Sujet :
Fic : Vengeance d'un autre monde
comme d´habitude : 
trop bien 
Génial !! !
Enfin ca avance dans les sentiments des persos.
Je me demandais quand tu allais t´y metre serieusement,parce que jusq´a maintenant tu n´avais fait qu´éfleurer le sujet! 
La fin du monde 
Je veut la même à Noël, dans un beau papier cadeau rouge. (comme la chambre) 
wah...je sens que je suis pas la au bon moment 
mais bon....Très bon chapitre, maintenant Colette la dit qu´elle était amoureuse de Lloyd....Je me demande comment Lloyd va réagir dans le futur si Colette commence a le suivre partout....Ama, tu dis quoi dans le sens des histoire que tu écris?
megaman 
heu . . . j´ai pas pigé ta question 
Super !! ! dsl je me suis levée a 15h30 alors j´ai pas pu le dire avant 
tres bon chapitre
megaman c´est tout simplement parce que j´écris des histoires (pas des fics et qui n´ont aucun rapport avec tos) et que j´aimerais bien que quelqu´un me donne son avis dessus
Bon, trève de blabla, voici le chapitre 53
Chapitre 53 : « Le ronflement fatal »
- Que . . . Qu’est-ce que tu dis ? bredouilla Raine.
Le Rénégat se massa le crâne et tenta de prendre appui sur ses bras pour se lever. Il grimaça, puis se redressa quelque peu, le dos contre la tête du lit.
- Fex, répéta Raine, qu’est-ce que tu as dit ?
L’interpellé tourna la tête vers elle et marmonna :
- J’ai dit quelque chose ?
Raine soupira :
- Mais oui ! Il y a à peine quelques secondes ! Tu as dit « c’est la fin de notre monde » !
Visiblement épuisé, Fex se frotta les yeux et lança :
- J’ai dit ça, moi ? Je ne m’en rappelle pas.
Raine, Colette, Génis, Lloyd et Kratos gémirent de dépit, mais personne n’insista et le Rénégat put se reposer.
Une demie heure suffit à Fex pour recouvrer sa force mentale et physique. Il se leva du lit, jeta un œil à la pièce dans laquelle il se trouvait puis finit par demander :
- Qu’est-ce que je fais ici ?
Nouveau murmure de dépit. Génis se lança dans de simples explications :
- Eh bien, après votre départ avec . . . Senneth, nous avons décidé de vous suivre. On a rencontré l’Impératrice. En fait, c’est elle, Artémis, la fille qui veut l’exsphère de Lloyd. On s’est battu contre elle. Rien n’aurait été possible sans mon intervention et mon terrible invocation. Figurez-vous que j’ai miraculeusement, superbement, magnifiquement, majestueusement . . .
Raine toussota pour que Génis abrège son récit. Celui-ci compris le message et reprit, non sans un dernier qualificatif :
- J’ai merveilleusement appelé un dragon ! Un vrai dragon, beau, fort, effrayant, et . . .
Il se tut en apercevant à nouveau le regard mi-moqueur mi-énervé de Raine.
- Bref, acheva-t-il, on l’a battue et on vous a trouvés dans les cachots de ce château.
- Je ne me souviens plus de rien, confia Fex en baissant la tête.
Dans son regard pouvait se lire la déception et la honte ressentie par un soldat qui faillirait à sa mission. Mal à l’aise, il se mit à jouer avec son épée.
Bien décidée à quitter le palais, Raine ouvrit son sac et en sortit plusieurs breloques, à la recherche de quelconque outil utile. Kratos soupira et contempla d’un œil inquiet la barricade qu’il avait constituée devant la lourde porte. Soudain, celle-ci s’ébranla. Poussé par le choc, un tabouret dégringola du sommet de la pile et atterrit aux pieds de Lloyd.
- Je crois qu’on nous a retrouvés, conclut-il.
Une nouvelle secousse fit trembler le mur de protection.
- Un problème ? demanda Fex.
- On ne devrait pas se trouver dans le palais, exposa Génis, alors que l’Impératrice a disparu. Si on se fait prendre, on est dans le caca . . .
Raine attrapa son frère par le pantalon et entreprit de lui massacrer les fesses :
- Sois un peu poli ! dit-elle.
Inhabitué à ce genre de scène, Fex rit aux éclats, provoquant bientôt l’hilarité de ses compagnons. Une voix retentit alors au dehors :
- Il y a des gens à l’intérieur !
Les rires s’arrêtèrent net. Toute la pièce devint silencieuse. Plus personne ne bougeait le moindre petit doigt ; plus personne n’osait respirer de peur d’être définitivement repérés. Soudain, un bruit retentit aussi fort que si on avait hurlé dans un mégaphone : Botta se mit à ronfler. Le ronflement presque pachydermique résonna dans la pièce et certainement bien plus loin. Désormais certains que la pièce était habitée, les soldats qui se trouvaient à l’extérieur s’attaquèrent à la porte. La barricade se secoua dangereusement, et, au bout de quelques assauts, s’écroula violemment.
Six soldats de la Garde Impériale, vêtus de leur armure scintillante, apparurent. Armes au poing, ils déboulèrent dans la pièce comme des furies. Mais Lloyd et ses compagnons s’étaient préparés. Colette et Raine étaient en retraite, proches de la fenêtre, pour soigner à distance et pour veiller sur Botta qui ne voulait pas se réveiller. Caché sous une chaise, Génis lança une bille au milieu de la pièce. Le premier soldat roula dessus et s’affala violemment sur le sol, emmenant avec lui ses collègues qui le suivait de près. Profitant que leurs adversaires étaient à terre, Kratos, Fex et Lloyd jaillirent de leur cachette respective.
Kratos se jeta à l’assaut des deux soldats les plus musclés et mania son épée avec une dextérité incroyable. Après très peu de temps, les deux hommes se retrouvèrent désarmés et . . . déshabillés ! Kratos avait pris un malin plaisir à défaire petit à petit ses deux opposants des différentes parties de leur armure. À présent se tenaient deux demi elfes taillés comme des armoires à glaces nus comme des vers au milieu de la pièce. Rouges de honte, il déguerpirent sans demander leur reste.
De son côté, Fex ne se débrouillait pas plus mal. Il avait mis au tapis trois soldats en un rien de temps. Son épée cuivrée était couverte de sang et et semblait luire de bonheur. Au pied de ces trois cadavres, l’épée fièrement à ses côtés, Fex avait un petit quelque chose d’effrayant. On comprenait à présent pourquoi il était l’équipier personnel de Botta.
Le seul qui avait du mal était Lloyd. Pourtant, un seul demi-elfe s’opposait à lui. Mais quelque chose en cet adversaire lui semblait familier et le troublait. Un masque sur la tête, un bouclier dans une main et une dague dans l’autre, le demi-elfe avait l’air de jouer avec Lloyd, le faisant trébucher, puis le renversant sur le lit, . . . Kratos se décida à intervenir. Il pointa son épée vers le soldat et déclara :
- Laisse-le et viens donc te mesurer à moi !
Le soldat considéra un instant la proposition de Kratos puis, probablement intimidé par sa façon de se battre, prit la fuite en ricanant.
- Ça devient dangereux par ici, dit Fex, allons-nous en.
Ravie de quitter le palais, Raine sortit la première de la chambre, pressant ses amis de la suivre.
com très constructif de ma part XD
Ou que je pourrais trouver tes autres histoire Dame Amarillys?
Et excellent chapitre^^
Lloyd se fais battre par un visage "famillier"...
^^
Alors comme ca "papa Kratos" protege son fiston?!
Génial-top !!
Continue dans cette voie !
faut pas que ça coule
désolée, je n´étais pas chez moi alors je n´ai pas pu beaucoup avancer . . .
merci pour vos uppage et vos encouragements ^^
messire megaman je suis une demoiselle !! ! xD
Eh bien, si tu veux lire mes histoires, tu me donnes ton adresse msn, tu me laisses le temps de tout retranscrire sur l´ordi et puis je te l´envoie
laya Rooooh ! c´est trop fort ! 
merci merci merci
On veut la suite !! ^^
La suite dans quelques minutes (une heure )
messire megaman vos excuses sont toutes acceptées et veuillez dès à présent accepter les miennes car mon histoire n´est pas encore restranscrite sur l´ordi. Il vous faudra donc patienter quelque peu
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