Héhéhé ! Me revoilà ! Je suis contente que vous aimiez ma fic Je vous donne la suite !
Chapitre 14 : « inquiétude »
La porte venait de se refermer. Raine soupira.
- Qu’est-ce qui ne va pas, professeur ? demanda Colette.
- Oh, eh bien, je suis assez inquiète, répondit-elle, Kratos ne s’est toujours pas remis de son agression causée par on-ne-sait-quoi. Pourtant, il est très puissant. Vous savez que « Kratos » veut dire « pouvoir » en grec ?
Lloyd soupira :
- Pitié ! C’est les vacances !
- Oui, bref ! reprit Raine, j’ai peur que la chose qui a attaqué Kratos ne nous attaque aussi !
- La chose ! La chose ! fit Zélos.
- Qu’est-ce que t’as, toi ? souffla Sheena.
- Pourquoi vous dîtes « la chose » ? Vous savez aussi bien que moi que ce forfait est dû à ma belle Artémis !
Colette se leva du fauteuil danse lequel elle était installée :
- Non ! Il est impossible qu’elle aie vaincu Kratos ! C’est une enfant . . .
- . . . De 2012 ans ! précisa Génis.
- Ça m’a fait vraiment plaisir de retrouver nos amis ! dit Préséa.
- Oui, à moi aussi, approuva Régal, malgré l’accident arrivé à Kratos.
- L’ « accident » ? Mais c’était pas un accident ! protesta Miss Rose, comme l’avait surnommée Génis.
- Voyons, dit Régal d’une voix calme et posée, personne ne peut infliger de telles blessures à un guerrier comme Kratos.
Préséa ne paraissait pas convaincue. Ils continuèrent de marcher encore quelques minutes. Régal rompit le silence :
- Un char nous attend d’ici deux kilomètres.
Préséa leva la tête et le regarda :
- Merci.
Elle sourit.
Comme Régal l’avait annoncé, un char attendait Régal et Préséa. C’était un char long de plus de six mètres, avec un chauffeur.
- Ce n’ était pas la peine ! dit Préséa, on aurait pu rentrer à Altamira avec un moyen de transport plus discret !
Régal et Préséa s’installèrent confortablement sur les sièges en plumes d’oiseau-torpille.
- En avant Milton ! ordonna Régal.
Le char n’avait parcouru que la moitié du trajet que Régal fit signe à Préséa de s’approcher de lui. Préséa, curieuse, s’assit plus près de Régal. Celui-ci lui chuchota quelque chose à l’oreille :
- Il y a un problème. Milton, notre chauffeur habituel, a bien les cheveux rouges, non ?
Préséa hocha la tête en signe d’approbation.
- Bien, reprit Régal tout bas, regarde les cheveux de notre chauffeur.
- Mais . . . Il a les cheveux noirs !
- Chuuuuut ! fit Régal.
Trop tard ! Le char se stoppa. Les chevaux s’arrêtèrent en hennissant. Le chauffeur se retourna. Une fille.
- La demi-elfe !
Le « chauffeur » se leva et arracha ses vêtements pour laisser place à un petit kimono blanc.
- Vous allez regretter d’avoir un jour fait partie du groupe de l’Élue ! hurla Artémis.
Préséa attrapa sa hache qu´elle ne quitte jamais et Régal se dressa face à leur ennemie. Artémis rit :
- Niârk Niârk ! Votre copain l’Ange n’a pas tenu une seconde face à moi !
- K. . . Kratos ? Alors, c’était toi ?
Préséa reçut pour toute réponse un coup de poing dans le ventre. Elle fut projetée quelques mètres plus loin. Sa hache tomba violemment sur le sol.
- Arrête ça ! hurla Régal en se jetant sur Artémis.
Il lança ses poings et ses pieds à une vitesse fulgurante. Artémis évita tous les coups avec une souplesse incroyable, et apparemment sans la moindre difficulté. Puis, déployant ses ailes, elle s’envola.
- Bien, dit-elle une fois dans les airs, il est temps d’en finir !
Elle tendit les bras. Ses mains se remirent à briller, comme lorsqu’elle avait battu Kratos. Elle sourit :
- C’est parti ! Tsunami des Profondeurs !
Une vague géante se leva et, avant que Régal et Préséa aient le temps de dire « ouf », s’abattit sur eux.
- Bon, arrête de t’inquiéter Raine !
- Mais oui, professeur, calmez-vous !
- Pour vous faire plaisir, on va partir à leur recherche !
- C’est d’accord, Raine ?
Génis, Colette, Lloyd et Sheena essayaient de rassurer le professeur. Celle-ci releva péniblement la tête :
- Ne vous en faites pas ! Je m’inquiète pour rien. Mais c’est vrai que ça me ferait bien plaisir de partir à leur recherche pour les escorter jusqu’à Altamira !
- Alors, ça marche ! approuva Zélos, en avant pour l’aventure, comme dans le bon vieux temps où on régénérait le monde !
- Ouais ! s’excita Lloyd, de l’aventure et des combats ! De l’aventure et des combats !
Il se mit à danser sur place, excité par l’aventure toute proche.
Tu devrait vraiment faire quelque chose pour que tes Chapitres soit long car tu les fait vraiment trop court! apart sa, Sa Roule ! !
genial
Oui, je c ke c trop court, mais à partir du chapitre 25, c réglé ! ^^
Bon, voilà la suite ! ^^ Amusez-vous bien mdr
Chapitre 15 : Le départ
- RAIIIIIIIIIIINE ! Tu descends ou quoi ? Ça fait trois heures qu’on t’attend !
Génis s’impatientait au pied de l’escalier. Lloyd et les autres attendaient dans le petit salon où reposait Kratos.
- J’arriiiiiiiiive ! répondit Raine, je prépare quelques affaires !
Génis rejoignit ses amis dans le salon :
- Elle arrive. Mais, au fait, qu’est-ce qu’on va faire de Kratos ?
- On avait pensé le confier à Dirk, expliqua Colette, puis il nous rejoindra quand il ira mieux.
- S’il va mieux ! précisa Lloyd.
- Mais bien sûr qu’il ira mieux ! protesta Sheena, dis-lui, Zélos !
Zélos ne répondit pas; il était trop occupé à se recoiffer.
Tout le monde soupira.
- Me voilà !
Raine se tenait près de la porte, un énorme sac sur le dos.
- Enfin ! se plaignit Génis, t’as pris ton temps !
- Il ne faut jamais partir sans une bonne préparation !
Sur ce, Raine ouvrit la porte et sortit, bien vite suivie par les autres.
Le village d’Isélia disparaissait déjà derrière le groupe d’aventuriers. Comme convenu, Kratos était à l’abri chez Dirk. Raine avait décidé d’aller jusqu’à Altamira à pied. Tout le monde avait immédiatement refusé.
- T’es folle ou quoi ? avait crié Zélos, tu crois p’têtre que Régal et Préséa y sont allés à pied, eux ?
- Ouais, je suis d’accord avec lui, pour une fois ! avait ajouté Sheena, prenons les ptéroplans !
C’est ainsi que tous les héros se trouvaient sur les trois ptéroplans, volant dans le ciel bleu. Au moyen de mana-jumelles, Raine, Colette et Sheena scrutaient le sol, à la recherche de leurs amis.
- Là ! Y a un truc ! prévint soudain Sheena.
- Ok ! On descend !
Lloyd, Génis et Zélos manœuvrèrent habilement et descendirent en piqué.
- Redresse ! Redresse ! cria Colette à l’intention de Lloyd.
Au dernier moment, les ptéroplans se redressèrent et atterrirent en douceur. Colette, prise de vertiges, sauta hors du ptéroplan.
- Vous êtes fous ! J’ai cru que j’allais mourir ! dit-elle dans un souffle.
- Désolé ! fit Lloyd en se passant la main dans les cheveux.
Lorsque les ptéroplans furent camouflés, les aventuriers se sentaient prêts.
- Bon, c’est où ce que t’as vu ? demanda Génis à Sheena.
Celle-ci se gratta la tête :
- Mmmm, eh bien, c’est quelque part . . . par là ! affirma-t-elle en pointant le doigt vers l’Est.
- Alors on y va !
Ils se mirent en marche.
- Ça ne devrait plus être loin, chuchota Sheena après une dizaine de mètres.
Un bruit retentit soudain.
- C’était quoi, ça ? s’inquiéta Génis.
Lloyd dégaina ses épées, et s’approcha prudemment d’un buisson suspect. Le buisson sauta sur place, puis tremblota.
- On est repérés ! dit le buisson.
- J’ai remarqué, merci ! répondit le buisson.
Lloyd se prépara à frapper . . .
- Attends ! Je m’en occupe ! dit Génis.
Lloyd recula et rangea ses épées. Génis tendit son bilboquet :
- Estocade Aérienne !
Un coup de vent se rua sur le buisson, qui fut dépouillé de ses feuilles. Les personnes cachées dans le buisson étaient maintenant à découvert. Tous étaient bouche bée. Il y avait deux hommes. Un qui était habillé pareil aux Désians qui sévissaient auparavant. L’autre, un homme aux cheveux bruns, avaient deux petites oreilles pointues.
- Botta ! souffla Lloyd.
- Botta et un Renégat ! murmura à son tour Génis.
Après quelques minutes, un feu crépitait.
- Qu’est-ce que vous faîtes là ? s’étonna Lloyd.
- Vous n’êtes pas morts noyés ? demanda Raine.
Botta frotta ses mains au-dessus du feu avant de répondre :
- Non, nous ne sommes pas morts. Il y avait une petite issue dans la salle des machines. Moi et mes trois Rénégats sommes sortis en vitesse, mais deux d’entre eux ont été abattus par des hommes de Rodyle. Au fait, je vous présente Fex.
Il montra le Rénégat du doigt. Celui-ci ôta son casque. Il avait des cheveux noirs courts et une longue cicatrice sur la joue.
- Salut, dit-il d’une voix grave.
Fex tourna la tête et observa tous les membres du groupe. Ses yeux se posèrent un long moment sur l’exsphère de Lloyd.
- Heu, qu’est-ce que vous faites ici, alors ? demanda Lloyd, apparemment gêné qu’on regarde ainsi sa main.
Fex resta muet.
- Maître Yuan nous a confié une mission que nous ne pouvons vous dévoiler, répondit Botta.
Les minutes passèrent dans le silence.
- Puisque vous ne voulez pas nous dire ce que vous devez faire, on ne vous le dira pas non plus ! déclara Zélos.
- Et toc ! pensa-t-il.
Botta le fixa :
- Nous n’avons que faire de vos objectifs !
Pas mal le chapitre précédent n´est pas assez long mais celui là est trés bie continue comme ça !
ouais c´est bien les attitudes des persos sont bien reproduites mais je pense que tu devrai eviter les expression familiere ( on s´en fout, abusez)voila mais continue!!!!
Bon, voilà le chapitre suivant ! C le dernier pour aujourd´hui !
Chapitre 16 : « nuit à la belle étoile »
Zélos grogna.
- Ces mecs-là sont louches ! murmura-t-il.
Botta se leva. Fex l’imita.
- Nous devons vous laisser, dit Botta, j’espère vous revoir bientôt.
Il tourna les talons et s’éloigna en compagnie de son acolyte.
- Au revoir !
- Et bon voyage !
Sheena, Colette et Génis faisaient de grands signes d’adieu. Raine se leva :
- Attendez, Botta !
Ce dernier se retourna.
- La prochaine fois, dit Raine, camouflez-vous un peu mieux ! !!
Le Rénégat sourit puis continua son chemin.
La nuit tomba subitement.
- Oh, non ! gémit Sheena, il fait déjà nuit et on n’a toujours pas retrouvé Régal et Préséa !
- Pas de problème ! claironna Lloyd, on dort ici et on les retrouve demain, tôt le matin !
Génis soupira :
- Pff ! Mais oui, bien sûr ! Tu crois trop en ta bonne étoile, toi !
Colette tomba soudain à terre.
- Qu’est-ce qui se passe ? demanda Lloyd en accourant vers elle.
- Tu vas bien ? s’enquit Génis.
- T’as mal quelque part ? questionna Sheena.
- Ça va, mon Ange ? s’inquiéta Zélos.
Colette toussota.
- Écartez-vous ! intervint Raine, laissez-lui de l’air !
Elle allongea Colette sur le dos. Son visage était rouge et en sueur. Elle toussa à nouveau. Raine se munit de sa canne.
- Qu’est-ce qu’elle a, professeur ?
- Elle va bien ?
Colette ouvrit la bouche :
- Je vais . . . Bien ! Je n’ai juste rien mangé depuis hier midi !
Lloyd s’inquiéta :
- Oh, non ! Tu ne manges plus ! C’est le retour de la toxicose des Anges !
- Non ! corrigea Colette, cette fois, j’ai faim !
- Je te prépare un truc vite fait-bien fait ! proposa Génis, un bouillon de poulet, ça te dit ?
Colette sourit :
- Oh oui !
- Voilà, c’est prêt !
Génis apporta un petit bol de soupe à Colette. Elle le but d’une traite.
- Mmm ! Délicieux ! T’en as encore ? demanda-t-elle en lui donnant son bol.
- Bien sûr, répondit Génis, tout-sourire.
Après au moins dix bols de bouillon, Colette avait repris des couleurs et assurait qu’elle allait bien.
- Je suis content que tu ailles mieux, mon bel Ange, dit Zélos, mais moi, je vais dormir, je suis crevé !
Il prit un sac de couchage que Raine avait emporté avec elle. Sheena et Génis l’imitèrent.
- Moi aussi, je suis fatiguée, ajouta Colette, bonne nuit tout le monde !
À leur tour, Raine et Lloyd allèrent se coucher, en n’oubliant pas d’éteindre le feu.
Non loin de là, quelqu’un les espionnait.
- Ils dorment, j’y vais ? Non. Ce serait trop facile.
Un bruissement se fit entendre lorsque l’espion s’en alla.
Lloyd ouvrit un œil, puis l’autre. Il s’assit en se passant la main dans les cheveux. Il bailla.
- Waw ! T’as une grande bouche !
Lloyd arrêta de bailler, ferma la bouche, et tourna la tête vers la droite.
- Salut, Génis !
- Salut, bien dormi ?
- Ouais. Comment va Colette ?
Génis bailla à son tour :
- Ouhaaaaaaaaaa ! Je sais pas, je viens de me réveiller.
Zélos dormait toujours. Sheena préparait quelque chose dans une grosse casserole au-dessus du feu. Raine et Colette n’étaient pas là. Lloyd se leva. Il fit quelques pas vers Sheena.
- Tu prépares à manger ? demanda-t-il en se léchant les babines.
Sheena éclata de rire :
- Ha ha ha ! Non, je lave la casserole ! Tu vois, je mets de l’eau dedans qui chauffe grâce au feu. Puis je frotte ! Ce n’est pas du tout à manger !
Lloyd, déçu, s’assit aux côtés de Sheena.
- Heu, elle est où Colette ? s’enquit-il.
- Et Raine ? ajouta Génis.
Sheena réfléchit :
- Heu, elles ont dit qu’elles allaient chercher . . . à manger dans les bois, je crois.
- Allez, viens, Génis ! On va les retrouver.
Les deux garçons s’éloignèrent du campement et s´éloignèrent dans la forêt.
bravo ! j´aime beaucoup ta fic ! continue comme ça !
exellent , envoie la suite . je trouve ça louche pour les renegats
Vraiment exellent comme d´habitude !
tu as raison
Kratos ~~> désoler de faire un hors sujet mais c´est en voyant ton pseudo : car tu aimes naruto n´est-ce pas ? dit moi existe t-il des jeux veideo naruto ( en europe) ? please
très bien sauf une chose dans le chapitre 14 tu dit qu´il envoyait ses poing et ses pieds. mais meme s´il enleve ses menottes il a promis de ne plus se battre avec ses mains
je parlais de régal
sinon c très bien bon je vou laisse je vais jouez
en fait il existe des jeux naruto mais seulement en import et il faut avec le jeu puisqu´il n´est pas francais un freeloader
Bravo c´est trés bien continue comme ça !