Savoir & Culture

~~~~ Organisation secrète du Triangle ~~~~

Projet God's Eye:

Dans la salle de contrôle du GID à Vandenberg, un compte à rebours dicté sur un haut parleur par un ingénieur est en route, " 10,9,8 [...] 3, 2, 1, lancement! ".

Deux boules de feux s'envolent vers le ciel, après quelques minutes, l'ingénieur de la salle de contrôle annonce au micro " Lancement et déploiement réussi. " suivit d'un tonnerre d'applaudissement. Le GID vient de placer en orbite deux satellites KH-13 dans le secret le plus total.

http://lawanddisorder.org/wp-content/uploads/kh-13-1.JPG

République Populaire de Chine
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Le parti communiste soucieux de respecter les accords de réunification de Séoul (réunification de la Chine et de Taiwan) décide de prendre des mesures exceptionnelles. Cette future réforme est tous simplement le plus grand chamboulement que le pays va connaitre. Hu Jintao promet que la politique du parti unique va être abolie d’ici 2 ans et qu’elle sera suivie dans les mois suivant d’une élection présidentielle au suffrage universelle. D’après le président de la Chine trop longtemps la constitution a été bafouée par le parti communiste chinois. Certains articles proclament que les citoyens de la République populaire de Chine jouissent des libertés d'expression, de presse, de réunion et d’association. Le gouvernement fera tous son possible pour que l’administration respect ses lois fondamentales.

Des modifications administratives seront faites pour donner véritablement le pouvoir au peuple, notamment en renforçant les pouvoirs de l’Assemblée Nationale Populaire. De nouvelles institutions seront crées pour lutter contre la corruption qui règne dans le pays mais surtout dans les provinces du centre de la Chine. On annonce la création d’une sorte de cours des comptes pour surveiller les dépenses de l’état. Cela sera bénéfique afin de mieux gérer l’argent et éviter les pertes inutiles d’argents. Et enfin, un renforcement des pouvoirs de la cellule anti-corruption des services secret avec le droit de vérifier tous les comptes bancaires des haut dignitaires du régime, de faire un état des lieux de leurs patrimoine, et enfin pour les aider dans cette mission primordiale une plus grande sévérité des peines avec le goulag pour les accusés.

Certains spécialistes étrangers pensent que le passage de la Chine à une dictature à une démocratie sera bénéfique pour le pays. D’après eux, cela peut éviter un éclatement du pays et que ses réformes viennent au bon moment. Au contraire de l’ancienne URSS, la Chine a su prendre la bonne décision. Selon eux cela pourrait aussi provoquer des idées d’indépendances notamment au Tibet et Xinjiang.

Top secret
http://jchichegblancbrude.blog.lemonde.fr/files/2008/04/armee-chinoise.1208265796.jpg
http://www.fond-ecran-gratuit.biz/armees/data/media/6/Arme_chinoise_photo_100.jpg

Les garnisons des provinces du Tibet et Xinjiang sont fortement renforcées avec l’envoie de près de 50 000 hommes équipé d’une panoplie de blindés type 99, Type 96, ZBD2000, ZBD-97, Type 07 Norinco etc.

Skedar. :troll:

France

Le radar Nostradamus a repéré le lancement de deux satellites près de Santa Barbara, ce lancement vraisemblablement américain s'étant fait dans le plus grand secret, Hervé Morrin demande des informations.

United States of America - SECRET

L’US Air Force et la NASA contactent le gouvernement Français en lui disant que les agences Américaines n’ont aucun compte à rendre aux Français, néanmoins dans leur grande bonté ils affirment que ces tirs ont permis de mettre en orbite deux satellites météos chargés d’étudier le climat au dessus des zones de combat ainsi que du territoire Américain pour faciliter la tâche des avions et leur permettre d’emprunter les meilleurs itinéraires pour atteindre leurs objectifs.

Union des Républiques Socialistes Soviétiques

L’annonce du parti communiste Russe de maintenir les aides globales, contrairement aux États-Unis d’Amérique, est un réel gain de popularité, et déjà, la sphère d’influence de la Russie s’étend en Afrique et en Asie du sud-est, mais aussi dans le monde arabe u pourtour méditerranéen, que l‘URSS affirme « soutenir à la condition que ceux-ci sanctionnent l‘extrémisme religieux ».

Les industries récentes installées en Sibérie, et au nord de la Russie, ou les implantations étaient difficiles, permettent à présent de financer la tertiarisation économique: petit à petit, les services russes nationalisés se développent, et engendrent une masse non négligeable d’argent.

L’URSS affirme vouloir améliorer ses relations avec les voisins européens, et tisser des liens commerciaux plus importants encore avec eux. La Corée du Sud, avec laquelle s’ouvre un accord de libre échange, est également susceptible de devenir un nouveau partenaire de la Russie.

L’armée annonce que les tests du Bulava sont enfin terminés, avec près de cinq ans de retard. La Russie annonce l’acquisition de 4 Dehli Class, et dix Lada, ainsi que deux Borei, en plus de celui utilisé pour les essais, entrent en production.

Lada

Le Lada est très bien

Tout à fait, Lada > All

http://desencyclopedie.wikia.com/wiki/Lada

Lada

La différence entre une Lada et les témoins de Jéhovah ?
Avec les témoins de Jéhovah, vous pouvez fermer la porte.

Quand on ne sait pas on se la ferme bien comme il faut...

Lada est la déesse de l'harmonie et de la joie dans la mythologie slave. Ce sous-marins n'a absolument rien à voir avec le constructeur automobile.

Lada, la voiture qui symbolise parfaitement le communisme: Pas cher, facile à entretenir, mais tellement peu efficace. :troll:

Ces voitures sont énormes

Bonjour XDDD
sa fait du bien

Oh non pas lui! :troll:

Mmmmh on se connais?

C'est moi [Raul-Castro]

GlaxoSmithKline

Ils faisaient cela depuis un bout de temps. Les fourgons bleu pastel – il y en avait quatre – circulaient dans toute l’agglomération Londonienne pour récupérer les sans-abris et les regrouper dans les centres d’accueil gérés par l’association. Cette action menée avec discrétion avait eu droit à un reportage au JT local un an auparavant, et valu à l’association quelques douzaines de lettres de soutien avant de retomber dans l’anonymat, comme trop souvent en pareil cas. Il était bientôt minuit et avec l’arrivée de l’automne, les fourgons étaient de sortie pour ramasser les SDF dans tout le centre et le bas de Londres. Ils procédaient autrement que naguère la Police ; les malheureux qu’ils secouraient n’étaient pas embarqués de force : les bénévoles de l’association leur demandaient poliment s’ils voulaient un lit propre pour la nuit, gratis, et sans les complications religieuses des autres « œuvres charitables », selon l’expression consacrée. Ceux qui déclinaient l’offre se voyaient offrir des couvertures, dons des employés qui étaient en ce moment chez eux à dormir ou regarder la télé –la participation au programme était volontaire pour le personnel également -, des couvertures usagées mais néanmoins chaudes, et imperméabilisées. Certains sans-abris préféraient dormir dehors, jugeant que c’était une forme de liberté. La plupart acceptait la proposition. Même les ivrognes appréciaient un bon lit et une douche, et pour l’heure, ils étaient déjà dix, et le fourgon avaient fait le plein pour cette tournée. On les avait aidés à monter, s’asseoir et boucler leur ceinture de sécurité.

Aucun d’eux ne se douta qu’il s’agissait du cinquième des quatre fourgons à opérer dans le bas de Londres, même s’ils remarquèrent différence sitôt qu’il s’ébranla. L’employé assis à l’avant se retourna pour leur tendre des bouteilles de Gallo, un bourgogne californien de bon marché, mais toujours meilleur que la piquette qui faisait leur ordinaire, auquel on avait toutefois ajouté un petit quelque chose.

Le temps qu’ils parviennent à leur destination, tous étaient endormis ou à tout le moins hébétés. Ceux encore en état de bouger furent aidés à embarquer dans un autre camion, puis harnachés sur des paillasses où ils s’endormirent aussitôt. Quatre hommes se chargèrent de porter les autres et de les attacher. Cette tâche accomplie, le premier fourgon partit au nettoyage – à la vapeur, pour garantir que le moindre résidu serait stérilisé et chassé de l’habitacle. Le second camion se dirigea vers l’est, en prenant la bretelle d’accès pour la périphérie de la ville.

¤¤¤ Sphère de Coprospérité de la Grande Asie Orientale, Second Empire du Japon ¤¤¤
http://www.youtube.com/watch?v=t4omxeFvmb8&feature=related

¤¤¤ SECRET DEFENSE SECRET DEFENSE SECRET DEFENSE ¤¤¤
¤¤¤ L’Empire Contre-attaque ¤¤¤
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/6f/Emperor_Sh%C5%8Dwa_Army_1938-1-8.jpg
http://www.eecs.usma.edu/webs/people/goda/japaneseNavy.JPG

¤ Tokyo, Palais Impérial japonais, 18 février 2010, 10h03 A.M., ciel couvert ¤

A Tokyo, dans les entrailles même du Palais Impérial du Japon, l’amiral Togo Heihachiro Sovierika s’apprêtait à réaliser un ultime et final discours avant de prendre la mer, tel qu’il en est de son devoir d’amiral impérial…Peut-être, oui, peut-être qu’il tombera : un capitaine, après tout, ne doit jamais abandonner son navire. S'il laissait veuf son peuple, alors, c'est que ce dernier aura été incapable de servir convenablement sa cause.
L’auditoire, quelques milliers de hauts dignitaires japonais soigneusement sélectionnés en toute hâte, baignait au sein d’une ambiance électrique : sur chaque mur, d’énormes drapeaux impériaux trônaient fièrement, soulevés par d’énormes ventilateurs qui ne cessaient de brasser l’air en ce mois de février 2010. Tandis qu’une fleur de Chrysanthème géante trônait sur l’estrade, toute de marbre et d’or.
On se croirait revenu soixante-sept ans en arrière, au coeur d'un Berlin électrocuté par le désastre de Stalingrad contre les immondes Bolcheviks.
Le Quatrième Reich, à peine créé, était déjà menacé de toutes parts.
« __ Il arrive ! C’en est fait ! Taisons-nous, l’amiral arrive ! », hurla soudainement un général japonais à l’assemblée, du haut de son immense carrure et de son allure glaciale.
Nous sommes le 18 février 2010, soixante-sept ans plus tard, et l’amiral Togo Heihachiro Sovierika prend la parole, les bras levés, hurlant férocement :
« __ Dignitaires de l'Empire ! Êtes-vous décidés à suivre l’Empereur dans sa lutte pour le pouvoir divin, et pour cela, prêts... aux sacrifices personnels les plus grands ? »
Et l’auditoire applaudit de tout son fort.
« __ Une menace mortelle immédiate pèse sur notre nation et les puissances asiatiques. Le Japon est en danger de mort ! »
Et l’auditoire continue d’applaudir.
« __ Et maintenant, je vous le demande, oh, peuple japonais ! Voulez-vous la guerre totale ? La plus meurtrière de toute ? La GUERRE TOTALE ? ». Silence absolu.
Puis quelques secondes plus tard, l’auditoire hurle comme jamais d’un même et seul chœur :
« __ OUI ! OUI ! OUI ! La guerre TOTALE ! »
Un sourire glorieux apparut sur les lèvres d’Heihachiro, triomphal. L'électrochoc à la l'allemande était un véritable succès.
« __ Et maintenant ! Peuple, lève-toi, et toi, tempête, déchaîne-toi ! », clama avec une force rare l’amiral, agitant les bras vers le ciel comme un aigle impérial et les yeux féroces comme un tigre de Sibérie.
L’auditoire était plongé au sein d’une ferveur quasi-mystique, entonnant l’hymne de l’Empire du Japon comme jamais il ne fût entonné dans l’Histoire, et les drapeaux géants de l’Empire virevoltaient devant d’énormes pales à hélices… Le Japon était prêt à la guerre, quoi qu'il lui en coûte.
La guerre totale était proclamée, en ce 18 février 2010, soixante-sept ans après Goebbels.

Sans attendre, des milliers de projecteurs sont disposés et allumés dans les principales villes et les campagnes japonaises, rivés vers le ciel et les étoiles, lorsque la nuit tombe, et la totalité des radars du Japon sont en alerte maximum. Près de 4 Boeing 767 et 3 E-2 Hawkeye se relaient dans les airs, à haute altitude, et ce constamment.
Au sein des falaises et le long des rivières et des forêts, l’Armée Impériale dispose plusieurs anti-aériens (autrement dit MIM-104 Patriot PAC 2 & PAC 3, Type-81, Type-91, HAWK, FIM92-A Stinger, Type-93, Type-03, M167 VADS, Type-93), radars, guetteurs et projecteurs afin de contrer toute stratégie traditionnelle d’infiltration aérienne. Les bombes américaines ne passeront pas Hiroshima, cette fois.
Sur les mers, une grande partie des destroyers impériaux de l’Imperial Japanese Navy sont équipés par le système américain AEGIS, et les missiles SM-2 et SM-3 achèvent de renforcer cette protection anti-aérienne.

¤ Préfecture japonaise d’Okinawa, 13h47 P.M. ¤

L’Armée Impériale ne doute pas qu’Okinawa constitue une cible de premier rang dans la conquête du Japon par l’ennemi, les impérialistes et les jaunes.
« __ Faites-moi d’Okinawa le nouveau bastion anti-impérialiste de 1945 ! », aura ordonné l’amiral Heihachiro par téléphone ultra-sécurisé.
Et sa volonté fût accomplie. En à peine quelques heures, Okinawa devient une véritable forteresse dans laquelle les troupes américaines sont littéralement piégées et étouffées : sans approvisionnement et sous le feu constants de mortiers M2 107mm, Type-64, L16 81mm, RT 120mm, Type-96 120mm.
L’Armée Impériale a décidé d’appliquer par ailleurs la même stratégie anti-aérienne qu’au nord, c’est-à-dire projecteurs, anti-aériens, radars en alerte maximum et guetteurs.
« __ Rien ne doit passer et rien ne passera. Nous sommes l‘avant-garde de l‘Empire, et nous ne laisserons rien passer, et rien ne doit passer, et rien ne passera. », crachent inlassablement certaines radios dans la zone.

La quasi-totalité des plages de la préfecture japonaise sont lourdement minées, et particulièrement les accès des américains sur la mer dans la zone. Ils ne peuvent plus s’échapper, sans quoi ils termineraient pulvérisés et déchiquetés dans des mottes de sable fin.
Des haut-parleurs sont même disposés en toute vitesse à la surface de l’eau un peu partout autour des îles d’Okinawa, afin de troubler les éventuels submersibles ennemis. On y diffuse de vieilles musiques des années 30, l'hymne du Troisième Reich ou encore du rap français de temps en temps.
« __ Lorsque les sous-marins ennemis tireront dans le vide, nous, nous coulerons ces chiens au fond des abîmes ! », hurle ainsi le commandant Valor en charge de la défense sous-marine d’Okinawa, expliquant son plan absolument brillant en matière de stratégie navale du XXIème siècle.
Oui, une importante flotte sous-marine est sur le point de rallier Okinawa, composée de nombreux sous-marins redoutables : 5 classe Oyashio et 2 classe Harushio. Okinawa ne tombera pas aux mains des impérialistes, et encore moins des sales jaunes.

Au Japon, notamment sur les îles de Honshu et d’Hokkaido, les quartiers généraux de l’Armée Impériale sont quasi-désertés : le personnel est transféré dans des bunkers dont la localisation reste ultraconfidentielle. En effet, le Haut-Commandement Impérial, lui-même réfugié au sein d’un abri anti-atomique - sous Tokyo, dans sa périphérie et sa banlieue proche-, craint des frappes stratégiques de la part de l’ennemi visant à paralyser sa chaîne de commandement toute entière.
Cependant, dans l’optique de tromper les missiles et bombardiers ennemis, lumières et parkings restent à l’appel, et quelques civils continuent d’assurer l’intendance : depuis les airs, et depuis la rue d’en face, les quartiers généraux tournent à plein régime. A l’extérieur, oui. A l’intérieur, non, probablement que non.

¤ Misawa, Quartier général de « l’Imperial Japanese Army Air Service Northern Base », 9h46 A.M., ciel dégagé ¤

Quand au quartier général de « l’Imperial Japanese Army Air Service Northern Base », la riposte japonaise ne sait pas fait attendre : à l’image de la toute nouvelle diplomatie du Japon.
En quelques minutes, une demi-douzaine de militaires qui gardaient la rampe CH-47 ont remarqués que les américains s’agitaient plus à l’ouest de la base, avec au moins deux milliers d’américains qui s’y étaient massés.
« __ Ici CH-47, rapport de la situation ! », demande alors un soldat par radio, visiblement intrigué par toute cette agitation. Quelque chose de louche se trame...
« __ Ici QG, les caméras de surveillance ne répondent plus ! Activités américaines dans la base anormales ! », répondit-on dans un grésillement prononcé.
A l’autre bout plus au sud, dans le quart sud-ouest, les japonais en charge du hangar d’alerte de l’Impérial Japanese Army Air Service activaient les commandes de fermeture blindées du hangar.
« __ Sonnez l’alerte, code Soleil Levant. », ordonna un officier, qui scrutait avec ses jumelles la moitié ouest de Misawa.
Quelques secondes plus tard, une alarme stridente et insupportable résonne dans toute la base : Les 6 800 japonais qui occupent la base sont sur le pied de guerre.
Au quartier général de la base, le général Sharakoji ordonne le départ immédiat de tous les avions japonais présent dans la base, tandis que les forces de sécurités japonaises en charge de la « 3ème Imperial Wing » se barricadent en attendant les renforts qui sont en route.
Un jeune ouvrier de 18 ans s'installe des explosifs sur la ceinture ; un héros, de toute évidence.

A Tokyo, le Haut-Commandement Impérial apprend d’ailleurs la nouvelle à la dernière minute.
« __ Quel est le satellite le plus proche ! Vite, répondez-moi ! », hurle un lieutenant dans son bureau, relié en direct Live avec le quartier général de Misawa.
« __ Satellite Information Gathering Satellite 1A en position, mon général ! Paré ! », répond au quart de tour un opérateur devant une palette d’écrans Sony, haute-définition bien sûr.
« __ Bien, parfait ! Bon, mettez-moi en relation avec le général Sharakoji, immédiatement ! Transmettez-lui la vue thermique au plus vite, ces américains sont tellement gros qu’ils devraient dégager suffisamment de chaleur corporelle pour qu’on les voient. », achève le lieutenant.

Sur tout le territoire japonais, l’Armée Impériale passe à l’offensive. Elle aligne des centaines de chars d‘assaut, et le ciel est criblé d’avions de guerre.

¤ Base américaine de Yokota, 12h41 P.M. ¤

Première offensive de grande ampleur à la base américaine de Yokota : une vingtaine de chars Type-10 et Type-74 ont pulvérisés les miradors et les grillages avec l’appui de 9 789 soldats, dont une centaine provenaient des forces spéciales. Les troupes japonaises ont d’abord débarqués par hélicoptères dans la zone résidentielle, en face du Walker Boulevard, tandis qu’une demi-douzaine de Type-10 a foncé sur la piste de décollage principale et que le reste des blindés est arrivé en force par la East Housing Aera, détruisant au passage - à coup d’obus 105mm - le bâtiment administratif et le magasin de la base.

¤ Complexe américain à la détente d’Okuma, 12h46 P.M. ¤

Seconde offensive, de moindre ampleur cette fois-ci, au complexe américain d’Okuma : au moins 7 Komatsu LAV - surmontés d’une Sumitomo M2HB - ont pénétrés par surprise dans le complexe, essentiellement destiné à la détente des américains dans la zone, et sont actuellement en train de descendre tout américain à vue ; ils sont soutenus par deux hélicoptères Bell AH-1 Cobra dans les airs, qui n’hésitent pas à tirer dans des bidons d’essence et sur les habitations américaines. Enfin, un Boeing AH-64D Apache survole les airs en direction du centre du complexe :
« __ Ici Arab Money en position ! », affirme le pilote dans son casque.
« __ Ordre de tirer. Feu à volonté. », répond le Haut-Commandement Impérial à l’autre bout de l’appareil.
« __ Bien reçu. »
Et ce fût donc une quadruple paire de roquettes Hydra 70 qui filèrent en direction de l’unique piste d’atterrissage de la base américaine d’Okuma…

¤ Préfecture japonaise d’Okinawa, 13h02 P.M. ¤

Troisième offensive à la base américaine de Kadena, située au sein de la préfecture japonaise d’Okinawa. De très grande ampleur. La base de Kadena est composée de cinq portes d’entrée, chacune lourdement gardée par des bataillons américains.
« __ Non, faisons une surprise à nos chers amis américains. », déclare ainsi trente minutes plus tôt le cerveau du plan d’attaque à Tokyo.
Et c’est ainsi, que sans prévenir, une douzaine de Boeing AH-64D Apache apparaissent un détours d’un ciel particulièrement nuageux et tirent plusieurs roquettes Hydra 70 en 6 points stratégiques névralgiques, dispersés à égales distances sur la muraille américaine. C’est fait, la première défense américaine est littéralement percée de toutes parts, tandis qu’à peine trois minutes plus tard, une dizaine de Type-89 (embarquant chacun 10 soldats japonais), 12 Type-96 (chacun avec à son bord huit soldats japonais), 14 Type-73 (9 soldats japonais et surmontés d’un lance-roquettes multiple Type-75 130mm) débarquent chacun au travers des six brèches, soit un total de 348 hommes spécialement entraînés.
Mais ce sont aussi une dizaine de chars d’assaut Type-90 et une quinzaine de tanks Type-74 qui sont en routes pour les portes 1,2,3 et 5 de la base. Dans les airs, la douzaine d’hélicoptères d’assaut continue de prendre par surprise la vigilance américaine, puisqu’une pluie de roquettes vient de s’abattre sur la quasi-totalité des pistes d’atterrissage et de décollage au nord de la base. La plupart des avions américains au sol sont largement incapables de riposter et de décoller, et au loin, c’est encore deux autres Boeing AH-64D qui se profilent pour une chasse au pigeon dans les règles de l’art.
Afin de contrecarrer et d’anticiper les manœuvres d’éventuels avions américains qui survoleraient encore les airs, et avant qu’ils ne ripostent et détruisent les hélicoptères japonais, au moins 21 F-15J Eagle survolent constamment la zone : ils ont ordre d’abattre tout avion américain à vue.

¤ Préfecture japonaise d’Okinawa, 13h09 P.M. ¤

Quatrième offensive aux camps américains d’Okinawa, qui regroupent au moins 20 000 marines dans leurs entrailles.
« __ Avant d’écraser les guêpes, on brûle la ruche à l’insecticide, croyez-moi, Kai. », affirme Toshiro Otomo dans un mail ultra-sécurisé en guise de signature au lieutenant Kai en charge de l’opération « Purification Flamboyante ». Ce plan va s'avérer relever du génie militaire.
Et la préfecture japonaise d’Okinawa y met les grands moyens : des dizaines de mortiers tirent constamment sur les camps américains depuis l’horizon, activement soutenus par au moins 32 pièces d’artilleries (Type-75 155mm, M110, MLRS, Type-99 155mm, FH-70).
A Tokyo, on se prépare à achever le nid de guêpes américain.
« __ Ici QG Gold Eagle, ordre de procéder au bombardement. ».
« __ Bien reçu. Bombardement dans 3, 2, 1. Feu. Napalm largué. », répond un groupe de 9 Mitsubishi F-2, 10 F-15 Eagle et 6 Boeing CH-47 Chinook, qui larguent une immense pluie de napalm sur le camp américain d’Okinawa. 20 000 Marines, brûlez aux enfers.
Et les flammes, festin du diable.
Bref, encore un brillant succès, la stratégie zéminienne sur la finesse zhaonienne.

Au nord, à Hokkaido, la flotte en charge de la défense du district d’Ominato entame ses premiers déplacements vers le sud de l’île, au nord-est de l’île principale d’Honshu. Celle-ci est composée de deux destroyers impériaux de classe Murasame - le Ariake et le Yudachi -, ainsi que d’un destroyer impérial d’escorte de classe Abukama, - le Sendai -.
Le Haut-Commandement Impérial a en effet démuni la flotte d’Ominato de son second escadron dans la région afin de le redéployer stratégiquement plus au sud, toujours sur le front est. On dit que 80% des pertes allemandes sont provenues du front de l'est. Au Japon, on table sur 81% de pertes américaines.