Je n'ai pas précisé les significations des symboles logiques dont j'ai fait l'usage.
Lexique :
Par exemple, le prédicat (un prédicat est une proposition logique écrite avec des quantificateurs) ∀x ∈ A, P(x) se lit : « Pour tout x appartenant à A, l'on a P(x) ».
∀ correspond au quantificateur universel, x à la variable du prédicat, A à l'univers du discours de x et P à la propriété passée à x.
*
-----------------------
| A | B | A ⇒ B |
------------------------
| V | V |----→ V |
| V | F |----→ F |
| F | V |----→ V |
| F | F |----→ V |
Le 24 août 2022 à 19:22:33 :
C'est la démonstration de Gödel : un système logique est soit cohérent soit complet, pas les deux. C'est le théorème d'incomplétude.
Je me suis instruit sur Kurt Gödel suite à l'axiome d'extension d'Arajinw qui en parlait et en effet ses travaux répondent extrêmement bien à une partie de mes questions, en tenant compte du propos d'Arajinw que j'ai aussi lu qui traite de leurs limites. Je vous remercie en tout cas d'avoir alimenté mon topic, je le suivrai encore de près pour voir si il y'a des nouvelles.
Les paradoxes n'existent pas, pour la simple et bonne raison que ils ne peuvent exister dans le réel par définition. Pour résumer, les paradoxes ne naissent pas d'un problème naturel(puisque l'impossibilité ne peut exister) mais d'un langage mal utilisé
Les paradoxes existent dans une logique munie d'un langage et non pas dans la réalité. La question est de savoir si leur existence ou au moins celle de l'incomplétude qui en est liée est nécessaire et universelle pour toute logique cohérente munie d'un langage et si il y'a un moyen d'étudier la variation de cette incomplétude entre ces mêmes logiques cohérentes.
Première partie de mon message qui dépasse les 16000 caractères :
III ○ Ce mouvement se fait troisièmement sous un aspect transfigurant en ce qu'il comporte en lui un irréductible chaos, une irréductible entropie, une irréductible transformation, une irréductible relativité, une irréductible incomplétude, une irréductible émergence et en ce que cet aspect qu'il possède en lui est intriqué et même une condition sina que non de son harmonie, de ses sémantiques, de son ascension, de sa continualisation, de sa pertinence, de sa réalité... Ce mouvement ne peut se montrer comme une vérité absolue et immuable telle qu'on pourrait la nier de toute relativité externe, de tout chaos, de toute incomplétude ; puisque c'est tout simplement là nier une condition nécessaire qui fait sa substance, l'idée qu'il est justement un mouvement perpétuel, un parcours, une émergence continue et non une stagnation. D'où l'exemple de l'attracteur étrange de Lorenz : à l'instar de ce dernier, nous n'aurions pu aboutir à l'harmonie finale de la structure, à sa continuité, (Le mouvement/l'Onde/L'hélicoïde d'un côté et les ailes de papillon formées par l'attracteur de Lorenz de l'autre) sans l'irréductible part de chaos, d'incomplétude et d'entropie y ayant mené.
Dans ce post, dans le cadre de la transfigurance de l'Onde, je précise que je n'entends pas l'irréductible relativité interne au mouvement en tant qu'elle n'est pas modulable, qu'elle est immuable ; mais dans le sens où l'on ne peut pas en venir à bout, dans le sens où cette part de relativité ne peut en aucun cas être nulle ; tout le but de l'Onde étant d'étudier la manière dont se meut cette relativité, ce chaos, cette incomplétude des systèmes épistémiques.
Au sein de l'Onde, décrire un système c'est aussi décrire son complémentaire comme l'explique assez bien le II ○ de ce post où l'aspect sphérique et cyclique du mouvement est expliqué :
Si l'on considère qu'un système peut être décrit par l'Onde avec une part de complétude et une part d'incomplétude, plus l'on cherchera à aboutir à un système avec une complétude élevée, plus l'on devra se confronter à une incomplétude d'autant plus élevée de par son complémentaire ; c'est à dire que la transfigurance de l'Onde ne fait que grandir (ou plutôt ne fait que devenir de plus en plus évidente).
Larkamboise, dans l'ordre d'une discussion externe au forum, m'a alors demandé :
Mais, au bout du processus, on arrive à une description finale de l'onde qui lie le système qui englobe la totalité des relativités de systèmes possibles à l'entropie nulle ainsi que le complémentaire de ce système, qu'est la négation de cette totalité, c'est-à-dire le système vide à l'entropie infinie ? Saisir la totalité absolue doit passer par le saisissement du néant ?
Ainsi je lui ai répondu :
C'est ce que je pensais auparavant, de l'aspect ascendant et intriquant de l'Onde. Cela dit, j'ai l'impression que parvenir à cette idée revient à désobéir à ce que nous permet de strictement dire l'Onde. Dire qu'il y'a un bout du processus, c'est pour moi désormais nier implicitement l'aspect "sans-bords" de l'Onde, c'est nier la condition nécessaire de l'intrication de l'Absolu avec le Relatif, de la complétude avec l'incomplétude, de l'harmonie avec le chaos, du vrai avec le faux, qui ont permis tout son développement précédent. La transfigurance de l'Onde est (doit être) inachevable.
Larkamboise m'a alors posé une objection très cruciale et pertinente :
Comment est-t-il possible que ta structure soit sans bords et que tu permettes en elle une ascendance ? Une ascendance suppose une limite, qu'elle soit atteignable ou non, qu'elle soit finie ou non. Elle suppose donc une sorte de bord dimmensionel.
Voilà ce que j'ai réussi à répondre :
Quand je dis que l'Onde est sans-bords, c'est à comprendre au sens de : « internement à l'Onde, il n'y a pas de concept premier ni de concept dernier en une sémantique primale ». On peut faire une analogie avec le planisphère qui représente théoriquement l'aplatissement d'une sphère à sa dimension inférieure en mathématiques (d'une dimension volumineuse à une dimension planaire). En effet dans un planisphère, on ne peut considérer un début et une fin (ou un bord quelconque) que de manière relative à une sémantique dans un modèle où il peut en exister plein d'autres.
Quand je dépasse le "bord" gauche du planisphère après l'Amérique, je me retrouve en fait juste à côté du "bord" droit proche de l'Asie. Cela n'empêche pas que la structure qu'est la sphère soit dynamique. Cette analogie de l'aplatissement d'une structure sans-bords (au sens de sa représentation sous une infériorisation d'un degré de sa dimensionnalité) aboutissant à une description où chaque pseudo-bord est en réalité interconnecté (à la manière d'un planisphère) peut être généralisée pour toute variété compacte de dimensionnalité quelconque.
Certaines hypothèses cosmologiques d'ailleurs stipulent que notre espace-temps en expansion spatiale pourrait être décrit en tant qu'on se le représente à la manière d'un planisphère au lieu de directement le saisir comme la Terre ; c'est-à-dire sous la généralisation de l'analogie précédemment décrite. Il pourrait bien être compact mais en même temps sans-bords. Si nous nous déplaçons indéfiniment vers une direction sous la représentation tridimensionnelle qu'on se fait de l'espace-temps, il est possible que l'on puisse aboutir de l'autre côté de la représentation qu'on se fait de lui comme sphère en chaque instant par rapport à la direction visée initialement. Il faudrait alors d'abord le penser comme une variété au minima quadridimensionnelle, puis au vu d'une part la représentation 2-sphérique (donc sphérique au sens usuel) qu'on se fait de lui à chaque instant et d'autre part les observations cosmologiques de l'expansion volumineuse de cette 2-sphère représentative de l'espace-temps au fil des instants, comme une structure similaire à un hypercône.
Détails mathématiques et physiques sur l'hypercône :
Un hypercône ou cône sphérique est une variété quadridimensionnelle représentable dans un espace euclidien par l'équation suivante :
x² + y² + z² - w² = 0
C'est une surface quadrique et l'une des 3-variété possibles qui sont des équivalents quadridimensionnels (4D) de la surface conique tridimensionnelle (3D).
Il est également appelé cône sphérique car ses intersections avec les hyperplans perpendiculaires à l'axe w sont des sphères.
Assez brièvement, les hyperplans d'un espace vectoriel E de dimension quelconque sont la généralisation des plans vectoriels d'un espace vectoriel de dimension 3 : ce sont très exactement les sous-espaces vectoriels de codimension 1 dans E.
Un espace vectoriel est un ensemble où il y'a assez d'axiomes et d'opérations afin de pouvoir manipuler des vecteurs et d'effectuer des combinaisons linéaires.
Un sous-espace vectoriel d'un espace vectoriel E est une partie non-vide de E qui maintient les propriétés suffisantes pour pouvoir être considérée comme un espace vectoriel.
La codimension entre deux espaces vectoriels est une mesure de la différence de taille (au sens de dimension) entre un espace vectoriel et son sous-espace vectoriel.
Si E est de dimension finie n non-nulle (n ∈ ℕ*), ses hyperplans sont donc ses sous-espaces de dimension n - 1 : par exemple l'espace nul dans une droite vectorielle, une droite vectorielle dans un plan vectoriel et un plan vectoriel dans un espace vectoriel de dimension 3...
Un hypercône droit quadridimensionnel peut être considéré comme une sphère qui se dilate avec le temps, en commençant son expansion à partir d'une source ponctuelle unique, de sorte que le centre de la sphère en expansion reste fixe. Un hypercône oblique serait une sphère qui se dilate avec le temps, en partant à nouveau d'une source ponctuelle, mais de telle sorte que le centre de la sphère en expansion se déplace à une vitesse uniforme.
Un hypercône droit peut être décrit par la fonction paramétrique :
avec pour point à l'origine et vitesse d'expansion s.
Un hypercône droit de rayon r et de hauteur h peut être décrit par la fonction paramétrique :
Un hypercône oblique pourrait alors être décrit par la fonction paramétrique :
où (vx, vy, vz) est la 3-vitesse du centre de la sphère en expansion. Un exemple d'un tel cône serait une onde sonore en expansion vue d'un cadre de référence mobile : par exemple, l'onde sonore d'un avion à réaction vue du cadre de référence de l'avion.
L'hypervolume d'une pyramide et d'un cône à quatre dimensions est :
H = (V*h)/4
, où V est le volume de la base et h la hauteur (la distance entre le centre de la base et le sommet).
Le volume de la surface latérale d'un hypercône droit est égal à :
, où r est le rayon de la base sphérique et l la hauteur oblique du cône (la distance entre la surface 2D de la sphère et le sommet).
Le volume de la surface de la base sphérique est le même que celui de toute sphère :
Par conséquent, le volume total de la surface d'un hypercône droit peut être exprimé des manières suivantes :
I ○ Rayon r et hauteur h
(le volume de la base plus le volume de la surface latérale 3D ; le terme √(r² + h²) est la hauteur oblique)
où r est le rayon et h la hauteur ;
II ○ Rayon r et hauteur oblique l
où r est le rayon et l la hauteur oblique ;
III ○ Surface de la base A, rayon r et hauteur oblique l
où A est la surface de la base, r le rayon et l la hauteur oblique.
L'hypercône est constitué de deux nappes non-délimitées, qui se rencontrent à l'origine et sont les analogues des nappes de la surface conique tridimensionnelle. La nappe supérieure correspond à la moitié avec des coordonnées w positives, et la nappe inférieure correspond à la moitié avec des coordonnées w négatives.
Si la coordonnée w de l'équation de l'hypercône est interprétée comme la distance ct, où t est la temps-coordonnée et c la vitesse de la lumière (constante), il s'agit de la forme du cône de lumière de la relativité restreinte.
Dans ce cas, l'équation s'écrit généralement comme suit :
x² + y² + z² - (ct)² = 0
, qui est également l'équation des fronts d'onde sphériques de la lumière. La nappe supérieure est alors le cône de lumière futur et la nappe inférieure est le cône de lumière passé.
Plus d'informations :
Deuxième partie de mon message dépassant les 16000 caractères :
Pour le cas de l'Onde, elle suit une expansion que je qualifie métaphoriquement d'hélicoïdale (le I ○ du post sus-linké décrit cette métaphore), impliquant une méta-récursivité. Cette expansion, cette ascendance, peut se faire de manière inachevée, c'est-à-dire en tendant vers une totalité infinie sans y parvenir, à la manière d'une suite mathématique divergente n'ayant pas pour limite quand n tend vers l'infini (n ∈ ℕ → + ∞) un élément fini mais un infini. Une suite mathématique est dite divergente dans un ensemble F si elle n'est pas convergente au sein de F, c'est-à-dire si elle a une limite infinie (- ∞ ou + ∞) ou si elle n'admet aucune limite en F. Ainsi, une suite est dite convergente si elle admet pour limite un élément fini l en F (l ∈ F).
Le moment crucial, c'est qu'il nous est bien possible de viser une totalité des totalités comme marqueur d'une ascendance ou expansion de notre mouvement malgré la paradoxalité apparente que peut avoir une telle idée de par le deuxième moment stipulant l'insaisissabilité de l'unité en soi ; vu que cette totalité subsiste comme le même support du mouvement par l'idée selon laquelle l'Onde contient l'ensemble E(N-Méta-Onde).
L'idée que l'Onde contient l'ensemble E(N-Méta-Onde) est une solution à l'obstacle que pose le deuxième moment de l'Onde, qui décrit que l'unité de la dualité de la pensée comme totalité de la relation sujet-objet, comme support ayant permis cette pensée qui ne peut qu'être relation duelle, est fondamentalement impensable comme unité non-dualisée, mais toujours comme une dualisation d'une unité en tant que relation sujet-objet supposant elle-même son support unitaire.
Qu'est-ce qui précisément résolu par la méta-récursivité de l'Onde ?
Ce qui est résolu, c'est non pas que l'on parvienne bel et bien à saisir une unité comme totalité de la relation sujet-objet sans la dualiser par une pensée fondamentalement structurée comme relation duelle entre un sujet viseur et un objet visé, mais que l'on parvienne à stabiliser quelque chose de précis.
Ce que l'on parvient à stabiliser, c'est l'unité qui est à chaque fois supposée comme support de nos pensées duelles qui sont des relations sujet-objet. Nous ne parvenons pas à saisir ce support comme unité non-dualisée par la relation sujet-objet (duelle et dualisante), cela est radicalement contraire au contenu du deuxième moment, mais nous parvenons à la faire se poser et à la décrire (l'unité) de la même manière en tant que support à nos pensées et notre mouvement.
La récursivité à l'infini (voire méta-récursivité à l'infini) évidente que pouvait provoquer le deuxième moment se voit dépassée en l'aspect qu'elle pouvait être problématique, parce qu'elle ne sort pas de ce que décrit l'idée de par laquelle l'on a justement effectué une récursivité à l'infini, c'est à dire qu'elle ne sort pas de ce que représente l'Onde.
En somme, le deuxième moment appliqué à n'importe lequel des trois moments, en tant qu'ils sont considérés comme intriqués et articulés dans l'ensemble qu'est l'Onde, est une composition interne à l'Onde.
La récursivité à l'infini (voire méta-récursivité à l'infini) qui nous intéresse étant une composition plurielle du deuxième moment, son résultat reste interne à l'ensemble de l'Onde.
J'invite aussi à lire ce post en page 1 du topic pour en savoir plus sur l'argumentation de la méta-récursivité de l'Onde :
Je vais lire tout ça.
Ca m'a l'air d'etre du pur n'importe quoi mais tout le monde laisse passer tranquillement par flemme de devoir se taper ces paves incomprehensible qui apparement tente de mathematiser l'existence et notre approche de la connaissance.
Bonne lecture et bonne chance.
Le 31 août 2022 à 13:25:47 Thendoftimes a écrit :
J'm'en vais lire t'cha lô.Ch'm'ô l'air d'èt' ud pur n'import'quoè mais tel'mond' laiche pacher tranquil' pa-flem' d'voèr ch'taper és pavés inkomprensibl' éq'paremment tent' ed'matématizer l'exichtenche é not'proche d'la connaichanche lô.
Maintenant que nous avons considérablement réfléchi et écrit, j'aimerais effectuer un travail de regroupement du contenu de ce topic et de mes réflexions. Voici ce qui peut s'apparenter à une forme de timeline de ce qui se rapporte de près ou de loin à une construction du système épistémologique embryonnaire de l'Onde qui a été constamment relativisé et réétudié de par mes diverses discussions et lectures de kheys du FoPhi (ce qui n'est en rien à cesser) :
De la question "Qu'est-ce qu'un entier ?" (assez indépendante du système de l'Onde) :
De la construction progressive de ce qui s'apparente de près ou de loin à mon système épistémologique encore embryonnaire de l'Onde :
Il est évident qu'une énorme synthèse doit être faite tant le tout est encore très éparse et manquant de rigueur par rapport à des systèmes colossaux comme ceux de Kant/Hegel/Schopenhauer (que je n'ai pas lu et que je dois lire) etc... mais voilà une bonne partie du développement historique du système dans le FoPhi qui permet de bien mieux le saisir, ayant reçu plusieurs remarques de son aspect cloisonné, fragmenté et contre-intuitif.
Le 31 août 2022 à 13:25:47 :
Je vais lire tout ça.Ca m'a l'air d'etre du pur n'importe quoi mais tout le monde laisse passer tranquillement par flemme de devoir se taper ces paves incomprehensible qui apparement tente de mathematiser l'existence et notre approche de la connaissance.
J'ai pas tout lu par flemme mais à partir du moment où l'espace-temps est caractérisé par une variété pseudo-riemannienne de dimension 3+1 vérifiant la propriété de Hausdorff et que la matière elle-même (particule élémentaire) est définie comme une représentation unitaire irréductible du groupe de Poincaré sur L^2(R^4), alors le fait que tout soit mathématiques n'a rien d'absurde.
D'ailleurs la syntaxe des langages est donné par des monoïdes syntaxiques et leurs semantiques par une théorie des types, lesquelles sont purement intégrées dans le champs des mathématiques, donc non la philosophie n'est pas exempt des mathématiques.
Le 03 septembre 2022 à 12:29:50 :
Le 31 août 2022 à 13:25:47 :
Je vais lire tout ça.Ca m'a l'air d'etre du pur n'importe quoi mais tout le monde laisse passer tranquillement par flemme de devoir se taper ces paves incomprehensible qui apparement tente de mathematiser l'existence et notre approche de la connaissance.
J'ai pas tout lu par flemme mais à partir du moment où l'espace-temps est caractérisé par une variété pseudo-riemannienne de dimension 3+1 vérifiant la propriété de Hausdorff et que la matière elle-même (particule élémentaire) est définie comme une représentation unitaire irréductible du groupe de Poincaré sur L^2(R^4), alors le fait que tout soit mathématiques n'a rien d'absurde.
D'ailleurs la syntaxe des langages est donné par des monoïdes syntaxiques et leurs semantiques par une théorie des types, lesquelles sont purement intégrées dans le champs des mathématiques, donc non la philosophie n'est pas exempt des mathématiques.
Pourquoi pas.
Maintenant dis moi ce que tu penses de son concept d'onde :
https://m.jeuxvideo.com/forums/message/1159367302
C'est un peu la fondation qu'il utilise pour argumenter le reste du temps et je ne sais pas si elle est aussi solide que ton univers mathematique. Ni meme si nous avons de bonne raison de faire ces hypotheses sur le monde de la meme maniere que nous faisons des hypothese d'ordre mathematique sur le monde.
Le 03 septembre 2022 à 12:41:39 :
Le 03 septembre 2022 à 12:29:50 :
Le 31 août 2022 à 13:25:47 :
Je vais lire tout ça.Ca m'a l'air d'etre du pur n'importe quoi mais tout le monde laisse passer tranquillement par flemme de devoir se taper ces paves incomprehensible qui apparement tente de mathematiser l'existence et notre approche de la connaissance.
J'ai pas tout lu par flemme mais à partir du moment où l'espace-temps est caractérisé par une variété pseudo-riemannienne de dimension 3+1 vérifiant la propriété de Hausdorff et que la matière elle-même (particule élémentaire) est définie comme une représentation unitaire irréductible du groupe de Poincaré sur L^2(R^4), alors le fait que tout soit mathématiques n'a rien d'absurde.
D'ailleurs la syntaxe des langages est donné par des monoïdes syntaxiques et leurs semantiques par une théorie des types, lesquelles sont purement intégrées dans le champs des mathématiques, donc non la philosophie n'est pas exempt des mathématiques.Pourquoi pas.
Maintenant dis moi ce que tu penses de son concept d'onde :
https://m.jeuxvideo.com/forums/message/1159367302
C'est un peu la fondation qu'il utilise pour argumenter le reste du temps et je ne sais pas si elle est aussi solide que ton univers mathematique. Ni meme si nous avons de bonne raison de faire ces hypotheses sur le monde de la meme maniere que nous faisons des hypothese d'ordre mathematique sur le monde.
Il a l'air plutôt analytique, je hais la philosophie continentale donc c'est une bonne chose. Après je vais pas te mentir j'ai eu la flemme de tout lire mais il semble faire allusion à la théorie des modèles ce qui est appréciable.
La philosophie analytique c'est beaucoup de maths en général.
Le 03 septembre 2022 à 12:47:47 :
Le 03 septembre 2022 à 12:41:39 :
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Je vais lire tout ça.Ca m'a l'air d'etre du pur n'importe quoi mais tout le monde laisse passer tranquillement par flemme de devoir se taper ces paves incomprehensible qui apparement tente de mathematiser l'existence et notre approche de la connaissance.
J'ai pas tout lu par flemme mais à partir du moment où l'espace-temps est caractérisé par une variété pseudo-riemannienne de dimension 3+1 vérifiant la propriété de Hausdorff et que la matière elle-même (particule élémentaire) est définie comme une représentation unitaire irréductible du groupe de Poincaré sur L^2(R^4), alors le fait que tout soit mathématiques n'a rien d'absurde.
D'ailleurs la syntaxe des langages est donné par des monoïdes syntaxiques et leurs semantiques par une théorie des types, lesquelles sont purement intégrées dans le champs des mathématiques, donc non la philosophie n'est pas exempt des mathématiques.Pourquoi pas.
Maintenant dis moi ce que tu penses de son concept d'onde :
https://m.jeuxvideo.com/forums/message/1159367302
C'est un peu la fondation qu'il utilise pour argumenter le reste du temps et je ne sais pas si elle est aussi solide que ton univers mathematique. Ni meme si nous avons de bonne raison de faire ces hypotheses sur le monde de la meme maniere que nous faisons des hypothese d'ordre mathematique sur le monde.
Il a l'air plutôt analytique, je hais la philosophie continentale donc c'est une bonne chose. Après je vais pas te mentir j'ai eu la flemme de tout lire mais il semble faire allusion à la théorie des modèles ce qui est appréciable.
La philosophie analytique c'est beaucoup de maths en général.
Non il est tres Kantien . Tout son systeme se base sur la chose en soi et un certains nombre de presuppose issue de la philosophie continentale.
Si tu as la flemme de tout lire lis au moins ça : https://m.jeuxvideo.com/forums/42-68-70543720-1-0-1-0-genie-ou-arnaque-intellectuelle.htm
Jusque la il n'y avait pas de mathematicien pour verifier la coherence de ses propos mais l'usage qu'il en fait ici te semble approprié ?
Je ne suis personnellement pas convaincu par ce melange des genres. Cet essai de resoudre des problemes pose sous forme continental avec des mathematiques.
Le 03 septembre 2022 à 12:59:51 :
Le 03 septembre 2022 à 12:47:47 :
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Le 03 septembre 2022 à 12:29:50 :
Le 31 août 2022 à 13:25:47 :
Je vais lire tout ça.Ca m'a l'air d'etre du pur n'importe quoi mais tout le monde laisse passer tranquillement par flemme de devoir se taper ces paves incomprehensible qui apparement tente de mathematiser l'existence et notre approche de la connaissance.
J'ai pas tout lu par flemme mais à partir du moment où l'espace-temps est caractérisé par une variété pseudo-riemannienne de dimension 3+1 vérifiant la propriété de Hausdorff et que la matière elle-même (particule élémentaire) est définie comme une représentation unitaire irréductible du groupe de Poincaré sur L^2(R^4), alors le fait que tout soit mathématiques n'a rien d'absurde.
D'ailleurs la syntaxe des langages est donné par des monoïdes syntaxiques et leurs semantiques par une théorie des types, lesquelles sont purement intégrées dans le champs des mathématiques, donc non la philosophie n'est pas exempt des mathématiques.Pourquoi pas.
Maintenant dis moi ce que tu penses de son concept d'onde :
https://m.jeuxvideo.com/forums/message/1159367302
C'est un peu la fondation qu'il utilise pour argumenter le reste du temps et je ne sais pas si elle est aussi solide que ton univers mathematique. Ni meme si nous avons de bonne raison de faire ces hypotheses sur le monde de la meme maniere que nous faisons des hypothese d'ordre mathematique sur le monde.
Il a l'air plutôt analytique, je hais la philosophie continentale donc c'est une bonne chose. Après je vais pas te mentir j'ai eu la flemme de tout lire mais il semble faire allusion à la théorie des modèles ce qui est appréciable.
La philosophie analytique c'est beaucoup de maths en général.Non il est tres Kantien . Tout son systeme se base sur la chose en soi et un certains nombre de presuppose issue de la philosophie continentale.
Si tu as la flemme de tout lire lis au moins ça : https://m.jeuxvideo.com/forums/42-68-70543720-1-0-1-0-genie-ou-arnaque-intellectuelle.htm
Jusque la il n'y avait pas de mathematicien pour verifier la coherence de ses propos mais l'usage qu'il en fait ici te semble approprié ?
Je ne suis personnellement pas convaincu par ce melange des genres. Cet essai de resoudre des problemes pose sous forme continental avec des mathematiques.
Oh ok je vois, il est quoi du coup? Idéaliste? C'est un mystique qui utilise les maths pour justifier des délires? La critique de la raison pure reste un très bon ouvrage et kant dit pas que des conneries.
Faudra lui demander toi meme.
Il a plusieurs influences, les kantiens, hegeliens et autres continentaux du forum d'un cote. Et sa formation scientifico/mathematique de l'autre il me semble.
Moi je ne suis pas convaincu par son systeme meme en etant genereux sur les hypothese.
Apres quand tu met de cote sa theorie de l'onde il lui arrive bien entendu d'etre pertinent et rigoureux.
Oh ok je vois, il est quoi du coup? Idéaliste? C'est un mystique qui utilise les maths pour justifier des délires? La critique de la raison pure reste un très bon ouvrage et kant dit pas que des conneries.
Je réponds assez tard car j'ai loupé ces messages.
Si je dois ontologiquement me situer quelque part, c'est dans un monisme de la Substance, proche d'un spinozisme (ce qui est au final assez proche du réalisme structurel ontique que tu soutiens). Épistémologiquement, comme on peut à peu près le deviner en lisant mes textes sur ce topic, j'ai des intuitions assez proches du kantisme puis du hégélianisme, même si je n'ai pas lu ces philosophes en profondeur. Je ne suis ni uniquement analytique ni uniquement continental, puisque je n'ai aucune raison de ne pas tirer ce qu'il y'a de bon dans ces deux écoles, même si leur distinction peut être pertinente pour saisir un certain enjeu de l'institution philosophique, surtout actuellement.
J'avais lu ton pavé sur mon topic "Réflexions sur l'être, l'esprit, la connaissance et la totalité", ça m'intéresse que tu développes les concepts logiques et mathématiques qui y sont posés bien plus en profondeur, pour que je puisse y voir de plus clair sur la rigueur de ta pensée. Je t'ai déjà vu sur le 18-25, on peut potentiellement se contacter pour en discuter.
geci
Que dois-je comprendre ?
geci veut dire sperme en hongrois