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Tales of Symphonia

Sujet : Fic : Vengeance d'un autre monde
Kirby64
Niveau 10
09 août 2005 à 11:32:05
Kratos-Angel
Niveau 7
09 août 2005 à 11:37:09

:question:

Kratos-Angel
Niveau 7
09 août 2005 à 18:53:41

la suite

SheenaSummoner
Niveau 10
09 août 2005 à 18:57:57

La suite plise ? ? :) :gni:

Kratos-Angel
Niveau 7
09 août 2005 à 18:59:03

:gni:

Amarillys
Niveau 10
09 août 2005 à 20:16:26

:p) salut ! Je vous file la suite de mon histoire ! Amusez-vous bien lol

Chapitre 17 : « piégés en forêt »

Lloyd repoussa une branche.
- C’est une jolie forêt, murmura Génis.
- Tu trouves ? demanda Lloyd, étonné.
- Non ! répondit vivement Génis en secouant la tête, cette forêt est lugubre. Je disais ça juste pour essayer de me rassurer.

Les arbres cachaient le soleil matinal. Il faisait froid et sombre.
- J’espère qu’on va vite les retrouver !
Génis tremblait comme une feuille. Des bruissements se faisaient entendre çà et là. Un hululement fit sursauter les deux amis.
- Je sais comment on va détendre l’atmosphère ! déclara Lloyd.
- Ah, bon ? Comment ? s’enquit Génis.
- On va chanter ! cria Lloyd, bon c’est parti ! " Y en a marre de l’école . . . "
- " Lloyd en a vraiment ras-le-bol" ! continua Génis, " les cours, ça le gonfle . . . "
- " Résultat : je ronfle" !
Ils chantèrent à tue-tête. On pouvait les entendre à des kilomètres à la ronde.

- STOP ! Arrêtez le massacre !
Lloyd et Génis se turent instantanément. Raine était accoudée à un arbre. Colette, un peu en retrait, tenait en main un petit panier.
- Ça va pas ou quoi ? fulmina Raine.
Elle s’approcha des garçons et leur asséna un bon coup de poing sur la tête.
- Aïeheuuuuuuuuuuuuu ! gémit Lloyd.
- On vous cherchait, se justifia Génis.
- C’est une raison pour hurler, peut-être ?
Silence. Plus personne ne parla.
- On ferait peut-être mieux de rentrer, intervint Colette, pour ranger les fruits qu’on a cueillis.
- Tu as raison, sourit Raine, on y va.
Génis regarda autour de lui. Le petit groupe était entouré d´arbres, d´arbres et d´arbres.
- Heu, vous connaissez le chemin ? demanda le jeune demi-elfe.

- Le chemin ? Mais bien sûr ! répondit Raine, on a laissé des morceaux de mie de pain sur le chemin ! Ça vient d’un conte . . . Le Petit Mana-Poucet, je crois.
- Des mies de pain, de plus ou moins 1 cm sur 1 cm, roulé en boule, avec un petit goût de pizza ? demanda Lloyd, inquiet.
- Tout à fait, acquiesca le professeur, pourquoi ?
- Ben, je les ai vus par terre. J’ai trouvé que c’était du gaspillage de laisser ça au sol. Alors, ben, . . . hésita Lloyd, ben, je les ai mangés.
- . . . CRETIN ! !!
Lloyd se mit à courir et Raine le poursuivit. Génis soupira. Pendant ce temps, Raine avait fini par attraper Lloyd et le frappait de toutes ses forces. Puis elle se calma.

- Alors professeur, demanda Colette, comment on va rentrer ?
Raine réfléchit :
- Il faut tout d’abord ne pas nous séparer. Malheureusement je ne sais pas du tout par où aller.
- Moi, je sais ! dit Lloyd, tout content.
Colette sauta de joie :
- Ouais ! Lloyd, tu es notre héros !
Raine ne paraissait pas si confiante :
- Je suis sûre et certaine que c’est une très très mauvaise idée de te suivre. Mais puisque tu es le seul à prétendre connaître le chemin, on te suit.
Génis regarda le sol puis lança un regard noir à Lloyd qui signifiait :  « si tu nous enfonce dans cette forêt, je t’arrache les yeux ».

Lloyd s’agenouilla et regarda le sol.
- D’après moi, c’est vers le sud !
Colette, admirative, applaudit.
- Ah, ouais ? souffla Génis, et c’est où le Sud ?
Raine hocha la tête, pour dire qu’elle était d’accord avec la remarque de son petit frère.
- Le Sud ? dit Lloyd, c’est . . . Heu . . . C’est par là !
Sûr de lui, il se mit à avancer, suivi de Colette. Raine et Génis le suivirent à contre-cœur.

Colette, heureuse, se mit à sautiller parmi les arbres et soudain . . . SPATCH. Colette s’étala, dos au sol. Elle lâcha son panier et les fruits se répandirent par terre.
- Aïe ! J’ai trébuché sur un tronc, dit-elle.
- Tu ne t’es pas fait mal, au moins ? demanda Raine en aidant la blondinette à se relever.
Colette se leva et se frotta les fesses :
- Je dois avoir un gros bleu ! Mais je peux encore marcher, pas de problème !
Elle fit un pas en avant et écrasa une pêche.
- Oh, non ! s’écria-t-elle, les fruits ! !!
Génis rit :
- Décidément ! Laisse, c’est pas grave. On ira chercher à manger en ville.
Colette sourit :
- D’accord !
Lloyd ramassa le panier. Il le donna à Colette :
- Garde-le bien ! Allez, on continue !
Ils se remirent en route.

Sur le dos de Raine, Génis dormait profondément. Colette et Lloyd, en tête, ne désespéraient pas de retrouver le chemin du campement. Le soleil se couchait peu à peu, et la forêt s’assombrissait de plus en plus.
- Lloyd, on tourne en rond ! gémit Raine, je reconnais cet arbre à deux branches ! On est déjà passés devant ce midi ! !!
Lloyd grogna et s’affala sur le sol, à bout de forces. Colette s’assit sur une souche d’arbre, à ses côtés. Raine déposa son frère endormi sur un tapis de feuilles et s’assit à son tour.
- J’ai faaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaim ! cria Lloyd.
- Chut, tais-toi ! lui dit Raine, il y a sûrement des monstres dans cette forêt et tu vas les attirer !

Amarillys
Niveau 10
09 août 2005 à 20:54:25

Chapitre 18 : « sommeil perturbé »

Colette s’était assoupie. Elle ronflait maintenant aux côtés de Génis. Lloyd et Raine essayaient tant bien que mal de rester éveillés. Un bruit de course résonna. Lloyd, alerte, se leva :
- C’est quoi, ça ?
- Le pas est rapide, régulier, . . . Il doit s’agir d’un monstre. Probablement d’un sanglier vert, d‘après l‘odeur nauséabonde qui vient par ici, expliqua le professeur en empoignant sa canne.
- Quoi ? Ça vient par ici ? s’étonna Lloyd.
Raine approuva :
- Il sera ici dans environ 10 secondes, 9 . . . 8 . . . 7 . . . 6 . . .
Une masse énorme sauta sur Raine avant qu’elle aie fini de compter. Lloyd resta figé. Le sanglier vert tentait de mordre le visage de Raine, qui se débattait. Une défense du sanglier déchira la joue de Raine. Il n’en fallu pas plus à Lloyd pour réagir.
- PLUIE D’ÉPÉES SUPERSONIQUES ! !! hurla-t-il.
Les katanas du jeune garçon traversèrent l’affreuse bête. Raine eut le temps de se relever et frappa la tête du sanglier avec sa canne. L’animal tituba, puis tomba sur le côté. Lloyd rangea ses épées et s’approcha de Raine. Du sang coulait de sa joue.
- Je suis . . . désolé . . . de ne pas être intervenu plus tôt, s’excusa Lloyd, vous n’avez pas trop mal ?
- Ne t’en fais pas, sourit Raine, je vais me soigner. Premiers Soins, déclara-t-elle, voilà, je vais mieux.
La blessure de Raine se referma. Elle et Lloyd se rassirent, attendant le matin.

Les heures passèrent une à une. Raine s’était endormie, mais Lloyd ne trouvait pas le sommeil. Il décida de réveiller Génis. Il rampa jusqu’à lui, en prenant garde à ne pas réveiller les filles. Il secoua l’épaule de son ami.
- Grumblll !
Génis grogna. Lloyd le secoua plus fort. Génis ouvrit un œil et sursauta :
- Aaaaa ! commença-t-il à crier.
Lloyd plaqua sa main sur la bouche de Génis, l’empêchant ainsi de réveiller toute la forêt. Génis retira la main de Lloyd de sa bouche.
- T’es fou, murmura-t-il, j’ai cru que tu étais un petit poney rose ! !!
- Quoi ?
- Non, rien, j’ai fait un cauchemar . . . Pourquoi tu m’as réveillé ?
- J’arrive pas à dormir, expliqua Lloyd.
Génis soupira :
- Ben , tu peux compter les petits moutons qui sautent au-dessus d’une barrière ! Pour moi, ça marche.
- Des moutons ? dit Lloyd, non, j’ai une meilleure idée ! Merci, bonne nuit !
Génis haussa un sourcil, perplexe. Puis, persuadé d’avoir rêvé, il se recoucha.

Lloyd retourna à sa place et se coucha. Il ferma les yeux. Ils se mit à imaginer que lui, Lloyd, était en train de botter les fesses de Désians. Il se mit à sourire.
- Un Désian, compta-t-il, . . . Deux Désians . . . Trois Dési . . . *Ronfle* ! *Ronfle* !
À présent, tout le monde dormait à poings fermés.

Lloyd rêvait. Lloyd courait à travers des champs. Pas n’importe quels champs ! Des sucettes et des fils de réglisses étaient éparpillés un peu partout. Lloyd cueillit une sucette.
- Délicieuse, pensa-t-il en la mettant en bouche.
Lloyd entendit du bruit près de lui. Il tourna la tête. À quelques mètres, Génis jouait dans de la barbe à papa. Lloyd s’apprêtait à le rejoindre, lorsqu’une voix l’interpella :
- Lloyd ! Viens te baigner !
Lloyd aperçut Raine et Colette en maillot, en train de nager dans une rivière de chocolat fondu. Lloyd courut vers le ruisseau, mais celui-ci sembla s’éloigner, laissant la place au noir complet. De la réglisse attrapa Lloyd et lui lia les poings et les pieds. En face de lui apparut une ombre. Aux pied de cette ombre, Kratos rampait.
- A . . . attention ! Tout n’est qu’un mensonge ! A . . . attenti . . .

Un bruit réveilla Lloyd en sursaut. En se levant, il se cogna à une branche d’arbre.
- Aïe ! Dure réalité ! murmura-t-il.
À ses côtés, Raine et Colette étaient en sueur. Lloyd secoua Génis. À présent, les quatre amis étaient tous réveillés. Le soleil n’était pas encore levé. Le bruit s’intensifia.
- Qu’est-ce . . . Qu’est-ce que c’est ? chuchota Colette.
- Un bruit de course, dit Raine en fronçant les sourcils.
Génis, encore tout endormi, ne comprenait pas tout à fait ce qui se passait. Il bailla. À côté de lui, Lloyd fronçait aussi les sourcils :
- Un bruit de course ?
Il tendit l’oreille :
- C’est rapide, . . . régulier . . .
- Oh ! Ça pue ! s’écria Génis en se pinçant le nez.
Une horrible odeur approcha. Les regards de Lloyd et Raine se croisèrent.
- Un sanglier vert ! déclarèrent-ils en chœur, ENCORE !
- Encore ? s’étonnèrent Colette et Génis.

Les pas se rapprochaient de plus en plus. Des feuilles toutes proches se mirent à bouger. Une respiration haletante se fit entendre. Une petite tête aux cheveux rouges émergea d’un buisson.
- Zélos ? ??
L’ex-Elu sursauta en remarquant qu’on lui parlait. Ses vêtements étaient tout déchirés et boueux, ses cheveux étaient emmêlés et une expression de peur se lisait sur son visage.

the-kratos
Niveau 4
09 août 2005 à 21:04:06

yeah :ok:

Amarillys
Niveau 10
09 août 2005 à 21:06:11

:merci: fanny

Amarillys
Niveau 10
09 août 2005 à 21:08:50

kratos-angel :d) tu es mon meilleur lecteur ! mdr

the-kratos
Niveau 4
09 août 2005 à 21:09:55

c´est normal ta fic elle est super :ok:

SheenaSummoner
Niveau 10
09 août 2005 à 21:15:13

:ok:

the-kratos
Niveau 4
09 août 2005 à 21:17:17

bon app :ok:

Amarillys
Niveau 10
09 août 2005 à 21:26:54

Vous voulez encore un chapitre aujourd´hui ?

the-kratos
Niveau 4
09 août 2005 à 21:27:47

ouais

Amarillys
Niveau 10
09 août 2005 à 21:34:20

A vos ordres ! mdr Ok, voilà le chapitre 19, le dernier pour aujourd´hui !

Chapitre 19 : « portée disparue »

Zélos fit quelques pas vers ses amis. Il lançait des regards affolés autour de lui. Colette se leva, s’approcha de lui et lui demanda :
- Qu’est-ce qui s’est passé ? Sheena n’est pas avec toi ?
Elle fit asseoir Zélos. Celui-ci avait des égratignures. Raine s’approcha :
- Premiers Soins !
Toutes les plaies se refermèrent.
- M . . . Merci, dit faiblement Zélos.
Tout le monde s’assit autour de lui.
- Raconte-nous ce qui s’est passé ! ordonna gentiment Génis.

Zélos prit une grande inspiration.
- Bon, je commence, dit-il, quand je me suis réveillé, le soleil était déjà bien haut dans le ciel. Vous aviez tous disparus, sauf Sheena. Elle m’a dit que vous étiez allés chercher à manger dans la forêt.
Génis approuva d’un hochement de tête.
- On vous a attendus longtemps, reprit Zélos, on a joué aux cartes pendant plus de deux heures. Puis après, on s’est disputé.
- Ah oui ? Pourquoi ? s’enquit Lloyd.
- Elle se plaignait de perdre aux cartes, répondit Zélos, elle pensait que je trichais. Mais, moi, je lui ai dit que c’était normal qu’elle perde puisqu’elle a tout dans le soutif et rien dans le crâne.
Raine mit sa main sur son front :
- Je comprends que vous vous soyez disputés ! Et puis après ?
- Après, on n’a plus rien fait. Mais quand la nuit était noire, comme vous étiez pas encore rentrés, on s’est inquiétés. On allait partir à votre recherche et c’est à ce moment que . . .
Il s’interrompit.
- C’est à ce moment que ? répéta Lloyd.
- . . . À ce moment que . . . Qu’ils sont tous arrivés, compléta Zélos, ils étaient des dizaines, armés jusqu’aux dents. Puis, quelqu’un leur a dit de nous attaquer. J’ai réussi à m’échapper, mais ils ont eu Sheena. Je suis venu dans la forêt pour essayer de vous retrouver.

Zélos enfouit sa tête dans ses mains. Raine se leva, imitée par Colette, Lloyd et Génis. Colette se munit de ses chakrams de combat et Lloyd brandit ses épées.
- Oh, non ! gémit Génis, mon arme est au campement !
- C’est pas grave, dit Lloyd, tu resteras avec Zélos, en retrait.
Génis n’aimait pas cette idée mais accepta quand même. Zélos se leva à son tour :
- Allons sauver Sheena !
- Bien dit, approuva Lloyd, t’es prête, Colette ?
-Ouaip ! dit celle-ci, allons-y !
- Zélos, on te suit, on ne connaît pas le chemin !

Après une course effrénée de 5 minutes - ils étaient juste à coté du camp -, les cinq amis se retrouvèrent face au silence. Le camp était vide. Il ne restait plus que les cendres du feu et le sac à dos de Raine dépouillé.
- Où sont-ils ? murmura Lloyd.
- Il n’y a plus personne, chuchota Colette.
- C’est . . . C’est impossible ! Ils étaient trop nombreux pour avoir disparu aussi vite ! s’écria Zélos.

Raine fit quelques pas et inspecta le sol. Génis courut vers le sac de Raine et le fouilla.
- Je le savais ! Elle a disparu !
- Qu’est-ce qui a disparu ? demanda Lloyd en approchant.
- Mon étoile ! Ils m’ont volé mon arme !
Colette, qui avait rejoint Lloyd et Génis, s’assit.
- Aïe ! dit-elle, je me suis assise sur quelque chose de dur !
Elle se leva :
- Heu . . . Génis ? Je crois qu’ils n’ont pas touché à ton arme . . .
Le bilboquet de Génis était sur le sol, et venait d’être écrasé par les fesses de Colette.
- Je . . . Je suis désolée ! s’excusa-t-elle.
- Ce n’est rien, dit Génis.

- Venez ici ! cria Raine.
Tout le monde se réunit autour d’elle. Elle était agenouillée sur le sol.
- Qu’est-ce qu’il y a, professeur ? demanda Colette.
- Regardez ici ! expliqua Raine, vous voyez, il y a des traces de lutte. Puis un creux dans l’herbe, probablement un corps qui s’est écroulé ici même.
- Le corps . . . de . . . de Sheena ? demanda Zélos.
- Pas forcément, répondit Raine, mais ce n’est pas le plus important. Après, on peut voir des traces de pas. Et si on les suit . . . Voilà ! Elles s’arrêtent brusquement !
- Et alors ? répliqua Génis, ils ont dû monter sur un appareil volant.
Raine secoua la tête :
- Si un appareil s’était posé ici, il y aurait des marques, or il n’y a rien.
- Mais, et si l’appareil ne s’était pas posé ?
Encore une fois, Raine secoua la tête :
- Non, tous les appareils laisseraient des marques de brûlé au sol, car elles utilisent toutes un combustible.
- Et un dragon ? demanda Zélos, ils auraient pu remonter sur le dos d’un dragon.
- Non ! Un dragon n’aurait pas pu se poser car il y aurait eu des marques. Mais un dragon n’aurait pas pu rester en suspension dans l’air car les dragons ne savent pas voler en surplace.
- Je n’ai pas tout compris, dit Lloyd, mais en gros, ça veut dire que on ne sait pas comment les gens qui ont attaqué Sheena et Zélos se sont enfuis. C’est ça ?
- Exactement.

the-kratos
Niveau 4
09 août 2005 à 21:37:31

YEAH :ok: :ok:
sensas

Raine6949
Niveau 9
09 août 2005 à 23:12:37

toujour ossi bien

SheenaSummoner
Niveau 10
10 août 2005 à 01:51:27

:ok: C´est cool !

Kratos-Angel
Niveau 7
10 août 2005 à 10:41:22

la suite :svp:

Sujet : Fic : Vengeance d'un autre monde
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