECOR (SANS E !)

Empire Hindouiste des Indes Orientales

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Au sud de la ville, plusieurs centaines de militaires en tenue F-INSAS ouvraient un nouveau front. Accrochés aux grappins, ils descendaient en rappel jusqu’à atteindre les premiers plateaux où s’installèrent les sniper, avec une vue imprenable sur toute la ville. Quelques nids de mitrailleuses s’installèrent pour défendre les positions capturées, puis enfin les premières grenades sautèrent sur les barrages pakistanais.

Au nord, les têtes HEDP des Carl Gustav vinrent vite à bout des murs d’enceinte de l’université de Gilgit, et les combats s’engagèrent violemment alors avec les forces pakistanaises. La coordination des troupes hindoues, en grande partie grâce au F-INSAS, participe activement au nettoyage du premier foyer de résistance. Utilisant des roquettes anti-personnelles, l’offensive indienne ressemble de plus en plus à une extermination plutôt qu’à une vraie bataille. En moins de 5 minute, l’endroit est sécurisé ou détruit, neutralisant par la même occasion la batterie de Cortale qui eurent abattu un des Mig-29 hindous.

Empire Hindouiste des Indes Orientales

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Un pont avait été sécurisé: objectif principal atteint. Cependant, les trois autres avaient sauté: les pakistanais essayaient d’obliger les hindous à concentrer leur force en un seul point afin de pouvoir défendre plus efficacement et les empêcher d’atteindre la rive sud. Cependant, les soldats de la 6th Mountain Division attaquant depuis la montagne sud lancèrent une offensive sur l’avenue principale menant au seul pont encore debout afin de faire jonction avec les forces hindoues au nord. Les combats furent d’une rare violence: à chaque coin de rue les mitrailleuses crachaient la mort. Les positions pakistanaises étaient difficiles à percer et les morts commençaient a dangereusement se multiplier du côté indien.

Empire Hindouiste des Indes Orientales

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hindoues sur place, un barrage d’artillerie de forte concentration fut tiré sur la zone au nord de l’aéroport, carrefour important qui comportait l’avenue principale, l’accès à l’aéroport et au pont détenu par les hindous, afin de ralentir la contre-attaque ennemie. Peu après, la 6th Mountain arriva au point de ralliement avec les forces mécanisée venant du nord. À l’est, les renforts constitués d’un bataillon blindé de Sarath et de quelques Bishma s’occupaient de prendre en tenaille les régiments pakistanais situés entre eux et les forces déjà sur place.

Dans le ciel, la signature sonore des turboréacteurs hindous résonnaient: les Mig-29SMT revenaient les soutes pleines. Plusieurs dizaines de bombes FAB-500 détonnèrent sur le centre de la ville, à l’Ouest, encore tenu par les pakistanais. Les engins hindous n’apportant rien d’autre que la mort eurent raison des premiers pakistanais: sentant le vent tourner plusieurs régiments effectuèrent un repli stratégique vers la périphérie.

Les officiers hindous sautèrent sur l’occasion: les BMP-2 Sarath resté en retrait jusqu’ici traversèrent la rive et entamèrent une offensive rapide sur l’ouest de la ville. Les pakistanais les moins bons à la courses furent tous exterminés sans aucune possibilité de réplique. La vague armée hindoue était indestructible: partout, les postes mitrailleuses furent désertés, les foyers de résistances furent rapidement annihilés par des roquettes thermobariques. Elle suivait de près les mouvements de replis pakistanais, afin de ne lui laisser aucune chance de se remobiliser en position défensive. Un tir de barrage vers la sortie de la ville fut commandée afin de disperser les troupes ennemis et ainsi empêcher une contre-attaque dans un futur proche.

En moins de cinq heures et quarante huit minutes, on ne dénombrait plus un seul pakistanais dans Gilgit. Les hindous s’emparèrent des locaux et de l’équipement laissé sur place pendant la retraite. Les régiments du génie sont de suite appelés afin de remettre en état l’aéroport de la ville, tandis que dans la région le bruit cours déjà qu’Islamabad a ordonné une retraite du Cachemire.

KOMMENT TU BOOST!

Tu aurais préféré un gros pavay ?

Oui en souvenir du chauve. :troll:

United States of America

Denver, Colorado - Invesco Field at Mile High
7 Mai 2010, 20 :35
Ciel dégagé, 19°C

Obama était debout sur la plate-forme centrale, les mains légèrement appuyées sur la chaire, au milieu du gigantesque stade des Broncos de Denver. Autour de lui étaient rassemblé des dizaines de milliers de personnes, venant du Colorado et des états voisins. On pouvait aussi distinguer dans la foule une centaine de journalistes qui filmaient et enregistraient le discours du président. Tous ressemblaient à des élèves écoutant attentivement la leçon d’un professeur à l’école. Ce n’était pas totalement faux d’ailleurs. Obama avait commencé son allocution par un peu d’autocongratulation, se félicitant lui et son gouvernement de la réussite de sa réforme du système de santé, adopté récemment par le Congrès à une très faible majorité. Il rappelait que « c’était une chance pour tous les délaissés de l’Amérique » de se voir « traiter de la même manière […] que les riches de ce pays ». Une fois ce petit bilan achevé, il continua en évoquant ses réformes à venir et comment il voyait le futur des États-Unis, que l’on peut résumer en deux mots : démocratie et diplomatie.

Pendant ce temps, à une centaine de mètres de là, une camionnette aux couleurs de CBS News venait d’entrer sur le parking d‘Invesco Field et se gara comme si de rien n’était. John Hawkins, policier lambda affecté à une mission de patrouille, passait par là à ce moment. Certes, voir un tel véhicule était normal dans ces conditions, mais « il est arrivé un peu tard » songea-t-il. Aussi, il décida d’aller voir ce qui se passait. À peine arrivé au niveau de la porte conducteur, que deux déflagrations sourdes résonnèrent brièvement dans le coin. Hawkins s’effondra au sol, touché à la tête par deux projectiles, tirés par un Five-SeveN équipé d’un silencieux. La mort fut instantanée.

« - Putain de flics ! Ils doivent toujours se ramener quand il ne faut pas ! jura Marvin Russell, en sortant pour planquer le corps sous un 4x4. Nan mais je vous jure ! »

« - Assez Marvin. Il faut se concentrer sur la mission, vociféra Qati depuis l’arrière du véhicule. Il était occupé à amorcer la bombe pour qu’elle explose dans exactement 20 minutes. Je pense que ce sera suffisant pour qu’on puisse se mettre à l’abri à temps, mais dans la zone que Manfred qualifie de « verte », c’est-à-dire à une centaine de kilomètres de là. Nous n’avons plus à nous en remettre à Allah. »

Ils verrouillèrent la camionnette, et coururent en direction d’une magnifique Audi TT noire, garée pas très loin de leur position. Le doux ronronnement du moteur à son démarrage, dévoilant juste ce qu’il faut de puissance pour envouter le moindre connaisseur, ne réconforta pas du tout Russell, qui tremblait comme une feuille dans son siège. Il priait de toute son âme pour que Qati les emmènent aussi loin que possible de cette endroit.
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Denver, Colorado - Invesco Field at Mile High
7 Mai 2010, 20 :54
Ciel dégagé, 18°C

L’impressionnante foule présente dans le stade s’était levée, et applaudissait désormais le président, qui venait de terminer son discours sur une citation d’Abraham Lincoln, son prédécesseur préféré, qui fit sensation. Obama jubilait. Il n’avait pas eu une telle sensation depuis sa victoire du 4 Novembre 2008. Cependant, il ne laissait transparaître aucune émotion, il était de nature discrète et il aurait été un peu déplacé – selon lui – de manifester quoi que ce soit, à part un désintéressement total. Il leva ses bras pour saluer ces gens qui l’acclamaient. Il regarda furtivement sa montre …

20:55

Le deutérium et le tritium commencent leur fusion, qui enclenche la bombe à fission. Les rayons X irradient l’intégralité de la bombe, et provoque la fission du plutonium. La pression et la chaleur sont inimaginables, et elles démarrent la fusion du deutérure de lithium 6. Une boule de feu d’une puissance incommensurable commence à se former et à grossir. Tout ça en une poignée de nanosecondes. Les personnes présentes dans le stade ne se sont même pas rendu compte de ce qui se passait : elles ont été instantanément désintégrées. L’onde de choc emporte tout sur son passage, les buildings du Downtown de Denver s’effondre un à un, incapables de résister à cette force supersonique. Ils sont comme des dominos face à un ouragan dévastateur.

Moins de deux secondes après la déflagration, les villes périphériques comme Mountain View, Edgewater ou Glendale, subissent déjà la vague supersoniques, et les dégâts qui en résultent. Situées à moins de 7 kilomètres du lieu de l’explosion, ces villes sont pourtant pratiquement rasées, comme Hiroshima. Une minute après l’explosion de la bombe de 30 kilotonnes, un gigantesque champignon noir est déjà visible dans le ciel, accompagnée des premières retombées radioactives.

Denver vient d’être rayée de la carte.

• provoquent

• s'effondrent

Décidément

¤¤¤ Bundesrepublik Deutschland ¤¤¤
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L'Allemagne toute entière est braqué sur les postes de télévisions. En effet, la Chancelière Merkel, apparait enfin à l´écran après plusieurs jours où elle avait complètement disparu.
Pour la première fois depuis le début des émeutes, elle dresse un bilan des « violences chaotiques » de la journée : 18 morts et 753 blessés ! Face à cette « atteinte à la République », la chancelière décrète l´état d´urgence , et dissout le Parlement.« Nous ne nous laisserons pas faire non! Nous résisterons face à cette crise provoqué par ces communistes Asiatiques, ces fascistes Slaves et extrémistes Moyen-Orientaux! », jure Merkel bien sûr d'elle.
« Je resterais au pouvoir » rajoute-t-elle, « Et je ferais tout pour... hmmm, oh oui... d'accord, vous êtes sûr ? Très bien, excusez moi...Le fantastique Schroder, fera tout pour combattre les relents de dictature! » continu-elle après avoir marqué un temps d'arrêt l'air préoccupé et gêné, comme ci quelqu'un la forçait à prononcer ses paroles.

Le vice-chancelier Schröder a directement ordonné aux préfectures et à la police de tout faire pour interdire ces groupes. « Il faut absolument interdire ces groupes dangereux, communistes, extrémiste musulmans, fascistes, groupes qui contaminent l'Allemagne! Mais surtout, se rapprocher de la Russie! », hurle Schröder lors du conseil des ministres.
D'ailleurs, les deux policiers tués lors des « tentatives d´anéantissement de la démocratie Allemande » seront élevé directement comme héros de la nation.
Quand aux fauteurs de trouble, ils seront punis avec la plus grande sévérité.
Schröder, qui a fait son grand retour, en va même jusqu'à annoncer que des « dangereuses organisations étrangères » venus pour « déstabiliser la République » ont pris part aux actions, et compte sur la coopération des voisins Européens pour régler ce problème dramatique.

==Colombie==

Adressé à la Chine :
C'est avec joie que nous acceptons vos armes ce qui renforcera nos lien à l'avenir, malheureusement, vous ne pouvez pas placer des bases sur notre pays, les USA en ont déjà, à moins que vous vouliez déclencher une guerre.

Adressé aux USA :
Suite aux aides militaires fournies par la Chine qui nous permettra de reprendre totalement le contrôle du pays face aux groupes rebelles, nous vous demandons d'enlever vos bases petit à petit dans un délai de 3 ans.

République Populaire du Vietnam

Les soldats vietnamiens sont équipés petit à petit, avec du matériel de plus en plus sophistiqué, et les entrainements, sur tous types de terrains, dans tous types de combat. La discipline vietnamienne est exemplaire: des bataillons en bon ordre se dressent devant le palais de Hanoï… Et ce n’est là qu’une infime partie de l’infanterie de la république populaire.

Pour l’union Vietnam-Cambodge-Laos, le temps est venu de mettre un terme définitif à la rébellion royaliste laotienne, basée à Muang Xay, au milieu des civils. Il s’agit d’une occasion parfaite de tester l’infanterie vietnamienne.

Dix heures avant l’assaut, il est décidé que 120 vietnamiens iront combattre les 1 200 rebelles de la ville. Les vietnamiens embarquent alors dans cinq type-89 IFV à soixante-quinze, seize dans des hélicoptères PZL W-3 Sokol, et neuf dans un dernier. Les vingt hommes restants seront largués de nuit dans la ville par un planeur.

Ciel de Muang Xay
01:15.
Légère pluie.

A une heure quinze du matin, un planeur passe tout doucement au dessus de la ville-cible. Ils sautent en bon ordre, dans le noir complet. Les parachutes et l’uniforme des vietnamiens se fond parfaitement dans l’obscurité. Finalement, ils arrivent groupés, et se séparent en escouades de cinq hommes. Ils progressent silencieusement dans la ville, puis donnent le premier assaut, qui à pour but de capturer des points essentiels de la ville.

Ainsi, les escouades attaquent chacune un immeuble, afin de s’y barricader. Au couteau, ils abattent les premiers gardes, et capturent les premiers immeubles. Cependant, dans le cinquième, la situation dégénère: des coups de feu résonnent, mais finalement, il tombe sans morts côté vietnamien, alors que déjà 20 rebelles sont morts. Cependant, le raffut des combats réveille les adversaires, qui fondent déjà sur les cibles fraichement capturés.

« Grimpez aux étages! » hurle un commandant dans un talkie walkie. Aussitôt, les hommes s’exécutent. Ils s’arrêtent le plus haut qu’ils puissent, et ouvrent un feu croisé sur les soldats qui parcourent la rue. Les mitrailleurs légers du groupe, armés de NSV, font un carton, mais, peu à peu, ils se retrouvent encerclés et subissent des tirs de lance roquettes alors que des hommes prennent les premiers étages d’assaut.

« Grenades! S’écrie le chef d’une des escouades attaquée.
Trois sont jetées, et explosent tour à tour dans l’escalier, fauchant un bon nombre d’assaillants.
-Allez, sécurises les escaliers! »
Partout, c’est la même chose. Dans les escaliers, des rafales tonnent. Soudain, une balle siffle dans la pièce et touche le chef d’escouade.
« Chef d’escouade à terre!
L’un des soldats ramasse le talkie, et prévient ses compagnons:
-Notre chef d’escouade est mort. Reculez! Ils ont des snipers sur les toits. »

Ils parviennent à tenir face aux assauts des Laotiens sans s’approcher des fenêtres, mais, petit à petit, ils s’épuisent, et les bâtiments menacent de s’effondrer sur leur tête. Au loin, ils entendent un bruit familier et salvateur…

République Populaire du Vietnam

Le bruit des hélices des Mil Mi-24 était maintenant distinct au milieu des échanges violents de coups de feu. L’hélicoptère de tête déporte sur la gauche pour laisser découvrir le terrain à deux snipers de l’armée vietnamienne.

Alors qu’ils recherchent, comme cibles principales, les lance roquettes ennemis afin de sécuriser la position des hélicos, les mitrailleuses de l’engin font s’abattre un déluge de feu sur les rebelles, qui se replient dans des bâtiments, afin que les Vietnamiens ne puissent les atteindre à la mitrailleuse.

Six hommes sont débarqués sur un toit, mais à peine sont-ils posés que l’un d’entre eux s’effondre, foudroyé par un sniper. Les soldats se jettent au sol afin de se couvrir. Grâce à ses jumelles, un des soldats parachutés repère la position du sniper, et la transmet à un des soldats fraichement arrivé, équipé d’un lance-grenade.

L’explosion atteint son objectif, mais le bâtiment n’es pas assez solide, et s’effondre, mettant à nu un autre sniper, abattu presque aussitôt par un tir de type-87. Les combats reprennent de plus belle, de maisons en maisons.

Les soldats courent dans les rues, s’abritant derrière ce qu’ils peuvent, voitures, murets défoncés… Alors que le dernier lance roquette est éliminé, les deux autres Mil Mi-24 entrent en jeu, et criblent de balles les murs derrière lesquels se réfugient les rebelles.

Un groupe d’une dizaine d’hommes, installé dans les ruines d’une fontaine, tiennent coûte que coûte face à une contre-offensive massive des rebelles. Leur entrainement est mis à rude épreuve. Les reflexes des soldats les sauvent à plusieurs reprises, réussissant à abattre plusieurs ennemis en plein déplacement, et ce avec une vitesse impressionnante. Ils doivent se replier après avoir perdu deux camarades, mais leur seul issue se trouve vers le centre ville, ou ils seront encore plus attaqués. Ils abandonnent finalement leur position, sous la couverture d’un NSV posé sur un toit, non loin.

Quelques trois minutes après, les cinq type-89 entrent en ville, mitraillant en tous sens. Douze hommes supplémentaires descendent des hélicoptères, et abattent des ennemis, dès qu’ils se découvrent. Les type-89, bloqués à l’entrée de la ville par un barrage bien gardé, doivent lutter, jusqu’à ce qu’un hélicoptère ne se déleste d’une roquette afin de dégager la route. Une quinzaine de soldats, sortis des véhicules, affrontent la trentaine qui lui fait face. Les tirs s’amplifient, et, finalement, la sortie audacieuse vietnamienne paie. S’abritant derrière des ruines de la barricade, ils éliminent un grand nombre de rebelles, avant de se déployer à l’entrée de la ville, pour protéger l’avancée des véhicules. Cependant, ils tombent dans une embuscade et perdent quatre hommes, sont forcés de se replier et de défendre des positions larges.

Alors que les assauts ennemis s’affaiblissent et qu’ils se rassemblent dans un bâtiment non loin, les jets de grenades sont incessants. Afin d’éviter d’être touchés par un tir de lance roquette, l’infanterie progresse toujours à grande vitesse de bâtiments en bâtiments. Ils déploient alors un recoiless gun SPG-9 afin de pilonner le bastion rebelle, et les forcer à sortir du bâtiment pour les tuer au QZB-3.

Alors que les bordures de la ville sont sécurisées, au centre, huit soldats, acculés, s’apprêtent à contenir un dernier assaut. Il ne leur reste qu’un espoir…

Prend mon msn, le colombien.

Fédération de Russie

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Toute l'actualité en Russie se tourne vers les Etats-Unis où se qui semblerait être une explosion nucléaire a rasée la ville de Denver de la carte durant la soirée. Ici personne ne comprend encore se qui se passe vraiment là bas mais un vent de panique souffle sur les marchés financiers et la population que se dit que cela peu très bien arriver également à Moscou, Saint-Petersbourg ou une autre ville Russe. L'armée se déploie massivement dans les grandes villes afin de surveiller les lieux publics tels que les métros, les aéroports, places ect...Les rues se vident rapidement après la diffusion des nouvelles sur les grands écrans des avenues.

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La base du 224th Air Detachment of Military Transport Aviation à Tver près de Moscou reçoit les 2000 soldats Vietnamiens récemment arrivés en Russie pour accomplir un exercice de grande envergure aux côtés des soldats Russes. En quelques heures près d'une centaine d'avions de transport se réunissent dans les bases entourant la capitale : 50 Il-73, 10 An-12, 10 An-22, 10 An-26 et 10 An-124. Dès tout les préparatifs finis près de 7 500 hommes embarquent avec leurs équipements dans les appareils qui décollent alors des pistes d'envol. Ceux ci sont largués 600km plus loin et à haute altitude près de la frontière Letonienne. Cet exercice a pour but d'entrainer les troupes à accomplir des débarquements massifs par des moyens aéroportés pour se préparer en cas de conflit de haute intensité.

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Une escorte d'une cinquantaine de chasseurs accompagne la flotte d'avion pour ne pas risquer une attaque étrangère inopportune qui laisserait sans défense les appareils. Des véhicules blindés sont également largués par avion avec les troupes. Au sol les hommes continueront l'exercice dans des milieux urbains mais également en campagne afin d'être prêt à pouvoir accomplir une invasion rapide, efficace et innarrêtable. Des centaines d'hélicoptères participent également aux combats fictifs.

Empire Hindouiste des Indes Orientales
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Chambre présidentielle de Rashtrapati Bhavan, New Delhi, le 14 Novembre 2016.

Le soleil rayonnant de l’Inde brillait dans le ciel bleu sans nuage. L’hivers approchait: les averses devenaient rares, c’était la fin de la mousson qui annonçait la saison sèche prochaine. Au palais présidentiel, les patrouilleurs à cheval Assam foulaient le sable rouge sous le chant mélodieux des oiseaux durant la cérémonie de changement de gardes avec les fusiliers du Cachemire & Jammu, une attraction qui séduisait des dizaines de touristes venu des quatre coins du monde. Dans les étages du bâtiment présidentiel, à l’intérieur de la chambre présidentielle, l’empereur était allongé sur son lit et observait les informations sur la chaîne nationale. Les titres défilaient: on parlait de la disparition de l’empereur des écrans TV depuis quelques semaines déjà, le soulèvement de la population en Allemagne ou bien même la déroulement de la guerre au Pakistan.

-« …hier matin l’avion présidentielle chinois a atterrit à l’aéroport international de Mehrabad à Téhéran. Les deux dirigeants devraient aborder les sujets concernant les tensions internationales actuelles dont celles en relation avec la reprise du programme nucléaire iranien… »

La séduisante présentatrice n’eut pas le temps de finir sa phrase que l’empereur poussa un toussotement qui se transforma en vilaine toux grasse. Il porta le masque en plastique qu’il tenait dans sa main à son visage, et respira fort.

-« … Bonjour. Nous interrompons votre programme pour attirer votre attention sur ces images qui nous viennent en direct de Denver, aux Etats-Unis. »

Vajpayee, en observant le champignon de fumée noire planer au-dessus de la ville américaine releva fébrilement son dos de sur l’oreiller et portait un regard indescriptible rempli de tristesse, de peur et de haine. Les images s’enchaînaient, les unes plus horribles que les autres, dans les commentaires sinistres des envoyés du monde entier. On parle de millions de mort, et toutes les vies menacées par les retombées radioactives. Aux Etats-Unis, c’est l’hivers nucléaire qui commençait.

-« George, interpella de sa voix affaibli l’empereur hindou, faites appelez Manmohan… Je dois m’adresser à la nation.
-Monsieur, vous n’êtes pas en état…, tenta de raisonner le majordome.
-Faites ce que je vous demande, je vous prie. »

République populaire démocratique de Corée

Toutes les chaînes de télévisions du pays ne parlent plus que de cette merveilleuse information. Une bombe de près de 30 kilotonnes vient d’exploser aux Etats-Unis rasant par la même occasion la ville de Denver. Suite à cela le grand Kim Jong-il déclare que « Ce jour est un grand jour pour les peuples martyrisés par l’impérialisme américain, j’annonce qu’aujourd’hui est le déclin de cette superpuissance Américaine au profit d’autre comme la Chine. Cela prouve que les Etats-Unis sont faibles et que la Corée du Nord doit profiter de cet événement. Le système capitaliste prouve une fois de plus qu’il est en plein déclin et qu’au finale le prolétariat vaincra. »

Après le discours du chef suprême de la Corée du Nord le politburo annonce que ce jour sera dorénavant la fête nationale dans le pays. Mais la principale préoccupation du politburo est la monté des tensions sur la DMZ. Un simple coup de feu pourrait provoquer une seconde guerre de Corée.Pour pouvoir suffisamment ravitailler l’armée en carburant, le politburo prend la décision que le nombre de délestage va être cruellement augmenté pour la population nord-coréenne afin de l’envoyer à l’armée populaire de Corée et aux complexes industrielle d’armement.

Top secret
Le gouvernement nord coréen prend contact avec la Russie pour que cette dernière fournisse le pays en pétrole et ainsi diminuer les coupures de courant et les pénuries d’essence à la population locale.

République Populaire du Vietnam

« C’est mon dernier chargeur! Crie un soldat vietnamien
-Moi aussi! Il faut s’barrer! »
Une balle siffle juste à son oreille.
« On n’a pas de chemin de repli soldats. Attendez! »

Les hommes économisent leurs balles comme ils peuvent. Bientôt; ils devront se battre à la grenade et à la baïonnette. L’un des soldats parvient même à tuer cinq ennemis en faisant exploser un baril d’essence à côté, mais cela ne suffit pas. Un autre vietnamien meurt, et les autres défendent comme ils peuvent l’étroit passage qui permettrait aux rebelles de tuer les viets rapidement. Alors que l’un des hommes, blessé, voit un rebelle sur le point de l’embrocher, son assaillant est criblé de balles. Il à le temps de se ressaisir, et voit alors les type-89 promis enfin arrivés. Sous couvertures des mitrailleuses, ils s’engouffrent dans les véhicules et se replient à toute allure, laissant derrière eux des centaines de balles de mitrailleuses. Les mitrailleurs, eux, canardés depuis les toits, s’en sortent miraculeusement jusqu’à une zone fraichement contrôlée par l’armée populaire. Les sept soldats rechargent, et s’apprêtent déjà à retourner au combat.

Vers dix heures du matin, les coups de feu se font plus rares et plus éloignés. Presque 80% de la ville est sous contrôle, et bientôt, les tireurs isolés sont bientôt réduits au silence par les snipers de l’armée vietnamienne. Un autre homme tombera plus tard, pendant l’assaut.

Bilan:
-8 soldats tués
-entre 800 et 1100 rebelles tués
-2 civils morts dans un effondrement.

A la télévision vietnamienne, on parle de l’évènement comme étant une grande victoire qui prouve la supériorité de l’infanterie vietnamienne, et qui porte un coup fatal à la rébellion. On ne parle que peu de la bombe nucléaire de Denver, attendant d’avoir plus de précisions. Nguyen rassure la population, en promettant qu’aucun attentat de la sorte ne se déroulerait au Vietnam. Il renforce cependant les services de sécurité partout, et propose aux Etats-Unis l’envoi d’une équipe de secours.
« Les étasuniens ne sont pas responsables de leur régime et de ses actions au Vietnam, et la plupart des victimes n’étaient pas les riches capitalistes que nous abhorrons, mais des prolétaires. ceux-ci ne sont pas nos ennemis! » déclare Nguyen.

¤¤¤ Bundesrepublik Deutschland ¤¤¤
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Les évènements en Allemagne sont bien trop troubles pour qu'on se rue sur les dernières nouvelles provenant des USA. Cependant, les médias ne tardent pas à saisir l'événement, et les politiques allemands s'attristent au même niveau que la population allemande sur l'explosion de Denver. On ne s'avance pas sur le sujet, mais certains parlent d'attaque, notamment avec les dernières déclarations nord coréenne, on parle aussi de terrorisme. On prévoit de redoubler la surveillance policière dans les aéroports ainsi que les gares et les moyens mis en œuvre contre le terrorisme. De toute manière, face aux manifestations que subit l'Allemagne, d'importantes forces ont été mis en place...

Autrement, de nouvelles élections législative s'organisent rapidement, tellement vite qu'elles ont lieu une semaine plus tard.
Les résultats des législatives tombent le jour même à 20 heures, tout le pays est en émoi.

On apprend alors que le CDU s´allie au FDP pour former une majorité, à un député près. Rien de nouveau quoi.
Le SPD décide de s´allier à l'Alliance 90 Vert. La Gauche et les partis représentant les minorités comme le SSW ou le parti populaire Sorabe, n'acceptent eux, pas d´être alliés aux communistes ni aux fascistes et royalistes, et s´allient entre eux.

Au même moment, le vice-chancelier Schroder présente sa démission, chose qui n'était absolument pas attendu en vue des derniers événements, et celle de son gouvernement. La chancelière Merkel, encore dans son trou ou bunker sous la chancellerie, déclare qu´elle « respectera la décision des Allemands ».
Peu de temps après cette journée, les dirigeants de chaque parti politique, qui n'ont pas été arrêté suite aux troubles ( :troll: ) sont invités à la Chancellerie pour une fastueuse réunion.
Encore après, les dirigeants des mouvements fascistes, communistes, et royalistes sont convoqués tour à tour en privé avec la chancelière dans son sombre bunker, Merkel est au sommet de la paranoïa, cette fois, sans ses canards.
D'ailleurs elle aurait fait un rêve, étrange cela va de soi, des millions de canards se trouvaient autour d'elle, et grimpaient partout en criant "Mwaman, Mwaman !". Traumatisé, Angela Merkel a ordonné le massacre de dizaine de millier de canard en plastique.