Voilà la suite que vous attendez tant et je tiens à dire que j'ai galéré dans à bien l'écrire.
Chapitre 4 : Révélations
Paris, 1785
Je descendis du toit et partis retrouver mon oncle. Arrivé chez moi, je rentrai et le trouvai dans la salle d’entrainement avec Isabelle, pour lui apprendre à se défendre. Cela m’étonna beaucoup, mais elle le lui avait demandé et mon oncle avait fini par accepter.
http://www.youtube.com/watch?v=_V6zWf3ZPnE&feature=BFa&list=PL8E9ED6C83323E661&lf=plpp_video
« -Mon oncle j’ai besoin de te parler seul à seul. (Je lançai un regard à Isabelle, et celle-ci s'en alla)
-Que veux-tu ? me demanda mon oncle.
-Je viens de me faire attaquer par huit hommes : heureusement qu'ils étaient des amateurs. Mais au moment de tuer le dernier, je lui ai demandé tout ce qu'il savait, et ce qui m’a répondu me trouble: ces hommes étaient envoyés par un Templier du nom de George Bordier, qui me veut vivant pour que je lui révèle où se trouvent mes parents. Il m’a aussi dit qu’ils auraient volés quelque chose de très important pour eux... Mais ce n’est pas tout, je sais où trouver ce Bordier car en fouillant l'un des corps, j’ai découvert une lettre ordonnant de me livrer à la Bastille cette nuit.
-Enfin nous savons où trouver ce chien ! Cela fait des mois que nous essayons de le tuer mais il se cache lâchement, et d’après certaines rumeurs, il serait accompagné par une garde personnelle véritablement coriace: de ce fait, nous devons l'attaquer à plusieurs.
-Mais pourquoi me veut-il? Qu'est-ce que je peux avoir de plus que les autres Assassins? Lui demandais-je.
-Ce n’est pas toi qu'il veut, mais tes parents. Il pense que tu sais où ils se trouvent, et il te veut certainement vivant pour que tu le lui révèles et que tu serves d’appât.
-Mais qu’ont-ils donc volé pour être recherché à ce point?
-Il y a 18 ans, tes parents ont réussi à infiltrés les Templiers et à leur voler un coffre très précieux. Nous croyons tous, aussi bien Assassins que Templiers, que ce coffre n’était qu’une légende, jusqu’à qu’un Templier parvint à le trouver dans la tombe d’un Assassin : Darim Ibn La-Ahad, le premier fils d'Altaïr. Tous les Templiers étaient furieux et se sont lancés à la recherche de tes parents et cela devenait trop dangereux pour toi: c'est pour ça qu'ils t'ont confié à moi.
-Mais je ne comprends pas, pourquoi ne m’ont-ils pas trouvé avant ? Et que referme ce coffre qui est si précieux ?
-Surement n’ont-ils jamais fait le rapprochement entre toi et tes parents, car ils ont dû croire que tu étais mort; mais depuis que tu es devenu un Assassin, ils t’ont repéré et c’est ce que je voulais. Pour ce qui est du coffre, il referme le second codex d’Altaïr. Celui-ci contient toutes les informations qu’a pu découvrir Altaïr sur la pomme d’Eden, mais aussi tout ce qu’elle lui a révélé. Si ce codex venait à tomber entre les mains des Templiers, nous pensons que ce serait la fin de notre monde.
-Ce que « tu voulais » ! M’étonnais-je.
-Tu dois découvrir le secret que referme le codex, et pour ça tu dois retrouver le coffre, me répondit-il avec le plus grand calme.
J’étais encore troublé par ces révélations, et lui demanda :
-Moi, mais pourquoi ?
-Telle est ta destinée, tu seras peut-être celui qui mettra fin à cette guerre, me dit-il toujours avec calme.
-Pourquoi les Templiers ne l’ont pas utilisé plus tôt alors qu’il avait le coffre ? Questionnai-je encore mon oncle.
-Les Assassins de l’époque ont fermé le coffre avec 10 clés, et ils les ont cachées un peu partout dans le monde; malheureusement, les Templiers se sont mis à la recherche de ces clés et d’après mes dernières informations, ils possèdent maintenant 8 de ces clés. Une fois les 10 clés et le coffre en leur possession, ils pourront ensuite contrôler les artefacts d’Eden et exploiter leur puissance.
-Comment ont-ils fait pour trouver les clés alors qu’elles étaient censées être cachées ?
-Les Templiers sont partout à travers le monde, et il suffit qu’ils aient mis la main sur d’anciens textes pour ensuite découvrir leurs emplacements.
-Mais enfin, comment veux-tu que je fasse? Je ne suis encore qu'un novice!
-Je sais que ce sera difficile, mais fais-toi des alliés puissants, améliore tes techniques de combat, voyages et dis-toi que tu ne seras jamais seul.
-Mais…
-C’est ton destin, tu ne peux pas y échapper ! me répondit avec fermeté mon oncle.»
Notre discussion fût interrompue quand des hommes entrèrent dans la maison. Mon oncle prit son épée et se prépara à se battre, je fis de même et sortit à mon tour mon épée. La porte de la pièce s’ouvrit brutalement et plusieurs soldats apparurent. Ils devaient être une vingtaine et l'un des soldats, qui semblait être le chef, fit un pas et hurla :
-Rendez-vous et aucun sang sera verser !
-Pourquoi on se rendrait, puisque de toutes façon vous allez nous tuer ! lui répondit mon oncle.
-Regardez les choses en face, c’est peine perdu: nous sommes une vingtaine et encore vingt en renfort, alors rendez-vous ou sinon on vous enmène par la force ! Rigola-t-il.
-On ne veut pas se rendre, alors je crois qu'un petit combat s’impose ! fit mon oncle avec un sourire sournois.
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Sur ce, mon oncle envoya un couteau dans la tête du chef, ce qui fit débuter le combat. Quatre soldats se lancèrent à l’attaque ; deux pour moi et deux pour mon oncle. Je parai leurs coups et sorti de ma main libre ma lame secrète. Je l’enfonçai dans la poitrine d’un soldat et frappa avec mon épée sur la tête de l’autre. Une fois leurs corps à terre, cinq soldats vinrent m’entourer et se préparer à m’attaquer. L'un se lança à l’attaque et j’esquivai d'un bond, lui coupa le bras avec mon épée et lui trancha la gorge avec ma lame. Mon oncle aussi se débrouillait bien, il prit une bombe fumigène, tua les soldats autour de lui et la lança sur un groupe d'hommes qui se mirent à tousser. Mon oncle se mit à tuer tous les soldats qu'il pouvait pendant que je combattais toujours les quatre soldats qui m’encerclaient. Mon oncle venait de tuer à l’aide du fumigène tous les soldats restant et moi je m’occupai des deux derniers en faisant une esquive et en passant derrière eux. Je leur enfonçai mon épée et ma lame dans leurs dos. Mon oncle et moi étions tous deux essoufflés.
« Il faut que tu partes avec Isabelle au repaire des Assassins ! me dit-il en reprenant son souffle.
-Mais il reste encore des hommes dehors !
-Va, et je vais tâcher de les retenir ! me hurla mon oncle.
-Je ne partirai pas sans toi, s’il le faut on se battra ensemble mais je ne te laisserai pas les combattre seul. Insistai-je.
-Non, je me débrouillerai seul, je sais me défendre ! me répondit-il avec énervement.
-D’accord, mais promets-moi de revenir vivant !
-Je te le promets !
Et il me prit dans ses bras, puis rajouta :
-Sache que je t’ai élevé comme mon fils et que je t’ai tout appris, maintenant à toi d’accomplir ta quête, me dit-il avec émotion.
-Et moi, je te considère comme un père et je te promets de mettre fin à cette guerre ! Dis-je en retenant une larme qui se mit à couler sur ma joue.»
Je partis ensuite chercher Isabelle qui avait entendu les soldats et s’était cachée dans sa chambre.
-Viens il faut qu’on parte ! Lui ordonnais-je.
Nous partîmes dans ma chambre, j’ouvris ma fenêtre et on s’en alla par les toits vers la tour des Assassins. Je voyais des toits, des soldats qui se trouvaient devant l’entrée et d’autres sur les toits d’en face qui s'apprêtaient à intervenir. J’entendais des explosions et des bruits d’épées s’entrechoquant à l’intérieur. Nous étions le plus discret possible pour éviter de se faire remarquer et une fois à une bonne distance, nous sommes redescendus et nous avons tous les deux foncé, en direction de la tour.
Comme d'hab dites ce que vous en pensez!
![[Laflamme]](https://image.jeuxvideo.com/avatar-sm/default.jpg){kind=avatar}
Bref grouille-toi pour la suite 
